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N3-AUTOINDEXEE
Étude des contraceptions réversibles de longue durée d'action en France à partir des données du Système National des Données de Santé (SNDS) en 2019-2021
https://theses.hal.science/tel-03883082
Les Dispositifs Intra-Utérins (DIU) et les implants contraceptifs font partie des Contraceptions Réversibles à Longue Durée d'Action (LARC). Les dernières données nationales concernant leur usage en France datent de 2016 et nécessitent une réactualisation quant à leur utilisation et leurs risques, surtout suite à la crise sanitaire liée à la pandémie à Coronavirus Desease 19 (COVID-19). L'objectif général de notre thèse était d'étudier l'utilisation des LARC en utilisant les données du Système National des Données de Santé (SNDS), avec des données actualisées (2019-2021) et à l'échelle de l'ensemble de la population française. Notre premier travail était basé sur une large cohorte de femmes âgées de 13 à 49 ans à qui l'on a délivré un DIU en 2019. Nos résultats ont montré pour la première fois en France que le profil des utilisatrices des DIU en Cuivre et celui des utilisatrices de DIU Hormonaux étaient différents, alors que leurs utilisatrices sont confonduesdans les études nationales antérieures. De hauts taux de continuation à 1 an de chacun des dispositifs ont pu être estimés également dans Le SNDS. Notre deuxième travail sur les DIU hormonaux a montré un sur-risque faible mais significatif d'utilisation d'antidépresseurs dans les 2 ans après la pose d'un DIU à 52 mg de levonorgestrel par rapport à DIU moins dosé en progestatif à 19,5 mg dans une cohorte appariée. Notre troisième travail a permis de mesurer l'impact de la pandémie de COVID-19 sur l'utilisation l'ensemble des contraceptifs remboursés en France. Nous avons montré une différence d'impact entre les types de contraceptifs : la diminution de consommation des LARC a été plus marquée que celle de la contraception orale, et parmi les LARC l'utilisation de l'implant contraceptif a été le plus impacté.
2022
HAL Archives ouvertes
France
thèse ou mémoire
Contraception
France
collecte de données
contraception
France
France
Systèmes de données
Santé
français
Contraceptifs
France
prestations des soins de santé
France
Contraception réversible à action prolongée
durée

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N2-AUTOINDEXEE
Avis sur la contraception hormonale - Installation et retrait de l'implant contraceptif (Nexplanon)
https://cms.cmq.org/files/documents/Avis-et-prises-de-position/p-7-2022-07-06-fr-avis-contraception-hormonale-installation-retrait-implant-contraceptif-nexplanon.pdf
À la suite de plusieurs demandes reçues de différents milieux cliniques quant à la possibilité qu’une infirmière ou qu’un infirmier puisse installer et retirer l’implant contraceptif Nexplanon, une analyse a été effectuée par l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) et le Collège des médecins du Québec (CMQ). Pour ce faire, les paramètres suivants ont été utilisés, soit : la clientèle visée, le contexte lié à l’intervention, la complexité clinique de l’activité, la complexité de la technique, le type de prise en charge et de surveillance, les risques de préjudice et les compétences requises par l’infirmière et l’infirmier.
2022
CMQ - Collège des Médecins du Québec
Suisse
information scientifique et technique
implant
contraception hormonale
Nexplanon
coït interrompu
NEXPLANON
Contraception
Contraception hormonale
contraceptifs féminins
hormone
jugement
contraception
Contraceptifs

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N3-AUTOINDEXEE
La contraception testiculaire thermique : une méthode contraceptive encore trop peu connue : étude descriptive auprès des médecins généralistes d’Auvergne-Rhône-Alpes par questionnaire auto-administré
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03647172
Introduction : Malgré l'existence d'un panel contraceptif important, la progression du nombre d'IVG traduit la nécessité de proposer de nouvelles solutions de contrôle de leur fertilité aux couples. En miroir d'un grand nombre d'options contraceptives féminines, l'arsenal des dispositifs destinés aux hommes est encore restreint. La contraception masculine thermique (CTT), développée il y a une trentaine d'années, souffre encore d'un manque de démocratisation médicale contrebalançant l'intérêt croissant des hommes à son égard. Les médecins généralistes, principaux prescripteurs de contraception, ne semblent toujours pas suffisamment informés pour proposer cette alternative à leurs patients. Objectifs : Réalisation d'un état des lieux des connaissances des médecins généralistes de l'AURA (Auvergne Rhône-Alpes) sur la contraception testiculaire thermique. Analyse de leurs représentations sur la CTT et de leur motivation à bénéficier d'informations supplémentaires. Matériel et méthode : Réalisation d'une étude descriptive transversale via un auto-questionnaire envoyé par mail aux médecins d'Auvergne-Rhône-Alpes entre juillet 2021 et septembre 2021. L'analyse des résultats a été réalisée à l'aide du logiciel Jamovi avec le test du Chi2. Résultats : Nous avons analysé 153 réponses. Parmi ces réponses 30,1% des médecins semblent connaître la CTT ; plus particulièrement sous forme de sous-vêtement (29,1% versus 17,9% pour l'anneau). Le lieu d'exercice, la réalisation de formations complémentaires en lien avec la contraception et le mode d'exercice (centre de planification ou d'orthogénie) ont un lien statistiquement significatif avec la connaissance de la CTT auprès des médecins interrogés. Après présentation d'une information brève et synthétique, 94.6% d'entre eux montrent un intérêt pour des informations complémentaires et 53.5% se sentent prêts à la proposer à leur patients. On peut souligner que 51.3% sont favorables à la vulgarisation de la CTT, afin que cette dernière soit proposée aux patients au même titre que les contraceptifs féminins. Conclusion : La contraception masculine est un sujet motivant de nombreux essais cliniques, nationaux et internationaux. Même si la plupart sont encore au stade expérimental, les résultats sont prometteurs. En réponse à une demande croissante des patients, les médecins généralistes seraient prêts à accompagner les projets de CTT, sous couvert d'informations complémentaires et de preuves scientifiques solides.
2022
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Contraceptifs
Questionnaires
Administrateurs
contraception
autoadministration
Administration
médecins généralistes
Enquêtes et questionnaires

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N3-AUTOINDEXEE
État des lieux des connaissances des médecins généralistes sur la pilule contraceptive
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03889725
Introduction : la contraception est le 15ème motif de consultation en médecine générale, classement qui a propension à augmenter avec la diminution du nombre de gynécologues en France. Parallèlement, la connaissance des effets secondaires et des sur risques de la pilule se précise : les sur risques cardiovasculaires, thromboemboliques et carcinologiques sont à rechercher systématiquement, tout comme les effets indésirables rapportés par la patiente qui sont sources de mauvaise observance. Le rôle croissant des généralistes dans la mise en place et le suivi d’une contraception amène à se poser la question de leurs connaissances sur ce sujet. Tout en suivant les recommandations de bonnes pratiques, les patientes reçoivent-elles une pilule adaptée à leurs symptômes ainsi qu’une une information claire en cas d’oubli de pilule ? L’objectif de l’étude était dans un premier temps d’évaluer les connaissances des médecins généralistes sur la contraception orale grâce à un questionnaire retraçant par item l’initiation et le suivi de cette prise en charge. Dans un second temps, nous avons cherché à connaître quelle population de médecins était la plus en difficulté dans ce domaine. [...]
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
médecins généralistes
Contraceptifs
médecine d'État
préparation de contraceptif oral
connaissance
Savoir
connaissance
Médecins
Contraception
contraceptifs oraux

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N3-AUTOINDEXEE
L’implant contraceptif et les médecins généralistes: état des lieux des pratiques en Alsace
http://www.sudoc.fr/240422201
En France, le nombre de gynécologues installés diminue ces dernières années. De ce fait, les médecins généralistes prennent en charge la santé de la femme et sa contraception. L’HAS recommande d’utiliser des moyens de contraception de longue durée d’action. Or l’implant contraceptif, dont la durée d’action est de 3 ans, reste peu utilisé. En effet seul 4.3% des femmes disposant d’un moyen de contraception, ont recours à l’implant contraceptif. Il est intéressant de se demander la place du médecin généraliste dans la contraception de la femme et ses pratiques vis-à-vis de l’implant contraceptif. L’étude est une étude quantitative observationnelle basée sur un questionnaire élaboré grâce au logiciel GoogleForm et dont les données ont été interprétées par le logiciel GMRC ShinyStats . Ce questionnaire a été envoyé à 1144 médecins généralistes d’Alsace et 102 réponses ont été collectées (8.9%). La moyenne d’âge de l’échantillon est de 50.3 ans et il y a 55% de femmes. 45% de l’échantillon exerce en zone semi-rurale contre 33% en zone urbaine et 22% en zone rurale. 11% font plus de 20 consultations de gynécologie par mois, dont 82% de femmes. 64% des médecins généralistes interrogés prescrivent l’implant. 47% posent des implants et 49% en retirent. Les principaux freins sont le manque de formation et les effets secondaires de l’implant contraceptif. L’apprentissage à la pose et au retrait de l’implant se fait principalement lors de la formation médicale continue ou en auto-formation. Sur le plan démographique, la désertification des gynécologues et la féminisation de la profession entraine une augmentation des consultations de gynécologie et notamment de contraception avec la pose et le retrait d’implants contraceptifs chez les médecins généralistes. Le principal frein à la pose et au retrait, le manque de formation, devrait s’amender avec la réforme du troisième cycle du DES de médecine générale et le nouveau stage « santé de la femme ». L’autre point important est l’information des patientes sur l’implant, sa durée d’action et ses effets secondaires. Dans les années à venir, la santé de la femme et notamment sa contraception va prendre une place plus importante dans la pratique des médecins généralistes, la nouvelle formation de ceux-ci va optimiser cette transition.
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
Médecins
Contraceptifs
contraceptifs féminins
Pratique
implant
Contraception
Alsace
médecine d'État
contraception
contraceptifs
contraception

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N2-AUTOINDEXEE
Déterminants sociodémographiques dans le choix de la méthode contraceptive chez des femmes de 18 à 40 ans
http://www.sfmg.org/publications/les_theses/determinants_sociodemographiques_dans_le_choix_de_la_methode_contraceptive_chez_des_femmes_de_18_a_40_ans.html
Introduction La présente thèse étudie la relation entre l’adoption d’une méthode contraceptive et différents facteurs sociodémographiques. La différence de choix selon l’âge a bien été établie mais plusieurs questions subsistent depuis les années 2005 notamment en termes d’évolutions des pratiques contraceptives en France en fonction de la position sociale ou encore d’autres facteurs démographiques. Les éléments qui influencent ce choix doivent donc être mieux déterminés. Notre objectif était de décrire les caractéristiques sociodémographiques des femmes qui utilisent un moyen de contraception plutôt qu’un autre au cours de leur vie, afin d’essayer d’expliquer les différences de pratiques contraceptives et de dresser un bilan de la situation actuelle. Méthodes Le choix de la méthode contraceptive en fonction de diverses caractéristiques socio démographiques a été étudié à partir de données tirées d'un échantillon de 9670 femmes âgées de 18 à 40 ans issues de la cohorte CONSTANCES. Nous avons adopté deux stratégies d’analyse: analyses descriptives et multivariées. Les régressions logistiques multivariées ont été utilisées pour identifier les caractéristiques sociales, démographiques et situationnelles associées à un choix contraceptif. Résultats La majorité des femmes de notre enquête utilisent un moyen de contraception. La pilule est de loin le contraceptif le plus utilisé (51%), devant le stérilet (24%) et le préservatif (17%). Le recours à une autre méthode est plus rare (8%). Le choix d’une méthode contraceptive est lié à l’âge et au nombre d’enfant. La pilule est le moyen des plus jeunes, nullipares alors que le stérilet est le moyen des femmes ayant la trentaine et ayant atteint le nombre d’enfants souhaité. Dans cette étude, le préservatif est utilisé par toutes les tranches d’âge mais son utilisation augmente avec l’âge et le nombre d’enfants. Le revenu n’influence pas le choix de la méthode contraceptive. Par contre, on affirme que le niveau d’étude ainsi que la catégorie socioprofessionnelle jouent un réel rôle. La pilule s’est banalisée dans toutes les catégories socioprofessionnelles. Le stérilet est le moyen contraceptif privilégié des femmes ouvrières. Le préservatif est autant utilisé par les femmes inactives (p 0,001) que par les cadres (p 0,02). Enfin, l’influence de l’origine géographique est frappante surtout concernant l’utilisation du préservatif chez les africaines du nord, les asiatiques et européennes. Conclusion En définitive, nos analyses ont mis en évidence certaines différences de choix contraceptifs en fonction des différents paramètres sociodémographiques. Il serait intéressant de prendre en considération ces derniers pour sensibiliser les praticiens et les aider dans leur pratique tout en répondant à la demande des patientes. Une étude qualitative pourrait venir compléter et expliquer les choix qui ressortent de notre thèse.
2018
SFMG - Société Française de Médecine Générale
France
thèse ou mémoire
contraception
Contraceptifs
Acidocétose
bronchite aigue ex
Acanthome épidermolytique
Femmes
contraception
dû à
Femelle
contraception
angine ex
Méthodes

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N3-AUTOINDEXEE
Le Dispositif Intra-Utérin et l’Implant Contraceptif sont-ils des méthodes contraceptives acceptées et acceptables pour les jeunes femmes de 18 à 25 ans, dans l’objectif de prévenir la survenue de grossesses non désirées ? Mieux comprendre les freins des patientes à leur utilisation pour mieux les prescrire : étude ambulatoire par questionnaire dirigé portant sur les connaissances et réticences des jeunes femmes âgées de 18 à 25 ans, consultant en planning familial, en Seine-Saint-Denis
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02299558
Introduction : les contraceptifs de longue durée d’action sont des méthodes efficaces dans la prévention des interruptions volontaires de grossesse mais restent sous-utilisés parmi les moins de 25 ans en France. Le taux annuel d’IVG en France est de 14‰, et de 19,5‰ avant 20 ans et 27‰ entre 20 et 24 ans. En Seine-Saint-Denis, le taux de recours annuel à l’IVG des moins de 25 ans est de 36,9‰. Matériels et méthodes : cette étude menée en Seine-Saint-Denis, auprès de jeunes femmes de moins de 25 ans, vise à étudier l’acceptabilité et les freins à l’utilisation des LARC. Résultats : le DIU est largement connu mais très peu utilisé, et seulement par des femmes ayant déjà eu une grossesse. La satisfaction est excellente mais très peu l’envisagent comme contraception. Le principal frein à son utilisation est le manque d’information. L’implant est largement connu, mais peu utilisé, sans influence de la parité. La satisfaction est médiocre et peu l’envisagent comme contraceptif. La peur des effets indésirables est l’obstacle principalement évoqué. Parmi les femmes ayant déjà eu recours à l’IVG, l’acceptabilité des LARC est meilleure et l’utilisation du DIU privilégiée. Conclusion : les jeunes Séquano-Dionysiennes utilisent peu les LARC. Le profil de satisfaction favorise largement le DIU à l’implant. Le manque d’information et la mésinformation, sont les freins évoqués par les femmes n’envisageant aucune de ces contraceptions. Toutes ces raisons peuvent être solutionnées par l’accès à une information, sur chacune des méthodes, décernée par des médecins ayant reçu une formation spécifique, et lors de séances d’éducation contraceptive devant intervenir le plus tôt possible.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Planning
Dispositifs contraceptifs
Acceptation des soins par les patients
Savoir
Enquêtes et questionnaires
contraception
Acanthome épidermolytique
contraception intra-utérine
saints
dispositif intra-utérin
Questionnaires
connaissance
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
prévenance
Acathisie
services de planification familiale
frein
orientation vers un spécialiste
implant
contraception
objectifs
grossesse non désirée
dispositifs intra-utérins
contraceptifs féminins
grossesse
consultants
grossesse non désirée
a comme patient
connaissance
grossesse non désirée
Contraceptifs
dû à
Femelle
patients
femme âgée
Femmes
Méthodes
adolescent
rendez-vous et plannings
dispositifs contraceptifs
contraceptifs
Femelle
femmes

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N3-AUTOINDEXEE
L'insertion d'un implant contraceptif peu après l'accouchement
http://www.cochrane.org/fr/CD011913/linsertion-dun-implant-contraceptif-peu-apres-laccouchement
Les auteurs de la revue Cochrane ont comparé les taux d'initiation (mise en place), l'efficacité et les effets secondaires de l'insertion d'un implant contraceptif (un implant ayant pour rôle d'empêcher de tomber enceinte) immédiatement après l'accouchement par rapport à une pose retardée à la visite post-partum.
2017
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Cochrane
France
Royaume-Uni
français
résumé ou synthèse en français
revue de la littérature
contraception
Contraception
accouchement
implant
contraception
peu
Contraceptifs
contraceptifs féminins
parturition
état post-
contraception
contraceptifs

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N2-AUTOINDEXEE
Faut-il vraiment avoir peur de la pilule contraceptive ?
http://syngof.fr/wp-content/uploads/2017/09/piluleCNGOF.pdf
Qu’est-ce que la pilule contraceptive ? Pilule contraceptive et cancers : faut-il vraiment s’inquiéter ? Le risque vasculaire des pilules contraceptives : de quoi parle-t-on ? Les bénéfices additionnels de la pilule contraceptive. Autres fausses inquiétudes et idées reçues sur la pilule contraceptive. Conclusion : la pilule contraceptive est donc aussi une thérapeutique et un médicament
2017
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SYNGOF - Syndicat National des Gynécologues Obstétriciens de France
France
français
brochure pédagogique pour les patients
peur
contraception
Contraceptifs
Contraception
humeur craintive
contraceptifs oraux
préparation de contraceptif oral
contraceptifs
contraception

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N3-AUTOINDEXEE
Évaluation d’une méthode pédagogique : vidéo diffusée par la revue EXERCER pour promouvoir la réalisation de pose et le retrait d’implant contraceptif en cabinet de médecine générale
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01695382
Introduction : Malgré l’intérêt des médecins généralistes pour les gestes techniques ils restent peu pratiqués. De nombreux freins ont été mis en avant et notamment la formation. Dans ce contexte le E-learning apparaît comme une solution possible. L’objectif de cette étude était d’évaluer si la mise à disposition des médecins généralistes d’une vidéo (associée à un article) diffusée par la revue EXERCER expliquant la pose et le retrait de l’implant contraceptif pourrait favoriser la pratique de ce geste.
2017
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
pédagogie
revue de la littérature
implant
pose
enregistrement sur magnétoscope
Contraception
généralisé
enseignement
Méthodes
accomplissement
contraceptifs féminins
contraception
contraception
diffusion
médecine générale
diffusion
diffus
propagation
Contraceptifs
revue de la littérature
contraception
méthodes
études d'évaluation comme sujet
contraceptifs

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N3-AUTOINDEXEE
La pose de l'implant contraceptif en Médecine Générale en Poitou-Charentes : état des lieux des pratiques
http://www.sudoc.fr/196988365
Le nombre d'IVG en France reste élevé malgré une offre et une couverture contraceptive importante. L'implant contraceptif est le contraceptif le plus efficace selon l'OMS (Indice de Pearl proche de 0) mais il est pourtant très peu utilisé en France. Le but de cette étude était de déterminer quels étaient les freins à la pose de l'implant contraceptif en médecine générale
2016
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
médecins généralistes
contraception
médecine générale
Contraception
implant
contraception
généralisé
Contraceptifs
pose
contraceptifs féminins
contraceptifs
contraception

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N3-AUTOINDEXEE
Implant contraceptif et médecins généralistes en Indre et Loire en 2015
http://www.sudoc.fr/197120016
Contexte : En France le moyen de contraception le plus prescrit est la pilule oestro-progestative. Alors que l’offre contraceptive est importante le taux d’IVG reste stable. La modification de la démographie médicale amènera les médecins généralistes à assurer le suivi gynécologique de leurs patientes notamment en matière de contraception choisie par la femme, donc, à poser et retirer des implants contraceptifs. Question de recherche : Implant contraceptif et médecins généralistes en Indre et Loire, qu’en est il en 2015 ?
2016
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
médecine générale
Contraceptifs
médecins généralistes
Contraception
contraception
généralisé
contraception
implant
contraceptifs féminins
contraceptifs
contraception

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N3-AUTOINDEXEE
Implant contraceptif hormonal : opinions et analyse des pratiques de médecins généralistes en Sarthe, Maine et Loire et Mayenne
http://dune.univ-angers.fr/documents/dune5024
Une analyse des pratiques de prescription, du geste technique, des connaissances et opinions de médecins généralistes en Sarthe, Maine et Loire et Mayenne quant au NEXPLANON a été effectuée par la réalisation d’un questionnaire en ligne. Le taux de participation était de 69.74%, l’effectif des répondants étant de 136
2015
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DUNE - Dépôt Universitaire Numérique des Etudiants - Université d'Angers
France
français
thèse ou mémoire
médecine générale
Contraception
contraception
contraceptifs féminins
contraception
généralisé
implant
hormones
médecins généralistes
hormone
maine
Contraceptifs
contraception
contraceptifs

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25/04/2024


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