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N2-AUTOINDEXEE
La technique de la césarienne : recommandations pour la pratique clinique du Collège national des gynécologues obstétriciens français
https://cngof.fr/app/pdf/RPC//1-RPC%20DU%20CNGOF/2022-2023/RPC-technique-de-cesarienne-2023.pdf
Objectif Déterminer les procédures permettant de réduire la morbidité maternelle lors de la réalisation d’une césarienne. Matériel et méthodes Méthodologie GRADE avec questions formulées sous le format PICO (Patients, Intervention, Comparison, Outcome) et critères de jugement définis a priori et classifiés selon leur importance. Recherche bibliographique extensive : Pubmed, Cochrane, EMBASE. Analyse de la qualité de la preuve (élevée, modérée, basse, très basse) et formulation d’une recommandation (i) forte ou (ii) faible ou (iii) absence de recommandation. Deux tours de relectures avec des relecteurs extérieurs pour retenir les recommandations faisant consensus.
2023
CNGOF - Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
France
recommandation pour la pratique clinique
langue française
directives de santé publique
obstétricien
césarienne
français
France
Guide de bonnes pratiques cliniques
gynécologue
hôpitaux privés à but lucratif
obstétriciens
Guide de bonnes pratiques cliniques
césarienne
césarienne
gynécologue
établissements scolaires

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N2-AUTOINDEXEE
Indications des mastectomies de réduction de risque en dehors du risque avéré de prédisposition héréditaire : recommandations du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF)
https://cngof.fr/app/pdf/RPC//1-RPC%20DU%20CNGOF/2022-2023/RPC-Mastectomies-reduction%20de%20risque-Indications-2022.pdf
Objectif Déterminer l’intérêt ou non de la réalisation d’une mastectomie de réduction de risque (MRR) en dehors de la présence d’un variant délétère d’un gène de susceptibilité au cancer du sein, devant 4 situations cliniques à risque de cancer mammaire. Conception La Commission de sénologie (CS) du CNGOF, constituée de 26 experts, a élaboré ces recommandations. Une politique de déclaration et de suivi des liens d’intérêts a été appliquée durant tout le processus de réalisation des recommandations. De même, l’élaboration de ces recommandations n’a bénéficié d’aucun financement provenant d’une entreprise commercialisant un produit de santé. La CS a respecté les critères AGREE II (Advancing guideline development, reporting and evaluation in healthcare) et a suivi la méthode Grading of Recommendations Assessment, Development and Evaluation (GRADE) pour évaluer la qualité des données factuelles sur lesquelles étaient fondées les recommandations. Les inconvénients potentiels de faire des recommandations en présence de données factuelles de mauvaise qualité ou insuffisantes ont été soulignés.
2022
CNGOF - Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
France
recommandation pour la pratique clinique
gynécologue
indicateurs et réactifs
gynécologue
obstétricien
laisse entrevoir
Réduction des risques
langue française
obstétriciens
français
directives de santé publique
Réduction des risques
prédisposition génétique à une maladie
patiente mastectomisée
comportement de réduction des risques
France
mastectomie
mastectomie
mastectomie
indication de
établissements scolaires

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N2-AUTOINDEXEE
Modalités et morbidité des mastectomies de réduction de risque en dehors du risque avéré de prédisposition héréditaire : recommandations du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF)
https://cngof.fr/app/pdf/RPC//1-RPC%20DU%20CNGOF/2022-2023/RPC-Mastectomies-reduction-risque-Modalits%20morbit%202022.pdf
Objectif A partir d’une revue actualisée de la littérature internationale couvrant les différentes techniques chirurgicales et les complications des mastectomies de réduction de risque (MRR) en dehors du risque héréditaire avéré, la commission de sénologie (CS) du Collège national des gynécologues-obstétriciens français (CNGOF) avait pour objectif d’établir des recommandations sur les techniques à choisir et leurs modalités de mise en œuvre. Conception La CS du CNGOF, constituée de 24 experts, a élaboré ces recommandations. Une politique de déclaration et de suivi des liens d’intérêts a été appliquée durant tout le processus de réalisation des recommandations. De même, l’élaboration de ces recommandations n’a bénéficié d’aucun financement provenant d’une entreprise commercialisant un produit de santé. La CS a respecté les critères AGREE II (Advancing guideline development, reporting and evaluation in healthcare) et suivi la méthode GRADE (Grading of Recommendations Assessment, Development and Evaluation) pour évaluer la qualité des données factuelles sur lesquelles étaient fondées les recommandations. Les inconvénients potentiels d’émettre des recommandations en présence de données factuelles de mauvaise qualité ou insuffisantes ont été soulignés.
2022
CNGOF - Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
France
recommandation pour la pratique clinique
comportement de réduction des risques
directives de santé publique
mastectomie
Réduction des risques
mastectomie
Réduction des risques
mastectomie
obstétricien
établissements scolaires
patiente mastectomisée
prédisposition génétique à une maladie
France
obstétriciens
gynécologue
morbidité
français
gynécologue
langue française

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N2-AUTOINDEXEE
Prise en charge de la patiente avec une pré-éclampsie sévère–RFE communes Société française d’anesthésie-réanimation (SFAR)–Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CGNOF)
Recommandations formalisées d’experts.
https://cngof.fr/app/pdf/RPC//1-RPC%20DU%20CNGOF/2022-2023/RFE-Preeclampsie-severe-2022.pdf
Objectif Émettre des recommandations pour la prise en charge de la femme avec une prééclampsie sévère. Conception Un comité de 25 experts a été constitué. Une politique de déclaration et de suivi des liens d’intérêts a été appliquée et respectée durant tout le processus de réalisation du référentiel. De même, celui-ci n’a bénéficié d’aucun financement provenant d’une entreprise commercialisant un produit de santé (médicament ou dispositif médical). Le comité devait respecter et suivre la méthode GRADE (Grading of Recommendations Assessment, Development and Evaluation) pour évaluer la qualité des données factuelles sur lesquelles étaient fondées les recommandations. Peu de recommandations ont été non cotées. Méthodes Les dernières recommandations SFAR-CNGOF sur la prise en charge de la femme avec une prééclampsie sévère ont été publiées en 2009. Nous avons souhaité réactualiser ces recommandations selon la méthodologie GRADE en identifiant 7 champs différents. Chaque question a été formulée selon le format PICO (Patients, Intervention, Comparison, Outcome). L’analyse de la littérature et les recommandations ont été formulées selon la méthodologie GRADE .
2022
CNGOF - Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
France
recommandation pour la pratique clinique
Actualités
prise en charge personnalisée du patient
réanimation
obstétriciens
prééclampsie
France
eclampsie
charge du patient
absence de sensation
obstétricien
communication
Procédure d'anesthésie
Pré-éclampsie
langue française
benzocaïne
partagé
réanimation
raisonnement
communication
consultants
directives de santé publique
français
établissements scolaires
gynécologue
prééclampsie
Allèle sauvage FBXW4
anesthésie
a comme patient
communisme
gynécologue

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N2-AUTOINDEXEE
Consensus formalisé d’experts du Collège national des gynécologues et obstétriciens français : prise en charge des nausées et vomissements gravidiques et de l’hyperémèse gravidique
https://cngof.fr/app/pdf/RPC//1-RPC%20DU%20CNGOF/2022-2023/CFE-Nausees-et-vomissements-gravidiques-2022.pdf
Objectif Proposer une prise en charge pour les femmes avec nausées/vomissements du 1er trimestre et hyperémèse gravidique. Méthode Consensus formalisé d’experts selon la méthode DELPHI modifiée à deux tours. Résultats L’hyperémèse gravidique se distingue des nausées et vomissements gravidiques par une perte de poids 5 % ou des signes de déshydratation ou un score PUQE 7. Une hospitalisation est proposée lorsqu’il y a au moins un des critères suivants : perte de poids 10 %, un ou des signes cliniques de déshydratation, score PUQE (Pregnancy Unique Quantification of Emesis and nausea) 13, hypokaliémie 3,0 mmol/L, hyponatrémie 120 mmol/L, élévation de la créatininémie 100 μmol/L ou résistance au traitement. Il est conseillé d’arrêter les vitamines prénatales et la supplémentation en fer sans arrêter la supplémentation en acide folique. Le régime alimentaire et le mode de vie seront adaptés en fonction des symptômes. L’aromathérapie n’est pas à utiliser. Si le score PUQE 6, et même en l’absence de preuve de leur bénéfice, il est possible d’utiliser le gingembre, la pyridoxine (vitamine B6), l’acupuncture ou l’électrostimulation même en l’absence de preuve de leur bénéfice. Il est proposé que soient toujours choisis pour des utilisations en 1re, 2e ou 3e intention, les médicaments ou les associations de médicaments associés aux effets secondaires les moins sévères et les moins fréquents, compte-tenu de l’absence de supériorité d’une classe médicamenteuse par rapport à une autre pour réduire les symptômes des nausées et vomissements de la grossesse et de l’HG. De la vitamine B1 doit être systématiquement administrée en cas d’hyperémèse gravidique justifiant une réhydratation parentérale afin de prévenir la survenue d’une encéphalopathie de Gayet Wernicke. Les patientes hospitalisées pour hyperémèse gravidique ne doivent pas être mise l’isolement (mise dans le noir, confiscation du téléphone portable ou interdiction de visites…). Un soutien psychologique est à proposer à toutes les patientes atteintes d’hyperémèse gravidique ainsi qu’une information de l’existence d’associations de patientes investies dans l’accompagnement de ces femmes et de leur entourage. Lors du retour à domicile après hospitalisation, la prise en charge s’organisera autour d’un médecin référent.
2022
CNGOF - Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
France
recommandation pour la pratique clinique
France
langue française
hyperémèse gravidique
thérapie de nausée et de vomissement
gynécologue
établissements scolaires
gravidité
gynécologue
consensus
français
vomissements incoercibles au cours de la grossesse
hyperémèse gravidique
gestion des soins aux patients
obstétriciens
nausées et vomissements
obstétricien
grossesse
consultants

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N2-AUTOINDEXEE
Prise en charge des ménorragies : recommandations pour la pratique clinique du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF)
https://cngof.fr/app/pdf/RPC//1-RPC%20DU%20CNGOF/2022-2023/RPC-Menorragies-2022.pdf
Objectif Émettre des recommandations pour la prise en charge des femmes ayant des ménorragies. Conception Un comité de 26 experts a été constitué. Une politique de déclaration et de suivi des liens d’intérêts a été appliquée et respectée durant tout le processus de réalisation du référentiel. De même, celui-ci n’a bénéficié d’aucun financement provenant d’une entreprise commercialisant un produit de santé (médicament ou dispositif médical). Le comité devait respecter et suivre la méthode GRADE (Grading of Recommendations Assessment, Development and Evaluation) pour évaluer la qualité des données factuelles sur lesquelles étaient fondées les recommandations.
2022
CNGOF - Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
France
recommandation pour la pratique clinique
Guide de bonnes pratiques cliniques
directives de santé publique
français
gestion des soins aux patients
langue française
établissements scolaires
ménorragie
obstétricien
hôpitaux privés à but lucratif
France
ménorragie
obstétriciens
ménorragie
gynécologue
gynécologue
Guide de bonnes pratiques cliniques

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N3-AUTOINDEXEE
Impact des recommandations du collège national des gynécologues obstétriciens français sur l'hémorragie du post-partum de décembre 2014 au sein de la région Sud : une étude rétrospective
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02361531
Objectif : évaluer l’impact des recommandations du Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français sur l’hémorragie du post-partum (HPP) au sein de la région Sud sur la morbidité maternelle et identifier les facteurs de risque des HPP à issue défavorable. Design : cohorte rétrospective Cadre : HPP au sein de la région Sud de 2013-2014 et 2016-2017 Échantillon : base de données extraite du programme de médicalisation des systèmes d’information de la région Sud de 2013-2014 et 2016-2017 Méthode : étude de la population d’HPP de deux périodes A : 2013-2014 et B : 2016-2017 avec identification des facteurs de risque d’HPP à issue défavorable selon un critère de jugement créé via la méthode Delphi entre janvier et février 2019. L’impact des recommandations a été évalué grâce à une étude qualitative réalisée au sein du réseau de périnatalité Méditerranée, par deux questionnaires déclaratifs et la comparaison des fréquences des comorbidités et les prises en charge entre A et B. Mesure des résultats principaux : Analyses univariées et multivariées par régression logistique afin de déterminer les facteurs associés à une HPP à issue défavorable. Résultats : avoir un hydramnios (OR 2.11 ; IC 95% [1.20-3.97]),une pré-éclampsie (OR 2.16 ; IC 95% [1.51-3.08]) , un HELLP syndrome (OR 5.56 ; IC95% [2.53-12.21]) , un décollement prématuré du placenta (OR 2.48 ; IC95% [1.34-4.57], un placenta adhérent pathologique (OR 6.75 ; IC 95% [2.79-16.34]) ; une césarienne (OR 2.94 ; IC 95% [2.44-3.56]), une extraction instrumentale (OR 1.53 ; IC 95% [1.22-1.92]), une grossesse multiple (OR 1.34 ; IC 95% [1.00-1.80]), une déchirure du col (OR 2.57 ; IC95% [1.22-5.43]), accoucher d’un enfant mort-né (OR 2.32 ; IC95% [1.32-4.08]) étaient fortement associés avec une issue défavorable à l’HPP. Les taux d’incidence d’HPP observés ont augmenté entre A et B (32.9‰ et 35.8‰ (p 0.05)). La comparaison des deux périodes avant-après montrait : moins d’hospitalisation avec passage en soins intensifs (5.34% vs 3.82% ; p 0.05), moins de révisions utérines après (48.97% vs 41.92% p 0.0001) ; plus de tamponnement intra-utérin (2.41% vs 3.85% p 0.0001) ; moins d’embolisation utérine (3.08% vs 1.84% p 0.0001) ; moins d’HPP à l’issue défavorable selon les critères composites de jugement 2 et 4 (respectivement 5% vs 3% ; p 0.05 e et 6% vs 5% ; p 0.05).
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
hémorragie post-partum
France
Fracture comminutive
établissements scolaires
hémorragie de la délivrance
gynécologue
hémorragie du sein
français
France
études rétrospectives
Régions
obstétricien
France
Hémorragie
directives de santé publique
France
régional
Hémorragie
région mammaire
France
hémorragie

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N3-AUTOINDEXEE
Perception du débat sur les violences obstétricales par les professionnels, sages femmes et gynécologues-obstétriciens
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02301776
Introduction – Objectifs : près de deux ans après la polémique de l’été 2017 au sujet des violences obstétricales, notre étude propose d’explorer la perception de ce débat par les professionnels, sages-femmes et gynécologues-obstétriciens. Au-delà des prises de position officielles des hautes instances représentatives de ces professions, il nous a paru important de recueillir le point de vue et les aspirations des professionnels en première ligne lors des accouchements. Notre analyse vise également à identifier les facteurs conduisant à reconnaitre ou non l’existence de violences lors de la prise en charge des patientes en obstétrique. Matériel et méthode : seize entretiens semi-directifs ont été conduits auprès de sages-femmes et de gynécologue-obstétriciens entre septembre et décembre 2018. Résultats : notre étude a montré que le concept de violences obstétricales était reconnu par les professionnels de l’obstétrique, lui conférant une légitimité, même si l’expression ne faisait pas l’unanimité. Nombre d’entre elles et eux se sont remis en question, toute profession confondue, engageant certains à modifier leur pratique sur les derniers mois. Le seul facteur clivant identifié concernait les années d’expérience, en ce sens que les praticiens les plus âgés considéraient que la violence était plus importante au début de leur carrière. Un consensus s’est dégagé sur l’importance d’informer les patientes sur les actes réalisés et le fait qu’il existait peu de circonstances atténuantes pour justifier la survenue de violences obstétricales. Au contraire, le recueil du consentement ne faisait pas l’objet d’un consensus. Conclusion : en définitive, le débat sur les violences obstétricales initié sur la base des témoignages de patientes semble avoir cédé le pas à un questionnement plus profond sur la relation entre soignants et soignés. Ainsi, il nous apparaît que ce débat exprime de nouvelles aspirations en matière de prise en charge de la naissance, dont les professionnels semblent avoir pris la mesure par la remise en question de leur pratique.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
perception
profession de sage-femme
perception
violence
Violence
Perception
Sages-femmes
Perception
gynécologue
obstétricien

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N3-AUTOINDEXEE
Les variants de signification indéterminée des gènes de prédisposition au cancer du sein et de l’ovaire : enquête concernant les pratiques des gynécologues et des généticiens
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02307661
Introduction : Le dépistage génétique fait actuellement partie de la pratique clinique courante. Certains variants retrouvés présentent une pathogénicité inconnue, et sont appelés « variants de signification indéterminée » (VUS). Ils représentent jusqu’à 10-15% des altérations de BRCA1/2. L’objectif de notre étude était d’évaluer la façon dont les gynécologues interprètent le dépistage d’un VUS portant sur un gène de prédisposition au cancer du sein et de l’ovaire. Matériel et méthodes : 477 gynécologues, et 319 généticiens ou conseillers en génétique ont été invités à répondre à un questionnaire en ligne d’avril à juillet 2019. Résultats : En ce qui concerne le questionnaire diffusé aux gynécologues 50 personnes ont répondu et concernant celui des généticiens 55 personnes. A propos des VUS : la majorité des gynécologues déclarent connaitre leur existence (84 %, n 42) et donnent une information correcte (84 %, n 42). Concernant la surveillance sénologique, évaluée par deux cas cliniques courts : seul 6 % (n 3) et 12 % (n 6) des répondants ont conseillé une surveillance jugée comme adéquate. Concernant une éventuelle chirurgie prophylactique les gynécologues sont plus interventionnistes que les généticiens en présence d’un VUS. Conclusion : La prise en charge préconisée par les gynécologues aux patientes porteuses de VUS est hétérogène, tant pour la surveillance que pour les chirurgies prophylactiques du cancer du sein et de l’ovaire. Ces données viennent encourager la pluridisciplinarité et la poursuite des efforts de formation dans un domaine où les connaissances évoluent très rapidement.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Ovaire
gènes tumoraux
cancer
Pratique
Cancer du sein
tumeurs du sein
Gènes de cancer
enquêteur
tumeur maligne, sai
Cancer de l'ovaire
gynécologue
tumeurs de l'ovaire
Cancer du sein
Prédisposition aux maladies
collecte de données

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N3-AUTOINDEXEE
Nouvelles recommandations du Collège national des gynécologues et obstétriciens français de 2010: quelles évolutions pour les complications materno-foetales des patientes présentant un diabète gestationnel ? Étude rétrospective comparative dans une population strasbourgeoise (2012/2016)
http://www.sudoc.fr/24098238X
Le diabète gestationnel est une complication fréquente de la grossesse. Depuis 2011, de nouvelles recommandations sont entrées en vigueur. Le dépistage se fait désormais de façon ciblée, sur facteurs de risque, selon les critères de l’ IADPSG, à savoir une glycémie à jeun au premier trimestre et une HGPO à 24-28 SA en cas de dépistage négatif ou non fait. Nous souhaitons évaluer l'impact de la mise en place des nouvelles recommandations. L'objectif principal de notre étude est d'évaluer l'évolution du taux de macrosomie (poids de naissance supérieur au 95ème percentile) chez des patientes présentant un DG en 2012 (au début de la mise en place des recommandations) comparativement aux patientes de 2016 (après mise en place des recommandations). Les critères secondaires ont été choisis en s'inspirant des critères de l'étude HAPO et de l'IADPSG, fondatrices des nouvelles recommandations: d'une part les issues maternelles puis les issues foeto-néonatales.Il s'agit d'une étude comparative, monocentrique et rétrospective, menée au Centre Hospitalier Universitaire de Strasbourg. Elle porte sur la totalité des femmes suivies pour un DG et ayant accouché à la maternité du CMCO entre le premier janvier 2012 et le trente-et-un décembre 2012 d'une part et entre le trente-septembre 2015 et le trente-et-un novembre 2016 d'autre part. Les données ont été recueillies par consultation des dossiers médicaux informatisés via le logiciel DIAMM et par consultation des dossiers papiers. Résultats : 710 patientes diabétiques gestationnels ont été recensées. Nous avons pu analyser 270 dossiers complets dans le groupe 2012 et 358 en 2016. La prévalence du DG était de 9,6% (2012) vs 11,6% (2016). Notre critère principal, la macrosomie (supérieure au 95ème percentile) a baissé significativement 19,7% (2012) vs 6,19% (2016) avec p 0,005. Cette différence se confirme dans chaque sous groupes GAJ ou HGPO. Parmi les critères secondaires :diminution significative des taux : de césarienne programmée 74,72% (2012) vs 86,03% (2016) , de déclenchement 59,85% (2012) vs 48,33% (2016) , d'HTA gravidique 10,04% (2012) vs 3,89% (2016) et de MAP 6,69% (2012) vs 2,78% (2016) avec p 0,005. Nous n'avons pas démontré de différence significative pour les complications foeto- néonatales autres que le critère de jugement principal. L'absence de différence significative en terme de complications périnatales est retrouvée dans de nombreux travaux dans la littérature. Le DG est en constante augmentation. La macrosomie ( 95ème percentile) et certaines issues maternelles majeures ont diminué à distance de la mise en place des recommandations. Le DG est un problème de santé publique, qui nécessite une prévention par règles hygiéno-diététiques et par un dépistage dans le post-partum (HGPO 75g à 3mois). Le médecin traitant est le pilier de ce suivi en ambulatoire auprès des patientes.
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
foetus
population
établissements scolaires
complication diabétique
France
complications du diabète
patients
directives de santé publique
gynécologue
France
France
a comme patient
études rétrospectives
diabète gestationnel
France
Diabète gestationnel
complications du diabète
français
foetus, sai
France
étude comparative
obstétricien

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N2-AUTOINDEXEE
Arguments de décision dans le choix par les femmes entre gynécologue, sage-femme ou médecin traitant dans le suivi gynécologique, le dépistage et le suivi de grossesse non pathologique: étude chez 126 patientes
http://www.sudoc.fr/232701113
Introduction : Le suivi gynéco-obstétrical des femmes est réalisable par les gynécologues-obstétriciens (GO), mais également en absence de complication par les médecins traitants (MT) et les sages-femmes (SF). L’objectif principal était de rechercher des facteurs qui entrent en jeu dans le choix du praticien par les patientes. L’objectif secondaire était de déterminer les caractéristiques du praticien idéal du point de vue des patientes. Méthode : Il s’agissait d’une étude quantitative descriptive, observationnelle, multicentrique par auto questionnaire à réponses fermées réalisée dans 5 laboratoires d’analyses médicales dans l’Hérault et le Gard, intéressant les femmes majeures volontaires se rendant aux laboratoires. Résultats : 126 questionnaires sur les 160 distribués ont été analysés. Le premier examen gynécologique était effectué par un GO à 77,8 %. Le suivi habituel était réalisé pour 19 % des femmes par leur MT pour 5,6 % par une SF. Un tiers des femmes ne savait pas si leur MT pratiquait la gynécologie, et 69,8 % de leurs MT n’avait pas abordé la question du Frottis Cervico Utérin (FCU). Les femmes MT pratiquaient plus que les hommes, davantage en zone urbaine que rurale. Seules 46,8 % des femmes pensaient que leur MT pouvait réaliser un FCU. 1/3 des patientes rapportaient une gêne due au lien partagé avec leur MT. Les 3 critères du bon examinateur les plus cités étaient la confiance, un temps d’examen suffisant et de proposer une consultation rapprochée. Conclusion : L’activité gynécologique des MT et des SF libérales est limitée par manque de communication sur leur aptitude au suivi et au dépistage auprès des patientes. Pour compenser une démographie médicale alarmante chez les spécialistes, le premier objectif à atteindre est de mieux informer les patientes
2018
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
gynécologie
femmes enceintes
Médecins
a comme patient
fissure anale
études de suivi
grossesse
grossesse
gynécologue
Dépistage
grossesse
Adiaspiromycose
médecins généralistes
Sages-femmes
femmes médecins
profession de sage-femme
grossesse
patients
Dépistage de masse

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N2-AUTOINDEXEE
Attitudes thérapeutiques des médecins généralistes et gynécologues en cas de saignements isolés sous implant contraceptif dans les six mois suivant la pose du dispositif
http://www.sudoc.fr/232697205
Introduction : les saignements prolongés et répétés sous implant contraceptif sont des effets indésirables fréquents et souvent responsables d’un abandon de la contraception. L’objectif est d’analyser les attitudes thérapeutiques des médecins généralistes et gynécologues devant des saignements isolés sous NEXPLANON dans les six mois suivant la pose du dispositif. Matériels et méthodes : étude de cohorte menée auprès de médecins participant à deux congrès de gynécologie-obstétrique à Angers en décembre 2016 et février 2018. Diffusion d’un questionnaire non informatisé : questions à choix multiples et ouvertes. L’analyse statistique utilise les tests du Chi-deux et de Fischer. Résultats : au total 100 médecins généralistes et 26 gynécologues ont participé à l’enquête. 79.1% sont des femmes, 43.3% sont âgées de 30 à 45 ans et 66.7% exercent une activité libérale. 100% informent les patientes des effets indésirables et 50.8% évaluent la tolérance de l’implant dont 58% à 3 mois après la pose. A 3 mois : 86.5% des médecins optent pour l’expectative seule, 30.2% proposent une thérapeutique médicamenteuse, 4% un changement de contraception et 6.3 % retirent l’implant. Entre 3 et 6 mois : 42.1% proposent l’expectative, 43.7% une thérapeutique médicamenteuse, 46% un changement de contraception et 57.9% retirent l’implant. Les traitements les plus utilisés sont l’acide tranexanique, les AINS et les contraceptions hormonales. Les principaux facteurs influençant la décision thérapeutique sont l’importance des métrorragies (91.5%) et le choix de la patiente (86.5%). Les femmes sont plus sensibilisées aux situations de précarité et aux antécédents d’IVG : respectivement 41.2% versus 10% (p 0.01) et 37.6% versus 10% (p 0.02). Conclusion : les attitudes thérapeutiques ne sont pas consensuelles. Elles semblent orientées par les caractéristiques des patientes et évoluer selon le moment du suivi. Une étude qualitative par entretiens semi-dirigés permettrait de mieux comprendre le processus décisionnel des médecins.
2018
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
contraception
attitude
implant
contraception
dispositifs contraceptifs
Médecins
pose
dispositif
hémorragie
Thérapeutique
hémorragie
médecins généralistes
contraceptifs féminins
posture
Thérapeutiques
saignée
gynécologue
Thérapeutiques
thérapeutique

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N3-AUTOINDEXEE
Le travail des soignants dédiés à la vie face à la mort périnatale : sages-femmes et gynécologues-obstétricien(ne)s
Conservatoire national des arts et métiers - CNAM, 2017
https://hal.archives-ouvertes.fr/tel-01743688
Grâce à des entretiens non directifs réalisés auprès de 16 sages-femmes et 16 obstétricien(ne)s, cette recherche tente de cerner l’impact que la mort périnatale a sur eux et sur leur travail, au-delà de celui qu’elle a sur les parents avec le deuil périnatal.
2017
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HAL Archives ouvertes
France
français
thèse ou mémoire
obstétricien
gynécologue
vie
Travail
gynécologue
a comme soignant
obstétricien
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aidants
Face
Fracture de fatigue
professions
mort périnatale
métier
syndrome de Arts
Mort périnatale
mort
Mort
travail
Sages-femmes
face
ataxie
maladies génétiques liées au chromosome X
surdité-cécité

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N1-SUPERVISEE
Le rôle de la médecine générale, en collaboration avec le gynécologue et l'oncologue, dans la prise en charge thérapeutique et post‐thérapeutique du cancer du sein
http://www.sudoc.fr/197131670
Introduction : Le cancer du sein est une pathologie dont la prise en charge est multidisciplinaire, définie comme une question de santé public depuis le Plan Cancer de 2003. La France est organisée en réseaux comportant des Centres de Coordination en Cancérologie, organisant le dépistage, et les RCP. L'une des difficultés de cette prise en charge est d'avoir une collaboration de qualité avec le Médecin Généraliste. Ce travail évalue la collaboration entre le généraliste, le gynécologue et l'oncologue, dans la prise en charge thérapeutique et post-thérapeutique du cancer du sein.
2016
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
médecins généralistes
gynécologue
rôle médical
Oncologues
gynécologue
médecine générale
tumeurs du sein

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N1-SUPERVISEE
Pratique du premier examen pelvien chez la femme de moins de 25 ans sexuellement active. Etude auprès des médecins généralistes et gynécologues en Maine-et-Loire
http://dune.univ-angers.fr/documents/dune6136
Aucune recommandation n’existe sur la réalisation du premier examen pelvien. Cela est laissé à la libre appréciation des praticiens, donnant lieu à des pratiques variables. L’objectif de ce travail était d’étudier leur expérience sur la réalisation de cet examen chez la femme de moins de 25 ans sexuellement active
2016
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DUNE - Dépôt Universitaire Numérique des Etudiants - Université d'Angers
France
français
thèse ou mémoire
jeune adulte
gynécologue
médecins généralistes
examen gynécologique

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03/05/2024


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