Libellé préféré : syndrome lymphoprolifératif avec auto-immunité;

Synonyme CISMeF : Syndrome lymphoprolifératif auto-immun;

Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Maladie hématologique auto-immune caractérisée par une anémie hémolytique auto-immune, une thrombocytopénie, une lymphadénopathie, une hépatomégalie et une splénomégalie. Les patients sont exposés à un risque accru de développer des lymphomes hodgkiniens et non hodgkiniens.;

Traductions automatiques par l'ANS : ALPES.; Syndrome de Canale-Smith;

Détails


Consulter ci-dessous une sélection des principales ressources :

Vous pouvez consulter :


N3-AUTOINDEXEE
Suicide et tentatives de suicide en Auvergne-Rhône-Alpes. Cartes ressources
http://www.ors-auvergne-rhone-alpes.org/pdf/ORSuicide_Ressources_2024.pdf
Suicide et tentativeS de Suicide en auvergne-rhône-alpeS Dans la lignée des efforts réalisés pour renforcer la prévention du suicide, il est souhaitable de disposer d’informations, qui, aux côtés des données épidémiologiques présentées dans le bulletin de l’observatoire régional du suicide (http://www.ors-auvergne-rhone-alpes.org/pdf/ORSuicide_Bull10_2024.pdf ), permettent aussi de rendre lisibles les ressources de nos territoires contrastés. La typologie des ressources et leur densité, variables selon les territoires, vont influencer les stratégies et les actions de prévention possibles à mettre en œuvre. Une série de cartes ressources est mises à disposition pour mieux comprendre le maillage de nos territoires, en les interrogeant sous un angle différent que la seule épidémiologie. Cette série de ressources sera complétée au fil du temps, avec l’ambition de faire apparaître celles qui contribuent aussi bien en matière de prévention que de prise en charge de la problématique du suicide. Le champ des addictions a ainsi été précisé. Ces ressources pourront être combinées à des focus par classes d’âge ou encore des focus populationels réalisés sur des publics spécifiques comme les agriculteurs, les migrants en situation de précarité, les chômeurs... Ces focus sont disponibles dans les bulletins de l’observatoire régional du suicide (en ligne sur http://www.ors-auvergne-rhone-alpes.org). Les cartes représentant les ressources doivent être interprétées les unes au regard des autres dans une vision stratégique des ressources à mobiliser de façon complémentaire sur les territoires afin de consolider la prévention du suicide en région.
2024
ORS Auvergne-Rhône-Alpes
France
rapport
Rhône-Alpes
ressources de recherche
tentative de suicide
cartes comme sujet
Cartes
ressources en santé
moyens
suicide
syndrome lymphoprolifératif avec auto-immunité
tentative de suicide
Ressources
tentative de suicide
Auvergne

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N3-AUTOINDEXEE
Suicide et tentatives de suicide en Auvergne-Rhône-Alpes. Synthèse
http://www.ors-auvergne-rhone-alpes.org/pdf/ORSuicide_Synthese_2024.pdf
2024
ORS Auvergne-Rhône-Alpes
France
information scientifique et technique
tentative de suicide
Auvergne
ostéosynthèse
tentative de suicide
syndrome lymphoprolifératif avec auto-immunité
Rhône-Alpes
tentative de suicide
suicide
synthèse

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N2-AUTOINDEXEE
Le fardeau de la Covid-19 dans les Ehpad de Provence-Alpes-Côte d’Azur, 2020-2022
http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2023/18/2023_18_3.html
Introduction – Nous avons étudié le fardeau de la Covid-19 dans les établissements d’hébergement de personnes âgées dépendantes (Ehpad) de Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca) dans lesquels les résidents sont à risque de formes graves. Matériel et méthodes – L’étude s’est appuyée sur le système de surveillance de la Covid-19 en Ehpad au cours des cinq vagues identifiées entre les semaines 09-2020 et 16-2022, pour lesquelles ont été comparés les taux d’attaque (TA), ceux d’hospitalisation (TH) et ceux de létalité (TL) parmi les résidents des Ehpad ayant signalé des épisodes de Covid-19. La couverture vaccinale (CV) à deux doses a également été décrite. Résultats – Au total, 1 435 épisodes de Covid-19 et 30 110 infections ont été recensés chez les résidents. Le TA a diminué progressivement de la vague 2 (31,8%) à la vague 4 (16,2%), augmentant à nouveau en vague 5 (27,8%, p 0,01). TH et TL ont diminué de la vague 1 à la vague 5 (respectivement de 21,2% à 2,7% et de 18,4% à 3,0%, p 0,01). La CV à deux doses était de 71,9% en vague 3 et 89,9% en vague 4. Discussion-conclusion – La Covid-19 a fortement affecté les Ehpad en Paca au cours de la période étudiée. Une amélioration des TH et TL est observée au cours du temps, les taux les plus bas étant observés en vagues 4 et 5, périodes où la CV était 90%. Cependant, les variations observées du TA suggèrent que l’administration des deux premières doses du vaccin n’a pas suffi à réduire le nombre d’infections au fil du temps. Il paraît important d’évaluer le besoin d’administrer des doses de rappel et des vaccins mieux adaptés aux nouveaux variants, afin de prévenir les formes sévères de la maladie chez les résidents en Ehpad.
2023
SPF - Santé publique France
France
article de périodique
rivipansel
vorozole
COVID-19
syndrome lymphoprolifératif avec auto-immunité
COVID-19
Provence-Alpes-Côte-d'Azur
unilatéral
fardeau
COVID-19
côtes
établissements de soins de long séjour

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N3-AUTOINDEXEE
Étude C-DIUPE : l’utilisation de la coupe menstruelle a-t-elle un impact sur l’échec de contraception d’un dispositif intra-utérin ? Une étude analytique prospective multicentrique avec suivi sur neuf mois dans la région Rhône-Alpes
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04152814
Contexte et objectif : De nombreuses femmes disposant d’un dispositif intra-utérin (DIU) utilisent la coupe menstruelle (cup) comme protection hygiénique. Cependant, peu d'études prospectives évaluent les risques potentiels de leur utilisation concomitante. Cette étude a pour but de déterminer si la cup est un facteur de risque d'échec du DIU. L’échec est défini comme l'apparition d'une grossesse, l'expulsion du DIU ou son retrait pour malposition. Matériel et méthode : Étude observationnelle, analytique, de cohorte, prospective et multicentrique dans la région Rhône-Alpes. Les patientes ont été incluses le jour de la pose de leur DIU par le praticien puis contactées à 3, 6 et 9 mois. Une analyse de survie par méthode de Kaplan Meier a été réalisée à partir des données recueillies. Résultats : Sur les 309 patientes analysées, 8 ont eu un échec de contraception par DIU, représenté par 5 expulsions du DIU et 3 retraits par le praticien pour malposition (aucune patiente n'a eu de grossesse). L'analyse de survie ne met pas en évidence de surrisque d’échec de DIU chez les utilisatrices de cup par rapport aux non utilisatrices (p 0,1607). En revanche, elle retrouve sur l'analyse complémentaire non prévue au protocole initial, un risque accru d'expulsion de DIU chez les utilisatrices de cup (p 0.0161). Le modèle multivarié n'a pas pu être réalisé. Conclusion : Cette étude ne met pas en évidence de surrisque d’échec par expulsion de DIU, retrait pour malposition ou survenue de grossesse avec l’utilisation de la cup. Elle comporte un nombre faible d'événements n’ayant pas permis de réaliser une analyse multivariée et donc de prendre en compte les autres facteurs de risque d’expulsion. Des études prospectives de plus grande taille sont nécessaires pour pouvoir conclure à la présence ou non d’un risque lors de l’utilisation concomitante de DIU et de la cup.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
dispositif intra-utérin
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
Dispositifs contraceptifs
Échec contraceptif
tasse
défaillance
études de suivi
études multicentriques comme sujet
menstruation
supplément oral arginine, omega 3 et nucléotides
quel mois est-ce maintenant ?
étude multicentrique
études multicentriques
études de suivi
analyse
contraception intra-utérine
Dispositifs intra-utérins
UTERINE
Rhône-Alpes
composant d'un dispositif de gobelet
tasse (unité de dose)
études prospectives
échec de la contraception
études prospectives
syndrome lymphoprolifératif avec auto-immunité
Efficacité contraceptive
utilisation
dispositifs intra-utérins

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N3-AUTOINDEXEE
État des lieux des pratiques de prévention, dépistage et prise en charge du cyberharcèlement chez les moins de 18 ans par les médecins généralistes de la région auvergne Rhône-Alpes
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04245064
INTRODUCTION : Le cyberharcèlement est un acte agressif et intentionnel perpétré par un individu ou un groupe d'individus au moyen de formes de communication électronique, de façon répétée. Il touche principalement les adolescents, avec une prévalence de 15 à 25% chez les jeunes de moins de 18 ans. Il a des conséquences graves sur la santé mentale et sociale des victimes, dont la souffrance émotionnelle, l'isolement social, la dépression, et le suicide. Le cyberharcèlement est considéré comme plus grave que le harcèlement traditionnel et est puni plus sévèrement par la loi. Il paraît donc intéressant que les médecins généralistes soient sensibilisés à la prévention, au dépistage et à la prise en charge du cyberharcèlement chez les mineurs. OBJECTIF : Établir un état des lieux des connaissances et des pratiques des médecins généralistes de la région Auvergne Rhône-Alpes dans les situations de cyberharcèlement chez les moins de 18 ans. Dans un second temps identifier les besoins et les difficultés rencontrées par les médecins généralistes afin de définir des axes d'amélioration possibles. MÉTHODE : Étude quantitative transversale descriptive par auto-questionnaire type enquête de pratique, réalisée sur l’ensemble de la région Auvergne Rhône-Alpes auprès des médecins généralistes exerçant en ambulatoire. RÉSULTATS : Cette étude a interrogé 261 médecins généralistes sur le cyberharcèlement. Près de la moitié d'entre eux (46,7%) n'ont jamais pris en charge de cas de cyberharcèlement, tandis que 38% rencontrent un cas par an, 14,1% entre 2 et 5 cas par an, et seulement 1,2% entre 6 et 10 cas par an. Les sujets les plus abordés lors des consultations de suivi des adolescents sont le bien-être psychique, la relation avec les autres et le harcèlement (79,2%), tandis que l'usage d'Internet et des communications électroniques est le moins abordé (36,4%). Seulement 10,2% des médecins abordent systématiquement la question du cyberharcèlement en consultation. La plupart des médecins (91,6%) n'ont pas reçu de formation sur le cyberharcèlement. Les principales difficultés rencontrées sont les délais trop longs de prise en charge par les spécialistes (72,9%), le manque de connaissances sur le sujet (63, 2 %) et l'orientation du patient (52,6%). Certains médecins signalent également le manque d'outils de dépistage (36,1%) et de temps pour gérer ces situations (27,8%). Les praticiens les plus confrontés à des cas de cyberharcèlement semblent être plus sensibilisés et mieux formés sur le sujet. Ils sont plus actifs en termes de prévention et de dépistage, et considèrent le médecin généraliste comme un acteur majeur de la prise en charge, avec notamment un rôle de coordinateur des soins. CONCLUSION : Les médecins sont conscients du phénomène mais sous-diagnostiquent le cyberharcèlement. Ils manquent de formation, de temps et d'outils pour le dépistage. Une sensibilisation accrue et un dépistage systématique semblent nécessaires, tout comme des recommandations et un réseau d'aide renforcé pour améliorer la prise en charge. Malgré les difficultés rencontrées, le corps médical fait preuve d'une réelle volonté d'action. Les travaux sur le sujet se poursuivent avec notamment la proposition et l'évaluation d'outils d'aide au diagnostic et à la prise en charge.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
va bien
médecins généralistes
détermination de l'admissibilité
dernier dépistage
étude de dépistage
dépistage d'un essai
syndrome lymphoprolifératif avec auto-immunité
étude de prévention
Dépistage de masse
système nerveux autonome
Auvergne
Cyberintimidation
Dépistage génétique
dépistage du cancer
Rhône-Alpes
Dépistage
gestion des soins aux patients
intervention préventive

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18/04/2024


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