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N2-AUTOINDEXEE
Vacciner filles et garçons contre les papillomavirus dans les collèges ? avis du conseil scientifique du CNGE
https://www.cnge.fr/conseil_scientifique/productions_du_conseil_scientifique/avis_du_conseil_scientifique/vacciner_filles_et_garcons_contre_les_papillomavir/
En 2019, la Haute Autorité de santé a émis un avis favorable à l’élargissement de la vaccination contre les papillomavirus (HPV) à tous les garçons âgés de 11 a 14 ans révolus avec un rattrapage possible pour les adolescents et jeunes adultes âgés de 15 a 19 ans re volus1 et jusqu’à 26 ans révolus pour les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes. En France, les données les plus récentes montrent une couverture vaccinale pour un schéma complet à 41,5% (jeunes filles nées en 2006)2. Dans le but d’élargir la couverture vaccinale et d’atteindre l’objectif de 80% en 2030 selon la stratégie décennale de lutte contre les cancers3, la vaccination anti-HPV sera proposée aux élèves volontaires (filles et garçons) des classes de cinquième. Environ 70% à 80% des personnes sexuellement actives seront infectées au moins une fois dans leur vie par un HPV1. L’infection asymptomatique régresse le plus souvent mais peut persister chez certains patients et générer des lésions pré-cancéreuses et cancéreuses génitales, anales, et ORL. Le cancer du col de l’utérus (CCU) est le cancer lié aux HPV le plus fréquent avec près de 3 000 nouveaux cas et 1 100 décès par an en France.
2023
CNGE - Collège National des Généralistes Enseignants
France
information scientifique et technique
Filles
vaccine
vaccin
vaccination
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins contre les papillomavirus
famille nucléaire
Assistance
vaccination
vaccination; médication préventive
Vaccine
papillomavirus
établissements scolaires
Vaccins
Garçons
jugement

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N3-AUTOINDEXEE
Déterminants de la décision parentale d’une vaccination anti-papillomavirus chez un garçon
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04155786
Introduction : l’infection à papillomavirus humain est l’infection sexuellement transmissible la plus fréquente. Depuis décembre 2019, la Haute Autorité de Santé recommande l’élargissement de la vaccination anti-papillomavirus aux garçons. Ce vaccin concerne surtout des mineurs, dont la décision de vaccination revient aux parents. Nous ne savons pas comment les parents de garçons perçoivent la vaccination depuis son remboursement pour les adolescents de sexe masculin. Objectif : l’objectif de cette étude est de déterminer les facteurs sur lesquels les parents de garçons basent leur décision de vaccination de leur fils contre le papillomavirus. Matériel et méthode : il s’agit d’une étude qualitative descriptive menée par entretiens semi-dirigés individuels auprès de 18 parents de garçons âgés de 11 à 18 ans. Résultats : la majorité des parents interrogés est favorable à la vaccination anti-papillomavirus de leur fils. Le principal facteur favorisant est l’information sur la vaccination anti-papillomavirus des garçons. Les autres facteurs favorisants sont le besoin de protection, les qualités de fiabilité et d’utilité du vaccin, la qualité de la relation parent-médecin, la préoccupation par rapport à la sexualité de leur fils et la présence de proches concernés par le papillomavirus ou par une maladie grave. La vaccination en milieu scolaire favoriserait la décision de vaccination. Les caractères d’incertitude (crainte des effets indésirables) et d’inutilité du vaccin, la présence de contraintes logistiques et contextuelles, la vision réduite de la sexualité de leur fils, la relation parent-médecin dégradée (absence de recommandation de la vaccination par le médecin, méfiance vis-à-vis du médecin), le manque d’intérêt pour le sujet et le sentiment de vaccination excessive sont des freins à la décision de vaccination. Discussion : la délivrance d’informations de qualité par un professionnel de santé a un impact positif sur la décision vaccinale des parents. Ainsi, il semble nécessaire de renforcer les actions d’informations sur la vaccination anti-papillomavirus des garçons auprès des parents afin d’augmenter l’adhésion vaccinale. Après la mise en œuvre de la campagne de vaccination scolaire à la rentrée 2023, il serait intéressant de mesurer son impact sur la décision vaccinale des parents.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
vaccination
Parent
vaccination
papillomavirus
Vaccins contre les papillomavirus
Garçons
papillomavirus
vaccination
vaccination; médication préventive

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N3-AUTOINDEXEE
Vaccins gratuits contre les virus du papillome humain (VPH) et les hépatites A et B pour les garçons et les filles en 4e année du primaire - Août 2023
https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/document-000111/
Le dépliant Vaccins gratuits contre les virus du papillome humain (VPH) et les hépatites A et B pour les enfants en 4e année du primaire fournit de l'information aux parents en vue d'un consentement éclairé à la vaccination contre le VPH et les hépatites A et B.
2023
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MSSS - Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec
Canada
brochure pédagogique pour les patients
Vaccins
vaccins antiviraux
Garçons
virus de la vaccine
hépatite virale b
Papillome
vaccination
papillomavirus humain
Hépatite
virus de la vaccine
Vaccine
Filles
Virus
hépatite B
famille nucléaire
Virus du papillome humain
vaccination; médication préventive
papillomaviridae
Virus
hepatite
principal
hommes

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N2-AUTOINDEXEE
La vaccination contre les cancers HPV, pour les filles et les garçons dès 11 ans.
https://vaccination-hpv.e-cancer.fr/
2022
INCa - Institut National du Cancer
France
information patient et grand public
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccine
famille nucléaire
Garçons
vaccination
vaccination; médication préventive
papillomavirus humain de type 11
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination
Vaccination
Vaccins
Filles

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N3-AUTOINDEXEE
Attitude du médecin généraliste en Martinique envers la vaccination contre les papillomavirus humains chez le garçon
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03903345
Introduction : IST la plus fréquente au monde, HPV est responsable, chez les hommes, de lésions bénignes et malignes. Le vaccin contre les HPV recommandé et remboursé chez la jeune fille depuis 2007, l’est chez les jeunes garçons depuis le 1er janvier 2021. Objectif : ce vaccin est sûr et efficace, pourtant peu prescrit en France et encore moins en Martinique. Nous voulions évaluer l’attitude du médecin généraliste en Martinique envers la vaccination anti HPV chez les garçons et ainsi connaitre les motifs de prescription ou de non-prescription. Méthodes : nous avons réalisé une étude qualitative exploratoire à visée descriptive. Des entretiens individuels semi-dirigés via un questionnaire de 16 questions ont été effectués sur un échantillon aléatoire de 12 médecins généralistes installés en Martinique. Résultats : contrairement aux propositions de vaccination chez les jeunes filles, les propositions des médecins interrogés à destination des jeunes garçons sont peu nombreuses. Leur démarche vaccinale est aussi confrontée à de nombreux obstacles. Notamment, le manque de connaissances des médecins généralistes sur les lésions liées à HPV chez l’homme ainsi que sur les bénéfices de la vaccination, l’abord de la sexualité chez l’adolescent et le refus des patients lié à une crainte du vaccin. Selon eux, les voies à suivre pour améliorer l’efficience du médecin traitant dans cette prise en charge pourraient être la mise à jour régulière des connaissances médicales, des campagnes d’information grand public, la restauration du lien patient-médecin mais aussi le recours à l’obligation vaccinale. Conclusion : notre étude a permis de mettre en lumière les principaux freins rencontrés par le médecin généraliste en Martinique dans le projet thérapeutique qu’est la vaccination anti HPV chez le garçon. Elle a permis également de connaitre des pistes de travail pour favoriser l’amélioration de la couverture vaccinale.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Vaccins contre les papillomavirus
attitude
posture
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccine
médecins généralistes
médecine générale
Martinique
vaccination
vaccination
papillomaviridae
vaccination; médication préventive
Vaccins
Garçons
papillomavirus humain
Médecins
Vaccins contre les papillomavirus humains

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N3-AUTOINDEXEE
Etude de l'adhésion à la vaccination contre le papillomavirus chez les parents des garçons de 11 à 19 ans
http://thesesante.ups-tlse.fr/3963/
Introduction : la vaccination contre le HPV apparait comme une stratégie efficace pour lutter contre les infections à papillomavirus qui touchent aussi bien les hommes que les femmes. L'objectif principal de cette étude était de recueillir l'avis des parents des garçons concernés par cette vaccination. Matériel et méthodes : étude épidémiologique observationnelle, transversale, réalisée à l'aide d'un questionnaire diffusé aux parents ayant des garçons de 11 à 19 ans, sur l'ensemble du territoire français. Résultats : 617 réponses ont été obtenues et 581 ont été analysées. L'intention de vaccination est favorable à 79,7% et défavorable pour 20,3% des parents. La présence d'une fille vaccinée dans la fratrie, les connaissances et du remboursement du vaccin chez le garçon, un accès à une source d'information fiable, semblent être des facteurs influençant la décision. Conclusion : la connaissance des freins et des leviers à la vaccination contre le HPV permet d'améliorer la communication autour de ce virus et ainsi de sensibiliser au mieux la population générale afin de lui permettre de faire un choix éclairé concernant sa santé.
2022
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
parents
parent
Vaccins
vaccination; médication préventive
vaccination
vaccination
adhésif
adhésifs
Garçons
dû à
Vaccins contre les papillomavirus
collecte de données
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus
Vaccine

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N2-AUTOINDEXEE
Syndrome 48,XXYY et autres tétrasomies ou pentasomies des gonosomes chez le garçon
Guide maladie chronique
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3374425/fr/syndrome-48-xxyy-et-autres-tetrasomies-ou-pentasomies-des-gonosomes-chez-le-garcon
Ce protocole national de diagnostic et de soins (PNDS) explicite aux professionnels concernés la prise en charge diagnostique et thérapeutique optimale et le parcours de soins d’un patient atteint d’un syndrome 48,XXYY ou d’une autre tétrasomie ou pentasomie des gonosomes chez le garçon. Il a été élaboré par le Centre de Référence Déficiences Intellectuelles de causes rares DefiBourgogne, le Centre de référence Anomalies du Développement et Syndromes Malformatifs de l’Interrégion Est et le Centre de compétences Maladies Rares à expression Psychiatrique à l’aide d’une méthodologie proposée par la HAS. Il n’a pas fait l’objet d’une validation par la HAS qui n’a pas participé à son élaboration.
2022
HAS - Haute Autorité de Santé
France
recommandation pour la pratique clinique
Maladie chronique
autres guides
Garçons
précis
Maladies
syndrome de Klinefelter
tétrasomie
maladie chronique
Tétrasomie
maladie chronique
chromosomes sexuels
tétrasomie

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N3-AUTOINDEXEE
Que pensent les parents de garçons de 11 à 19 ans de la vaccination papillomavirus ?: étude qualitative sur le ressenti à la vaccination papillomavirus en médecine générale
https://pepite-depot.univ-lille.fr/LIBRE/Th_Medecine/2022/2022ULILM022.pdf
Introduction : Les infections par les HPV sont parmi les IST les plus fréquentes. Dans de très rares cas, elles peuvent évoluer en cancer. Chaque année en France, 6300 nouveaux cancers sont HPV-induits dont 29% surviennent chez les hommes. La vaccination HPV est disponible depuis 2006 pour les jeunes filles. En 2019, la HAS publie ses nouvelles recommandations et élargit la vaccination HPV aux jeunes garçons. L’objectif principal de cette étude était de décrire les représentations des parents et de préciser les critères déterminants de la réalisation cette vaccination. Méthode : Étude qualitative par entretiens semi-dirigés réalisés auprès de 10 patients dans un cabinet de médecine générale des Hauts de France. L’analyse des données a été réalisée à l’aide du logiciel Nvivo version 12, avec une triangulation. Résultats : Les déterminants décisionnels de la vaccination HPV sont multifactoriels. Les parents estiment ne pas avoir une information suffisante. Ils se considèrent comme les garants de la santé de leurs enfants et s’impliquent émotionnellement dans leur processus de réflexion. Aborder la sexualité leur semble systématique lors de la présentation des vaccins HPV ce qui peut être un frein pour certains. Ils estiment que l'avis de leur fils est indispensable à la prise de décision. Les freins principaux sont la crainte des effets secondaires et la méfiance due aux polémiques médiatiques de ces dernières années. Le principal levier d’acceptabilité demeure l’accès à une information claire et loyale. Cette information est attendue en priorité de la part du médecin généraliste, source de savoir et de confiance. Conclusion : Cerner et combattre les fondements de la défiance vaccinale constituent des enjeux de santé publique. Le médecin généraliste joue un rôle central dans la mission de prévention et dans la proposition vaccinale. Uniformiser les messages transmis par les scientifiques et les politiques en réalisant une campagne d’information à échelle nationale semble essentiel afin d’améliorer la couverture vaccinale.
2022
PEPITE - Panorama des productions universitaires - Université Lille 2 Droit et Santé
France
thèse ou mémoire
recherche qualitative
vaccin contre la vaccine
dû à
Garçons
médecine générale
vaccination; médication préventive
Vaccins
parents
Médecins
parent
Vaccine
papillomavirus
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination

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N3-AUTOINDEXEE
Élargissement de la vaccination anti-HPV aux garçons : étude des freins rencontrés par les médecins généralistes
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03693115
Introduction : l’infection par les papillomavirus (HPV) est une des infections sexuellement transmissibles les plus fréquentes au monde. Sa persistance peut provoquer l’apparition de cancers chez les femmes et chez les hommes. Le vaccin anti-HPV est un moyen sûr et efficace pour les éviter. En France, la Haute autorité de santé recommande l’élargissement de la vaccination anti-HPV aux garçons depuis décembre 2019, dans un contexte d’hésitation vaccinale. L’objectif de l’étude est d’identifier quels sont les freins à la vaccination des garçons que rencontrent les médecins généralistes. Matériel et méthode : une étude qualitative par entretiens semi-dirigés a été menée du 1er décembre 2021 au 1er avril 2022 auprès de médecins généralistes de la région Sud. L’analyse des données a été faite sur un modèle inductif par théorisation ancrée. Résultats : au total, 11 médecins ont été interrogés, ils ont rapporté qu’il persiste chez les parents deux idées erronées selon lesquelles les garçons seraient épargnés par les HPV et qu’ils ne présenteraient pas d’intérêt à être vaccinés. Les parents les plus méfiants face aux vaccins ont besoin de plus d’information de la part de leurs médecins. Le suivi en santé sexuelle des adolescents n’est pas assez fréquent et les pratiques des médecins sont parfois inégales et limitées par les tabous sur la sexualité. Conclusion : notre étude a permis d’identifier trois freins principaux à l’élargissement de la vaccination anti-HPV aux garçons : les perceptions parentales, l’information sur l’intérêt de la vaccination et la santé sexuelle des adolescents en médecine générale. Une meilleure diffusion de l’information à destination des familles et le développement de l’éducation sexuelle des adolescents pourraient d’améliorer leur adhésion à la stratégie vaccinale.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Garçons
Etudes générales
Etudes générales
Vaccins
Etudes générales
Etudes générales
médecins généralistes
vaccination
Vaccine
vaccination
Etudes générales
Médecins
Etudes générales
Etudes générales
frein
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
collecte de données
élargissement
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination; médication préventive
Vaccination

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N3-AUTOINDEXEE
Évaluation de l’acceptabilité de la vaccination anti-papillomavirus auprès de parents de jeunes garçons entre 11 et 14 ans
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03652172
Le papillomavirus, sexuellement transmissible, est à l’origine de cancers ano-génitaux chez la femme mais aussi chez l’homme. La recommandation vaccinale qui intéressait les filles de 11 à 19 ans et les HSH a été élargie aux garçons entre 11 et 19 ans. L’objectif principal de cette étude est de comprendre les déterminants de la décision vaccinale des parents de jeunes garçons de 11 à 14 ans révolus. Matériels et méthode : il s’agit d’une étude qualitative. Treize entretiens individuels semi-directifs ont été réalisés entre mars et juin 2021 auprès de parents de jeunes garçons âgés de 11 et 14 ans révolus. Les entretiens ont été enregistrés, retranscrits, puis analysés selon les critères méthodologiques de l’analyse thématique. Résultats : le manque d’information des parents concernant la vaccination HPV est un frein essentiel à la vaccination. Les représentations vaccinales, l’hésitation vaccinale, la sécurité, l’efficacité et la durée de protection du vaccin, les antécédents, la médiatisation des effets secondaires, l’éducation sexuelle et le regret anticipé représentent d’autres déterminants de cette décision. Les parents prônent une protection collective et une responsabilisation de l’enfant concernant le (la) partenaire sexuel(le). Pour optimiser cette décision, ils demandent un argumentaire clair et précis par les professionnels de santé, des informations par l’intermédiaire des campagnes de vaccination ou des brochures. Discussion : les déterminants de la décision vaccinale résident dans l’information, la pédagogie des professionnels de santé, la formation des médecins généralistes à la vaccination et à la prévention, la clarté du discours. Il faudrait aussi améliorer l’accessibilité et la mise en place de programmes de vaccination.
2022
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
vaccination
parents
adolescent
Vaccins contre les papillomavirus
études d'évaluation comme sujet
Garçons

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N3-AUTOINDEXEE
Attitude des jeunes garçons de 15 à 25 ans à l'égard des risques liés à la sexualité (Contraception et Papillomavirus)
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03578295
CONTEXTE : L’âge moyen des premiers rapports sexuels en France se situe à 17 ans depuis maintenant une dizaine d’années. Nous observons cependant une modification des pratiques sexuelles. Bien qu’ayant tendance à la diminution, le taux d’interruptions volontaires de grossesses stagne depuis une dizaine d’années malgré de nombreuses réformes facilitant l’accès à la contraception. Au cours de sa vie, 75% de la population sexuellement active sera infectée par un papillomavirus, ce qui en fait la maladie sexuellement transmissible la plus répandue. Une nouvelle recommandation de la HAS a fait son apparition début 2021 proposant la vaccination aux jeunes garçons. OBJECTIF : L’objectif de l’étude est de recueillir l’avis de jeunes garçons sur leur rôle dans la contraception au sein du couple ainsi que leur acceptation d’une potentielle pilule masculine et de la vaccination contre le papillomavirus. MÉTHODE : Il s’agit d’une étude qualitative réalisée par entretiens semi-dirigés auprès d’un panel diversifié de 20 garçons âgés de 15 à 25 ans révolus, de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Inclusion jusqu’à saturation théorique des données. Analyse thématique indépendante par deux chercheuses. RÉSULTATS : Les jeunes participants manquaient de connaissances, tout particulièrement en ce qui concernait le papillomavirus. Cela engendrait quelques interrogations de leur part sur la vaccination, bien qu’une majorité l’envisageait. De la même manière, ces lacunes, ainsi que d’éventuels effets indésirables, impactaient l’acceptation d’une pilule masculine. Ils se considéraient dans l’ensemble impliqués dans la contraception au sein du couple, majoritairement par l’utilisation du préservatif qui reste la méthode masculine de référence, les autres disponibles à ce jour étant jugées moins pratiques. Afin de limiter ces freins, le médecin traitant pourrait être un élément essentiel en améliorant la communication, pour le moment quelque peu insuffisante. CONCLUSION : L’acceptation d’une nouvelle contraception hormonale masculine ainsi que de la vaccination contre le papillomavirus pourrait être favorisée par une meilleure communication. D’une part, le médecin traitant pourrait prendre une place plus importante dans la prévention par une information plus régulière. D’autre part, davantage d’interventions en milieu scolaire seraient souhaitables, tout comme le développement d’autres modes de communication plus adaptés à cette génération.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
attitude
Garçons
papillomavirus
état sexuel
Rapports sexuels protégés
dû à
contraception
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Risque
contraception
adolescent
Sexualité
posture

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N2-AUTOINDEXEE
Endocrinologie - Pathologie génito-scrotale chez le garçon et chez l'homme : cryptorchidie
UE 02 - Item 048
https://sides.uness.fr/corpus/Endocrinologie:Pathologie_g%C3%A9nito-scrotale_chez_le_gar%C3%A7on_et_chez_l%27homme_:_cryptorchidie
Cryptorchidie chez l'enfant ; Définition ; Prévalence ; Clinique ; Explorations ; Diagnostic étiologique ; Suivi pédiatrique ; Traitement chirurgical ; Cryptorchidie à l'âge adulte ; Risques ; Circonstances de découverte ; Examen clinique ; Examens complémentaires
2021
UNESS - Université Numérique en Santé et Sport
France
cours
Homme
humains
ectopie testiculaire
endocrinologie
Cryptorchidie
Homme
Homme
cryptorchidie
Homme
Homme
PATHOLOGIE
Pathologie
Pathologie
cryptorchidie
maladie
Homme
Pathologie
Garçons
Pathologie
scrotum, sai
homo sapiens
Pathologie
Pathologie
Pathologie
Homme
Pathologie
Homme
Homme
Endocrinologie

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N2-AUTOINDEXEE
Item 50 - Pathologie génitoscrotale chez le garçon et chez l'homme
https://www.urofrance.org/wp-content/uploads/2021/11/Item-50-Pathologies-genito-scrotale.pdf
Pathologies testiculaires et des annexes; Pathologies scrotales; Pathologies péniennes; Pathologies préputiales
2021
Urofrance - Association Française d'Urologie
France
cours
humains
Pathologie
Homme
Homme
Homme
Homme
Garçons
Homme
homo sapiens
Homme
Homme
Pathologie
maladie
Homme
Pathologie
PATHOLOGIE
Pathologie
Pathologie
Pathologie
Pathologie
Pathologie
Homme

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N3-AUTOINDEXEE
Accueil de la vaccination anti-HPV chez les garçons
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03231645
Ce travail a pour objectif de dresser un constat sur les connaissances générales des HPV afin de faire ressortir des leviers sur lesquels les professionnels de santé pourraient s’appuyer pour promouvoir la vaccination chez les garçons. Au niveau du contexte : la couverture vaccinale féminine est inférieure à 30% en France, ce qui est très inférieure aux attentes du plan Cancer qui prévoyait qu’au moins 60% des femmes soient vaccinés en 2020. Les HPV sont responsables de la quasi-totalité des cancers du col de l’utérus, mais ils sont aussi responsables de 90 % des cancers de l’oropharynx. Aux États Unis les cancers de l’oropharynx sont maintenant les premiers cancers HPV induits. Avant d’analyser les données du questionnaire nous avons dressé un constat sur la vaccination contre les HPV dans les pays suivants : France, États-Unis, Angleterre et Australie. Ce travail a été développé à l’aide d’un questionnaire de 21 questions qui a été distribué aux parents des garçons en âge d’être vacciné. Il était composé de 3 parties : -Connaissance générale sur les HPV -Prévention contre les HPV -Vaccination chez les garçons Ce questionnaire a été rempli par 95 parents, ce qui permettait d’avoir 240 enfants représentés à travers les réponses de leurs parents. Au vu des résultats il s’avère que très peu de parents sont bien informés sur le sujet. Pour la première partie du questionnaire « connaissance générale sur les HPV » 75% des parents interrogés ont moins de 70% de réponses justes, et pour la partie « prévention contre les HPV » 60% des parents ont moins de 70% de réponses justes. 60% des parents interrogés déclarent ne pas être au courant de la généralisation de la vaccination contre les HPV. Pour les statistiques analytiques le sexe et l’âge des parents, le fait d’avoir des enfants de plus de 15 ans, le fait d’appartenir à une catégorie socioprofessionnelle instruite n’a pas permis de mettre en évidence une différence significative sur les connaissances générales sur les HPV ou sur l’intention de vacciner. En revanche les parents d’enfant déjà vacciné ont un avis plus favorable sur la vaccination contre les HPV, bien que leur connaissance ne soit pas meilleure comparés aux autres parents étudiés. Attention aux parents professionnels de santé qui confirme à travers cette étude leur méfiance vis-à-vis de la vaccination contre les HPV, ils n’ont pas un avis plus favorable sur la vaccination contre les HPV que le reste des parents interrogés. Les sources d’informations ont également été étudiées, l’influence négative supposée des réseaux sociaux n’a pas été retrouvé dans cette étude. En revanche, lorsque les parents déclaraient avoir été renseignés par un professionnel de santé, leur avis sur la vaccination était plus favorable que le reste de la population. Ce travail renforce donc le rôle des professionnels de santé dans la promotion vaccinale, qui doivent avoir pour objectif d’améliorer la couverture vaccinale du vaccin contre les HPV aussi bien chez les filles que chez les garçons.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
vaccination
Vaccine
Vaccins
vaccination; médication préventive
Vaccination
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Accueil
Garçons
vaccination
hommes

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N3-AUTOINDEXEE
L’abord de la santé sexuelle des adolescents garçons en médecine générale
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03116682
Résumé : après un travail d’étude de la littérature, nous avons interrogé des médecins généralistes de la région bordelaise, du sud Landes et Pays Basque pour étudier leurs opinions sur la place que le médecin occupe en termes d’éducation à la santé sexuelle, leurs pratiques lors des consultations, mais aussi leurs représentations ainsi que les facteurs pouvant les influencer. Objectif : décrire comment les médecins généralistes abordent les questions de santé sexuelle avec leurs patients adolescents garçons, quels facteurs vont influencer leurs pratiques, et quelles pistes d’amélioration sont envisageables. Méthodologie : enquête qualitative par entretiens semi dirigés enregistrés auprès de 11 médecins généralistes de la région bordelaise et du sud Landes & Pays Basque. Résultats : les médecins sont unanimement concernés par la santé sexuelle des adolescents garçons, ils souhaitent s’inscrire en complémentarité de l’école, mais aussi de diverses sources. Ils déplorent une faible fréquentation des cabinets à ces âges, et le peu d’accroche pour amener le sujet. Ils développent cependant de nombreuses stratégies pour communiquer avec les adolescents en consultation. Leur discours est souvent centré sur les risques. La vaccination HPV devrait offrir l’occasion d’aborder ces questions. Leurs caractéristiques personnelles et histoire de vie jouent un grand rôle dans leur pratique là où leur formation fait défaut. Discussion : des outils de communication et d’information aux adolescents et aux professionnels existent mais sont peu connus. Une réflexion de société autour de ces questions permettrait d’en légitimer la place et limiter les tabous.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Santé sexuelle
Adolescent
adolescence
médecine générale
Santé de l'adolescent
médecine de l'adolescent
Médecins
Garçons
Adolescent

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N2-AUTOINDEXEE
L'utilisation d'appareils de verticalisation pour les garçons atteints de la dystrophie musculaire de Duchenne
https://www.cochrane.org/fr/CD011550/lutilisation-dappareils-de-verticalisation-pour-les-garcons-atteints-de-la-dystrophie-musculaire-de
Problématique de la revue Quel est l'effet de l'utilisation d'appareils de verticalisation chez les garçons atteints de dystrophie musculaire de Duchenne (DMD) ? Contexte La DMD est une maladie qui ne touche que les garçons. L'atrophie musculaire progressive qui accompagne la maladie entraîne une diminution de la capacité à marcher et, éventuellement, l'utilisation d'un fauteuil roulant pour la mobilité. Du matériel spécialisé est utilisé régulièrement pour aider les garçons atteints de DMD à se tenir debout ou à supporter du poids. Ces appareils comprennent les appareils de verticalisation (p. ex. cadres ou fauteuils roulants verticalisateurs) et les orthèses (p. ex. appareils orthopédiques ou attelles). D'autres groupes de personnes ont démontré que la position debout réduit les problèmes physiques, y compris la douleur, le développement de contractures (raccourcissement fixe des muscles) et la courbure de la colonne vertébrale. La position debout renforce également les os. Cependant, nous n'avons pas de preuve des effets de l'utilisation de cadres ou d'orthèses de verticalisation par les garçons et les hommes atteints de DMD.
2019
Cochrane
France
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
dystrophie musculaire
Dystrophies musculaires
équipement et fournitures
Garçons
Dystrophie musculaire de Duchenne
myopathie de Duchenne
dispositif
dystrophies musculaires
hommes

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N3-AUTOINDEXEE
Médecine des garçons – le saviez-vous?
https://www.paediatrieschweiz.ch/fr/medecine-des-garcons-le-saviez-vous/
Les garçons n’existent pas – tout comme on ne peut pas généraliser l’autre/les autres genre(s). La figure 1 illustre les différents mondes de vie d’adolescents âgés de 14 à 17 ans, du point de vue de leur formation et de l’orientation primaire normative1), valable non seulement pour les adolescents en général mais aussi pour les garçons en particulier. Dans notre société aussi, les stéréotypes archaïques sont tenaces. Ainsi dit-on souvent des garçons qu’ils sont bruyants, turbulents et agressifs, chaotiques et trouble-fête. Mais le «typiquement garçon» existe-t-il seulement?
2019
Pédiatrie suisse
Suisse
article de périodique
Médecins
Garçons
médecine
hommes

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27/04/2024


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