Libellé préféré : dispositifs contraceptifs;
Synonyme CISMeF : dispositif contraceptif; Appareils contraceptifs; Appareils de contraception; Dispositifs de contraception;
Traduction automatique Wikipédia : Contraception;
Lien Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Contraception;
Identifiant d'origine : D003273;
CUI UMLS : C0009886;
- Alignements automatiques CISMeF supervisés
- Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
- Concept(s) lié(s) au record
- Correspondances UMLS (même concept)
- Liste des qualificatifs affiliables
- Type(s) sémantique(s)
- Voir aussi
- Voir aussi (proposés par CISMeF)
N3-AUTOINDEXEE
Connaissances et opinion des femmes sur l'utilisation du dispositif intra-utérin en
contraception d'urgence
http://www.sudoc.fr/249045672
Introduction : malgré une couverture contraceptive élevée, le nombre de grossesses
non prévues reste important en France. Deux méthodes de contraception d’urgence (CU)
coexistent: le dispositif intra-utérin (DIU) au cuivre et les pilules LEVONORGESTREL
ou ULIPRISTAL D’ACETATE. Le DIU est largement moins employé malgré une meilleure efficacité
par rapport aux méthodes orales. Objectif : explorer les connaissances et l’opinion
des femmes de 18 à 50 ans à propos du DIU au cuivre en contraception d’urgence et
identifier les motivations et freins à cette utilisation. Méthode : étude quantitative
par questionnaire papier, avec des questions fermées à choix multiples, mis en libre
accès dans plusieurs centres médicaux et centres de planification et d’éducation familiale
du Maine-et-Loire, de septembre à décembre 2019. Résultats : quatre cent trente-quatre
(434) questionnaires ont été inclus. Trente et un pourcent (31%) des femmes déclaraient
connaitre le DIU au cuivre en CU, mais seulement 4,1% ont répondu correctement pour
les deux seules méthodes recommandées en pratique. Quatre-vingts un pourcent (81%)
ne connaissent pas le délai d’utilisation maximum du DIU en CU. La possibilité de
maintenir le DIU comme contraception régulière après une mise en place en urgence
était une motivation à son usage pour 80% des femmes. Plusieurs freins étaient évoqués
: la crainte de l’infection génitale (53%), la douleur lors de la pose du DIU (83,2%),
la peur de sentir le DIU lors des rapports sexuels (73,5%) et la modification des
règles (62,2%). La nulliparité n’était pas une contre-indication pour 62% des répondantes.
Une grande majorité (94,5%) était favorable à une information à propos du DIU en CU.
La mise en place d’une information systématisée est souhaitée par 56% des femmes.
Conclusion : l’indication du DIU au cuivre en CU était peu connue par les femmes.
Des avantages à son utilisation semblaient les intéresser. Des freins à sa mise en
place persistaient. Inclure une information sur ce sujet dans notre pratique courante
était majoritairement bien perçu et pourrait être un des moyens possibles à proposer
dans la prise en charge globale de la réduction des grossesses non prévues.
2020
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
contraception intra-utérine
Contraception d'urgence
Utilisation de la contraception
connaissance
Savoir
connaissance
Femmes
contraception post-coïtale
dispositifs intra-utérins
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
Dispositifs contraceptifs
jugement
dispositif intra-utérin
Femelle
contraception
Comportement contraceptif
femmes
dispositifs contraceptifs
Femelle
---
N3-AUTOINDEXEE
Représentations des femmes nullipares à la Réunion sur la contraception par dispositif
intra-utérin
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03019305
Introduction : La Réunion est composée d’une population jeune présentant une grande
précarité et un faible niveau d’étude avec une sexualité précoce et un recours aux
interruptions volontaires de grossesse bien plus élevé qu’en Métropole (21,8 IVG pour
1000 femmes à la Réunion en 2018 contre 15 pour 1000 femmes en Métropole). La tranche
d’âge la plus concernée par les IVG se situe entre 20-29 ans, la majorité se produisant
sous couverture contraceptive et particulièrement sous pilule qui est la méthode contraceptive
la plus utilisée chez ces femmes. Malgré une bonne offre de soin sur l’ile, l’utilisation
du DIU par les femmes nullipares reste faible alors que celui-ci est 2 fois plus efficace
en pratique courante que la pilule. L’objectif de cette étude était d’identifier les
freins à l’utilisation du DIU chez les femmes nullipares réunionnaises ainsi que de
connaître leur source de jugement et de proposer des pistes afin de faire évoluer
la contraception à la Réunion. Méthode : Il s’agit d’une étude qualitative réalisée
par des entretiens semi-dirigés auprès de femmes nullipares majeures à la Réunion.
L’analyse des données s’est faite selon les principes de la théorisation ancrée. Résultats
et discussion : L’étude a été réalisée entre août et octobre 2019 auprès de 25 femmes
nullipares majeures à la Réunion. L’utilisation du DIU était conditionnée avant tout
par le niveau de connaissances sur la contraception, celui-ci étant étroitement lié
au niveau socio-professionnel ou au vécu des femmes de par leur âge ou leur expérience
contraceptive. Les femmes de niveau socio-professionnel élevé ou ayant une bonne connaissance
sur la contraception mettaient en valeur un certain nombre d’avantages à cette méthode
tandis que les femmes très jeunes ou de niveau socio-professionnel bas ne voyaient
que des freins à l’utilisation du DIU, principalement subjectifs véhiculés par les
a priori de l’entourage familial et amical. Conclusion : Les freins principaux à l’utilisation
du DIU identifiés dans notre étude sont le manque de connaissance sur cette méthode
contraceptive et la surestimation de la douleur à la pose. Pour pallier cela, le médecin
généraliste et le système scolaire ont un rôle primordial d’information dès l’adolescence.
Afin d’encourager cette méthode contraceptive, il parait important d’en améliorer
les conditions de pose en valorisant l’information sur la méthode de pose, la position
gynécologique en décubitus latéral respectant plus l’intimité des femmes, l’utilisation
d’hypnose, de méopa ou de détournement d’attention durant la pose et le recours à
la méthode directe de pose dite « en torpille » plus rapide et moins douloureuse pour
les jeunes femmes.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
contraception
Femmes
parité
Dispositifs contraceptifs
nulliparité
contraception intra-utérine
dispositifs intra-utérins
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
dispositif intra-utérin
Femelle
processus de groupe
Femelle
femmes
dispositifs contraceptifs
---
N3-AUTOINDEXEE
Le Dispositif Intra-Utérin et l’Implant Contraceptif sont-ils des méthodes contraceptives
acceptées et acceptables pour les jeunes femmes de 18 à 25 ans, dans l’objectif de
prévenir la survenue de grossesses non désirées ? Mieux comprendre les freins des
patientes à leur utilisation pour mieux les prescrire : étude ambulatoire par questionnaire
dirigé portant sur les connaissances et réticences des jeunes femmes âgées de 18 à
25 ans, consultant en planning familial, en Seine-Saint-Denis
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02299558
Introduction : les contraceptifs de longue durée d’action sont des méthodes efficaces
dans la prévention des interruptions volontaires de grossesse mais restent sous-utilisés
parmi les moins de 25 ans en France. Le taux annuel d’IVG en France est de 14‰, et
de 19,5‰ avant 20 ans et 27‰ entre 20 et 24 ans. En Seine-Saint-Denis, le taux de
recours annuel à l’IVG des moins de 25 ans est de 36,9‰. Matériels et méthodes : cette
étude menée en Seine-Saint-Denis, auprès de jeunes femmes de moins de 25 ans, vise
à étudier l’acceptabilité et les freins à l’utilisation des LARC. Résultats : le DIU
est largement connu mais très peu utilisé, et seulement par des femmes ayant déjà
eu une grossesse. La satisfaction est excellente mais très peu l’envisagent comme
contraception. Le principal frein à son utilisation est le manque d’information. L’implant
est largement connu, mais peu utilisé, sans influence de la parité. La satisfaction
est médiocre et peu l’envisagent comme contraceptif. La peur des effets indésirables
est l’obstacle principalement évoqué. Parmi les femmes ayant déjà eu recours à l’IVG,
l’acceptabilité des LARC est meilleure et l’utilisation du DIU privilégiée. Conclusion
: les jeunes Séquano-Dionysiennes utilisent peu les LARC. Le profil de satisfaction
favorise largement le DIU à l’implant. Le manque d’information et la mésinformation,
sont les freins évoqués par les femmes n’envisageant aucune de ces contraceptions.
Toutes ces raisons peuvent être solutionnées par l’accès à une information, sur chacune
des méthodes, décernée par des médecins ayant reçu une formation spécifique, et lors
de séances d’éducation contraceptive devant intervenir le plus tôt possible.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Planning
Dispositifs contraceptifs
Acceptation des soins par les patients
Savoir
Enquêtes et questionnaires
contraception
Acanthome épidermolytique
contraception intra-utérine
saints
dispositif intra-utérin
Questionnaires
connaissance
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
prévenance
Acathisie
services de planification familiale
frein
orientation vers un spécialiste
implant
contraception
objectifs
grossesse non désirée
dispositifs intra-utérins
contraceptifs féminins
grossesse
consultants
grossesse non désirée
a comme patient
connaissance
grossesse non désirée
Contraceptifs
dû à
Femelle
patients
femme âgée
Femmes
Méthodes
adolescent
rendez-vous et plannings
dispositifs contraceptifs
contraceptifs
Femelle
femmes
---
N2-AUTOINDEXEE
Comment sont informées les nullipares sur la contraception par le dispositif intra-utérin
? Etude descriptive, à partir de 269 questionnaires
http://www.sudoc.fr/232672482
Alors que les recommandations de la HAS valident l'indication du DIU comme méthode
de contraception de 1ère intention, on constate une différence de recours à cette
méthode entre les femmes nullipares et les autres. Cette différence est en lien avec
les connotations négatives de l'utilisation du DIU chez la femme nullipare qui persistent
chez certains professionnels de santé, mais également liée à un défaut de connaissances
chez les nullipares. Face à ce constat, l'objectif primaire de notre étude était d'évaluer
les connaissances des nullipares concernant le DIU. L'objectif secondaire était d'étudier
leurs sources d'information. Les résultats de cette étude suggèrent que le niveau
de connaissances des nullipares sur le DIU dépend du thème abordé. Même si notre impression
à l'analyse des questionnaires était un bon niveau de connaissances global, seulement
37 % des participantes se sentaient bien informées et plus de la moitié souhaiteraient
recevoir une information plus complète. Nos résultats sont à interpréter en fonction
du niveau d'études élevé dans notre population, ainsi que de la proportion importante
de professionnels de santé. Le niveau de connaissance variait en fonction de la catégorie
professionnelle, mais aussi en fonction de la source d'information, les professionnels
de santé, les femmes ayant été informées par un professionnel de santé ou ayant consulté
internet se sentaient mieux informées
2018
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
dispositif intra-utérin
contraception
dispositifs intra-utérins
nulliparité
Anévrysme congénital du ventricule gauche
Dispositifs contraceptifs
collecte de données
Questionnaires
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
rectorragie - melena
contraception intra-utérine
contraception
parité
dispositifs contraceptifs
Enquêtes et questionnaires
---
N2-AUTOINDEXEE
Attitudes thérapeutiques des médecins généralistes et gynécologues en cas de saignements
isolés sous implant contraceptif dans les six mois suivant la pose du dispositif
http://www.sudoc.fr/232697205
Introduction : les saignements prolongés et répétés sous implant contraceptif sont
des effets indésirables fréquents et souvent responsables d’un abandon de la contraception.
L’objectif est d’analyser les attitudes thérapeutiques des médecins généralistes et
gynécologues devant des saignements isolés sous NEXPLANON dans les six mois suivant
la pose du dispositif. Matériels et méthodes : étude de cohorte menée auprès de médecins
participant à deux congrès de gynécologie-obstétrique à Angers en décembre 2016 et
février 2018. Diffusion d’un questionnaire non informatisé : questions à choix multiples
et ouvertes. L’analyse statistique utilise les tests du Chi-deux et de Fischer. Résultats
: au total 100 médecins généralistes et 26 gynécologues ont participé à l’enquête.
79.1% sont des femmes, 43.3% sont âgées de 30 à 45 ans et 66.7% exercent une activité
libérale. 100% informent les patientes des effets indésirables et 50.8% évaluent la
tolérance de l’implant dont 58% à 3 mois après la pose. A 3 mois : 86.5% des médecins
optent pour l’expectative seule, 30.2% proposent une thérapeutique médicamenteuse,
4% un changement de contraception et 6.3 % retirent l’implant. Entre 3 et 6 mois :
42.1% proposent l’expectative, 43.7% une thérapeutique médicamenteuse, 46% un changement
de contraception et 57.9% retirent l’implant. Les traitements les plus utilisés sont
l’acide tranexanique, les AINS et les contraceptions hormonales. Les principaux facteurs
influençant la décision thérapeutique sont l’importance des métrorragies (91.5%) et
le choix de la patiente (86.5%). Les femmes sont plus sensibilisées aux situations
de précarité et aux antécédents d’IVG : respectivement 41.2% versus 10% (p 0.01)
et 37.6% versus 10% (p 0.02). Conclusion : les attitudes thérapeutiques ne sont
pas consensuelles. Elles semblent orientées par les caractéristiques des patientes
et évoluer selon le moment du suivi. Une étude qualitative par entretiens semi-dirigés
permettrait de mieux comprendre le processus décisionnel des médecins.
2018
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
contraception
attitude
implant
contraception
dispositifs contraceptifs
Médecins
pose
dispositif
hémorragie
Thérapeutique
hémorragie
médecins généralistes
contraceptifs féminins
posture
Thérapeutiques
saignée
gynécologue
Thérapeutiques
thérapeutique
---
N1-SUPERVISEE
Évaluation de l’acquisition de trois gestes techniques de gynécologie (frottis cervico-utérin,
pose de dispositif intra-utérin et pose d’implant contraceptif) au cours du DES de
médecine générale en fonction des lieux de formation en Rhône-Alpes (faculté Grenoble,
Lyon et Saint-Etienne)
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01393526v1
Face à la pénurie de gynécologues médicaux, les médecins généralistes devront de plus
en plus assurer le suivi gynécologique de leurs patientes. L’apprentissage des gestes
techniques comme la réalisation du frottis cervico-utérin (FCU), de la pose de dispositif
intra-utérin (DIU) et la pose d’implant semble indispensable pour assurer ce suivi.
La formation au cours de l’internat est primordiale car c’est la période de vie professionnelle
durant laquelle l’on apprend le mieux les gestes techniques. L’objectif principal
de cette étude était d’évaluer l’acquisition au cours du DES de médecine générale
dans les facultés de Rhône-Alpes (Grenoble, Lyon et Saint-Etienne) de ces trois gestes,
en fonction du lieu de formation. L’objectif secondaire était de visualiser les lacunes
de la formation afin de proposer des améliorations à cette formation
2016
false
false
false
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
médecins généralistes
dispositifs intra-utérins
Frottis vaginaux
médecine générale
dispositifs contraceptifs
---