Libellé préféré : Garçons;
Identifiant d'origine : M000611921;
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Record lié au concept
N2-AUTOINDEXEE
Vacciner filles et garçons contre les papillomavirus dans les collèges ? avis du conseil
scientifique du CNGE
https://www.cnge.fr/conseil_scientifique/productions_du_conseil_scientifique/avis_du_conseil_scientifique/vacciner_filles_et_garcons_contre_les_papillomavir/
En 2019, la Haute Autorité de santé a émis un avis favorable à l’élargissement de
la vaccination contre les papillomavirus (HPV) à tous les garçons âgés de 11 a 14
ans révolus avec un rattrapage possible pour les adolescents et jeunes adultes âgés
de 15 a 19 ans re volus1 et jusqu’à 26 ans révolus pour les hommes ayant des relations
sexuelles avec des hommes. En France, les données les plus récentes montrent une couverture
vaccinale pour un schéma complet à 41,5% (jeunes filles nées en 2006)2. Dans le but
d’élargir la couverture vaccinale et d’atteindre l’objectif de 80% en 2030 selon la
stratégie décennale de lutte contre les cancers3, la vaccination anti-HPV sera proposée
aux élèves volontaires (filles et garçons) des classes de cinquième. Environ 70% à
80% des personnes sexuellement actives seront infectées au moins une fois dans leur
vie par un HPV1. L’infection asymptomatique régresse le plus souvent mais peut persister
chez certains patients et générer des lésions pré-cancéreuses et cancéreuses génitales,
anales, et ORL. Le cancer du col de l’utérus (CCU) est le cancer lié aux HPV le plus
fréquent avec près de 3 000 nouveaux cas et 1 100 décès par an en France.
2023
CNGE - Collège National des Généralistes Enseignants
France
information scientifique et technique
Filles
vaccine
vaccin
vaccination
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins contre les papillomavirus
famille nucléaire
Assistance
vaccination
vaccination; médication préventive
Vaccine
papillomavirus
établissements scolaires
Vaccins
Garçons
jugement
---
N3-AUTOINDEXEE
Déterminants de la décision parentale d’une vaccination anti-papillomavirus chez un
garçon
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04155786
Introduction : l’infection à papillomavirus humain est l’infection sexuellement transmissible
la plus fréquente. Depuis décembre 2019, la Haute Autorité de Santé recommande l’élargissement
de la vaccination anti-papillomavirus aux garçons. Ce vaccin concerne surtout des
mineurs, dont la décision de vaccination revient aux parents. Nous ne savons pas comment
les parents de garçons perçoivent la vaccination depuis son remboursement pour les
adolescents de sexe masculin. Objectif : l’objectif de cette étude est de déterminer
les facteurs sur lesquels les parents de garçons basent leur décision de vaccination
de leur fils contre le papillomavirus. Matériel et méthode : il s’agit d’une étude
qualitative descriptive menée par entretiens semi-dirigés individuels auprès de 18
parents de garçons âgés de 11 à 18 ans. Résultats : la majorité des parents interrogés
est favorable à la vaccination anti-papillomavirus de leur fils. Le principal facteur
favorisant est l’information sur la vaccination anti-papillomavirus des garçons. Les
autres facteurs favorisants sont le besoin de protection, les qualités de fiabilité
et d’utilité du vaccin, la qualité de la relation parent-médecin, la préoccupation
par rapport à la sexualité de leur fils et la présence de proches concernés par le
papillomavirus ou par une maladie grave. La vaccination en milieu scolaire favoriserait
la décision de vaccination. Les caractères d’incertitude (crainte des effets indésirables)
et d’inutilité du vaccin, la présence de contraintes logistiques et contextuelles,
la vision réduite de la sexualité de leur fils, la relation parent-médecin dégradée
(absence de recommandation de la vaccination par le médecin, méfiance vis-à-vis du
médecin), le manque d’intérêt pour le sujet et le sentiment de vaccination excessive
sont des freins à la décision de vaccination. Discussion : la délivrance d’informations
de qualité par un professionnel de santé a un impact positif sur la décision vaccinale
des parents. Ainsi, il semble nécessaire de renforcer les actions d’informations sur
la vaccination anti-papillomavirus des garçons auprès des parents afin d’augmenter
l’adhésion vaccinale. Après la mise en œuvre de la campagne de vaccination scolaire
à la rentrée 2023, il serait intéressant de mesurer son impact sur la décision vaccinale
des parents.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
vaccination
Parent
vaccination
papillomavirus
Vaccins contre les papillomavirus
Garçons
papillomavirus
vaccination
vaccination; médication préventive
---
N3-AUTOINDEXEE
Vaccins gratuits contre les virus du papillome humain (VPH) et les hépatites A et
B pour les garçons et les filles en 4e année du primaire - Août 2023
https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/document-000111/
Le dépliant Vaccins gratuits contre les virus du papillome humain (VPH) et les hépatites
A et B pour les enfants en 4e année du primaire fournit de l'information aux parents
en vue d'un consentement éclairé à la vaccination contre le VPH et les hépatites A
et B.
2023
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MSSS - Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec
Canada
brochure pédagogique pour les patients
Vaccins
vaccins antiviraux
Garçons
virus de la vaccine
hépatite virale b
Papillome
vaccination
papillomavirus humain
Hépatite
virus de la vaccine
Vaccine
Filles
Virus
hépatite B
famille nucléaire
Virus du papillome humain
vaccination; médication préventive
papillomaviridae
Virus
hepatite
principal
hommes
---
N2-AUTOINDEXEE
La vaccination contre les cancers HPV, pour les filles et les garçons dès 11 ans.
https://vaccination-hpv.e-cancer.fr/
2022
INCa - Institut National du Cancer
France
information patient et grand public
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccine
famille nucléaire
Garçons
vaccination
vaccination; médication préventive
papillomavirus humain de type 11
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination
Vaccination
Vaccins
Filles
---
N3-AUTOINDEXEE
Attitude du médecin généraliste en Martinique envers la vaccination contre les papillomavirus
humains chez le garçon
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03903345
Introduction : IST la plus fréquente au monde, HPV est responsable, chez les hommes,
de lésions bénignes et malignes. Le vaccin contre les HPV recommandé et remboursé
chez la jeune fille depuis 2007, l’est chez les jeunes garçons depuis le 1er janvier
2021. Objectif : ce vaccin est sûr et efficace, pourtant peu prescrit en France et
encore moins en Martinique. Nous voulions évaluer l’attitude du médecin généraliste
en Martinique envers la vaccination anti HPV chez les garçons et ainsi connaitre les
motifs de prescription ou de non-prescription. Méthodes : nous avons réalisé une étude
qualitative exploratoire à visée descriptive. Des entretiens individuels semi-dirigés
via un questionnaire de 16 questions ont été effectués sur un échantillon aléatoire
de 12 médecins généralistes installés en Martinique. Résultats : contrairement aux
propositions de vaccination chez les jeunes filles, les propositions des médecins
interrogés à destination des jeunes garçons sont peu nombreuses. Leur démarche vaccinale
est aussi confrontée à de nombreux obstacles. Notamment, le manque de connaissances
des médecins généralistes sur les lésions liées à HPV chez l’homme ainsi que sur les
bénéfices de la vaccination, l’abord de la sexualité chez l’adolescent et le refus
des patients lié à une crainte du vaccin. Selon eux, les voies à suivre pour améliorer
l’efficience du médecin traitant dans cette prise en charge pourraient être la mise
à jour régulière des connaissances médicales, des campagnes d’information grand public,
la restauration du lien patient-médecin mais aussi le recours à l’obligation vaccinale.
Conclusion : notre étude a permis de mettre en lumière les principaux freins rencontrés
par le médecin généraliste en Martinique dans le projet thérapeutique qu’est la vaccination
anti HPV chez le garçon. Elle a permis également de connaitre des pistes de travail
pour favoriser l’amélioration de la couverture vaccinale.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Vaccins contre les papillomavirus
attitude
posture
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccine
médecins généralistes
médecine générale
Martinique
vaccination
vaccination
papillomaviridae
vaccination; médication préventive
Vaccins
Garçons
papillomavirus humain
Médecins
Vaccins contre les papillomavirus humains
---
N3-AUTOINDEXEE
Etude de l'adhésion à la vaccination contre le papillomavirus chez les parents des
garçons de 11 à 19 ans
http://thesesante.ups-tlse.fr/3963/
Introduction : la vaccination contre le HPV apparait comme une stratégie efficace
pour lutter contre les infections à papillomavirus qui touchent aussi bien les hommes
que les femmes. L'objectif principal de cette étude était de recueillir l'avis des
parents des garçons concernés par cette vaccination. Matériel et méthodes : étude
épidémiologique observationnelle, transversale, réalisée à l'aide d'un questionnaire
diffusé aux parents ayant des garçons de 11 à 19 ans, sur l'ensemble du territoire
français. Résultats : 617 réponses ont été obtenues et 581 ont été analysées. L'intention
de vaccination est favorable à 79,7% et défavorable pour 20,3% des parents. La présence
d'une fille vaccinée dans la fratrie, les connaissances et du remboursement du vaccin
chez le garçon, un accès à une source d'information fiable, semblent être des facteurs
influençant la décision. Conclusion : la connaissance des freins et des leviers à
la vaccination contre le HPV permet d'améliorer la communication autour de ce virus
et ainsi de sensibiliser au mieux la population générale afin de lui permettre de
faire un choix éclairé concernant sa santé.
2022
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
parents
parent
Vaccins
vaccination; médication préventive
vaccination
vaccination
adhésif
adhésifs
Garçons
dû à
Vaccins contre les papillomavirus
collecte de données
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus
Vaccine
---
N2-AUTOINDEXEE
Syndrome 48,XXYY et autres tétrasomies ou pentasomies des gonosomes chez le garçon
Guide maladie chronique
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3374425/fr/syndrome-48-xxyy-et-autres-tetrasomies-ou-pentasomies-des-gonosomes-chez-le-garcon
Ce protocole national de diagnostic et de soins (PNDS) explicite aux professionnels
concernés la prise en charge diagnostique et thérapeutique optimale et le parcours
de soins d’un patient atteint d’un syndrome 48,XXYY ou d’une autre tétrasomie ou pentasomie
des gonosomes chez le garçon. Il a été élaboré par le Centre de Référence Déficiences
Intellectuelles de causes rares DefiBourgogne, le Centre de référence Anomalies du
Développement et Syndromes Malformatifs de l’Interrégion Est et le Centre de compétences
Maladies Rares à expression Psychiatrique à l’aide d’une méthodologie proposée par
la HAS. Il n’a pas fait l’objet d’une validation par la HAS qui n’a pas participé
à son élaboration.
2022
HAS - Haute Autorité de Santé
France
recommandation pour la pratique clinique
Maladie chronique
autres guides
Garçons
précis
Maladies
syndrome de Klinefelter
tétrasomie
maladie chronique
Tétrasomie
maladie chronique
chromosomes sexuels
tétrasomie
---
N3-AUTOINDEXEE
Que pensent les parents de garçons de 11 à 19 ans de la vaccination papillomavirus
?: étude qualitative sur le ressenti à la vaccination papillomavirus en médecine générale
https://pepite-depot.univ-lille.fr/LIBRE/Th_Medecine/2022/2022ULILM022.pdf
Introduction : Les infections par les HPV sont parmi les IST les plus fréquentes.
Dans de très rares cas, elles peuvent évoluer en cancer. Chaque année en France, 6300
nouveaux cancers sont HPV-induits dont 29% surviennent chez les hommes. La vaccination
HPV est disponible depuis 2006 pour les jeunes filles. En 2019, la HAS publie ses
nouvelles recommandations et élargit la vaccination HPV aux jeunes garçons. L’objectif
principal de cette étude était de décrire les représentations des parents et de préciser
les critères déterminants de la réalisation cette vaccination. Méthode : Étude qualitative
par entretiens semi-dirigés réalisés auprès de 10 patients dans un cabinet de médecine
générale des Hauts de France. L’analyse des données a été réalisée à l’aide du logiciel
Nvivo version 12, avec une triangulation. Résultats : Les déterminants décisionnels
de la vaccination HPV sont multifactoriels. Les parents estiment ne pas avoir une
information suffisante. Ils se considèrent comme les garants de la santé de leurs
enfants et s’impliquent émotionnellement dans leur processus de réflexion. Aborder
la sexualité leur semble systématique lors de la présentation des vaccins HPV ce qui
peut être un frein pour certains. Ils estiment que l'avis de leur fils est indispensable
à la prise de décision. Les freins principaux sont la crainte des effets secondaires
et la méfiance due aux polémiques médiatiques de ces dernières années. Le principal
levier d’acceptabilité demeure l’accès à une information claire et loyale. Cette information
est attendue en priorité de la part du médecin généraliste, source de savoir et de
confiance. Conclusion : Cerner et combattre les fondements de la défiance vaccinale
constituent des enjeux de santé publique. Le médecin généraliste joue un rôle central
dans la mission de prévention et dans la proposition vaccinale. Uniformiser les messages
transmis par les scientifiques et les politiques en réalisant une campagne d’information
à échelle nationale semble essentiel afin d’améliorer la couverture vaccinale.
2022
PEPITE - Panorama des productions universitaires - Université Lille 2 Droit et Santé
France
thèse ou mémoire
recherche qualitative
vaccin contre la vaccine
dû à
Garçons
médecine générale
vaccination; médication préventive
Vaccins
parents
Médecins
parent
Vaccine
papillomavirus
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination
---
N3-AUTOINDEXEE
Élargissement de la vaccination anti-HPV aux garçons : étude des freins rencontrés
par les médecins généralistes
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03693115
Introduction : l’infection par les papillomavirus (HPV) est une des infections sexuellement
transmissibles les plus fréquentes au monde. Sa persistance peut provoquer l’apparition
de cancers chez les femmes et chez les hommes. Le vaccin anti-HPV est un moyen sûr
et efficace pour les éviter. En France, la Haute autorité de santé recommande l’élargissement
de la vaccination anti-HPV aux garçons depuis décembre 2019, dans un contexte d’hésitation
vaccinale. L’objectif de l’étude est d’identifier quels sont les freins à la vaccination
des garçons que rencontrent les médecins généralistes. Matériel et méthode : une étude
qualitative par entretiens semi-dirigés a été menée du 1er décembre 2021 au 1er avril
2022 auprès de médecins généralistes de la région Sud. L’analyse des données a été
faite sur un modèle inductif par théorisation ancrée. Résultats : au total, 11 médecins
ont été interrogés, ils ont rapporté qu’il persiste chez les parents deux idées erronées
selon lesquelles les garçons seraient épargnés par les HPV et qu’ils ne présenteraient
pas d’intérêt à être vaccinés. Les parents les plus méfiants face aux vaccins ont
besoin de plus d’information de la part de leurs médecins. Le suivi en santé sexuelle
des adolescents n’est pas assez fréquent et les pratiques des médecins sont parfois
inégales et limitées par les tabous sur la sexualité. Conclusion : notre étude a permis
d’identifier trois freins principaux à l’élargissement de la vaccination anti-HPV
aux garçons : les perceptions parentales, l’information sur l’intérêt de la vaccination
et la santé sexuelle des adolescents en médecine générale. Une meilleure diffusion
de l’information à destination des familles et le développement de l’éducation sexuelle
des adolescents pourraient d’améliorer leur adhésion à la stratégie vaccinale.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Garçons
Etudes générales
Etudes générales
Vaccins
Etudes générales
Etudes générales
médecins généralistes
vaccination
Vaccine
vaccination
Etudes générales
Médecins
Etudes générales
Etudes générales
frein
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
collecte de données
élargissement
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination; médication préventive
Vaccination
---
N3-AUTOINDEXEE
Évaluation de l’acceptabilité de la vaccination anti-papillomavirus auprès de parents
de jeunes garçons entre 11 et 14 ans
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03652172
Le papillomavirus, sexuellement transmissible, est à l’origine de cancers ano-génitaux
chez la femme mais aussi chez l’homme. La recommandation vaccinale qui intéressait
les filles de 11 à 19 ans et les HSH a été élargie aux garçons entre 11 et 19 ans.
L’objectif principal de cette étude est de comprendre les déterminants de la décision
vaccinale des parents de jeunes garçons de 11 à 14 ans révolus. Matériels et méthode
: il s’agit d’une étude qualitative. Treize entretiens individuels semi-directifs
ont été réalisés entre mars et juin 2021 auprès de parents de jeunes garçons âgés
de 11 et 14 ans révolus. Les entretiens ont été enregistrés, retranscrits, puis analysés
selon les critères méthodologiques de l’analyse thématique. Résultats : le manque
d’information des parents concernant la vaccination HPV est un frein essentiel à la
vaccination. Les représentations vaccinales, l’hésitation vaccinale, la sécurité,
l’efficacité et la durée de protection du vaccin, les antécédents, la médiatisation
des effets secondaires, l’éducation sexuelle et le regret anticipé représentent d’autres
déterminants de cette décision. Les parents prônent une protection collective et une
responsabilisation de l’enfant concernant le (la) partenaire sexuel(le). Pour optimiser
cette décision, ils demandent un argumentaire clair et précis par les professionnels
de santé, des informations par l’intermédiaire des campagnes de vaccination ou des
brochures. Discussion : les déterminants de la décision vaccinale résident dans l’information,
la pédagogie des professionnels de santé, la formation des médecins généralistes à
la vaccination et à la prévention, la clarté du discours. Il faudrait aussi améliorer
l’accessibilité et la mise en place de programmes de vaccination.
2022
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
vaccination
parents
adolescent
Vaccins contre les papillomavirus
études d'évaluation comme sujet
Garçons
---
N3-AUTOINDEXEE
Attitude des jeunes garçons de 15 à 25 ans à l'égard des risques liés à la sexualité
(Contraception et Papillomavirus)
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03578295
CONTEXTE : L’âge moyen des premiers rapports sexuels en France se situe à 17 ans depuis
maintenant une dizaine d’années. Nous observons cependant une modification des pratiques
sexuelles. Bien qu’ayant tendance à la diminution, le taux d’interruptions volontaires
de grossesses stagne depuis une dizaine d’années malgré de nombreuses réformes facilitant
l’accès à la contraception. Au cours de sa vie, 75% de la population sexuellement
active sera infectée par un papillomavirus, ce qui en fait la maladie sexuellement
transmissible la plus répandue. Une nouvelle recommandation de la HAS a fait son apparition
début 2021 proposant la vaccination aux jeunes garçons. OBJECTIF : L’objectif de l’étude
est de recueillir l’avis de jeunes garçons sur leur rôle dans la contraception au
sein du couple ainsi que leur acceptation d’une potentielle pilule masculine et de
la vaccination contre le papillomavirus. MÉTHODE : Il s’agit d’une étude qualitative
réalisée par entretiens semi-dirigés auprès d’un panel diversifié de 20 garçons âgés
de 15 à 25 ans révolus, de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Inclusion jusqu’à saturation
théorique des données. Analyse thématique indépendante par deux chercheuses. RÉSULTATS
: Les jeunes participants manquaient de connaissances, tout particulièrement en ce
qui concernait le papillomavirus. Cela engendrait quelques interrogations de leur
part sur la vaccination, bien qu’une majorité l’envisageait. De la même manière, ces
lacunes, ainsi que d’éventuels effets indésirables, impactaient l’acceptation d’une
pilule masculine. Ils se considéraient dans l’ensemble impliqués dans la contraception
au sein du couple, majoritairement par l’utilisation du préservatif qui reste la méthode
masculine de référence, les autres disponibles à ce jour étant jugées moins pratiques.
Afin de limiter ces freins, le médecin traitant pourrait être un élément essentiel
en améliorant la communication, pour le moment quelque peu insuffisante. CONCLUSION
: L’acceptation d’une nouvelle contraception hormonale masculine ainsi que de la vaccination
contre le papillomavirus pourrait être favorisée par une meilleure communication.
D’une part, le médecin traitant pourrait prendre une place plus importante dans la
prévention par une information plus régulière. D’autre part, davantage d’interventions
en milieu scolaire seraient souhaitables, tout comme le développement d’autres modes
de communication plus adaptés à cette génération.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
attitude
Garçons
papillomavirus
état sexuel
Rapports sexuels protégés
dû à
contraception
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Risque
contraception
adolescent
Sexualité
posture
---
N2-AUTOINDEXEE
Endocrinologie - Pathologie génito-scrotale chez le garçon et chez l'homme : cryptorchidie
UE 02 - Item 048
https://sides.uness.fr/corpus/Endocrinologie:Pathologie_g%C3%A9nito-scrotale_chez_le_gar%C3%A7on_et_chez_l%27homme_:_cryptorchidie
Cryptorchidie chez l'enfant ; Définition ; Prévalence ; Clinique ; Explorations ;
Diagnostic étiologique ; Suivi pédiatrique ; Traitement chirurgical ; Cryptorchidie
à l'âge adulte ; Risques ; Circonstances de découverte ; Examen clinique ; Examens
complémentaires
2021
UNESS - Université Numérique en Santé et Sport
France
cours
Homme
humains
ectopie testiculaire
endocrinologie
Cryptorchidie
Homme
Homme
cryptorchidie
Homme
Homme
PATHOLOGIE
Pathologie
Pathologie
cryptorchidie
maladie
Homme
Pathologie
Garçons
Pathologie
scrotum, sai
homo sapiens
Pathologie
Pathologie
Pathologie
Homme
Pathologie
Homme
Homme
Endocrinologie
---
N2-AUTOINDEXEE
Item 50 - Pathologie génitoscrotale chez le garçon et chez l'homme
https://www.urofrance.org/wp-content/uploads/2021/11/Item-50-Pathologies-genito-scrotale.pdf
Pathologies testiculaires et des annexes; Pathologies scrotales; Pathologies péniennes;
Pathologies préputiales
2021
Urofrance - Association Française d'Urologie
France
cours
humains
Pathologie
Homme
Homme
Homme
Homme
Garçons
Homme
homo sapiens
Homme
Homme
Pathologie
maladie
Homme
Pathologie
PATHOLOGIE
Pathologie
Pathologie
Pathologie
Pathologie
Pathologie
Homme
---
N3-AUTOINDEXEE
Accueil de la vaccination anti-HPV chez les garçons
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03231645
Ce travail a pour objectif de dresser un constat sur les connaissances générales des
HPV afin de faire ressortir des leviers sur lesquels les professionnels de santé pourraient
s’appuyer pour promouvoir la vaccination chez les garçons. Au niveau du contexte :
la couverture vaccinale féminine est inférieure à 30% en France, ce qui est très inférieure
aux attentes du plan Cancer qui prévoyait qu’au moins 60% des femmes soient vaccinés
en 2020. Les HPV sont responsables de la quasi-totalité des cancers du col de l’utérus,
mais ils sont aussi responsables de 90 % des cancers de l’oropharynx. Aux États Unis
les cancers de l’oropharynx sont maintenant les premiers cancers HPV induits. Avant
d’analyser les données du questionnaire nous avons dressé un constat sur la vaccination
contre les HPV dans les pays suivants : France, États-Unis, Angleterre et Australie.
Ce travail a été développé à l’aide d’un questionnaire de 21 questions qui a été distribué
aux parents des garçons en âge d’être vacciné. Il était composé de 3 parties : -Connaissance
générale sur les HPV -Prévention contre les HPV -Vaccination chez les garçons Ce questionnaire
a été rempli par 95 parents, ce qui permettait d’avoir 240 enfants représentés à travers
les réponses de leurs parents. Au vu des résultats il s’avère que très peu de parents
sont bien informés sur le sujet. Pour la première partie du questionnaire « connaissance
générale sur les HPV » 75% des parents interrogés ont moins de 70% de réponses justes,
et pour la partie « prévention contre les HPV » 60% des parents ont moins de 70% de
réponses justes. 60% des parents interrogés déclarent ne pas être au courant de la
généralisation de la vaccination contre les HPV. Pour les statistiques analytiques
le sexe et l’âge des parents, le fait d’avoir des enfants de plus de 15 ans, le fait
d’appartenir à une catégorie socioprofessionnelle instruite n’a pas permis de mettre
en évidence une différence significative sur les connaissances générales sur les HPV
ou sur l’intention de vacciner. En revanche les parents d’enfant déjà vacciné ont
un avis plus favorable sur la vaccination contre les HPV, bien que leur connaissance
ne soit pas meilleure comparés aux autres parents étudiés. Attention aux parents professionnels
de santé qui confirme à travers cette étude leur méfiance vis-à-vis de la vaccination
contre les HPV, ils n’ont pas un avis plus favorable sur la vaccination contre les
HPV que le reste des parents interrogés. Les sources d’informations ont également
été étudiées, l’influence négative supposée des réseaux sociaux n’a pas été retrouvé
dans cette étude. En revanche, lorsque les parents déclaraient avoir été renseignés
par un professionnel de santé, leur avis sur la vaccination était plus favorable que
le reste de la population. Ce travail renforce donc le rôle des professionnels de
santé dans la promotion vaccinale, qui doivent avoir pour objectif d’améliorer la
couverture vaccinale du vaccin contre les HPV aussi bien chez les filles que chez
les garçons.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
vaccination
Vaccine
Vaccins
vaccination; médication préventive
Vaccination
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Accueil
Garçons
vaccination
hommes
---
N3-AUTOINDEXEE
L’abord de la santé sexuelle des adolescents garçons en médecine générale
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03116682
Résumé : après un travail d’étude de la littérature, nous avons interrogé des médecins
généralistes de la région bordelaise, du sud Landes et Pays Basque pour étudier leurs
opinions sur la place que le médecin occupe en termes d’éducation à la santé sexuelle,
leurs pratiques lors des consultations, mais aussi leurs représentations ainsi que
les facteurs pouvant les influencer. Objectif : décrire comment les médecins généralistes
abordent les questions de santé sexuelle avec leurs patients adolescents garçons,
quels facteurs vont influencer leurs pratiques, et quelles pistes d’amélioration sont
envisageables. Méthodologie : enquête qualitative par entretiens semi dirigés enregistrés
auprès de 11 médecins généralistes de la région bordelaise et du sud Landes & Pays
Basque. Résultats : les médecins sont unanimement concernés par la santé sexuelle
des adolescents garçons, ils souhaitent s’inscrire en complémentarité de l’école,
mais aussi de diverses sources. Ils déplorent une faible fréquentation des cabinets
à ces âges, et le peu d’accroche pour amener le sujet. Ils développent cependant de
nombreuses stratégies pour communiquer avec les adolescents en consultation. Leur
discours est souvent centré sur les risques. La vaccination HPV devrait offrir l’occasion
d’aborder ces questions. Leurs caractéristiques personnelles et histoire de vie jouent
un grand rôle dans leur pratique là où leur formation fait défaut. Discussion : des
outils de communication et d’information aux adolescents et aux professionnels existent
mais sont peu connus. Une réflexion de société autour de ces questions permettrait
d’en légitimer la place et limiter les tabous.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Santé sexuelle
Adolescent
adolescence
médecine générale
Santé de l'adolescent
médecine de l'adolescent
Médecins
Garçons
Adolescent
---
N2-AUTOINDEXEE
L'utilisation d'appareils de verticalisation pour les garçons atteints de la dystrophie
musculaire de Duchenne
https://www.cochrane.org/fr/CD011550/lutilisation-dappareils-de-verticalisation-pour-les-garcons-atteints-de-la-dystrophie-musculaire-de
Problématique de la revue Quel est l'effet de l'utilisation d'appareils de verticalisation
chez les garçons atteints de dystrophie musculaire de Duchenne (DMD) ? Contexte La
DMD est une maladie qui ne touche que les garçons. L'atrophie musculaire progressive
qui accompagne la maladie entraîne une diminution de la capacité à marcher et, éventuellement,
l'utilisation d'un fauteuil roulant pour la mobilité. Du matériel spécialisé est utilisé
régulièrement pour aider les garçons atteints de DMD à se tenir debout ou à supporter
du poids. Ces appareils comprennent les appareils de verticalisation (p. ex. cadres
ou fauteuils roulants verticalisateurs) et les orthèses (p. ex. appareils orthopédiques
ou attelles). D'autres groupes de personnes ont démontré que la position debout réduit
les problèmes physiques, y compris la douleur, le développement de contractures (raccourcissement
fixe des muscles) et la courbure de la colonne vertébrale. La position debout renforce
également les os. Cependant, nous n'avons pas de preuve des effets de l'utilisation
de cadres ou d'orthèses de verticalisation par les garçons et les hommes atteints
de DMD.
2019
Cochrane
France
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
dystrophie musculaire
Dystrophies musculaires
équipement et fournitures
Garçons
Dystrophie musculaire de Duchenne
myopathie de Duchenne
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dystrophies musculaires
hommes
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N3-AUTOINDEXEE
Médecine des garçons – le saviez-vous?
https://www.paediatrieschweiz.ch/fr/medecine-des-garcons-le-saviez-vous/
Les garçons n’existent pas – tout comme on ne peut pas généraliser l’autre/les autres
genre(s). La figure 1 illustre les différents mondes de vie d’adolescents âgés de
14 à 17 ans, du point de vue de leur formation et de l’orientation primaire normative1),
valable non seulement pour les adolescents en général mais aussi pour les garçons
en particulier. Dans notre société aussi, les stéréotypes archaïques sont tenaces.
Ainsi dit-on souvent des garçons qu’ils sont bruyants, turbulents et agressifs, chaotiques
et trouble-fête. Mais le «typiquement garçon» existe-t-il seulement?
2019
Pédiatrie suisse
Suisse
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