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N3-AUTOINDEXEE
Opinion des médecins généralistes concernant l'implication des hommes dans la contraception
https://dune.univ-angers.fr/fichiers/20130559/2023MCEM16220/fichier/16220F.pdf
Introduction : la contraception est un sujet d’actualité. Les hommes prennent une place grandissante dans la vie des foyers et seraient intéressés par un investissement plus important dans la contraception. Qu’en pensent les médecins généralistes, quel rôle peuvent-ils prendre ? Méthodes : étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés de médecins généralistes du Maine-et -Loire, réalisés entre mai 2022 et février 2023. Recrutement des participants par mail, puis par effet boule de neige. Recueil du consentement oral en début d’entretien. Enregistrement puis retranscription ad integrum et anonymisation. Double codage d’une partie des entretiens. Analyse au fur et à mesure jusqu’à saturation des données plus un entretien, par une méthode s’approchant de la théorisation ancrée. Résultats : 10 entretiens ont été réalisés d’une durée moyenne de 16 minutes. Les médecins décrivaient les hommes comme non impliqués dans la contraception. Des freins à l’implication comme l’ambivalence du souhait des femmes étaient décrits. Elles gardaient le monopôle du contrôle des naissances car le poids de l’IVG reposait sur elles. Les préjugés décrivant les hommes comme irresponsables participaient à leur mise à l’écart. Les médecins formulaient d’autres excuses pour ne pas parler contraception avec les hommes : oubli, manque de temps, absence de méthode contraceptive à leurs proposer, crainte de s’immiscer dans l’intimité des couples. A contrario, la peur de devenir père pouvait favoriser un investissement de l’homme et le post-partum était décrit comme idéal pour aborder la contraception. Les médecins reconnaissaient un intérêt croissant pour la vasectomie. Leurs rôles étaient d’écouter, d’accompagner et d’éduquer les hommes en passant par des consultations de couples ou dédiés à la santé sexuelle. Conclusion : les médecins se sentaient légitimes à impliquer davantage les hommes dans la contraception quand bien même la place qu’ils leurs laissaient était dérisoire. La clé de voute semblait être la position des femmes. Une prise de conscience des médecins de l’évolution de la société vers une égalité des sexes permettrait d’en finir avec une vision genrée de la contraception. La part des médias pour divulguer les informations et les connaissances ne devrait pas être négligée.
2023
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
jugement
contraception
homme médecine
contraception
médecins généralistes
Médecins
hommes

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N3-AUTOINDEXEE
Accueil de la consultation longue « santé sexuelle » chez le jeune homme : étude réalisée auprès des médecins généralistes installés en Savoie, Haute-Savoie et Isère
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04087915
Introduction : En 2017, le gouvernement a mis en place une première consultation de contraception et de prévention des IST pour les jeunes filles de 15 à 17 ans inclus. Cette consultation n’a eu qu'un impact modéré sur les chiffres de prévention. En janvier 2022, une nouvelle consultation nommée « santé sexuelle » a été créé pour tous les jeunes de 12 à 25 ans. Objectifs : L’objectif principal était de connaître la fréquence des médecins généralistes favorables à la nouvelle consultation santé sexuelle. Les secondaires étaient d’identifier les motivations et les freins à cette nouvelle consultation et de trouver des facteurs associés au fait d’être favorable ou défavorable. Méthode : Étude transversale descriptive basée sur un auto questionnaire pseudonymisé sur la plateforme Limesurvey. La diffusion a été réalisée par messagerie sécurisée, en septembre 2022, à 900 médecins généralistes sélectionnés aléatoirement sur les listes des départements de Savoie, Haute-Savoie et Isère. Résultats : 205 questionnaires ont été analysés. 94,6% des répondants sont favorables à la généralisation de la consultation. Les motivations principales sont la responsabilisation des garçons (76,1%) et la réduction des IST (66,8%). La présence parentale (62,4%) et le faible nombre de consultation de l’adolescent (75,1%) sont nos principaux freins. En univariée, l’exercice en groupe (p 0,014) et l’âge plus jeune (p 0,011) sont associés au fait d’être favorable. L’analyse multivariée ne retrouve pas de différence significative. Conclusion : Les médecins généralistes sont favorables à la généralisation de la consultation santé sexuelle aux 2 sexes. L’action conjointe des établissements scolaires et des professionnels de santé serait pertinente. Cette consultation promeut la responsabilité partagée en matière de santé sexuelle.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
Santé sexuelle
Homme
Enfant placé en famille d'accueil
santé masculine
Etudes générales
Homme
Etudes générales
Etudes générales
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collecte de données
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orientation vers un spécialiste
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06/05/2024


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