Libellé préféré : dispositif intra-utérin;
Synonyme SNOMED : diu; stérilet;
Identifiant d'origine : A-18060;
CUI UMLS : C0021900;
Alignements automatiques CISMeF supervisés
- DIU [Terme de bas niveau MedDRA]
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Correspondances UMLS (même concept)
- DIU [Terme de bas niveau MedDRA]
Type(s) sémantique(s)
N3-AUTOINDEXEE
Étude C-DIUPE : l’utilisation de la coupe menstruelle a-t-elle un impact sur l’échec
de contraception d’un dispositif intra-utérin ? Une étude analytique prospective multicentrique
avec suivi sur neuf mois dans la région Rhône-Alpes
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04152814
Contexte et objectif : De nombreuses femmes disposant d’un dispositif intra-utérin
(DIU) utilisent la coupe menstruelle (cup) comme protection hygiénique. Cependant,
peu d'études prospectives évaluent les risques potentiels de leur utilisation concomitante.
Cette étude a pour but de déterminer si la cup est un facteur de risque d'échec du
DIU. L’échec est défini comme l'apparition d'une grossesse, l'expulsion du DIU ou
son retrait pour malposition. Matériel et méthode : Étude observationnelle, analytique,
de cohorte, prospective et multicentrique dans la région Rhône-Alpes. Les patientes
ont été incluses le jour de la pose de leur DIU par le praticien puis contactées à
3, 6 et 9 mois. Une analyse de survie par méthode de Kaplan Meier a été réalisée à
partir des données recueillies. Résultats : Sur les 309 patientes analysées, 8 ont
eu un échec de contraception par DIU, représenté par 5 expulsions du DIU et 3 retraits
par le praticien pour malposition (aucune patiente n'a eu de grossesse). L'analyse
de survie ne met pas en évidence de surrisque d’échec de DIU chez les utilisatrices
de cup par rapport aux non utilisatrices (p 0,1607). En revanche, elle retrouve
sur l'analyse complémentaire non prévue au protocole initial, un risque accru d'expulsion
de DIU chez les utilisatrices de cup (p 0.0161). Le modèle multivarié n'a pas pu
être réalisé. Conclusion : Cette étude ne met pas en évidence de surrisque d’échec
par expulsion de DIU, retrait pour malposition ou survenue de grossesse avec l’utilisation
de la cup. Elle comporte un nombre faible d'événements n’ayant pas permis de réaliser
une analyse multivariée et donc de prendre en compte les autres facteurs de risque
d’expulsion. Des études prospectives de plus grande taille sont nécessaires pour pouvoir
conclure à la présence ou non d’un risque lors de l’utilisation concomitante de DIU
et de la cup.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
dispositif intra-utérin
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
Dispositifs contraceptifs
Échec contraceptif
godet
défaillance
études de suivi
études multicentriques comme sujet
menstruation
supplément oral arginine, omega 3 et nucléotides
quel mois est-ce maintenant ?
étude multicentrique
études multicentriques
études de suivi
analyse
contraception intra-utérine
Dispositifs intra-utérins
UTERINE
Rhône-Alpes
composant d'un dispositif de gobelet
godet (unité de dose)
études prospectives
échec de la contraception
études prospectives
syndrome lymphoprolifératif avec auto-immunité
Efficacité contraceptive
utilisation
dispositifs intra-utérins
---
N2-AUTOINDEXEE
Dispositifs intra-utérins avec progestatif par rapport aux dispositifs intra-utérins
au cuivre pour la contraception d'urgence
https://www.cochrane.org/fr/CD013744/FERTILREG_dispositifs-intra-uterins-avec-progestatif-par-rapport-aux-dispositifs-intra-uterins-au-cuivre-pour
Pourquoi cette revue est-elle importante ? Cette revue est importante car il existe
peu de choix disponibles pour la contraception d'urgence (CU). Les dispositifs intra-utérins
au cuivre (DIU-Cu) sont la méthode de CU la plus efficace disponible actuellement,
mais leur utilisation et leur adoption sont faibles. Nous avons examiné la littérature
pour voir si le DIU au lévonorgestrel (DIU-LNG) était aussi efficace que les autres
méthodes de CU. S'il s'avérait qu'il est aussi efficace, il augmenterait la série
d’options disponibles pour les femmes cherchant à obtenir une CU. Comment avons-nous
identifié et évalué les données probantes ? Nous avons recherché dans neuf bases de
données de recherche médicale et deux registres d'essais contrôlés randomisés, et
un site Web pour la littérature grise (c'est-à-dire les recherches produites par des
organisations en dehors des canaux de publication et de distribution commerciaux et
universitaires traditionnels). Nous avons pris en compte les études randomisées et
non randomisées comparant les DIU contenant des progestatifs aux DIU contenant du
cuivre, ou les méthodes orales de CU pour la contraception d'urgence. Nous avons examiné
tous les résumés identifiés dans notre recherche, ainsi que les rapports potentiels
en texte complet. Nous avons évalué le risque de biais et avons utilisé le système
GRADE pour évaluer le niveau de confiance des données probantes.
2023
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
rapport de recherche
dispositif intra-utérin
dispositifs intra-utérins
Contraception d'urgence
cuivre
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
cuivre
contraception post-coïtale
rapport albumine/globuline
contraception
progestines
contraception intra-utérine
UTERINE
cuivre
---
N2-AUTOINDEXEE
Médicaments pour le traitement des saignements menstruels abondants et les douleurs
liées aux dispositifs intra-utérins utilisés dans la contraception
https://www.cochrane.org/fr/CD006034/FERTILREG_medicaments-pour-le-traitement-des-saignements-menstruels-abondants-et-les-douleurs-liees-aux
Les saignements menstruels (règles) abondants et les crampes représentent les motifs
les plus courants pour lesquels les femmes cessent d’utiliser un dispositif intra-utérin
(stérilet) (DIU) à visée contraceptive. Une classe de médicaments (anti-inflammatoires
non stéroïdiens ou AINS) réduit les saignements menstruels et les crampes chez les
femmes n'utilisant pas de DIU. Ces médicaments, comme le naproxène et l’ibuprofène,
sont vendus sans ordonnance en tant que médicaments antidouleur dans de nombreux pays.
Les chercheurs ont donc voulu savoir si ces mêmes médicaments pouvaient réduire les
saignements et la douleur associés à l’utilisation de dispositifs intra-utérins. Ceci
peut rendre l’utilisation des DIU plus confortable sur de plus longues périodes de
temps.
2022
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
Médicaments
contraception intra-utérine
dispositifs intra-utérins
hémorragie
Dispositifs contraceptifs
Comportement contraceptif
abondant
médicament
dysménorrhée
analgésiques
Utilisation de la contraception
Douleur
traitement de la douleur
douleur menstruelle
douleur après traitement
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
contraception
UTERINE
traitement médicamenteux
Saignée
dispositif intra-utérin
ménorragie
---
N3-AUTOINDEXEE
Quels sont les freins et les leviers exprimés par les adolescentes de 15 à 18 ans
à l’utilisation du dispositif intra utérin (DIU) comme moyen de contraception ?
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03275723
La France se place parmi les pays où le niveau de couverture contraceptive est le
plus élevé. Or il existe un paradoxe puisque le taux de recours à l’interruption volontaire
de grossesse (IVG) reste stable et élevé. Le schéma contraceptif reste le même depuis
plus de dix années à savoir le recours au préservatif masculin au début de la vie
sexuelle puis l’utilisation de la pilule et enfin le DIU lorsque le nombre d’enfants
souhaité est atteint. L’âge moyen du premier rapport sexuel en France est de 17 ans
et l’âge moyen du premier enfant désiré est de 29 ans ce qui laisse près de douze
années de nulliparité à couvrir par une méthode contraceptive efficace, dont l’utilisation
des méthodes LARC (contraceptif de longue durée d’action) telle que le DIU semble
adapté pour réduire au mieux le risque de survenue de grossesses non désirées. En
effet, les adolescentes appartiennent à un groupe à haut risque de survenue de grossesse
non désirée ce qui pose un réel problème de Santé Publique à l’échelle mondiale. L’amélioration
de l’éducation et de l’accès des adolescentes aux méthodes contraceptives efficaces
est un enjeu de Santé Publique comme l’ont démontré les études CHOICE menée aux Etats
Unis et FECOND en France. Effectivement malgré l’utilisation large d’une contraception
lors des premiers rapports sexuels (préservatif masculin dans 90% des cas chez les
15 à 24 ans), aucun impact sur le nombre d’IVG chez les adolescentes n’a été réellement
observé. Les raisons sont multi- factorielles mais la cause principale viendrait d’un
défaut d’observance et d’une mauvaise utilisation des moyens de contraception dont
l’efficacité théorique avoisine les 99,7%. L’étude CHOICE a montré que le recours
aux méthodes LARC a un impact significatif sur la diminution du nombre de grossesses
non désirées chez les adolescentes de 15 à 19 ans ainsi qu’une nette diminution du
recours à l’IVG. En conséquence, de multiples lois et recommandations établies par
les Sociétés Savantes françaises et internationales s’accordent sur le fait que le
DIU est une contraception parfaitement indiquée aux adolescentes au même titre qu’aux
femmes plus âgées (nullipares ou multipares). Or malgré cela l’évolution de l’utilisation
du DIU par les adolescentes en France est faible en dix ans. 57% des femmes interrogées
par l’étude FECOND pensent que le DIU n’est pas recommandé chez les nullipares. 68%
des gynécologues et 85% des médecins généralistes interrogés par cette étude affirment
ne pas recommander le DIU chez les nullipares voir ne pas leur en parler du tout du
fait de leur propre réticence. Or il est montré aux Etats Unis que les femmes sont
trois fois plus intéressées par le DIU après avoir reçu une information claire. Il
est nécessaire que les professionnels de santé transmettent l’information aux adolescentes
pour espérer promouvoir l’utilisation du DIU. On retrouve de nombreuses réticences
à l’utilisation du DIU chez les plus jeunes dans la littérature : majoration du risque
d’infection pelvienne, problème de fertilité, risque plus élevé d’expulsion, pose
plus douloureuse et plus complexe... Toutes ces réticences ont été controversées.
Nous avons retrouvé de nombreux freins similaires à ceux évoqués dans la littérature
dont le principal est le manque d’information et de connaissances. Elles sont nombreuses
à savoir citer le « stérilet » pour au final ne pas en connaître les caractéristiques,
les indications ni les représentations. Elles sont bien loin de savoir qu’elles peuvent
en bénéficier. L’autre principal frein exprimé est motivé par les différentes peurs
que suscite le DIU d’où l’importance de divulguer une information claire et complète.
Nous avons retrouvé très peu de levier certainement à cause de leurs importantes méconnaissances
sur le DIU.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Adolescentes
UTERINE
dû à
contraception
adolescent
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
Adolescent
frein
dispositifs intra-utérins
contraception
Adolescent
adolescence
dispositif intra-utérin
---
N3-AUTOINDEXEE
Connaissances et opinion des femmes sur l'utilisation du dispositif intra-utérin en
contraception d'urgence
http://www.sudoc.fr/249045672
Introduction : malgré une couverture contraceptive élevée, le nombre de grossesses
non prévues reste important en France. Deux méthodes de contraception d’urgence (CU)
coexistent: le dispositif intra-utérin (DIU) au cuivre et les pilules LEVONORGESTREL
ou ULIPRISTAL D’ACETATE. Le DIU est largement moins employé malgré une meilleure efficacité
par rapport aux méthodes orales. Objectif : explorer les connaissances et l’opinion
des femmes de 18 à 50 ans à propos du DIU au cuivre en contraception d’urgence et
identifier les motivations et freins à cette utilisation. Méthode : étude quantitative
par questionnaire papier, avec des questions fermées à choix multiples, mis en libre
accès dans plusieurs centres médicaux et centres de planification et d’éducation familiale
du Maine-et-Loire, de septembre à décembre 2019. Résultats : quatre cent trente-quatre
(434) questionnaires ont été inclus. Trente et un pourcent (31%) des femmes déclaraient
connaitre le DIU au cuivre en CU, mais seulement 4,1% ont répondu correctement pour
les deux seules méthodes recommandées en pratique. Quatre-vingts un pourcent (81%)
ne connaissent pas le délai d’utilisation maximum du DIU en CU. La possibilité de
maintenir le DIU comme contraception régulière après une mise en place en urgence
était une motivation à son usage pour 80% des femmes. Plusieurs freins étaient évoqués
: la crainte de l’infection génitale (53%), la douleur lors de la pose du DIU (83,2%),
la peur de sentir le DIU lors des rapports sexuels (73,5%) et la modification des
règles (62,2%). La nulliparité n’était pas une contre-indication pour 62% des répondantes.
Une grande majorité (94,5%) était favorable à une information à propos du DIU en CU.
La mise en place d’une information systématisée est souhaitée par 56% des femmes.
Conclusion : l’indication du DIU au cuivre en CU était peu connue par les femmes.
Des avantages à son utilisation semblaient les intéresser. Des freins à sa mise en
place persistaient. Inclure une information sur ce sujet dans notre pratique courante
était majoritairement bien perçu et pourrait être un des moyens possibles à proposer
dans la prise en charge globale de la réduction des grossesses non prévues.
2020
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
contraception intra-utérine
Contraception d'urgence
Utilisation de la contraception
connaissance
Savoir
connaissance
Femmes
contraception post-coïtale
dispositifs intra-utérins
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
Dispositifs contraceptifs
jugement
dispositif intra-utérin
Femelle
contraception
Comportement contraceptif
femmes
dispositifs contraceptifs
Femelle
---
N3-AUTOINDEXEE
Représentations des femmes nullipares à la Réunion sur la contraception par dispositif
intra-utérin
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03019305
Introduction : La Réunion est composée d’une population jeune présentant une grande
précarité et un faible niveau d’étude avec une sexualité précoce et un recours aux
interruptions volontaires de grossesse bien plus élevé qu’en Métropole (21,8 IVG pour
1000 femmes à la Réunion en 2018 contre 15 pour 1000 femmes en Métropole). La tranche
d’âge la plus concernée par les IVG se situe entre 20-29 ans, la majorité se produisant
sous couverture contraceptive et particulièrement sous pilule qui est la méthode contraceptive
la plus utilisée chez ces femmes. Malgré une bonne offre de soin sur l’ile, l’utilisation
du DIU par les femmes nullipares reste faible alors que celui-ci est 2 fois plus efficace
en pratique courante que la pilule. L’objectif de cette étude était d’identifier les
freins à l’utilisation du DIU chez les femmes nullipares réunionnaises ainsi que de
connaître leur source de jugement et de proposer des pistes afin de faire évoluer
la contraception à la Réunion. Méthode : Il s’agit d’une étude qualitative réalisée
par des entretiens semi-dirigés auprès de femmes nullipares majeures à la Réunion.
L’analyse des données s’est faite selon les principes de la théorisation ancrée. Résultats
et discussion : L’étude a été réalisée entre août et octobre 2019 auprès de 25 femmes
nullipares majeures à la Réunion. L’utilisation du DIU était conditionnée avant tout
par le niveau de connaissances sur la contraception, celui-ci étant étroitement lié
au niveau socio-professionnel ou au vécu des femmes de par leur âge ou leur expérience
contraceptive. Les femmes de niveau socio-professionnel élevé ou ayant une bonne connaissance
sur la contraception mettaient en valeur un certain nombre d’avantages à cette méthode
tandis que les femmes très jeunes ou de niveau socio-professionnel bas ne voyaient
que des freins à l’utilisation du DIU, principalement subjectifs véhiculés par les
a priori de l’entourage familial et amical. Conclusion : Les freins principaux à l’utilisation
du DIU identifiés dans notre étude sont le manque de connaissance sur cette méthode
contraceptive et la surestimation de la douleur à la pose. Pour pallier cela, le médecin
généraliste et le système scolaire ont un rôle primordial d’information dès l’adolescence.
Afin d’encourager cette méthode contraceptive, il parait important d’en améliorer
les conditions de pose en valorisant l’information sur la méthode de pose, la position
gynécologique en décubitus latéral respectant plus l’intimité des femmes, l’utilisation
d’hypnose, de méopa ou de détournement d’attention durant la pose et le recours à
la méthode directe de pose dite « en torpille » plus rapide et moins douloureuse pour
les jeunes femmes.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
contraception
Femmes
parité
Dispositifs contraceptifs
nulliparité
contraception intra-utérine
dispositifs intra-utérins
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
dispositif intra-utérin
Femelle
processus de groupe
Femelle
femmes
dispositifs contraceptifs
---
N3-AUTOINDEXEE
Développement d’un outil numérique d’aide à la réalisation de pose de dispositif intra-utérin
en médecine générale
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02570971
La pose de dispositif intra-utérin est un geste technique ouvert aux médecins généralistes,
sage-femme et gynécologues. Le dispositif intra-utérin est une contraception simple,
très efficace et accessible à une majorité de femmes quelle que soit leur parité dont
la formation à la pose entraine une augmentation de son utilisation. L'objectif de
ce travail est de créer un outil numérique didactique d'aide à la pose de dispositif
intra-utérin. Une revue narrative de la littérature à été réalisée sur différents
éléments clés : l'asepsie et le risque infectieux, la technique de pose, le matériel
nécessaire, les effets secondaires et les traitements associés. Les indications, contre-indications
et le suivi ont fait l'objet d'analyse de pratiques et de recommandations officielles.
Enfin les critères de qualité vidéo ont été actualisés à l'appui de thèse similaires
antérieures. Nos résultats montrent que le risque infectieux est appréhendé par un
algorithme sans que la pose ne soit retardé, il existe deux techniques différentes
de pose, les dispositifs étudiés et choisis sont le cuivre à 380mm et le levonorgestrel
52mg posés avec un kit de pose pré-inclus avec le dispositif intra-utérin. Les effets
secondaires sont rares, le Naproxène 550mg ou le Tramadol 50 mg peuvent être proposés
comme traitement antalgique. Ces résultats ont permis de créer une vidéo didactique
complète, pratique et de durée courte diffusée sur une plateforme publique après validation
des pairs. Ce travail contribue à encourager les professionnels de santé à la réalisation
de geste technique en cabinet.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
médecine générale
outil
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
dispositifs intra-utérins
dispositif intra-utérin
Médecins
pose
---
N2-AUTOINDEXEE
Dispositif intra-utérin et nulliparité: connaissances, représentations et freins à
l'accès et au choix de la méthode.Étude qualitative auprès de vingt-cinq jeunes femmes
http://www.sudoc.fr/23409382X
Contexte : le Dispositif intra-utérin est le deuxième moyen de contraception le plus
utilisé en France après la pilule contraceptive. Bien que les recommandations de la
Haute Autorité de Santé (HAS) le présente comme un moyen de contraception hautement
efficace qui peut être proposé à toutes les femmes, seulement 3% des nullipares y
ont recours. Objectif : L’objectif de l’étude est d’explorer les représentations et
les connaissances des nullipares sur le DIU et de définir les freins à l’accès et
au choix de cette méthode. Méthodes : Il s’agit d’une étude qualitative par entretien
semi dirigé, menée entre janvier et juillet 2018 auprès de vingt-cinq jeunes femmes
nullipares de 18 à 34 ans dans le département de la Marne (51), utilisant ou non un
DIU. Les entretiens ont été retranscrits puis soumis à une analyse thématique des
données. Résultats : Les femmes interrogées voient le DIU comme une contraception
de longue durée d’action, naturelle non hormonale et peu contraignante. Malgré des
bonnes connaissances sur son mécanisme d’action, des idées reçues et de fausses représentations
persistent par un manque d’informations médicales et empêchent son utilisation. Il
semble que trop de préjugés perdurent chez les professionnels de santé. Le DIU reste
un sujet de discorde parmi les médecins encore nombreux à refuser la méthode chez
les nullipares redoutant la survenue de complications infectieuses plus fréquentes.
Les candidates insatisfaites de leur méthode contraceptive actuelle se sont renseignées
sur le DIU mais craignent des effets indésirables repoussant son utilisation : le
risque de douleur lors de son insertion, des dysménorrhées et ménorragies ainsi que
l’aspect invasif du corps étranger. Ces connaissances proviennent le plus souvent
de l’entourage proche (amies, mère, sœur), de Internet, des médias TV ou encore de
l’enseignement scolaire (cours de SVT, cours d’éducation à la sexualité) avec des
informations parfois approximatives voire complètement fausses. Le choix d’une contraception
par DIU au cuivre dans cet échantillon apparait comme une démarche personnelle, avec
des femmes désireuses d’un retour au naturel, sans hormones. Aucune participante ne
connait le DIU comme contraception d’urgence. Conclusion : Le DIU est encore trop
méconnu chez certaines femmes et les nombreuses craintes que la méthode engendre semblent
limiter son utilisation. Pourtant le DIU présente les avantages correspondant aux
souhaits des nullipares : facilité d’observance, bonne tolérance, longue durée d’action
et efficacité. Encore trop de préjugés perdurent chez les nullipares et chez les professionnels
de santé et représentent un frein à son utilisation. Mieux informer les jeunes femmes
(au cabinet de médecine générale, à l’école) sur les contraceptions disponibles notamment
sur le DIU faciliterait son accès et contribuerait probablement à diminuer le nombre
de grossesses non désirées
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
connaissance
Savoir
connaissance
dispositifs intra-utérins
Méthodes
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
dispositif intra-utérin
Femmes
recherche qualitative
Femelle
protestantisme
frein
femmes
Femelle
---
N3-AUTOINDEXEE
Opinion sur l'usage et la pose du dispositif intra-utérin, identification des réticences
et de leur origine chez le médecin généraliste réunionnais ne posant pas de DIU
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02121055
Contexte : l’incidence des IVG reste importante en France métropolitaine, notamment
à La Réunion (20,7 pour 1 000 en 2017). Le souci n’est pas l’accessibilité du contraceptif
mais sa gestion. La première contraception prescrite reste la pilule dont l’observance
est variable. Le dispositif intra-utérin (DIU) est un moyen de contraception efficace
et de longue durée d’action. Les médecins généralistes sont en première ligne dans
le discours contraceptif mais pratiquent peu la pose de DIU. Notre objectif était
d'identifier les freins des médecins réunionnais à la pose de DIU ainsi que les possibilités
de « déconstruction » de ces freins. Méthode : étude descriptive qualitative, par
entretiens semi-dirigés auprès de médecins généralistes installés à La Réunion ne
posant pas de DIU. Résultats et discussion : l’étude a été réalisée entre août et
novembre 2018 auprès de 13 généralistes. L’opinion générale sur le DIU était positive.
L’observance était le principal avantage. De nombreux a priori persistaient relativement
similaires à ceux de métropole et dans la littérature internationale, liés aux médecins,
patientes, geste de la pose et contexte environnemental. Conclusion : il existe probablement
un lien entre la formation pratique à la pose de DIU, jugée insuffisante, et le contexte
actuel de faible sollicitation/offre de soins suffisante. Des perspectives d’avenir
se dessinent, afin d’élargir l’accès à ce contraceptif, comme augmenter l'information
et counseling des patientes, un accès facilité à l’échographie, un apprentissage de
techniques de pose moins douloureuses et un dépistage des IST en pré-pose pour baisser
le risque infectieux.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Médecins
processus de groupe
médecine générale
dispositifs intra-utérins
insertion de dispositif contraceptif intra-utérin
dispositif intra-utérin
jugement
identification psychologique
médecins généralistes
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
Pression systolique
pression sanguine
---
N3-AUTOINDEXEE
Le Dispositif Intra-Utérin et l’Implant Contraceptif sont-ils des méthodes contraceptives
acceptées et acceptables pour les jeunes femmes de 18 à 25 ans, dans l’objectif de
prévenir la survenue de grossesses non désirées ? Mieux comprendre les freins des
patientes à leur utilisation pour mieux les prescrire : étude ambulatoire par questionnaire
dirigé portant sur les connaissances et réticences des jeunes femmes âgées de 18 à
25 ans, consultant en planning familial, en Seine-Saint-Denis
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02299558
Introduction : les contraceptifs de longue durée d’action sont des méthodes efficaces
dans la prévention des interruptions volontaires de grossesse mais restent sous-utilisés
parmi les moins de 25 ans en France. Le taux annuel d’IVG en France est de 14‰, et
de 19,5‰ avant 20 ans et 27‰ entre 20 et 24 ans. En Seine-Saint-Denis, le taux de
recours annuel à l’IVG des moins de 25 ans est de 36,9‰. Matériels et méthodes : cette
étude menée en Seine-Saint-Denis, auprès de jeunes femmes de moins de 25 ans, vise
à étudier l’acceptabilité et les freins à l’utilisation des LARC. Résultats : le DIU
est largement connu mais très peu utilisé, et seulement par des femmes ayant déjà
eu une grossesse. La satisfaction est excellente mais très peu l’envisagent comme
contraception. Le principal frein à son utilisation est le manque d’information. L’implant
est largement connu, mais peu utilisé, sans influence de la parité. La satisfaction
est médiocre et peu l’envisagent comme contraceptif. La peur des effets indésirables
est l’obstacle principalement évoqué. Parmi les femmes ayant déjà eu recours à l’IVG,
l’acceptabilité des LARC est meilleure et l’utilisation du DIU privilégiée. Conclusion
: les jeunes Séquano-Dionysiennes utilisent peu les LARC. Le profil de satisfaction
favorise largement le DIU à l’implant. Le manque d’information et la mésinformation,
sont les freins évoqués par les femmes n’envisageant aucune de ces contraceptions.
Toutes ces raisons peuvent être solutionnées par l’accès à une information, sur chacune
des méthodes, décernée par des médecins ayant reçu une formation spécifique, et lors
de séances d’éducation contraceptive devant intervenir le plus tôt possible.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Planning
Dispositifs contraceptifs
Acceptation des soins par les patients
Savoir
Enquêtes et questionnaires
contraception
Acanthome épidermolytique
contraception intra-utérine
saints
dispositif intra-utérin
Questionnaires
connaissance
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
prévenance
Acathisie
services de planification familiale
frein
orientation vers un spécialiste
implant
contraception
objectifs
grossesse non désirée
dispositifs intra-utérins
contraceptifs féminins
grossesse
consultants
grossesse non désirée
a comme patient
connaissance
grossesse non désirée
Contraceptifs
dû à
Femelle
patients
femme âgée
Femmes
Méthodes
adolescent
rendez-vous et plannings
dispositifs contraceptifs
contraceptifs
Femelle
femmes
---
N2-AUTOINDEXEE
Comment sont informées les nullipares sur la contraception par le dispositif intra-utérin
? Etude descriptive, à partir de 269 questionnaires
http://www.sudoc.fr/232672482
Alors que les recommandations de la HAS valident l'indication du DIU comme méthode
de contraception de 1ère intention, on constate une différence de recours à cette
méthode entre les femmes nullipares et les autres. Cette différence est en lien avec
les connotations négatives de l'utilisation du DIU chez la femme nullipare qui persistent
chez certains professionnels de santé, mais également liée à un défaut de connaissances
chez les nullipares. Face à ce constat, l'objectif primaire de notre étude était d'évaluer
les connaissances des nullipares concernant le DIU. L'objectif secondaire était d'étudier
leurs sources d'information. Les résultats de cette étude suggèrent que le niveau
de connaissances des nullipares sur le DIU dépend du thème abordé. Même si notre impression
à l'analyse des questionnaires était un bon niveau de connaissances global, seulement
37 % des participantes se sentaient bien informées et plus de la moitié souhaiteraient
recevoir une information plus complète. Nos résultats sont à interpréter en fonction
du niveau d'études élevé dans notre population, ainsi que de la proportion importante
de professionnels de santé. Le niveau de connaissance variait en fonction de la catégorie
professionnelle, mais aussi en fonction de la source d'information, les professionnels
de santé, les femmes ayant été informées par un professionnel de santé ou ayant consulté
internet se sentaient mieux informées
2018
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
dispositif intra-utérin
contraception
dispositifs intra-utérins
nulliparité
Anévrysme congénital du ventricule gauche
Dispositifs contraceptifs
collecte de données
Questionnaires
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
rectorragie - melena
contraception intra-utérine
contraception
parité
dispositifs contraceptifs
Enquêtes et questionnaires
---
N2-AUTOINDEXEE
Pose de stérilet comme moyen de contraception d'urgence par les médecins généralistes
de Haute-Normandie : freins et perspectives
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01829094
Les questions relatives à la santé sexuelle et reproductive sont reconnues comme un
enjeu essentiel de santé publique. Tant la contraception que la contraception d'urgence
ont connu en France un développement important, sans que les résultats en terme de
prévention de grossesses non désirées ne soient à la hauteur de ce que l'on pourrait
en attendre. Cette étude se propose de recueillir le point de vue des médecins généralistes
sur la contraception d'urgence et plus précisément la contraception d'urgence mécanique
via la pose d'un dispositif intra utérin. C'est une étude qualitative sur le territoire
haut normand pour laquelle trois focus groupes ont été réalisés.
2018
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
Médecins
dispositifs intra-utérins
contraception
contraception
Contraception d'urgence
médecine d'urgence
contraception
dispositif intra-utérin
d'urgence
pose
frein
Haute-Normandie
médecins généralistes
généralisé
urgence
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N3-AUTOINDEXEE
Habitudes des médecins généralistes picards en matière de contraception depuis l'autorisation
du DIU chez les nullipares
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02129249
Il y a plus de dix ans l'OMS a autorisé la pose de Dispositif Intra Utérin en première
intention chez la nullipare. Mais seulement 1,3% des femmes de 15 à 45 ans utilisaient
un DIU en 2010. Le but de l'étude était de déterminer la proportion de médecins généralistes
picards recommandant le DIU chez leurs patientes nullipares. Il s'agissait d'une étude
observationnelle monocentrique se déroulant entre février et avril 2018. Un total
de 425 questionnaires ont été envoyés par mail et courriers postaux à des médecins
généralistes picards. L'échantillon était composé de 127 médecins. 74% des médecins
avaient déjà recommandé un DIU à leurs patientes nullipares. L'argument principal
de prescription était la mauvaise tolérance des autres contraceptions à 58,3%. Les
femmes et les médecins travaillant dans les maisons médicales pluridisciplinaires
prescrivaient le plus de DIU. Les principaux obstacles étaient la technique de pose
du DIU non maîtrisée par les médecins à 70,6% et l'absence de demande de la part des
patientes. Le DIU reste encore peu utilisé chez les nullipares contrairement à la
pilule. Cependant son image a évolué car peu de médecins le considère encore contre-indiqué
et pourvoyeur de Maladie Inflammatoire Pelvienne (MIP). Le principal obstacle à son
utilisation est la technicité de la pose rendant son accès difficile contrairement
à la pilule. Le DIU est un choix de seconde intention dans l'arsenal contraceptif.
Une formation plus spécifique des médecins et une information plus importante de la
population générale permettrait d'accroitre son utilisation.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Picardie
contraception
parité
Médecins
dispositifs intra-utérins
médecins généralistes
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
contraception
nulliparité
contraception
habitude
habitudes
dispositif intra-utérin
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N2-AUTOINDEXEE
Dispositif intra-utérin - DIU - Stérilet
https://cngof.fr/app/pdf/FICHES%20D'INFORMATION%20DES%20PATIENTES/Gyn%C3%A9cologie//cngof_info_17-DIU_.pdf
2017
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CNGOF - Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
France
français
brochure pédagogique pour les patients
dispositif intra-utérin
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
dispositifs intra-utérins
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N3-AUTOINDEXEE
Stérilet, implant, diaphragme, patch… les femmes ont le choix
https://www.planetesante.ch/Magazine/Gynecologie/Pilule-contraceptive/Sterilet-implant-diaphragme-patch-les-femmes-ont-le-choix
En Suisse comme ailleurs en Europe, les femmes boudent la pilule. En revanche, elles
sont de plus en plus séduites par le stérilet, dont de nouveaux modèles sont apparus
récemment sur le marché.
2017
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Planète Santé
Suisse
français
information patient et grand public
Femmes
implantation du diaphragme
muscle diaphragme
dispositif intra-utérin
prothèses et implants
Femelle
dispositifs intra-utérins
comportement de choix
femmes
Femelle
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N3-AUTOINDEXEE
La place de la prescription du nouveau dispositif intra-uterin Jaydess en per-IVG
chirurgicale : étude de cas au centre d'orthogénie de Bordeaux
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01485344
Introduction : le dispositif intra utérin (DIU) Jaydess est commercialisé depuis
le 14 mars 2014 en France. Le taux d’interruptions volontaires de grossesse (IVG)
en France est stable et supérieur à 200000/an depuis environ dix ans et concerne principalement
les femmes jeunes. Les dispositifs intra utérins sont largement recommandés devant
la réduction des taux de grossesse non désirée chez les femmes et les adolescents.
Malgré cela, ces méthodes ne sont utilisées que par environ 10 % des femmes en Europe
et ne concerne que seulement 1,3% des patientes nullipares. C’est pourquoi l’objectif
est d’étudier la place de la prescription du nouveau dispositif intra-utérin Jaydess
2017
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
Interruption volontaire de grossesse
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
nouveau
prescription
périodiques comme sujet
chirurgical
endoscopie du pancréas
dispositifs intra-utérins
dispositif intra-utérin
étude de cas
collecte de données
central
Défaillance cardiaque gauche
interruption légale de grossesse
présentations de cas
défaillance cardiaque
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