Libellé préféré : contraception;

Synonyme CISMeF : Contrôle de la fécondité; Contrôle des naissances; Méthodes contraceptives;

Hyponyme MeSH : Contraception féminine; Contraception masculine; Méthodes contraceptives chez la femme; Méthodes contraceptives féminines; Méthodes contraceptives chez l'homme; Méthodes contraceptives masculines;

Lien Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Contraception;

Détails


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Vous pouvez consulter :


N2-AUTOINDEXEE
Question Contraception
https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/sante-sexuelle/documents/brochure/question-contraception
Préservatif, DIU (dispositif intra utérin), implant, pilule... Ce document présente différentes méthodes de contraception afin de choisir la mieux adaptée à ses besoins. Il fournit également des informations pratiques permettant de savoir où, comment et à quel prix se les procurer.
2023
SPF - Santé publique France
France
brochure pédagogique pour les patients
contraception
contraception

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N3-AUTOINDEXEE
Opinion des médecins généralistes concernant l'implication des hommes dans la contraception
https://dune.univ-angers.fr/fichiers/20130559/2023MCEM16220/fichier/16220F.pdf
Introduction : la contraception est un sujet d’actualité. Les hommes prennent une place grandissante dans la vie des foyers et seraient intéressés par un investissement plus important dans la contraception. Qu’en pensent les médecins généralistes, quel rôle peuvent-ils prendre ? Méthodes : étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés de médecins généralistes du Maine-et -Loire, réalisés entre mai 2022 et février 2023. Recrutement des participants par mail, puis par effet boule de neige. Recueil du consentement oral en début d’entretien. Enregistrement puis retranscription ad integrum et anonymisation. Double codage d’une partie des entretiens. Analyse au fur et à mesure jusqu’à saturation des données plus un entretien, par une méthode s’approchant de la théorisation ancrée. Résultats : 10 entretiens ont été réalisés d’une durée moyenne de 16 minutes. Les médecins décrivaient les hommes comme non impliqués dans la contraception. Des freins à l’implication comme l’ambivalence du souhait des femmes étaient décrits. Elles gardaient le monopôle du contrôle des naissances car le poids de l’IVG reposait sur elles. Les préjugés décrivant les hommes comme irresponsables participaient à leur mise à l’écart. Les médecins formulaient d’autres excuses pour ne pas parler contraception avec les hommes : oubli, manque de temps, absence de méthode contraceptive à leurs proposer, crainte de s’immiscer dans l’intimité des couples. A contrario, la peur de devenir père pouvait favoriser un investissement de l’homme et le post-partum était décrit comme idéal pour aborder la contraception. Les médecins reconnaissaient un intérêt croissant pour la vasectomie. Leurs rôles étaient d’écouter, d’accompagner et d’éduquer les hommes en passant par des consultations de couples ou dédiés à la santé sexuelle. Conclusion : les médecins se sentaient légitimes à impliquer davantage les hommes dans la contraception quand bien même la place qu’ils leurs laissaient était dérisoire. La clé de voute semblait être la position des femmes. Une prise de conscience des médecins de l’évolution de la société vers une égalité des sexes permettrait d’en finir avec une vision genrée de la contraception. La part des médias pour divulguer les informations et les connaissances ne devrait pas être négligée.
2023
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
jugement
contraception
homme médecine
contraception
médecins généralistes
Médecins
hommes

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N3-AUTOINDEXEE
Contraception masculine réversible : acceptabilité, pour les femmes, du partage de la contraception avec leur conjoint. Étude qualitative par entretiens semi-dirigés
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04004710
La question de la contraception est centrale dans notre société moderne mais également dans le monde. Le paradigme contraceptif actuel est quasi exclusivement tourné sur les méthodes féminines réversibles. Les techniques masculines peinent à se développer alors qu’une partie des hommes semblent désireux de partager la charge contraceptive. Une thèse de 2015 réalisée par le Dr Blanc, confirme qu’une majorité d’hommes sondés se déclarent prêts à utiliser une contraception masculine orale si disponible. La recherche et l’opinion publique semblent de plus en plus intéressées par la contraception masculine. L’objectif de notre travail était d’évaluer l’acceptabilité, pour les femmes, à partager la charge contraceptive au sein de leur couple. Pour répondre à cette question, nous avons réalisé une étude qualitative par le biais d’entretiens semi-dirigés avec la participation de quatorze femmes âgées de vingt-et-un à cinquante-trois ans. Il s’agissait de leur présenter notamment deux méthodes masculines contraceptives : thermique et hormonale. La méthode hormonale par injection de testostérone en intra-musculaire semblait être nettement moins acceptable que la méthode dite « thermique ». En effet, cette-dernière leur apparaissait comme plus naturelle et avec moins d’effets secondaires potentiels. Cependant cette technique a été jugée comme contraignante car elle nécessite quinze heures de port journalier. Les femmes apparaissent ainsi prêtes et même en demande d’un partage équitable de la charge contraceptive. Concernant les techniques contraceptives dites masculines, elles souhaitent avoir la preuve de leur innocuité ainsi que de leur fiabilité.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Femmes
Contraception masculine
contraception
contraception
entretiens comme sujet
recherche qualitative
conjoints
Entretien
sexe masculin, sai

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N3-AUTOINDEXEE
Évaluation de vidéos traitant de contraception disponibles sur la plateforme Youtube : Thèse présentée pour le diplôme d'État de docteur en médecine : Diplôme d'État, mention DES Médecine générale
https://publication-theses.unistra.fr/public/theses_exercice/MED/2023/2023_FAURIEZ_S%C3%A9bastien.pdf
L’objectif de ce travail était d’évaluer les vidéos traitant de contraception hébergées sur Youtube . Pour cela, nous avons sélectionné 60 vidéos en cherchant le mot contraception sur le moteur de recherche de Youtube , auxquelles nous avons appliqué une grille de cotation. Cette grille apprécie le nombre de méthodes contraceptives évoquées et expliquées, leurs contre-indications et effets indésirables, ainsi que d’autres thématiques annexes à la contraception. Les résultats obtenus ont été disparates, avec une moyenne de 15 sur 42 points maximum, avec un écart type de 4, le score le plus haut était de 34, le plus bas à 2. Les informations sortant du lot contenaient des informations utiles pouvant aider au choix d‘une méthode contraceptive, ainsi qu’à la compréhension et à la bonne observance de la contraception par leur public. Notre travail pourrait ainsi permettre de sélectionner des vidéos pouvant être recommandées à un patient au décours d’une consultation dédiée à la contraception.
2023
AFFMF - Association Française de la Fièvre Méditerranéenne Familiale et des Autres Fièvres Récurrentes Héréditaires
France
thèse ou mémoire
disponibilité de
contraception
Médecins
médecine d'État
contraception
études d'évaluation comme sujet
médecine générale
médecins

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N2-AUTOINDEXEE
Contraception
À chacun et chacune sa méthode
https://www.inserm.fr/dossier/contraception/
En France, lors d’une enquête conduite en 2016, plus de 7 femmes sur 10 en âge de procréer et leurs partenaires masculins étaient concernés par la contraception, c’est-à-dire par l’utilisation de moyens pour réduire le risque d’une grossesse non souhaitée. Différentes méthodes sont aujourd’hui à leur disposition. Leur efficacité, leur sécurité, ou encore l’utilisation qui en est faite, font l’objet de travaux de recherche en biologie et surtout en sociologie. L’objectif : que chacun et chacune puissent trouver la contraception qui lui convient.
2023
INSERM - Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale
France
information patient et grand public
Méthodes
contraception
contraception

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N2-AUTOINDEXEE
La contraception masculine en médecine générale : représentations et comportements des médecins généralistes de l’Aude et l’Hérault
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03765615
La contraception en France est aujourd’hui majoritairement féminine. Pourtant, de nombreux hommes se disent prêts à partager la charge contraceptive. Beaucoup de méthodes sont soumises à une prescription médicale. L’objectif de cette étude était d’explorer les représentations et les comportements des médecins généralistes concernant la contraception masculine dans l’Aude et l’Hérault. Méthode : étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés auprès de 14 médecins généralistes installés dans l’Hérault ou dans l’Aude entre novembre 2021 et mars 2022. Une analyse thématique a été réalisée jusqu’à saturation des données. Résultats : les médecins généralistes décrivent un choix restreint de méthodes de contraception masculine. De plus, ces méthodes sont parfois peu efficaces ou contraignantes. Ils reconnaissent une mauvaise connaissance du sujet avec pourtant une augmentation de la demande de la part de leurs patients. Ils ont un rôle multiple : dans l’orientation, l’accompagnement, l’information. Plusieurs leviers leur permettent d’aborder la contraception masculine en consultation comme une demande directe du patient ou devant des contre-indications chez la femme. Mais les médecins généralistes sont également confrontés à la méconnaissance de la contraception masculine et des patients hommes qui consultent peu. Des pistes pour améliorer la discussion sur le sujet ont été proposées par les médecins : affiche en salle d’attente, article dans des revues, une meilleure formation des médecins et le développement de nouvelles méthodes. Conclusion : les médecins connaissent bien le préservatif et la vasectomie. Les autres méthodes masculines sont plus méconnues. Une formation des médecins généralistes ainsi que l’information à la population générale sur la contraception masculine pourraient favoriser la discussion, en attendant le développement de méthodes prometteuses dans les prochaines années.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Médecine
Contraception masculine
comportement
sexe masculin, sai
médecins généralistes
Médecine générale
Médecins
contraception
médecine comportementale
médecin (médecine générale)
Comportement contraceptif
contraception

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N3-AUTOINDEXEE
Les attentes des femmes de 15 à 49 ans en matière de contraception en 2021
https://pepite-depot.univ-lille.fr/RESTREINT/Th_Medecine/2022/2022ULILM030.pdf
CONTEXTE Plus de 90% des Françaises de 15 à 49 ans utilisent une contraception, soit l’un des taux les plus élevés au monde. Pourtant, le taux d'IVG en France continue d’augmenter depuis les années 1990 malgré une contraception utilisée par plus de la moitié des femmes réalisant une IVG. Les études se sont penchées jusqu’à présent sur l’évaluation de l’observance contraceptive, sans prendre en compte ni la satisfaction des femmes, ni leurs attentes vis-à-vis de la contraception. L’objectif principal de notre étude est de déterminer ces attentes chez les Françaises de 15 à 49 ans en 2021. METHODE Réalisation d’une étude épidémiologique descriptive transversale multicentrique à l’aide d’un auto-questionnaire distribué de décembre 2020 à février 2021 dans plusieurs cabinets médicaux des Hauts-de-France, au planning familial de Lille et sur Internet. RESULTATS 1147 questionnaires ont été analysés. Il en ressort une satisfaction contraceptive loin d’être optimale, avec 17,5% de femmes insatisfaites et 1/3 souhaitant changer de contraception, en particulier celles sous pilule. On observe un manque de connaissance des différentes méthodes, notamment des DIU, qui obtiennent pourtant la meilleure satisfaction (6,5/10) et attirent 40% des femmes souhaitant changer de contraception. Les femmes souhaitent une contraception connue, facile à utiliser et si possible sans hormone. Pourtant, la pilule reste la contraception la plus prescrite en France. L’adéquation de la contraception avec le corps, le couple, la sexualité et le mode de vie est également essentielle, tout comme son remboursement. A l’inverse, les troubles de la libido et de l’humeur ainsi que la prise de poids sont jugés comme inacceptables. L’ensemble de ces paramètres devraient être pris en considération sans frein ni jugement lors de la prescription. Enfin, 41% des femmes seraient prêtes à laisser la responsabilité contraceptive à leur partenaire. CONCLUSION L’absence de contraception stable depuis 2016 (8%) et l’insatisfaction globale démontrent une inadéquation entre l’offre contraceptive actuelle et les attentes des femmes en 2021. La lente évolution de la contraception masculine y participe également. Cette étude permet de prendre conscience des attentes des femmes sur la contraception afin d’améliorer leur satisfaction ainsi que la couverture contraceptive. Un approfondissement des connaissances ainsi qu’une modification des pratiques contraceptives des professionnels de santé, notamment concernant les DIU chez les nullipares, serait essentiel pour une prise en charge optimale de la contraception en France.
2022
PEPITE - Panorama des productions universitaires - Université Lille 2 Droit et Santé
France
thèse ou mémoire
dû à
contraception
contraception
attentes
Femmes
attention
attention

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N3-AUTOINDEXEE
Quel est le vécu des femmes en situation de précarité sur l’accès à la contraception durant le premier confinement dû au Covid-19 ?
https://pepite-depot.univ-lille.fr/LIBRE/Th_Medecine/2022/2022ULILM029.pdf
Introduction : La contraception et son accès sont des droits fondamentaux pour les femmes. Depuis la loi Neuwirth, les Centres de Planification et d’Education Familiale occupent avec les médecins généralistes une place importante dans la diffusion de la contraception. Les femmes en situation de précarité consultent et bénéficient moins des structures de soins et d’un suivi gynécologique. Lors de la pandémie dû au Covid-19, un confinement généralisé a été imposé à la population. Il a mis en péril les droits des femmes concernant l’accès à la contraception. Dans ce contexte, nous nous sommes questionnés sur le vécu concernant l’accès à la contraception des femmes en situation de précarité pendant cette période. Matériels et Méthode : Il s’agit d’une étude qualitative réalisée par des entretiens téléphoniques individuels et semi dirigés auprès de 15 patientes majeures incluses dans le Nord d’après le score EPICES. L’analyse des verbatims a été réalisée d’après le logiciel NVIVO en suivant une approche de théorisation ancrée. Résultats : Quinze patientes ont participé à l’étude. La majorité des patientes a exprimé une absence de difficulté à la poursuite de leur contraception durant le confinement. Concernant les capacités d’adaptation, on retrouve la mise en place d’une routine dans la prise de leur contraception. En utilisant les nouveaux systèmes de communication comme la téléconsultation, elles ont su changer leur méthode de consultation. Grâce à une législation française favorable, elles ont pu bénéficier d’une délivrance. Suite à une bonne communication interprofessionnelle, elles ont gardé un lien de confiance. Les patientes ont également su mettre en application l’éducation thérapeutique qui leur a été transmise. Conclusion : Les femmes en situation de précarité n’ont pas vécu de difficultés majeures d’accès à la contraception pendant le premier confinement. Il a été constaté l’acquisition de compétences par les patientes pour faire face aux changements induits par le confinement et pour satisfaire leurs besoins. Il semble intéressant d’étudier si ces compétences seraient retrouvées chez les femmes en extrême précarité ou se trouvant marginalisées.
2022
PEPITE - Panorama des productions universitaires - Université Lille 2 Droit et Santé
France
COVID-19
thèse ou mémoire
contraception
Femmes
COVID-19
confinement de risques biologiques
précarité
contraception

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N2-AUTOINDEXEE
De quelle manière sont abordées les questions relatives à la sexualité, aux IST et à la contraception chez les adolescents de sexe masculin en consultation de médecine générale ?
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03690672
L’objectif de notre étude était d’analyses l’abord des questions relatives à la sexualité, à la contraception, et aux infections sexuellement transmissibles chez les adolescents de sexe masculin en consultation de médecine générale. Pour cela, nous avons réalisé une étude qualitative auprès de 19 médecins généralistes d’Isère et de Haute-Savoie, par le biais d’entretiens semi-dirigés retranscrits puis analysés de façon longitudinale puis transversale. La consultation entre le médecin généraliste et l’adolescent est un entretien singulier. L’adolescent, surtout le garçon n’est pas souvent vu en consultation et cela est majoré par la pandémie à COVID-19 actuellement. La sexualité, la contraception et les IST sont abordés en consultation sur la base de différents motifs. L’abord de ces sujets peut émaner de l’adolescent qui a une demande explicite ou présente un problème aigu, ou du médecin au cours d’une consultation de prévention. Cependant, ces thèmes restent abordés encore trop rarement et de façon inégale. De nombreux facteurs influencent positivement ou négativement le médecin généraliste pour aborder la sexualité, la contraception, et les IST. On retrouve parmi ces facteurs la qualité de la relation avec l’adolescent, l’aisance et la peur de gêner, la représentation de son rôle sur ces thèmes, les idées reçues, l’expérience personnelle ou bien l’état de ses connaissances théoriques. Les autres facteurs qui jouent un rôle sont les autres acteurs qui peuvent entrer en jeu sur ces sujets, les facteurs logistiques et l’utilisation de supports adaptés. Les spécificités de la consultation avec l’adolescent existent et peuvent rendre difficile l’abord de la sexualité, de la contraception et des IST. Il faut tirer partie de la relation triangulaire avec les parents, rassurer l’adolescent sur le respect du secret médical, et composer avec ses propres idées reçues et son expérience personnelle. Des thématiques rattachées à ces sujets et concernant l’adolescent sont encore mal appréhendées par les médecins généralistes. Parmi ces thématiques, on retrouve la contraception masculine, l’orientation sexuelle, la PreP, le papillomavirus chez l’homme, la pornographie ou le « chem sex ». Il existe des possibilités d’amélioration dans l’abord de ces sujets avec l’adolescent, avec pour but une meilleure prévention et une meilleure prise en charge de ce pan de la santé. Les médecins évoquent les campagnes promotionnelles, les réseaux sociaux, la consultation dédiée, la téléconsultation et le travail avec d’autres professionnels de santé. Donc, les indicateurs en santé sexuelle, en efficacité contraceptive et en prévention des IST sont inquiétants. L’adolescence est une période clé et les hommes ont un rôle à jouer dans ces problématiques aux côtés des femmes. Les médecins généralistes peuvent améliorer les choses en favorisant l’abord de la sexualité, de la contraception et des IST avec les adolescents.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Contraception masculine
maladies sexuellement transmissibles
consultants
Médecins
sexualité
adolescence
Adolescent
contraception
maniérisme
Adolescent
adolescents de sexe masculin
adolescent
contraceptifs masculins
état sexuel
médecine de l'adolescent
sexe masculin, sai
contraception
médecine générale

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N3-AUTOINDEXEE
La contraception testiculaire thermique : une méthode contraceptive encore trop peu connue : étude descriptive auprès des médecins généralistes d’Auvergne-Rhône-Alpes par questionnaire auto-administré
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03647172
Introduction : Malgré l'existence d'un panel contraceptif important, la progression du nombre d'IVG traduit la nécessité de proposer de nouvelles solutions de contrôle de leur fertilité aux couples. En miroir d'un grand nombre d'options contraceptives féminines, l'arsenal des dispositifs destinés aux hommes est encore restreint. La contraception masculine thermique (CTT), développée il y a une trentaine d'années, souffre encore d'un manque de démocratisation médicale contrebalançant l'intérêt croissant des hommes à son égard. Les médecins généralistes, principaux prescripteurs de contraception, ne semblent toujours pas suffisamment informés pour proposer cette alternative à leurs patients. Objectifs : Réalisation d'un état des lieux des connaissances des médecins généralistes de l'AURA (Auvergne Rhône-Alpes) sur la contraception testiculaire thermique. Analyse de leurs représentations sur la CTT et de leur motivation à bénéficier d'informations supplémentaires. Matériel et méthode : Réalisation d'une étude descriptive transversale via un auto-questionnaire envoyé par mail aux médecins d'Auvergne-Rhône-Alpes entre juillet 2021 et septembre 2021. L'analyse des résultats a été réalisée à l'aide du logiciel Jamovi avec le test du Chi2. Résultats : Nous avons analysé 153 réponses. Parmi ces réponses 30,1% des médecins semblent connaître la CTT ; plus particulièrement sous forme de sous-vêtement (29,1% versus 17,9% pour l'anneau). Le lieu d'exercice, la réalisation de formations complémentaires en lien avec la contraception et le mode d'exercice (centre de planification ou d'orthogénie) ont un lien statistiquement significatif avec la connaissance de la CTT auprès des médecins interrogés. Après présentation d'une information brève et synthétique, 94.6% d'entre eux montrent un intérêt pour des informations complémentaires et 53.5% se sentent prêts à la proposer à leur patients. On peut souligner que 51.3% sont favorables à la vulgarisation de la CTT, afin que cette dernière soit proposée aux patients au même titre que les contraceptifs féminins. Conclusion : La contraception masculine est un sujet motivant de nombreux essais cliniques, nationaux et internationaux. Même si la plupart sont encore au stade expérimental, les résultats sont prometteurs. En réponse à une demande croissante des patients, les médecins généralistes seraient prêts à accompagner les projets de CTT, sous couvert d'informations complémentaires et de preuves scientifiques solides.
2022
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Contraceptifs
Questionnaires
Administrateurs
contraception
autoadministration
Administration
médecins généralistes
Enquêtes et questionnaires

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N2-AUTOINDEXEE
Contraception féminine : les méthodes avec le moins de risques d’effets indésirables toujours plus choisies
https://ansm.sante.fr/actualites/contraception-feminine-les-methodes-avec-le-moins-de-risques-deffets-indesirables-toujours-plus-choisies
A l’occasion de la journée mondiale de la contraception, l’ANSM, en collaboration avec le GIS EPI-PHARE, publie les données actualisées d’utilisation des contraceptifs en France. Celles-ci confirment la tendance déjà observée ces dernières années d’un net report vers les méthodes qui présentent le moins de risques pour la santé, transformant le paysage de la contraception féminine en France. Les données d’utilisation sur les dix dernières années confirment que la contraception orale (pilule) avec œstrogènes et progestatifs est en net recul (environ - 36 %). En parallèle, l’utilisation des pilules contenant seulement un progestatif continue d’augmenter régulièrement (on observe un doublement des ventes en 10 ans). Les ventes de dispositifs intra-utérins (DIU) au lévonorgestrel (Mirena, Jaydess et Kyleena) et d’implants contraceptifs sous-cutanés (Nexplanon) sont stables. Plus de la moitié des DIU vendus aujourd’hui sont des DIU au cuivre...
2022
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ANSM - Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé
France
français
information sur le médicament
contraceptifs féminins
contraception
dispositifs contraceptifs féminins

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N2-AUTOINDEXEE
Contraception
Dossier thématique
https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/contraception
2022
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ANSM - Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé
France
français
information sur le médicament
contraception
contraceptifs

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N3-AUTOINDEXEE
Enjeux liés à la prise en continu d’une contraception oestro-progestative: le point de vue des femmes
https://nuxeo.u-bourgogne.fr/nuxeo/site/esupversions/e3541ae3-42d4-4069-9380-326e93d190ca
Contexte : La contraception orale combinée oestro-progestative (COC), prescrite le plus souvent en schéma classique (21 jours de prise hormonale, 7 jours de pause), peut être prise en continu, sans pause, dans le but de supprimer les hémorragies de privation. Peu proposée, cette option semble de plus en plus attirée les femmes. L’objectif de cette étude était d’explorer les ressentis des femmes concernant cette modalité de prise, pour en déterminer les enjeux de leur point de vue. Méthode : Une étude qualitative a été menée entre janvier et mai 2022 incluant des femmes recrutées dans l’Embrunais et le Guillestrois en cabinet médical et sur un réseau social. L’échantillonnage raisonné théorique a permis la réalisation de 12 entretiens semi-dirigés retranscrits et analysés selon une méthode inspirée de la théorisation ancrée. Résultats : Les ressentis concernant la prise continue d’une COC étaient intimement liés au rapport au cycle de chaque femme. L’arrêt des règles pouvait être imaginée comme une libération, mais la suppression du cycle « naturel » pouvait induire des craintes. Oser sortir du schéma connu nécessitait donc rassurance, compréhension, confiance. La possibilité de choisir ou non la prise continue selon ses propres critères était revendiquée comme un droit pour chaque femme, ainsi que les moyens de faire ce choix. Conclusion : Les ressentis des femmes concernant la prise continue de la COC indiquaient une volonté de pouvoir agir pour elles-mêmes, en réclamant les compétences nécessaires à un choix éclairé, et adaptable tout au long de leur vie contraceptive. Il serait intéressant d’étudier les moyens à mettre en œuvre en consultation pour répondre à ce besoin.
2022
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
Femmes
Vision
contraception
contraception
persistant

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N2-AUTOINDEXEE
Sexualité et contraception en Île-de-France
https://www.ors-idf.org/nos-travaux/publications/sexualite-et-contraception-en-ile-de-france/
À partir des dernières données disponibles pour la région, cette étude dresse un état des lieux sur la question de la sexualité et des prises de risque associées. Elle montre à quel point l’empreinte des inégalités sociales sur les comportements sexuels et de prévention est bien visible, en Île-de-France ou en France. Les résultats plaident pour la poursuite et l’extension de l’éducation à la sexualité. Les publics vulnérables, qui cumulent difficultés sociales et économiques, et dont l’accès à la prévention et au système de soins est moins aisé, doivent faire l’objet d’une attention particulière.
2022
ORS Ile-de-France
France
rapport
français
France
sexualité
France
France
France
état sexuel
Ile-de-France
Paris
contraception
France
contraception

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N3-AUTOINDEXEE
La contraception masculine : bilan sur les avancées en matière de recherche ?
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04013279
La fin du 20ème siècle a vu le développement et la mise sur le marché rapide de nombreuses méthodes contraceptives dans la population féminine. En revanche, l’offre de moyen de contraception dans la population masculine n’a pas beaucoup évolué depuis. Pourtant, diverses pistes ont été ou sont actuellement étudiées afin de développer un moyen de contraception sûr et efficace pour les hommes. À la suite d’une description globale de l’appareil reproducteur masculin et féminin, je présenterai différents essais précliniques et cliniques portant sur la contraception masculine elle-même impliquant divers mécanismes d’action. Nous verrons que certains essais semblent prometteurs, pourtant, aucun d’eux n’a permis la mise sur le marché d’une méthode contraceptive masculine. La réticence et le manque d’information de la population masculine, le coût élevé de la recherche pour le développement d’un traitement, ainsi que les potentiels effets indésirables freinent la mise sur le marché de ces moyens de contraception. Une meilleure sensibilisation de la population masculine ainsi que davantage d’essais cliniques sur le long terme permettraient probablement un développement des moyens de contraception chez l’homme.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Recherches
recherche
contraception
Contraception masculine
contraception
Bilan
sexe masculin, sai

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N3-AUTOINDEXEE
Conception d’une vidéo synthétique de prévention en gynécologie destinée à un nouveau mode de communication de l’information médicale pour les adolescentes lors de la consultation “première prescription contraception”
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03921981
Le taux d’IVG en France en 2019 stagne, 72% des femmes ayant eu recours à une IVG étaient sous contraceptifs et attribuent son échec à une mauvaise utilisation. Depuis le 1er novembre 2017, il existe une consultation « complexe » avec une cotation spécifique pour la première prescription de contraception. La contraception, les infections sexuellement transmissibles et la sexualité ne sont pas des sujets faciles à aborder et les informations sont complexes à retenir par les adolescentes. Les interlocuteurs des adolescentes dans le domaine de la contraception sont nombreux : infirmières scolaires, gynécologues, médecins généralistes, pédiatres, sages-femmes et conseillers conjugaux au planning familial. En 2015, un adolescent passait environ 4h par jour devant les écrans (ONAPS). Dans ce contexte, nous avons choisi de les rejoindre à travers ce moyen de communication pour les préparer à participer à une consultation gynécologique de prévention ciblée. Nous avons conçu une vidéo ludique qui met en scène les recommandations des différentes sociétés savantes pour la consultation première prescription contraception. Quatre adolescents ont été créés à l’image des patientes que nous voyons tous les jours en consultation afin que les adolescentes puissent s’y identifier. Les répliques des personnages de la vidéo sont nuancées par les paroles d’un professionnel de santé. Afin de valider l’outil par les différents professionnels recevant des adolescents pour la première consultation contraception, nous avons utilisé la méthode Delphi afin d’arriver à un consensus pluri professionnel sur la vidéo. Ce travail est la première étape pour concevoir un nouveau type de consultation participativeen trois temps : Premier temps: le visionnage de la vidéo en groupe. Deuxième temps: le débriefing en groupe accompagné d’un soignant. Ces deux étapes, permettant une préparation de la patiente et du soignant à la consultation personnalisée de la patiente (troisième temps). Le but étant d’arriver à exposer tous les outils et les connaissances pour que la patiente puisse comprendre les risques et faire son choix de façon éclairé.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Communication
prescription
Adolescent
Adolescent
Consultants
conception
Adolescentes
enregistrement sur magnétoscope
gynécologie
communication
adolescent
contraception
émigration et immigration
Communication
Conception
dû à
orientation vers un spécialiste
contraception
fécondation
adolescence

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N3-AUTOINDEXEE
Quels sont les freins et les leviers exprimés par les adolescentes de 15 à 18 ans à l’utilisation du dispositif intra utérin (DIU) comme moyen de contraception ?
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03275723
La France se place parmi les pays où le niveau de couverture contraceptive est le plus élevé. Or il existe un paradoxe puisque le taux de recours à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) reste stable et élevé. Le schéma contraceptif reste le même depuis plus de dix années à savoir le recours au préservatif masculin au début de la vie sexuelle puis l’utilisation de la pilule et enfin le DIU lorsque le nombre d’enfants souhaité est atteint. L’âge moyen du premier rapport sexuel en France est de 17 ans et l’âge moyen du premier enfant désiré est de 29 ans ce qui laisse près de douze années de nulliparité à couvrir par une méthode contraceptive efficace, dont l’utilisation des méthodes LARC (contraceptif de longue durée d’action) telle que le DIU semble adapté pour réduire au mieux le risque de survenue de grossesses non désirées. En effet, les adolescentes appartiennent à un groupe à haut risque de survenue de grossesse non désirée ce qui pose un réel problème de Santé Publique à l’échelle mondiale. L’amélioration de l’éducation et de l’accès des adolescentes aux méthodes contraceptives efficaces est un enjeu de Santé Publique comme l’ont démontré les études CHOICE menée aux Etats Unis et FECOND en France. Effectivement malgré l’utilisation large d’une contraception lors des premiers rapports sexuels (préservatif masculin dans 90% des cas chez les 15 à 24 ans), aucun impact sur le nombre d’IVG chez les adolescentes n’a été réellement observé. Les raisons sont multi- factorielles mais la cause principale viendrait d’un défaut d’observance et d’une mauvaise utilisation des moyens de contraception dont l’efficacité théorique avoisine les 99,7%. L’étude CHOICE a montré que le recours aux méthodes LARC a un impact significatif sur la diminution du nombre de grossesses non désirées chez les adolescentes de 15 à 19 ans ainsi qu’une nette diminution du recours à l’IVG. En conséquence, de multiples lois et recommandations établies par les Sociétés Savantes françaises et internationales s’accordent sur le fait que le DIU est une contraception parfaitement indiquée aux adolescentes au même titre qu’aux femmes plus âgées (nullipares ou multipares). Or malgré cela l’évolution de l’utilisation du DIU par les adolescentes en France est faible en dix ans. 57% des femmes interrogées par l’étude FECOND pensent que le DIU n’est pas recommandé chez les nullipares. 68% des gynécologues et 85% des médecins généralistes interrogés par cette étude affirment ne pas recommander le DIU chez les nullipares voir ne pas leur en parler du tout du fait de leur propre réticence. Or il est montré aux Etats Unis que les femmes sont trois fois plus intéressées par le DIU après avoir reçu une information claire. Il est nécessaire que les professionnels de santé transmettent l’information aux adolescentes pour espérer promouvoir l’utilisation du DIU. On retrouve de nombreuses réticences à l’utilisation du DIU chez les plus jeunes dans la littérature : majoration du risque d’infection pelvienne, problème de fertilité, risque plus élevé d’expulsion, pose plus douloureuse et plus complexe... Toutes ces réticences ont été controversées. Nous avons retrouvé de nombreux freins similaires à ceux évoqués dans la littérature dont le principal est le manque d’information et de connaissances. Elles sont nombreuses à savoir citer le « stérilet » pour au final ne pas en connaître les caractéristiques, les indications ni les représentations. Elles sont bien loin de savoir qu’elles peuvent en bénéficier. L’autre principal frein exprimé est motivé par les différentes peurs que suscite le DIU d’où l’importance de divulguer une information claire et complète. Nous avons retrouvé très peu de levier certainement à cause de leurs importantes méconnaissances sur le DIU.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Adolescentes
UTERINE
dû à
contraception
adolescent
réparation; fixation; suture; plâtre; prothèse
Adolescent
frein
dispositifs intra-utérins
contraception
Adolescent
adolescence
dispositif intra-utérin

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N3-AUTOINDEXEE
Vécu de la sexualité sous contraception progestative: étude qualitative par entretiens individuels
http://thesesante.ups-tlse.fr/3167/
Introduction : en 2016, sept femmes sur dix ont recours à une méthode contraceptive médicale. Les troubles de la sexualité font partie des effets secondaires connus des contraceptions hormonales. Les données de la littérature concernent essentiellement les contraceptions oestro-progestatives mais peu de données sont disponibles pour les contraceptions progestatives. Objectif : explorer le vécu de la sexualité des femmes ayant utilisé ou utilisant une contraception progestative seule. Matériel et méthodes : étude qualitative menée par entretiens individuels semi-dirigés auprès de femmes majeures, en âge de procréer, utilisatrices actuellement ou antérieurement d'une contraception progestative durant 3 mois minimum. Les entretiens ont été réalisés par deux chercheuses de février 2019 à février 2020. Résultats : onze entretiens ont été réalisés. Le trouble de la sexualité principal sous contraception progestative, retrouvé chez la majorité des femmes, est une diminution de la libido. D'autres effets secondaires sur la sexualité ont été rapportés tels que la diminution de la fréquence et la perte d'initiative dans les rapports sexuels, le fait d'avoir des rapports non satisfaisants et la perte de plaisir au cours de ces derniers. Quelques participantes ont déclaré n'avoir eu aucun trouble de la sexualité sous contraception progestative. Une seule femme de notre échantillon a eu une très bonne tolérance globale. Aucune participante n'a vu sa libido accrue, ni n'a déclaré avoir une sexualité plus libérée ou plus épanouie sous contraception progestative. Certaines participantes ont signalé que ces troubles avaient eu un impact négatif sur leur couple ou bien sur leur sexualité seule. Conclusion : bon nombre de femmes ont recours à une contraception par progestatif seul. Celle-ci peut modifier, de façon importante, leur sexualité. Ces troubles de la sexualité ont pu chez nos participantes modifier leur qualité de vie, le vécu de leur sexualité, seule et en couple, leur relation avec leur partenaire voire provoquer l'arrêt de leur contraception. Les effets secondaires, dont les troubles de la sexualité, doivent être recherchés et pris en charge par les professionnels de santé. Il est nécessaire d'aborder et de réaborder régulièrement, en consultation de médecine générale, la sexualité des patientes ainsi que de leur laisser une porte ouverte pour s'exprimer sur ce sujet.
2021
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
contraception
sexualité
recherche qualitative
Entretien
entretiens comme sujet
état sexuel
contraception

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N3-AUTOINDEXEE
Médecins généralistes et confinement : pratique des médecins généralistes de l'Hérault durant le confinement du 17 mars 2020 au 11 mai 2020 lors des consultations liées à la contraception
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03271182
Objectifs : le 17 mars 2020, une mesure inédite de confinement sanitaire national a été instaurée afin d’enrayer la pandémie liée au virus Covid-19. Le CNGOF a émis des recommandations afin de guider les professionnels de santé lors des consultations en lien avec la contraception dans ce contexte. Notre étude visait à évaluer le suivi de ces recommandations par les médecins généralistes de l’Hérault, acteurs majeurs dans la prise en charge de la contraception. Méthodes : il s’agissait d’une étude observationnelle quantitative rétrospective, interrogeant la période du 17 mars au 11 mai 2020. Un auto-questionnaire en ligne de 14 questions a été diffusé via le CDOM aux 1 153 médecins généralistes de l’Hérault installés depuis plus d’un an. Résultats : 77 individus ont été inclus parmi les 106 répondants au questionnaire. La téléconsultation pour contraception a été pratiquée par 82% des répondants, dont 52% à raison de plus de 50% du temps. 100% des médecins ont réalisé un interrogatoire avant initiation de contraception hormonale lors des téléconsultations. 39,5% des médecins ont maintenu les consultations en présentiel en cas de symptômes de Covid. Conclusion : cette étude de faible puissance a mis en évidence une organisation rapide et efficace des médecins généralistes pour faire face à la crise sanitaire et permettre la continuité des soins en sécurité, notamment dans le domaine de la contraception. Il serait intéressant de poursuivre la recherche en explorant le champ du développement de la téléconsultation, y compris en interrogeant le vécu des patientes durant cette période.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
COVID-19
confinement de risques biologiques
mars
médecins généralistes
Médecins
médecin (médecine générale)
contraception
consultants
orientation vers un spécialiste
Pratique
médecine de famille
contraception

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N1-SUPERVISEE
Recommandations sur la durée de contraception dans les essais cliniques
https://ansm.sante.fr/documents/reference/recommandations-sur-la-duree-de-contraception-dans-les-essais-cliniques
L'objectif de cette note d’information est de compléter les recommandations existantes relatives à l'atténuation du risque embryofœtal et de fournir des conseils pratiques aux promoteurs sur la durée d'utilisation de moyens contraceptifs à prévoir dans les essais cliniques lorsqu’un des médicaments à l’étude présente un potentiel génotoxique. Ce document s'applique à tous les médicaments expérimentaux, à l'exception des médicaments de thérapie innovante (MTI)...
2021
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ANSM - Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé
France
français
recommandation professionnelle
essais cliniques comme sujet
contraception
temps
Embryofoetopathie d'exposition toxique ou médicamenteuse
maladies foetales
maladies foetales
malformations dues aux médicaments et aux drogues

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N2-AUTOINDEXEE
Avis d'experts No. 72 Risque thromboembolique sous contraception hormonale
https://www.sggg.ch/fileadmin/user_upload/Dokumente/3_Fachinformationen/72_franz_Thromboembolierisiko_unter_hormonaler_Kontrazeption_ersetzt_No_35__2___002_.pdf
Le risque thromboembolique sous contraceptifs hormonaux combinés (CHC) a été réduit au cours des 30 dernières années grâce au développement de CHC faiblement dosés (micropilule) ( 35 μg d’éthinylestradiol (EE)). Le risque faiblement élevé de thromboembolie par rapport aux non-utilisatrices varie également dans le groupe des préparations à faible dose, en fonction du progestatif utilisé. Les CHC contenant des progestatifs de troisième et de quatrième génération (gestodène, désogestrel, drospirénone), ainsi que les CHC à base d’acétate de cyprotérone (CPA) sont associés à un risque thromboembolique faiblement accru par rapport aux progestatifs de seconde génération, tels que le lévonorgestrel (LNG) par exemple.
2021
SSGO - Société Suisse de Gynécologie et d'Obstétrique
Suisse
recommandation pour la pratique clinique
hormones
contraception
Contraception hormonale
Avis d'expert
thromboembolie
risque
hormone
Acrophobie
expertise
thromboembolie
Thromboembolie
contraception
thromboembolie

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N1-SUPERVISEE
La contraception masculine: ça fait mâle?
https://www.reiso.org/articles/themes/genre/6901-la-contraception-masculine-ca-fait-male
En Suisse, bien que la contraception soit majoritairement assumée par les femmes, cela ne signifie pas que les hommes en soient désinvestis. Les intérêts de la pharma et, surtout, les représentations de genre expliquent ces blocages.
2021
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REISO - Revue d’information Sociale et Santé de Suisse romande
Suisse
dispositifs contraceptifs masculins
Mâle
information patient et grand public
contraception

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N2-AUTOINDEXEE
Contraception : où en sommes-nous ?
https://ansm.sante.fr/actualites/contraception-ou-en-sommes-nous
Préférences pour les pilules de première et deuxième génération, utilisation des DIU, les dernières données de vente publiées par l’Agence nationale de sécurité du médicament et produits de santé (ANSM) montrent la poursuite des évolutions dans l’utilisation des contraceptifs en France. A l’occasion de la Journée mondiale de la contraception le 26 septembre, Santé publique France et l’ANSM rappellent l’importance d’adapter son moyen contraceptif à son mode de vie...
2021
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ANSM - Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé
France
français
recommandation
contraception

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N3-AUTOINDEXEE
Attitude des jeunes garçons de 15 à 25 ans à l'égard des risques liés à la sexualité (Contraception et Papillomavirus)
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03578295
CONTEXTE : L’âge moyen des premiers rapports sexuels en France se situe à 17 ans depuis maintenant une dizaine d’années. Nous observons cependant une modification des pratiques sexuelles. Bien qu’ayant tendance à la diminution, le taux d’interruptions volontaires de grossesses stagne depuis une dizaine d’années malgré de nombreuses réformes facilitant l’accès à la contraception. Au cours de sa vie, 75% de la population sexuellement active sera infectée par un papillomavirus, ce qui en fait la maladie sexuellement transmissible la plus répandue. Une nouvelle recommandation de la HAS a fait son apparition début 2021 proposant la vaccination aux jeunes garçons. OBJECTIF : L’objectif de l’étude est de recueillir l’avis de jeunes garçons sur leur rôle dans la contraception au sein du couple ainsi que leur acceptation d’une potentielle pilule masculine et de la vaccination contre le papillomavirus. MÉTHODE : Il s’agit d’une étude qualitative réalisée par entretiens semi-dirigés auprès d’un panel diversifié de 20 garçons âgés de 15 à 25 ans révolus, de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Inclusion jusqu’à saturation théorique des données. Analyse thématique indépendante par deux chercheuses. RÉSULTATS : Les jeunes participants manquaient de connaissances, tout particulièrement en ce qui concernait le papillomavirus. Cela engendrait quelques interrogations de leur part sur la vaccination, bien qu’une majorité l’envisageait. De la même manière, ces lacunes, ainsi que d’éventuels effets indésirables, impactaient l’acceptation d’une pilule masculine. Ils se considéraient dans l’ensemble impliqués dans la contraception au sein du couple, majoritairement par l’utilisation du préservatif qui reste la méthode masculine de référence, les autres disponibles à ce jour étant jugées moins pratiques. Afin de limiter ces freins, le médecin traitant pourrait être un élément essentiel en améliorant la communication, pour le moment quelque peu insuffisante. CONCLUSION : L’acceptation d’une nouvelle contraception hormonale masculine ainsi que de la vaccination contre le papillomavirus pourrait être favorisée par une meilleure communication. D’une part, le médecin traitant pourrait prendre une place plus importante dans la prévention par une information plus régulière. D’autre part, davantage d’interventions en milieu scolaire seraient souhaitables, tout comme le développement d’autres modes de communication plus adaptés à cette génération.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
attitude
Garçons
papillomavirus
état sexuel
Rapports sexuels protégés
dû à
contraception
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Risque
contraception
adolescent
Sexualité
posture

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N3-AUTOINDEXEE
Quels sont les freins au développement de la contraception masculine ?: une revue de la littérature en sciences médicales et en sciences sociales
https://pepite-depot.univ-lille.fr/RESTREINT/Th_Medecine/2021/2021LILUM254.pdf
Introduction : Depuis la révolution contraceptive dans les années 1960, l’offre contraceptive féminine n’a cessé de s’étoffer. Les méthodes de contraception masculine restent elles limitées aux anciennes méthodes : retrait et préservatif, auxquelles s’ajoute une méthode de stérilisation : la vasectomie. Comment expliquer en 2021 une telle asymétrie entre offre contraceptive féminine et offre contraceptive masculine ? Objectifs : L’objectif de ce travail est d’identifier et d’analyser, à travers une revue de la littérature, les freins au développement de la contraception masculine (CM). Méthode : Une revue de la littérature a été réalisée dans les principales bases de données en sciences médicales et en sciences sociales. Après inclusion et lecture des articles, une liste de freins potentiels a été établie puis confrontée aux données issues de la recherche. Résultats : 21 articles de type « revue », 214 essais cliniques et études d’acceptabilité et 38 articles de sociologie ont été inclus et analysés. Les principaux freins potentiels identifiés portaient sur l’efficacité, les effets secondaires, la réversibilité, l’acceptabilité, le manque d’investissement dans la recherche, l’histoire de la contraception et les représentations sociales traditionnelles genrées. Conclusion : Plus de 50 années de recherche ont permis de prouver qu’une CM efficace, sans effet secondaire grave et réversible était possible. Hommes et femmes se disent prêts à utiliser une CM. Le développement de cette dernière semble freiné par l’absence d’investissement de l’industrie pharmaceutique et les représentations sociales traditionnelles genrées.
2021
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
la science dans la littérature
Contraception masculine
frein
littérature de revue comme sujet
sexe masculin, sai
Sciences médicales
Sciences de la littérature
contraception
la médecine dans la littérature
Sciences medicales
contraception
sciences sociales

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N2-AUTOINDEXEE
Endocrinologie - Contraception
UE 02 - Item 035
https://sides.uness.fr/corpus/Endocrinologie:Contraception
Objectif(s) Prescrire et expliquer une contraception (voir item 326 – UE 10 : Prescription et surveillance des classes de médicaments les plus courantes chez l’adulte et chez l’enfant. Connaître pour chacune les mécanismes d’action de classe et des produits individuels, les principes du bon usage, les critères de choix d’un médicament en première intention, les causes d’échec, les principaux effets indésirables et interactions : (…) contraceptifs.
2021
UNESS - Université Numérique en Santé et Sport
France
cours
contraception
Endocrinologie
endocrinologie
contraception

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N2-AUTOINDEXEE
Item 36 - Contraception masculine
https://www.urofrance.org/wp-content/uploads/2021/11/Item-36-Contraception-.pdf
Le préservatif masculin; Le coitus interruptus (retrait); Traitement hormonal; Substances spermicides; Vasectomie
2021
Urofrance - Association Française d'Urologie
France
cours
Contraception masculine
sexe masculin, sai
contraception
contraception

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N2-AUTOINDEXEE
Contraception et risque de TEV dans le contexte de la COVID-19
https://www.sogc.org/common/Uploaded%20files/Covid%20Information/FR_Contraception-and-VTE-risk-in-the-context-of-COVID-19.pdf
Les femmes atteintes de la COVID-19 peuvent poursuivre toute forme de contraception déjà commencée, y compris la contraception hormonale combinée, peu importe la gravité de la maladie. Forme légère et asymptomatique ne nécessitant pas d’hospitalisation. À l’heure actuelle, il n’existe pas de données probantes permettant d’associer les formes légères et asymptomatiques de la COVID-19 qui ne nécessitent pas d’hospitalisation à un risque accru de thromboembolie veineuse (TEV). Dans ce contexte, toute forme de contraception, y compris la contraception hormonale combinée à libération d’oestrogène, peut se poursuivre sans modification.
2021
SOGC - Société des Obstétriciens et Gynécologues du Canada
Canada
COVID-19
recommandation professionnelle
contraception
risque
COVID-19
contraception
thromboembolisme veineux

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N3-AUTOINDEXEE
Contraception
https://www.medg.fr/contraception
2021
MedG - petite Encyclopédie Médicale pour professionnels de santé
France
matériel enseignement
information scientifique et technique
contraception
contraception

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N3-AUTOINDEXEE
Contraception d‘urgence
https://www.medg.fr/contraception-durgence
2021
MedG - petite Encyclopédie Médicale pour professionnels de santé
France
matériel enseignement
information scientifique et technique
contraception
contraception

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N3-AUTOINDEXEE
Données validées concernant les effets secondaires de la contraception hormonale touchant à la vie psychique et/ou sexuelle: revue de la litterature
http://www.sudoc.fr/242178618
INTRODUCTION : L’objectif de ce travail était de recenser les données validées publiées sur les effets secondaires de la contraception hormonale touchant à la vie psychique et/ou sexuelle. Une revue systématique de la littérature scientifique publiée entre janvier 2008 et décembre 2018 a été réalisée, faisait appel aux bases de données MEDLINE, CAIRN, SCIENCE DIRECT, WILEY ONLINE LIBRARY et WEB OF SCIENCE. Toute étude analysant les effets secondaires d’une ou des méthodes de contraception hormonale comprenant les troubles de la libido, la sécheresse vaginale, les leucorrhées, les troubles de l’humeur et l’impact psychologique était retenue. RÉSULTATS : 76 études ont été incluses dans la revue, dont seulement 23 études de niveau de preuve suffisant. Les travaux les plus signifiants ont porté essentiellement sur des méthodes de contraception hormonale combinée. Dans cette revue, les méthodes contraceptives hormonales les plus prescrites en ‑rance n’ont pas montré d’impact négatif, mis à part l’anneau vaginal. Elles ont montré soit une amélioration de la vie psychique et/ou sexuelle ou soit pas de modification. Mais ces résultats se basent sur trop peu d’études scientifiques incluses avec un niveau de preuve suffisant pour en tirer des conclusions pertinentes. CONCLUSION : Cette revue met en lumière une littérature scientifique riche sur le sujet mais avec des résultats très peu exploitables, comprenant peu d’études avec un niveau de preuve scientifique suffisant. Les données étudiées sont peu caractéristiques des pratiques de prescription françaises : les méthodes contraceptives analysées sont peu utilisées et prescrites dans ce pays. L’impact de la contraception hormonale sur la vie psychique et/ou sexuelle féminine reste encore insuffisamment étudié pour fournir des données validées pour guider la pratique clinique.
2020
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
psyché, sai
littérature de revue comme sujet
contraception
hormones
Littérature
hormone
ensemble de données
contraception
vie
Contraception hormonale
ensemble de données

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N3-AUTOINDEXEE
Menstruation et contraceptions : étude des facteurs influençant la prescription d'une contraception dans le but d'induire une aménorrhée
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03333860
L'aménorrhée contraceptive permet d'envisager et d'intégrer le choix des règles en contraception. Ceci est d'autant plus intéressant que l'inconfort menstruel est un motif fréquent de consultation. C'est un sujet d'actualité, avec l'arrivée de contraceptifs dédiés à cet usage et répond également à un souhait croissant des femmes d'espacer leurs menstruations pour des raisons médicales ou de confort. Pourtant, les études internationales montrent que peu de femmes se sont déjà vu proposer ces schémas, alors que les médecins étaient informés de cette possibilité. Le choix des règles en contraception semblent donc être dépendant de l'attitude du médecin envers l'aménorrhée contraceptive. Quels sont les facteurs pouvant influencer leur proposition de prescription ? Matériel et méthodes : c'est une étude qualitative de type théorisation ancrée. Les participants ont été recrutés auprès des médecins généralistes du département audois avec réalisation d'entretiens semi-dirigés basés sur un guide d'entretien. Résultats : les praticiens comprennent les bénéfices qu'apporte le choix des règles, mais tous n'en font pas une priorité. La pratique était dépendante de la représentation des médecins sur les règles et sur l'aménorrhée, oscillant entre science, croyances populaires et débats de société. Les habitudes de pratique impactaient la décision, faisant des progestatifs une référence malgré un profil imparfait et des œstro-progestatifs une forme de confort ponctuel. Les croyances du praticien, l'absence de gestes techniques et un manque de références claires s'avèrent être des freins à la proposition d'une aménorrhée. La proposition dépendait également de la perception qu'avait le médecin du vécu, des connaissances et des représentations de sa patiente à ce sujet. Certains associaient à l'aménorrhée contraceptive une notion de liberté et une volonté de rendre la patiente actrice de sa contraception. Ils développaient une approche centrée patiente pour faire face aux différents freins, avec la réalisation d'une éducation pour la santé, favorisant l'essai d'une contraception sans règles, ce qui s'avère être un facteur de satisfaction et d'adhésion auprès des femmes. Conclusion : l'aménorrhée contraceptive place le praticien entre un choix de pratique, avec l'intégration du choix des règles, et de thérapeutique, par le choix d'un contraceptif. Il bénéficie d'une liberté de prescription qui va être influencée par sa patiente (vécu, connaissances, milieu socio-culturel, …), par sa propre condition en tant qu'expert (connaissances, habitudes de pratique, recommandations) et en tant qu'individu (croyances, expériences personnelles) ainsi que par des facteurs externes (temps de consultation, territoire d'exercice).
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
facteur
aménorrhée
Aménorrhée
menstruation
contraception
aménorrhée
prescription
contraceptifs
contraception
collecte de données

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N3-AUTOINDEXEE
La délivrance de l'information sur la contraception : état des lieux des pratiques des médecins généralistes à Marseille
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03049011
Matériel et méthodes : il s’agissait d’une enquête quantitative, descriptive et transversale. Nous avons élaboré un questionnaire anonyme portant sur les pratiques vis-à-vis de l’information donnée en matière de contraception. Il s’adressait aux médecins généralistes en activité de la ville de Marseille recrutés par échantillonnage aléatoire entre mars et juin 2020. Résultats : la majorité des médecins interrogés déclaraient effectuer une consultation entièrement dédiée à l’instauration d’une contraception. Peu de médecins utilisaient un support d’aide à la décision. Les médecins interrogés ne présentaient pas l’intégralité des méthodes contraceptives existantes. Concernant la conduite à tenir en cas d’oubli et la contraception d’urgence, les médecins n’informaient pas toujours leurs patientes à ce sujet lors de l’initiation d’une contraception et très rarement lors de son renouvellement. La question de satisfaction d’utilisation du moyen contraceptif en cours n’était abordée que par la moitié des médecins interrogés. La pratique d’une formation en gynécologie et le sexe des praticiens influençaient de façon statistiquement significative la délivrance de l’information sur la contraception. Conclusion : les résultats de ce travail permettaient d’apporter une critique constructive des pratiques médicales et de trouver des pistes pour les améliorer. Promouvoir un support informatif répertoriant les différentes méthodes contraceptives et leur utilisation permettrait d’encourager les praticiens à davantage informer leurs patientes sur l’ensemble des méthodes contraceptives disponibles dans l’optique d’un choix plus éclairé. Rappeler l’information lors des consultations de renouvellement permettrait à la patiente de mieux retenir son contenu. Il faut inciter les médecins à réévaluer constamment les possibles effets secondaires et la satisfaction du moyen utilisé, de laquelle découle l’adhésion de cette méthode. Nous avons remarqué que la formation médicale initiale et/ou continue des médecins généralistes était insuffisante. Or, la pratique d’une formation en gynécologie influence significativement les bonnes pratiques des médecins. Ces résultats doivent donc permettre d’encourager la formation des médecins généralistes en gynécologie.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Pratique
médecins généralistes
accouchement (procédure)
contraception
médecine d'État
Médecins
contraception

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N3-AUTOINDEXEE
Parcours contraceptif autour des interruptions volontaires de grossesse : réévaluation de la contraception à la consultation pré-IVG
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03048092
Objectifs : L’objectif principal est de décrire le parcours contraceptif autour des IVG. Les objectifs secondaires sont de décrire les causes d’échec ou d’abandon de la contraception ; et déterminer si le choix de méthode contraceptive fait en consultation pré-IVG est maintenu en consultation post-IVG. Méthodes : Cette étude est rétrospective descriptive monocentrique réalisée au centre d’orthogénie de l’HCE entre le 1er mai et le 30 juin 2019. Les données sont issues des dossiers papiers des patientes. Résultats : Lors de la grossesse 44,6% des patientes n’utilisaient pas de contraception ; 22,6% prenaient la pilule, 19,5% utilisaient des préservatifs. En post-IVG, 55% des contraceptions prescrites étaient des méthodes à longue durée d’action et 36% des patientes ont choisi la pilule. Les causes les plus fréquentes d’échec de contraception étaient la mauvaise utilisation ou la non réussite de la méthode (23%). 49% des patientes étaient présentes à la consultation post-IVG et parmi elles 89% avaient maintenu leur choix contraceptif. Conclusion : En post-IVG on note une augmentation nette de l’efficacité des méthodes contraceptives prescrites. Il y a un bon maintien du choix contraceptif malgré le fort taux d’absentéisme.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
contraception
Défaillance cardiaque gauche
orientation vers un spécialiste
Prairie
interruption légale de grossesse
interruption volontaire de grossesse
grossesse
contraception
Interruption volontaire de grossesse
Insuffisance ventriculaire gauche
Consultants
contraceptifs
défaillance cardiaque
consultants

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N3-AUTOINDEXEE
L'abord de la première contraception, en cabinet de médecine générale, entre la France et l’Île Maurice
http://www.sudoc.fr/251008681
Contexte : Le médecin généraliste tient une place importante dans le choix de la contraception, que ce soit en France ou à l’Île Maurice. Cependant, une méconnaissance sur la contraception existe chez les jeunes filles à l’Île Maurice avec de nombreuses grossesses non désirées et le recours à des IVG cependant interdites par la loi. En France, les femmes se disent bien informées sur ce sujet mais le taux de recours à l’IVG chez les jeunes filles reste néanmoins stagnant. Objectif : Faire une comparaison de l’abord de la première contraception, au niveau de l’information, de la prescription et de la prévention, entre deux pays très différents, la France et l’Île Maurice, afin d’identifier les forces et les freins de cette consultation. Méthode : Une étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés auprès de 6 médecins généralistes du Nord-Pas-de-Calais et de 6 médecins généralistes de l’Île Maurice, avec retranscription intégrale avant triangulation. Une analyse par théorisation ancrée a été réalisée jusqu’à suffisance des données. Résultats : En France et à l’Île Maurice, la majorité des médecins généralistes prescrit une contraception en tenant compte des champs médicaux et non médicaux de la patiente. Cependant, la prise en charge des mineures reste floue, et la sexualité, nommée comme thème primordial à évoquer, n’est que peu abordée dans les deux pays. Le rôle de prévention est quasi inexistant à l’Île Maurice. Conclusion : Les résultats de cette étude tendent vers la délivrance d’une information complète et vers un respect des souhaits de la patiente. En France, un rappel de l’