Libellé préféré : gynécologue;
Identifiant d'origine : J-06136;
CUI UMLS : C0237419;
Alignements automatiques CISMeF supervisés
Correspondance SNOMED CT
Correspondances UMLS (même concept)
Type(s) sémantique(s)
N2-AUTOINDEXEE
Mort fœtale
Consensus formalisé d’experts du Collège national des gynécologues-obstétriciens français
https://cngof.fr/app/pdf/RPC//RPC%20DU%20CNGOF/Obst%C3%A9trique/Complications%20de%20la%20grossesse/Mort%20Foetale%202024%20CFE%20.pdf?x58847
La mort fœtale est définie par l’arrêt spontané de l’activité cardiaque à partir de
quatorze semaines d’aménorrhée. La prévalence en France de la mort fœtale après 22
SA est comprise entre 3,2 et 4,4/1000 naissances. Concernant la prévention de la mort
fœtale en population générale, il est recommandé de ne pas préconiser le repos et
de ne pas prescrire une supplémentation en vitamine A, ni en vitamine D, ni en micronutriments
dans le seul but de réduire le risque de mort fœtale (Recommandations faibles ; Qualité
de la preuve basse). Il est recommandé de ne pas prescrire de l’aspirine (Recommandation
faible ; Qualité de la preuve très basse). Il est recommandé de vacciner contre la
grippe en période épidémique et contre le SARS-CoV-2 (Recommandations fortes ; Qualité
de la preuve basse). Il est recommandé de ne pas réaliser de recherche systématique
d’un circulaire du cordon au cours des échographies de dépistage (Recommandation forte
; Qualité de la preuve basse) et de ne pas réaliser de surveillance antepartum systématique
par cardiotocographie (Recommandation faible ; Qualité de la preuve très basse). Il
est recommandé de ne pas encourager les femmes à réaliser un compte des mouvements
actifs fœtaux pour réduire le risque de mort fœtale (Recommandation forte, qualité
de la preuve élevée). Concernant le bilan en cas de mort fœtale, Il est proposé qu’un
examen externe fœtal soit systématiquement proposé (Avis d’experts). Il est recommandé
de réaliser un examen fœtopathologique et anatomopathologique placentaire afin d’en
déterminer la cause (Recommandation Forte. Qualité de la preuve modérée). Il est recommandé
de réaliser une analyse chromosomique par puce à ADN plutôt qu’un caryotype conventionnel
afin d’identifier plus fréquemment une anomalie potentiellement causale (Recommandation
forte, qualité de la preuve modérée) ; pour cela, il est proposé de privilégier un
prélèvement postnatal à visée génétique sur la face fœtale placentaire (Avis d’experts).
Il est proposé de rechercher des anticorps antiphospholipides et de réaliser systématiquement
un test de Kleihauer et la recherche d’agglutinines irrégulières (Avis d’experts).
Il est proposé de réaliser une consultation de synthèse ayant pour objectifs d’évaluer
l’état physique et psychologique des parents, de restituer les résultats, de discuter
la cause et d’informer sur la surveillance pour une future grossesse (Avis d’experts).
2024
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CNGOF - Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
France
recommandation pour la pratique clinique
consensus
mort
gynécologue
français
consultants
langue française
mort fœtale intrautérine
obstétriciens
gynécologue
mort foetale
obstétricien
France
mort foetale intrapartum
établissements scolaires
---
N2-AUTOINDEXEE
Mort fœtale : consensus formalisé d’experts du Collège national des gynécologues et
obstétriciens français.
https://cngof.fr/app/pdf/RPC//RPC%20DU%20CNGOF/Obst%C3%A9trique/Complications%20de%20la%20grossesse/Mort%20Foetale%202024%20CFE%20.pdf?x60010
La mort fœtale est définie par l’arrêt spontané de l’activité cardiaque à partir de
quatorze semaines d’aménorrhée. La prévalence en France de la mort fœtale après 22
SA est comprise entre 3,2 et 4,4/1000 naissances. Concernant la prévention de la mort
fœtale en population générale, il est recommandé de ne pas préconiser le repos et
de ne pas prescrire une supplémentation en vitamine A, ni en vitamine D, ni en micronutriments
dans le seul but de réduire le risque de mort fœtale (Recommandations faibles ; Qualité
de la preuve basse). Il est recommandé de ne pas prescrire de l’aspirine (Recommandation
faible ; Qualité de la preuve très basse). Il est recommandé de vacciner contre la
grippe en période épidémique et contre le SARS-CoV-2 (Recommandations fortes ; Qualité
de la preuve basse). Il est recommandé de ne pas réaliser de recherche systématique
d’un circulaire du cordon au cours des échographies de dépistage (Recommandation forte
; Qualité de la preuve basse) et de ne pas réaliser de surveillance antepartum systématique
par cardiotocographie (Recommandation faible ; Qualité de la preuve très basse). Il
est recommandé de ne pas encourager les femmes à réaliser un compte des mouvements
actifs fœtaux pour réduire le risque de mort fœtale (Recommandation forte, qualité
de la preuve élevée). Concernant le bilan en cas de mort fœtale, Il est proposé qu’un
examen externe fœtal soit systématiquement proposé (Avis d’experts). Il est recommandé
de réaliser un examen fœtopathologique et anatomopathologique placentaire afin d’en
déterminer la cause (Recommandation Forte. Qualité de la preuve modérée).
2024
CNGOF - Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
France
recommandation pour la pratique clinique
gynécologue
mort foetale
France
obstétricien
obstétriciens
mort foetale intrapartum
français
mort
gynécologue
établissements scolaires
consultants
consensus
---
N2-AUTOINDEXEE
La technique de la césarienne : recommandations pour la pratique clinique du Collège
national des gynécologues obstétriciens français
https://cngof.fr/app/pdf/RPC//RPC%20DU%20CNGOF/Obst%C3%A9trique/Chirurgie%20obst%C3%A9tricale/C%C3%A9sarienne%202022-RPC-technique-de-cesarienne.pdf?x58847
Objectif Déterminer les procédures permettant de réduire la morbidité maternelle lors
de la réalisation d’une césarienne. Matériel et méthodes Méthodologie GRADE avec
questions formulées sous le format PICO (Patients, Intervention, Comparison, Outcome)
et critères de jugement définis a priori et classifiés selon leur importance. Recherche
bibliographique extensive : Pubmed, Cochrane, EMBASE. Analyse de la qualité de la
preuve (élevée, modérée, basse, très basse) et formulation d’une recommandation (i)
forte ou (ii) faible ou (iii) absence de recommandation. Deux tours de relectures
avec des relecteurs extérieurs pour retenir les recommandations faisant consensus.
2023
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CNGOF - Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
France
recommandation pour la pratique clinique
langue française
directives de santé publique
obstétricien
césarienne
français
France
Guide de bonnes pratiques cliniques
gynécologue
hôpitaux privés à but lucratif
obstétriciens
Guide de bonnes pratiques cliniques
césarienne
césarienne
gynécologue
établissements scolaires
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N3-AUTOINDEXEE
Les variants de signification indéterminée des gènes de prédisposition au cancer du
sein et de l’ovaire : enquête concernant les pratiques des gynécologues et des généticiens
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02307661
Introduction : Le dépistage génétique fait actuellement partie de la pratique clinique
courante. Certains variants retrouvés présentent une pathogénicité inconnue, et sont
appelés « variants de signification indéterminée » (VUS). Ils représentent jusqu’à
10-15% des altérations de BRCA1/2. L’objectif de notre étude était d’évaluer la façon
dont les gynécologues interprètent le dépistage d’un VUS portant sur un gène de prédisposition
au cancer du sein et de l’ovaire. Matériel et méthodes : 477 gynécologues, et 319
généticiens ou conseillers en génétique ont été invités à répondre à un questionnaire
en ligne d’avril à juillet 2019. Résultats : En ce qui concerne le questionnaire diffusé
aux gynécologues 50 personnes ont répondu et concernant celui des généticiens 55 personnes.
A propos des VUS : la majorité des gynécologues déclarent connaitre leur existence
(84 %, n 42) et donnent une information correcte (84 %, n 42). Concernant la surveillance
sénologique, évaluée par deux cas cliniques courts : seul 6 % (n 3) et 12 % (n 6)
des répondants ont conseillé une surveillance jugée comme adéquate. Concernant une
éventuelle chirurgie prophylactique les gynécologues sont plus interventionnistes
que les généticiens en présence d’un VUS. Conclusion : La prise en charge préconisée
par les gynécologues aux patientes porteuses de VUS est hétérogène, tant pour la surveillance
que pour les chirurgies prophylactiques du cancer du sein et de l’ovaire. Ces données
viennent encourager la pluridisciplinarité et la poursuite des efforts de formation
dans un domaine où les connaissances évoluent très rapidement.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Ovaire
gènes tumoraux
cancer
Pratique
Cancer du sein
tumeurs du sein
Gènes de cancer
enquêteur
tumeur maligne, sai
Cancer de l'ovaire
gynécologue
tumeurs de l'ovaire
Cancer du sein
Prédisposition aux maladies
collecte de données
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N3-AUTOINDEXEE
Impact des recommandations du collège national des gynécologues obstétriciens français
sur l'hémorragie du post-partum de décembre 2014 au sein de la région Sud : une étude
rétrospective
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02361531
Objectif : évaluer l’impact des recommandations du Collège National des Gynécologues
et Obstétriciens Français sur l’hémorragie du post-partum (HPP) au sein de la région
Sud sur la morbidité maternelle et identifier les facteurs de risque des HPP à issue
défavorable. Design : cohorte rétrospective Cadre : HPP au sein de la région Sud de
2013-2014 et 2016-2017 Échantillon : base de données extraite du programme de médicalisation
des systèmes d’information de la région Sud de 2013-2014 et 2016-2017 Méthode : étude
de la population d’HPP de deux périodes A : 2013-2014 et B : 2016-2017 avec identification
des facteurs de risque d’HPP à issue défavorable selon un critère de jugement créé
via la méthode Delphi entre janvier et février 2019. L’impact des recommandations
a été évalué grâce à une étude qualitative réalisée au sein du réseau de périnatalité
Méditerranée, par deux questionnaires déclaratifs et la comparaison des fréquences
des comorbidités et les prises en charge entre A et B. Mesure des résultats principaux
: Analyses univariées et multivariées par régression logistique afin de déterminer
les facteurs associés à une HPP à issue défavorable. Résultats : avoir un hydramnios
(OR 2.11 ; IC 95% [1.20-3.97]),une pré-éclampsie (OR 2.16 ; IC 95% [1.51-3.08]) ,
un HELLP syndrome (OR 5.56 ; IC95% [2.53-12.21]) , un décollement prématuré du placenta
(OR 2.48 ; IC95% [1.34-4.57], un placenta adhérent pathologique (OR 6.75 ; IC 95%
[2.79-16.34]) ; une césarienne (OR 2.94 ; IC 95% [2.44-3.56]), une extraction instrumentale
(OR 1.53 ; IC 95% [1.22-1.92]), une grossesse multiple (OR 1.34 ; IC 95% [1.00-1.80]),
une déchirure du col (OR 2.57 ; IC95% [1.22-5.43]), accoucher d’un enfant mort-né
(OR 2.32 ; IC95% [1.32-4.08]) étaient fortement associés avec une issue défavorable
à l’HPP. Les taux d’incidence d’HPP observés ont augmenté entre A et B (32.9‰ et 35.8‰
(p 0.05)). La comparaison des deux périodes avant-après montrait : moins d’hospitalisation
avec passage en soins intensifs (5.34% vs 3.82% ; p 0.05), moins de révisions utérines
après (48.97% vs 41.92% p 0.0001) ; plus de tamponnement intra-utérin (2.41% vs 3.85%
p 0.0001) ; moins d’embolisation utérine (3.08% vs 1.84% p 0.0001) ; moins d’HPP
à l’issue défavorable selon les critères composites de jugement 2 et 4 (respectivement
5% vs 3% ; p 0.05 e et 6% vs 5% ; p 0.05).
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
hémorragie post-partum
France
Fracture comminutive
établissements scolaires
hémorragie de la délivrance
gynécologue
hémorragie du sein
français
France
études rétrospectives
Régions
obstétricien
France
Hémorragie
directives de santé publique
France
régional
Hémorragie
région mammaire
France
hémorragie
---
N3-AUTOINDEXEE
Nouvelles recommandations du Collège national des gynécologues et obstétriciens français
de 2010: quelles évolutions pour les complications materno-foetales des patientes
présentant un diabète gestationnel ? Étude rétrospective comparative dans une population
strasbourgeoise (2012/2016)
http://www.sudoc.fr/24098238X
Le diabète gestationnel est une complication fréquente de la grossesse. Depuis 2011,
de nouvelles recommandations sont entrées en vigueur. Le dépistage se fait désormais
de façon ciblée, sur facteurs de risque, selon les critères de l’ IADPSG, à savoir
une glycémie à jeun au premier trimestre et une HGPO à 24-28 SA en cas de dépistage
négatif ou non fait. Nous souhaitons évaluer l'impact de la mise en place des nouvelles
recommandations. L'objectif principal de notre étude est d'évaluer l'évolution du
taux de macrosomie (poids de naissance supérieur au 95ème percentile) chez des patientes
présentant un DG en 2012 (au début de la mise en place des recommandations) comparativement
aux patientes de 2016 (après mise en place des recommandations). Les critères secondaires
ont été choisis en s'inspirant des critères de l'étude HAPO et de l'IADPSG, fondatrices
des nouvelles recommandations: d'une part les issues maternelles puis les issues foeto-néonatales.Il
s'agit d'une étude comparative, monocentrique et rétrospective, menée au Centre Hospitalier
Universitaire de Strasbourg. Elle porte sur la totalité des femmes suivies pour un
DG et ayant accouché à la maternité du CMCO entre le premier janvier 2012 et le trente-et-un
décembre 2012 d'une part et entre le trente-septembre 2015 et le trente-et-un novembre
2016 d'autre part. Les données ont été recueillies par consultation des dossiers médicaux
informatisés via le logiciel DIAMM et par consultation des dossiers papiers. Résultats
: 710 patientes diabétiques gestationnels ont été recensées. Nous avons pu analyser
270 dossiers complets dans le groupe 2012 et 358 en 2016. La prévalence du DG était
de 9,6% (2012) vs 11,6% (2016). Notre critère principal, la macrosomie (supérieure
au 95ème percentile) a baissé significativement 19,7% (2012) vs 6,19% (2016) avec
p 0,005. Cette différence se confirme dans chaque sous groupes GAJ ou HGPO. Parmi
les critères secondaires :diminution significative des taux : de césarienne programmée
74,72% (2012) vs 86,03% (2016) , de déclenchement 59,85% (2012) vs 48,33% (2016) ,
d'HTA gravidique 10,04% (2012) vs 3,89% (2016) et de MAP 6,69% (2012) vs 2,78% (2016)
avec p 0,005. Nous n'avons pas démontré de différence significative pour les complications
foeto- néonatales autres que le critère de jugement principal. L'absence de différence
significative en terme de complications périnatales est retrouvée dans de nombreux
travaux dans la littérature. Le DG est en constante augmentation. La macrosomie (
95ème percentile) et certaines issues maternelles majeures ont diminué à distance
de la mise en place des recommandations. Le DG est un problème de santé publique,
qui nécessite une prévention par règles hygiéno-diététiques et par un dépistage dans
le post-partum (HGPO 75g à 3mois). Le médecin traitant est le pilier de ce suivi en
ambulatoire auprès des patientes.
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
foetus
population
établissements scolaires
complication diabétique
France
complications du diabète
patients
directives de santé publique
gynécologue
France
France
a comme patient
études rétrospectives
diabète gestationnel
France
Diabète gestationnel
complications du diabète
français
foetus, sai
France
étude comparative
obstétricien
---
N3-AUTOINDEXEE
Perception du débat sur les violences obstétricales par les professionnels, sages
femmes et gynécologues-obstétriciens
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02301776
Introduction – Objectifs : près de deux ans après la polémique de l’été 2017 au sujet
des violences obstétricales, notre étude propose d’explorer la perception de ce débat
par les professionnels, sages-femmes et gynécologues-obstétriciens. Au-delà des prises
de position officielles des hautes instances représentatives de ces professions, il
nous a paru important de recueillir le point de vue et les aspirations des professionnels
en première ligne lors des accouchements. Notre analyse vise également à identifier
les facteurs conduisant à reconnaitre ou non l’existence de violences lors de la prise
en charge des patientes en obstétrique. Matériel et méthode : seize entretiens semi-directifs
ont été conduits auprès de sages-femmes et de gynécologue-obstétriciens entre septembre
et décembre 2018. Résultats : notre étude a montré que le concept de violences obstétricales
était reconnu par les professionnels de l’obstétrique, lui conférant une légitimité,
même si l’expression ne faisait pas l’unanimité. Nombre d’entre elles et eux se sont
remis en question, toute profession confondue, engageant certains à modifier leur
pratique sur les derniers mois. Le seul facteur clivant identifié concernait les années
d’expérience, en ce sens que les praticiens les plus âgés considéraient que la violence
était plus importante au début de leur carrière. Un consensus s’est dégagé sur l’importance
d’informer les patientes sur les actes réalisés et le fait qu’il existait peu de circonstances
atténuantes pour justifier la survenue de violences obstétricales. Au contraire, le
recueil du consentement ne faisait pas l’objet d’un consensus. Conclusion : en définitive,
le débat sur les violences obstétricales initié sur la base des témoignages de patientes
semble avoir cédé le pas à un questionnement plus profond sur la relation entre soignants
et soignés. Ainsi, il nous apparaît que ce débat exprime de nouvelles aspirations
en matière de prise en charge de la naissance, dont les professionnels semblent avoir
pris la mesure par la remise en question de leur pratique.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
perception
profession de sage-femme
perception
violence
Violence
Perception
Sages-femmes
Perception
gynécologue
obstétricien
---
N2-AUTOINDEXEE
Attitudes thérapeutiques des médecins généralistes et gynécologues en cas de saignements
isolés sous implant contraceptif dans les six mois suivant la pose du dispositif
http://www.sudoc.fr/232697205
Introduction : les saignements prolongés et répétés sous implant contraceptif sont
des effets indésirables fréquents et souvent responsables d’un abandon de la contraception.
L’objectif est d’analyser les attitudes thérapeutiques des médecins généralistes et
gynécologues devant des saignements isolés sous NEXPLANON dans les six mois suivant
la pose du dispositif. Matériels et méthodes : étude de cohorte menée auprès de médecins
participant à deux congrès de gynécologie-obstétrique à Angers en décembre 2016 et
février 2018. Diffusion d’un questionnaire non informatisé : questions à choix multiples
et ouvertes. L’analyse statistique utilise les tests du Chi-deux et de Fischer. Résultats
: au total 100 médecins généralistes et 26 gynécologues ont participé à l’enquête.
79.1% sont des femmes, 43.3% sont âgées de 30 à 45 ans et 66.7% exercent une activité
libérale. 100% informent les patientes des effets indésirables et 50.8% évaluent la
tolérance de l’implant dont 58% à 3 mois après la pose. A 3 mois : 86.5% des médecins
optent pour l’expectative seule, 30.2% proposent une thérapeutique médicamenteuse,
4% un changement de contraception et 6.3 % retirent l’implant. Entre 3 et 6 mois :
42.1% proposent l’expectative, 43.7% une thérapeutique médicamenteuse, 46% un changement
de contraception et 57.9% retirent l’implant. Les traitements les plus utilisés sont
l’acide tranexanique, les AINS et les contraceptions hormonales. Les principaux facteurs
influençant la décision thérapeutique sont l’importance des métrorragies (91.5%) et
le choix de la patiente (86.5%). Les femmes sont plus sensibilisées aux situations
de précarité et aux antécédents d’IVG : respectivement 41.2% versus 10% (p 0.01)
et 37.6% versus 10% (p 0.02). Conclusion : les attitudes thérapeutiques ne sont
pas consensuelles. Elles semblent orientées par les caractéristiques des patientes
et évoluer selon le moment du suivi. Une étude qualitative par entretiens semi-dirigés
permettrait de mieux comprendre le processus décisionnel des médecins.
2018
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
contraception
attitude
implant
contraception
dispositifs contraceptifs
Médecins
pose
dispositif
hémorragie
Thérapeutique
hémorragie
médecins généralistes
contraceptifs féminins
posture
Thérapeutiques
saignée
gynécologue
Thérapeutiques
thérapeutique
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N2-AUTOINDEXEE
Arguments de décision dans le choix par les femmes entre gynécologue, sage-femme ou
médecin traitant dans le suivi gynécologique, le dépistage et le suivi de grossesse
non pathologique: étude chez 126 patientes
http://www.sudoc.fr/232701113
Introduction : Le suivi gynéco-obstétrical des femmes est réalisable par les gynécologues-obstétriciens
(GO), mais également en absence de complication par les médecins traitants (MT) et
les sages-femmes (SF). L’objectif principal était de rechercher des facteurs qui entrent
en jeu dans le choix du praticien par les patientes. L’objectif secondaire était de
déterminer les caractéristiques du praticien idéal du point de vue des patientes.
Méthode : Il s’agissait d’une étude quantitative descriptive, observationnelle, multicentrique
par auto questionnaire à réponses fermées réalisée dans 5 laboratoires d’analyses
médicales dans l’Hérault et le Gard, intéressant les femmes majeures volontaires se
rendant aux laboratoires. Résultats : 126 questionnaires sur les 160 distribués ont
été analysés. Le premier examen gynécologique était effectué par un GO à 77,8 %. Le
suivi habituel était réalisé pour 19 % des femmes par leur MT pour 5,6 % par une SF.
Un tiers des femmes ne savait pas si leur MT pratiquait la gynécologie, et 69,8 %
de leurs MT n’avait pas abordé la question du Frottis Cervico Utérin (FCU). Les femmes
MT pratiquaient plus que les hommes, davantage en zone urbaine que rurale. Seules
46,8 % des femmes pensaient que leur MT pouvait réaliser un FCU. 1/3 des patientes
rapportaient une gêne due au lien partagé avec leur MT. Les 3 critères du bon examinateur
les plus cités étaient la confiance, un temps d’examen suffisant et de proposer une
consultation rapprochée. Conclusion : L’activité gynécologique des MT et des SF libérales
est limitée par manque de communication sur leur aptitude au suivi et au dépistage
auprès des patientes. Pour compenser une démographie médicale alarmante chez les spécialistes,
le premier objectif à atteindre est de mieux informer les patientes
2018
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
gynécologie
femmes enceintes
Médecins
a comme patient
fissure anale
études de suivi
grossesse
grossesse
gynécologue
Dépistage
grossesse
Adiaspiromycose
médecins généralistes
Sages-femmes
femmes médecins
profession de sage-femme
grossesse
patients
Dépistage de masse
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N3-AUTOINDEXEE
Le travail des soignants dédiés à la vie face à la mort périnatale : sages-femmes
et gynécologues-obstétricien(ne)s
Conservatoire national des arts et métiers - CNAM, 2017
https://hal.archives-ouvertes.fr/tel-01743688
Grâce à des entretiens non directifs réalisés auprès de 16 sages-femmes et 16 obstétricien(ne)s,
cette recherche tente de cerner l’impact que la mort périnatale a sur eux et sur leur
travail, au-delà de celui qu’elle a sur les parents avec le deuil périnatal.
2017
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HAL Archives ouvertes
France
français
thèse ou mémoire
obstétricien
gynécologue
vie
Travail
gynécologue
a comme soignant
obstétricien
profession de sage-femme
aidants
Face
Fracture de fatigue
professions
mort périnatale
métier
syndrome de Arts
Mort périnatale
mort
Mort
travail
Sages-femmes
face
ataxie
maladies génétiques liées au chromosome X
surdité-cécité
---
N1-SUPERVISEE
Le rôle de la médecine générale, en collaboration avec le gynécologue et l'oncologue,
dans la prise en charge thérapeutique et post‐thérapeutique du cancer du sein
http://www.sudoc.fr/197131670
Introduction : Le cancer du sein est une pathologie dont la prise en charge est multidisciplinaire,
définie comme une question de santé public depuis le Plan Cancer de 2003. La France
est organisée en réseaux comportant des Centres de Coordination en Cancérologie, organisant
le dépistage, et les RCP. L'une des difficultés de cette prise en charge est d'avoir
une collaboration de qualité avec le Médecin Généraliste. Ce travail évalue la collaboration
entre le généraliste, le gynécologue et l'oncologue, dans la prise en charge thérapeutique
et post-thérapeutique du cancer du sein.
2016
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
médecins généralistes
gynécologue
rôle médical
Oncologues
gynécologue
médecine générale
tumeurs du sein
---
N1-SUPERVISEE
Pratique du premier examen pelvien chez la femme de moins de 25 ans sexuellement active.
Etude auprès des médecins généralistes et gynécologues en Maine-et-Loire
http://dune.univ-angers.fr/documents/dune6136
Aucune recommandation n’existe sur la réalisation du premier examen pelvien. Cela
est laissé à la libre appréciation des praticiens, donnant lieu à des pratiques variables.
L’objectif de ce travail était d’étudier leur expérience sur la réalisation de cet
examen chez la femme de moins de 25 ans sexuellement active
2016
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DUNE - Dépôt Universitaire Numérique des Etudiants - Université d'Angers
France
français
thèse ou mémoire
jeune adulte
gynécologue
médecins généralistes
examen gynécologique
---