Libellé préféré : Dispositifs contraceptifs;

Détails


Consulter ci-dessous une sélection des principales ressources :

Vous pouvez consulter :


N3-AUTOINDEXEE
Étude C-DIUPE : l’utilisation de la coupe menstruelle a-t-elle un impact sur l’échec de contraception d’un dispositif intra-utérin ? Une étude analytique prospective multicentrique avec suivi sur neuf mois dans la région Rhône-Alpes
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04152814
Contexte et objectif : De nombreuses femmes disposant d’un dispositif intra-utérin (DIU) utilisent la coupe menstruelle (cup) comme protection hygiénique. Cependant, peu d'études prospectives évaluent les risques potentiels de leur utilisation concomitante. Cette étude a pour but de déterminer si la cup est un facteur de risque d'échec du DIU. L’échec est défini comme l'apparition d'une grossesse, l'expulsion du DIU ou son retrait pour malposition. Matériel et méthode : Étude observationnelle, analytique, de cohorte, prospective et multicentrique dans la région Rhône-Alpes. Les patientes ont été incluses le jour de la pose de leur DIU par le praticien puis contactées à 3, 6 et 9 mois. Une analyse de survie par méthode de Kaplan Meier a été réalisée à partir des données recueillies. Résultats : Sur les 309 patientes analysées, 8 ont eu un échec de contraception par DIU, représenté par 5 expulsions du DIU et 3 retraits par le praticien pour malposition (aucune patiente n'a eu de grossesse). L'analyse de survie ne met pas en évidence de surrisque d’échec de DIU chez les utilisatrices de cup par rapport aux non utilisatrices (p 0,1607). En revanche, elle retrouve sur l'analyse complémentaire non prévue au protocole initial, un risque accru d'expulsion de DIU chez les utilisatrices de cup (p 0.0161). Le modèle multivarié n'a pas pu être réalisé. Conclusion : Cette étude ne met pas en évidence de surrisque d’échec par expulsion de DIU, retrait pour malposition ou survenue de grossesse avec l’utilisation de la cup. Elle comporte un nombre faible d'événements n’ayant pas permis de réaliser une analyse multivariée et donc de prendre en compte les autres facteurs de risque d’expulsion. Des études prospectives de plus grande taille sont nécessaires pour pouvoir conclure à la présence ou non d’un risque lors de l’utilisation concomitante de DIU et de la cup.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
dispositif intra-utérin
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
Dispositifs contraceptifs
Échec contraceptif
tasse
défaillance
études de suivi
études multicentriques comme sujet
menstruation
supplément oral arginine, omega 3 et nucléotides
quel mois est-ce maintenant ?
étude multicentrique
études multicentriques
études de suivi
analyse
contraception intra-utérine
Dispositifs intra-utérins
UTERINE
Rhône-Alpes
composant d'un dispositif de gobelet
tasse (unité de dose)
études prospectives
échec de la contraception
études prospectives
syndrome lymphoprolifératif avec auto-immunité
Efficacité contraceptive
utilisation
dispositifs intra-utérins

---
N2-AUTOINDEXEE
Médicaments pour le traitement des saignements menstruels abondants et les douleurs liées aux dispositifs intra-utérins utilisés dans la contraception
https://www.cochrane.org/fr/CD006034/FERTILREG_medicaments-pour-le-traitement-des-saignements-menstruels-abondants-et-les-douleurs-liees-aux
Les saignements menstruels (règles) abondants et les crampes représentent les motifs les plus courants pour lesquels les femmes cessent d’utiliser un dispositif intra-utérin (stérilet) (DIU) à visée contraceptive. Une classe de médicaments (anti-inflammatoires non stéroïdiens ou AINS) réduit les saignements menstruels et les crampes chez les femmes n'utilisant pas de DIU. Ces médicaments, comme le naproxène et l’ibuprofène, sont vendus sans ordonnance en tant que médicaments antidouleur dans de nombreux pays. Les chercheurs ont donc voulu savoir si ces mêmes médicaments pouvaient réduire les saignements et la douleur associés à l’utilisation de dispositifs intra-utérins. Ceci peut rendre l’utilisation des DIU plus confortable sur de plus longues périodes de temps.
2022
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
Médicaments
contraception intra-utérine
dispositifs intra-utérins
hémorragie
Dispositifs contraceptifs
Comportement contraceptif
abondant
médicament
dysménorrhée
analgésiques
Utilisation de la contraception
Douleur
traitement de la douleur
douleur menstruelle
douleur après traitement
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
contraception
UTERINE
traitement médicamenteux
Saignée
dispositif intra-utérin
ménorragie

---
N3-AUTOINDEXEE
Connaissances et opinion des femmes sur l'utilisation du dispositif intra-utérin en contraception d'urgence
http://www.sudoc.fr/249045672
Introduction : malgré une couverture contraceptive élevée, le nombre de grossesses non prévues reste important en France. Deux méthodes de contraception d’urgence (CU) coexistent: le dispositif intra-utérin (DIU) au cuivre et les pilules LEVONORGESTREL ou ULIPRISTAL D’ACETATE. Le DIU est largement moins employé malgré une meilleure efficacité par rapport aux méthodes orales. Objectif : explorer les connaissances et l’opinion des femmes de 18 à 50 ans à propos du DIU au cuivre en contraception d’urgence et identifier les motivations et freins à cette utilisation. Méthode : étude quantitative par questionnaire papier, avec des questions fermées à choix multiples, mis en libre accès dans plusieurs centres médicaux et centres de planification et d’éducation familiale du Maine-et-Loire, de septembre à décembre 2019. Résultats : quatre cent trente-quatre (434) questionnaires ont été inclus. Trente et un pourcent (31%) des femmes déclaraient connaitre le DIU au cuivre en CU, mais seulement 4,1% ont répondu correctement pour les deux seules méthodes recommandées en pratique. Quatre-vingts un pourcent (81%) ne connaissent pas le délai d’utilisation maximum du DIU en CU. La possibilité de maintenir le DIU comme contraception régulière après une mise en place en urgence était une motivation à son usage pour 80% des femmes. Plusieurs freins étaient évoqués : la crainte de l’infection génitale (53%), la douleur lors de la pose du DIU (83,2%), la peur de sentir le DIU lors des rapports sexuels (73,5%) et la modification des règles (62,2%). La nulliparité n’était pas une contre-indication pour 62% des répondantes. Une grande majorité (94,5%) était favorable à une information à propos du DIU en CU. La mise en place d’une information systématisée est souhaitée par 56% des femmes. Conclusion : l’indication du DIU au cuivre en CU était peu connue par les femmes. Des avantages à son utilisation semblaient les intéresser. Des freins à sa mise en place persistaient. Inclure une information sur ce sujet dans notre pratique courante était majoritairement bien perçu et pourrait être un des moyens possibles à proposer dans la prise en charge globale de la réduction des grossesses non prévues.
2020
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
contraception intra-utérine
Contraception d'urgence
Utilisation de la contraception
connaissance
Savoir
connaissance
Femmes
contraception post-coïtale
dispositifs intra-utérins
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
Dispositifs contraceptifs
jugement
dispositif intra-utérin
Femelle
contraception
Comportement contraceptif
femmes
dispositifs contraceptifs
Femelle

---
N3-AUTOINDEXEE
Représentations des femmes nullipares à la Réunion sur la contraception par dispositif intra-utérin
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03019305
Introduction : La Réunion est composée d’une population jeune présentant une grande précarité et un faible niveau d’étude avec une sexualité précoce et un recours aux interruptions volontaires de grossesse bien plus élevé qu’en Métropole (21,8 IVG pour 1000 femmes à la Réunion en 2018 contre 15 pour 1000 femmes en Métropole). La tranche d’âge la plus concernée par les IVG se situe entre 20-29 ans, la majorité se produisant sous couverture contraceptive et particulièrement sous pilule qui est la méthode contraceptive la plus utilisée chez ces femmes. Malgré une bonne offre de soin sur l’ile, l’utilisation du DIU par les femmes nullipares reste faible alors que celui-ci est 2 fois plus efficace en pratique courante que la pilule. L’objectif de cette étude était d’identifier les freins à l’utilisation du DIU chez les femmes nullipares réunionnaises ainsi que de connaître leur source de jugement et de proposer des pistes afin de faire évoluer la contraception à la Réunion. Méthode : Il s’agit d’une étude qualitative réalisée par des entretiens semi-dirigés auprès de femmes nullipares majeures à la Réunion. L’analyse des données s’est faite selon les principes de la théorisation ancrée. Résultats et discussion : L’étude a été réalisée entre août et octobre 2019 auprès de 25 femmes nullipares majeures à la Réunion. L’utilisation du DIU était conditionnée avant tout par le niveau de connaissances sur la contraception, celui-ci étant étroitement lié au niveau socio-professionnel ou au vécu des femmes de par leur âge ou leur expérience contraceptive. Les femmes de niveau socio-professionnel élevé ou ayant une bonne connaissance sur la contraception mettaient en valeur un certain nombre d’avantages à cette méthode tandis que les femmes très jeunes ou de niveau socio-professionnel bas ne voyaient que des freins à l’utilisation du DIU, principalement subjectifs véhiculés par les a priori de l’entourage familial et amical. Conclusion : Les freins principaux à l’utilisation du DIU identifiés dans notre étude sont le manque de connaissance sur cette méthode contraceptive et la surestimation de la douleur à la pose. Pour pallier cela, le médecin généraliste et le système scolaire ont un rôle primordial d’information dès l’adolescence. Afin d’encourager cette méthode contraceptive, il parait important d’en améliorer les conditions de pose en valorisant l’information sur la méthode de pose, la position gynécologique en décubitus latéral respectant plus l’intimité des femmes, l’utilisation d’hypnose, de méopa ou de détournement d’attention durant la pose et le recours à la méthode directe de pose dite « en torpille » plus rapide et moins douloureuse pour les jeunes femmes.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
contraception
Femmes
parité
Dispositifs contraceptifs
nulliparité
contraception intra-utérine
dispositifs intra-utérins
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
dispositif intra-utérin
Femelle
processus de groupe
Femelle
femmes
dispositifs contraceptifs

---
N2-AUTOINDEXEE
Comment sont informées les nullipares sur la contraception par le dispositif intra-utérin ? Etude descriptive, à partir de 269 questionnaires
http://www.sudoc.fr/232672482
Alors que les recommandations de la HAS valident l'indication du DIU comme méthode de contraception de 1ère intention, on constate une différence de recours à cette méthode entre les femmes nullipares et les autres. Cette différence est en lien avec les connotations négatives de l'utilisation du DIU chez la femme nullipare qui persistent chez certains professionnels de santé, mais également liée à un défaut de connaissances chez les nullipares. Face à ce constat, l'objectif primaire de notre étude était d'évaluer les connaissances des nullipares concernant le DIU. L'objectif secondaire était d'étudier leurs sources d'information. Les résultats de cette étude suggèrent que le niveau de connaissances des nullipares sur le DIU dépend du thème abordé. Même si notre impression à l'analyse des questionnaires était un bon niveau de connaissances global, seulement 37 % des participantes se sentaient bien informées et plus de la moitié souhaiteraient recevoir une information plus complète. Nos résultats sont à interpréter en fonction du niveau d'études élevé dans notre population, ainsi que de la proportion importante de professionnels de santé. Le niveau de connaissance variait en fonction de la catégorie professionnelle, mais aussi en fonction de la source d'information, les professionnels de santé, les femmes ayant été informées par un professionnel de santé ou ayant consulté internet se sentaient mieux informées
2018
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
dispositif intra-utérin
contraception
dispositifs intra-utérins
nulliparité
Anévrysme congénital du ventricule gauche
Dispositifs contraceptifs
collecte de données
Questionnaires
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
rectorragie - melena
contraception intra-utérine
contraception
parité
dispositifs contraceptifs
Enquêtes et questionnaires

---
N3-AUTOINDEXEE
Le Dispositif Intra-Utérin et l’Implant Contraceptif sont-ils des méthodes contraceptives acceptées et acceptables pour les jeunes femmes de 18 à 25 ans, dans l’objectif de prévenir la survenue de grossesses non désirées ? Mieux comprendre les freins des patientes à leur utilisation pour mieux les prescrire : étude ambulatoire par questionnaire dirigé portant sur les connaissances et réticences des jeunes femmes âgées de 18 à 25 ans, consultant en planning familial, en Seine-Saint-Denis
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02299558
Introduction : les contraceptifs de longue durée d’action sont des méthodes efficaces dans la prévention des interruptions volontaires de grossesse mais restent sous-utilisés parmi les moins de 25 ans en France. Le taux annuel d’IVG en France est de 14‰, et de 19,5‰ avant 20 ans et 27‰ entre 20 et 24 ans. En Seine-Saint-Denis, le taux de recours annuel à l’IVG des moins de 25 ans est de 36,9‰. Matériels et méthodes : cette étude menée en Seine-Saint-Denis, auprès de jeunes femmes de moins de 25 ans, vise à étudier l’acceptabilité et les freins à l’utilisation des LARC. Résultats : le DIU est largement connu mais très peu utilisé, et seulement par des femmes ayant déjà eu une grossesse. La satisfaction est excellente mais très peu l’envisagent comme contraception. Le principal frein à son utilisation est le manque d’information. L’implant est largement connu, mais peu utilisé, sans influence de la parité. La satisfaction est médiocre et peu l’envisagent comme contraceptif. La peur des effets indésirables est l’obstacle principalement évoqué. Parmi les femmes ayant déjà eu recours à l’IVG, l’acceptabilité des LARC est meilleure et l’utilisation du DIU privilégiée. Conclusion : les jeunes Séquano-Dionysiennes utilisent peu les LARC. Le profil de satisfaction favorise largement le DIU à l’implant. Le manque d’information et la mésinformation, sont les freins évoqués par les femmes n’envisageant aucune de ces contraceptions. Toutes ces raisons peuvent être solutionnées par l’accès à une information, sur chacune des méthodes, décernée par des médecins ayant reçu une formation spécifique, et lors de séances d’éducation contraceptive devant intervenir le plus tôt possible.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Planning
Dispositifs contraceptifs
Acceptation des soins par les patients
Savoir
Enquêtes et questionnaires
contraception
Acanthome épidermolytique
contraception intra-utérine
saints
dispositif intra-utérin
Questionnaires
connaissance
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
prévenance
Acathisie
services de planification familiale
frein
orientation vers un spécialiste
implant
contraception
objectifs
grossesse non désirée
dispositifs intra-utérins
contraceptifs féminins
grossesse
consultants
grossesse non désirée
a comme patient
connaissance
grossesse non désirée
Contraceptifs
dû à
Femelle
patients
femme âgée
Femmes
Méthodes
adolescent
rendez-vous et plannings
dispositifs contraceptifs
contraceptifs
Femelle
femmes

---
Nous contacter.
25/04/2024


[Accueil] [Haut de page]

© CHU de Rouen. Toute utilisation partielle ou totale de ce document doit mentionner la source.