Libellé préféré : tumeurs du sein;
Synonyme CISMeF : tumeur sein;
Hyponyme MeSH : Carcinome mammaire humain; Tumeurs mammaires humaines; Cancer du sein;
Lien Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cancer du sein;
Identifiant d'origine : D001943;
CUI UMLS : C1458155;
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Alignements manuels CISMeF
Correspondances UMLS (même concept)
Liste des qualificatifs affiliables
- urine [Qualificatif MeSH]
Mapping VCM exact
- sein [VCM pictogramme central]
Médicament(s) indiqué(s)
- ABEVMY [Racine Pharmacologique]
- CAELYX [Racine Pharmacologique]
- FEMARA [Racine Pharmacologique]
- MVASI [Racine Pharmacologique]
- OGIVRI [Racine Pharmacologique]
- OYAVAS [Racine Pharmacologique]
- PHESGO [Racine Pharmacologique]
- PIQRAY [Racine Pharmacologique]
- TAXOL [Racine Pharmacologique]
- TUKYSA [Racine Pharmacologique]
- XELODA [Racine Pharmacologique]
Racine(s) Pharmaceutique(s)
- MEGACE [Racine Pharmacologique]
Spécialité(s) pharmaceutique(s) indiquée(s)
Spécialité(s) pharmaceutique(s) indiquée(s)
Terme HPO
Topic(s) MedlinePlus
Type(s) sémantique(s)
Voir aussi
Voir aussi (proposés par CISMeF)
Voir aussi inter- (CISMeF)
N3-AUTOINDEXEE
Programme valaisan de dépistage du cancer du sein : évaluation épidémiologique 2000-2021
https://www.unisante.ch/fr/formation-recherche/recherche/publications/raisons-sante/raisons-sante-341
Malgré une diminution de l’incidence et surtout de la mortalité, le cancer du sein
reste le cancer le plus fréquent et le plus mortel chez la femme. Le dépistage par
mammographie demeure le seuil moyen dont l’efficacité pour baisser la mortalité est
démontrée chez les femmes de 50 à 74 ans. Depuis 1999, toutes les valaisannes entre
50 et 69 ans sont invitées par le programme cantonal à réaliser une mammographie de
dépistage exempte de franchise tous les deux ans (depuis 2019 jusqu’à 74 ans). Des
évaluations indépendantes et régulières permettent de s’assurer que la qualité et
l’efficacité d’un programme organisé de dépistage répondent à des normes internationales,
périodiquement révisées. L’évaluation épidémiologique du programme valaisan a été
confiée au Centre universitaire de médecine générale et de santé publique (Unisanté)
de Lausanne, en charge de l’évaluation de nombreux programmes de dépistage du cancer
en Suisse.
2022
Unisanté
France
rapport
cancer
Dépistage précoce du cancer
Épidémiologistes
évaluation de programme
Cancer du sein
dépistage du cancer
Epidémiologie
épidémiologie
Cancer du sein
tumeurs du sein
Epidémiologie
Epidémiologie
Epidémiologie
Epidémiologie
dépistage du cancer
---
N2-AUTOINDEXEE
Les récidives du cancer du sein
https://curie.fr/dossier-pedagogique/les-recidives-du-cancer-du-sein
Quels types de cancer du sein récidivent le plus ? Chez quelles patientes ? Combien
de temps après la tumeur initiale ? Le point avec les médecins de l’Institut Curie.
Pour le Dr Paul Cottu, chef adjoint du département d’oncologie médicale de l’Institut
Curie, il est très difficile de donner des chiffres sur la récidive du cancer du sein,
car il n’existe pas de registre national recensant ces rechutes. Néanmoins, il estime
que « dix ans après le premier diagnostic, 15 à 20 % des cancers du sein récidivent
». Ce sont les cancers dits triple négatif qui ont le plus de risque de rechuter,
avec approximativement 20 à 30 % de rechute. « Tous types de cancers confondus, on
observe un pic de récidive locale ou d’apparition de métastases deux ans après les
traitements », ajoute-t-il. Car le cancer peut récidiver au niveau du sein lui-même,
on parle de récidive locale, ou à distance, dans d’autres organes ou tissus : métastases.
2022
Institut Curie
France
information patient et grand public
cancer
Cancer du sein
tumeurs du sein
Cancer du sein
tumeur maligne, sai
récidive
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N2-AUTOINDEXEE
Participer au Programme québécois de dépistage du cancer du sein : votre décision
http://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/document-000288/
Le dépliant Participer au Programme québécois de dépistage du cancer du sein : votre
décision fournit des renseignements complets sur les avantages, les inconvénients
et les limites liés au dépistage du cancer du sein. Dans le cadre de ce programme,
les femmes âgées de 50 à 69 ans sont invitées à passer une mammographie tous les deux
ans afin de vérifier s’il y a présence d’anomalies dans leurs seins. La mammographie
est le seul examen de dépistage reconnu par les scientifiques qui permet de réduire
le nombre de décès attribuables au cancer du sein.
2022
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MSSS - Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec
Canada
brochure pédagogique pour les patients
cancer
dépistage du cancer
programmes
tumeurs du sein
Cancer du sein
Cancer du sein
dépistage du cancer
Dépistage précoce du cancer
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N3-AUTOINDEXEE
Performance du Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) en 2020,
première année de la pandémie de la COVID-19 - Partie 1
https://www.inspq.qc.ca/publications/2874
Le Programme québécois de dépistage du cancer du sein (PQDCS) invite, depuis 1998,
les résidentes du Québec âgées de 50 à 69 ans à passer une mammographie de dépistage
du cancer du sein tous les 2 ans. L’objectif du PQDCS est de réduire d’au moins 25
% le taux de mortalité par cancer du sein chez les femmes de 50 à 69 ans. Depuis 1998,
l’INSPQ est mandaté par le Programme québécois de cancérologie (PQC) du Ministère
de la Santé et des Services sociaux pour faire l’évaluation du PQDCS.
2022
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INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
COVID-19
rapport
dépistage du cancer
COVID-19
Cancer du sein
pandémies
Dépistage précoce du cancer
Programmes
dépistage du cancer
cancer
Cancer du sein
tumeurs du sein
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N2-AUTOINDEXEE
Utilisation de la phytothérapie chez les femmes atteintes de cancer du sein en France.
Résultats de l'étude UTOPIa
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03675938
Les patients atteints du cancer sont de plus en plus nombreux à se tourner vers la
phytothérapie, notamment les patientes atteintes de cancer du sein. Pour les cliniciens,
ce sujet est devenu inévitable lors de la prise en charge des patientes. L’utilisation
des plantes en parallèle des traitements conventionnels n’est pas sans risques, en
effet bien que naturelles, leur utilisation n’est pas pour le moins anodine. Les données
bibliographiques sur ce sujet sont peu nombreuses en France. Notre étude a pour objectif
principal d’identifier auprès de patientes traitées ou ayant été traitées pour un
cancer du sein en France, leur consommation de phytothérapie réelle, afin d’analyser
les risques d’interaction de celles-ci avec les anticancéreux reçu par les patientes.
Les objectifs secondaires sont de décrire les habitudes de prise de phytothérapie
des patientes en fonction de leur répartition géographique, leur âge, le stade de
leur maladie, leur traitement, la personne ou le média à l’origine de la prise de
phytothérapie, et de savoir quelle personne est avertie de cette prise de phytothérapie.
Pour ce faire les patientes volontaires devaient répondre à un questionnaire en ligne
sur le site www.seintinelles.com.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
évaluation de résultat des soins
Cancer du sein
cancer
Femmes
tumeur maligne, sai
France
études de résultat
France
maladie
phytothérapie
tumeurs du sein
français
ayant comme résultat
glande mammaire de la femme
France
France
cancer du sein chez la femme
France
Cancer du sein
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N3-AUTOINDEXEE
Evaluation de 20 ans d’activité du programme vaudois de dépistage du cancer du sein,
1999-2018
https://www.unisante.ch/fr/formation-recherche/recherche/publications/raisons-sante/raisons-sante-328
Malgré une baisse de l’incidence et surtout de la mortalité, le cancer du sein reste
le plus fréquent et le plus mortel chez la femme. Quelque 600 vaudoises sont touchées
chaque année, 120 en décèdent. Le dépistage par mammographie demeure le seul outil
de prévention avec un impact démontré sur la mortalité chez les femmes de 50 à 74
ans. Des évaluations indépendantes et régulières permettent de s’assurer que la qualité
et l’efficacité d’un programme de dépistage répondent à des normes internationales.
Ce sixième rapport d’évaluation analyse 20 ans d’activité du programme vaudois de
dépistage du cancer du sein, qui a été le premier programme organisé lancé en Suisse.
Outre les indicateurs transversaux classiques permettant la comparaison des performances
entres programmes aux niveaux national et international, ce rapport inclut une comparaison
des performances sur différentes périodes ainsi que, pour la première fois pour un
programme en Suisse, une perspective longitudinale. Les domaines évalués dans ce rapport
sont l’activité, la participation, la qualité et l’efficacité du programme entre 1999
et 2018, avec un focus sur la période 2014-2018. L’activité a augmenté de manière
régulière depuis le début du programme, tendance qui s’est accentuée ces 5 dernières
années. Les radiologues deuxièmes lecteurs interprètent un grand volume de mammographies
dans le cadre du programme, satisfaisant largement les normes suisses de qualité.
Le volume de lectures par radiologue premier lecteur est en hausse et atteint la norme
suisse grâce aux mesures prises par la Direction du programme.
2022
Unisanté
Suisse
rapport
tumeurs du sein
cancer
Dépistage précoce du cancer
dépistage du cancer
dépistage du cancer
Cancer du sein
Cancer du sein
évaluation de programme
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N2-AUTOINDEXEE
Radiothérapie adjuvante pour le traitement du cancer du sein de stade précoce : efficacité
et innocuité d’une irradiation complète
Réponse rapide
https://www.inesss.qc.ca/publications/repertoire-des-publications/publication/radiotherapie-adjuvante-pour-le-traitement-du-cancer-du-sein-de-stade-precoce-efficacite-et-innocuite-dune-irradiation-complete-du-sein-en-5-fractions-ultra-hypofractionnement.html
Depuis quelques années, le traitement standard du cancer du sein de stade précoce
repose sur la chirurgie conservatrice suivie d’une radiothérapie hypofractionnée en
15 ou 16 fractions (40 - 42,5 Gy) et d’un traitement systémique au besoin. L’administration
d’un traitement à fractionnement réduit (15 - 16 fractions) a permis de diminuer le
nombre de visites en milieu de soins, l’utilisation des équipements d’irradiation
et des ressources humaines par patient, ainsi que les coûts associés au traitement
d’irradiation, sans que l’efficacité clinique et l’innocuité ne soient compromises
comparativement au fractionnement de 50 Gy en 25 fractions. Une réduction supplémentaire
du fractionnement (ultra-hypofractionnement en 5 fractions) pourrait accroitre ces
bénéfices si l’efficacité clinique et l’innocuité ne sont pas compromises.
2022
INESSS - Institut national d'excellence en santé et en services sociaux
Canada
recommandation pour la pratique clinique
radiothérapie
Exposition aux rayonnements
précoce
prévention secondaire
Cancer du sein
Cancer du sein
tumeur maligne, sai
Rendement
radiothérapie adjuvante
Stadification tumorale
Traitement précoce
adjuvant
tumeurs du sein
cancer
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N2-AUTOINDEXEE
KEYTRUDA (pembrolizumab) (Cancer du sein)
Décision d'accès précoce
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3325988/fr/keytruda-pembrolizumab-cancer-du-sein
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3325999/fr/decision-n-2022-0084/dc/sem-du-17-mars-2022-du-college-de-la-haute-autorite-de-sante-portant-autorisation-d-acces-precoce-de-la-specialite-keytruda
Autorisation d’accès précoce octroyée le 17 mars 2022 à la spécialité KEYTRUDA (pembrolizumab)
dans l'indication « en association à une chimiothérapie comme traitement néoadjuvant,
puis poursuivi après la chirurgie en monothérapie comme traitement adjuvant, dans
le traitement des patients adultes atteints d'un cancer du sein triple négatif localement
avancé, inflammatoire ou de stade précoce à haut risque de récidive ».
2022
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HAS - Haute Autorité de Santé
France
avis de la commission de transparence
Cancer du sein
tumeurs du sein
Keytruda
pembrolizumab
cancer
pembrolizumab
pembrolizumab
KEYTRUDA
Cancer du sein
tumeur maligne, sai
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N1-VALIDE
Thérapies systémiques dans la prévention ou le traitement des symptômes musculo-squelettiques
induits par les inhibiteurs de l'aromatase dans le cancer du sein au stade précoce
https://www.cochrane.org/fr/CD013167/BREASTCA_therapies-systemiques-dans-la-prevention-ou-le-traitement-des-symptomes-musculo-squelettiques
Quel était l’objectif de la revue ? L'hormonothérapie par inhibiteurs de l'aromatase
est utilisée dans le traitement d’un type de cancer du sein précoce (à récepteurs
hormonaux positifs) chez les femmes après la ménopause. Les inhibiteurs de l'aromatase
(IA) provoquent des effets secondaires, notamment des douleurs et des raideurs articulaires
et musculaires (symptômes musculo-squelettiques des inhibiteurs de l'aromatase), qui
pourraient amener certaines femmes à arrêter de prendre leurs inhibiteurs de l'aromatase,
et potentiellement aggraver leur survie. L'objectif de cette revue Cochrane était
d'examiner si les thérapies systémiques (traitements qui atteignent les cellules dans
tout le corps en passant par la circulation sanguine) peuvent prévenir ou traiter
les symptômes musculo-squelettiques induits par les IA. Les auteurs ont collecté et
analysé toutes les études pertinentes pour répondre à cette question.
2022
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Cochrane
Royaume-Uni
carcinome du sein au stade précoce
signes et symptômes
thérapie systémique
douleur musculosquelettique
douleur musculosquelettique
inhibiteurs de l'aromatase
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
inhibiteurs de l'aromatase
Stadification tumorale
tumeurs du sein
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N2-AUTOINDEXEE
Le traitement hormonal adjuvant à base d’inhibiteur d’aromatase peut être raccourci
de 10 à 7 ans chez les femmes ménopausées atteinte d’un cancer du sein non métastasé
avec présence de récepteurs hormonaux après chirurgie d’exérèse
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2246
Analyse de Gnant M, Fitzal F, Rinnerthaler G, et al. Duration of adjuvant aromatase-inhibitor
therapy in postmenopausal breast cancer. N Engl J Med 2021;385:395-405. DOI: 10.1056/NEJMoa2104162
Conclusion Chez les femmes ménopausées atteintes d'un cancer du sein à récepteurs
hormonaux positifs qui reçoivent 5 ans d'hormonothérapie adjuvante, un supplément
de 5 ans d'hormonothérapie par un inhibiteur de l’aromatase n'apporte aucun bénéfice
par rapport à un supplément de 2 ans mais est associé à un risque plus élevé de fracture
osseuse.
2022
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
lecture critique d'article
7-méthylbenzo[a]anthracène
maladie
hormones
tumeurs du sein
Femmes
Chirurgie
cancer du sein chez la femme
adjuvant
court
hormone
tumeur maligne, sai
base
7-methylbenzo[a]anthracene
récepteur mu
métastase tumorale
métastase
Cancer du sein
dû à
intervention chirurgicale
ménopause
traitement hormonal
chirurgie générale
Cancer du sein
glande mammaire de la femme
cancer
ménopause
inhibiteurs de l'aromatase
Métastase
excision
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N2-AUTOINDEXEE
Un programme d’exercice après une chirurgie non reconstructrice pour cancer du sein
chez les patientes à risque de développer une complication post-opératoire ?
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2264
Analyse de Bruce J, Mazuquin B, Canaway A, et al. Exercise versus usual care after
non-reconstructive breast cancer surgery (UK PROSPER): multicentre randomised controlled
trial and economic evaluation. BMJ 2021;375:e066542. DOI: 10.1136/bmj-2021-066542
Question clinique Quel est l’impact d’un programme d’exercices versus soins usuels
chez les patientes à haut risque de complications au niveau du membre supérieur après
chirurgie pour cancer du sein ? Conclusion Cette RCT, de bonne qualité méthodologique,
montre que chez des patientes présentant un cancer du sein devant être opéré et à
risque de développer des complications post-opératoires, un programme structuré d’exercices
permet d’améliorer après 1 an, versus soins usuels, la fonction du membre supérieur
sans occasionner plus de risques. Ce programme n’a