Libellé préféré : Virus du papillome humain;

Numéro CAS : txid10566;

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N2-AUTOINDEXEE
Verrues anogénitales (causées par les virus du papillome humain)
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies-infectieuses/sante-sexuelle-infections-transmissibles-sexuellement/lignes-directrices-canadiennes/verrues-anogenitales.html
Ce guide porte sur l'évaluation et la prise en charge des verrues anogénitales (VAG) externes causées par les virus du papillome humain (VPH). Les recommandations relatives à la vaccination contre le VPH et au dépistage du cancer lié au VPH dépassent la portée de ce guide. Les verrues anogénitales (VAG) sont fréquentes et entraînent des coûts importants en termes de recours aux soins de santé ainsi que des effets psychosociaux néfastes. Les VAG sont causées par le virus du papillome humain (VPH), principalement les types 6 et 11 du VPH. Au cours des dernières années, l'incidence des VAG a nettement diminué dans les pays où des programmes de vaccination contre le VPH ont été mis en place. Les types 6 et 11 du VPH se transmettent principalement par contact épithélial, par des personnes asymptomatiques ou symptomatiques. La transmission peut survenir lors de rapports sexuels oraux, vaginaux et anaux, ainsi que lors d'autres contacts intimes cutanés. La transmission périnatale est rare mais peut entraîner une papillomatose respiratoire récurrente chez les nourrissons et les enfants.
2024
Gouvernement du Canada
Canada
recommandation professionnelle
Allèle sauvage LATS1
verrue
papillomaviridae
Verrues
condylomes acuminés
Virus du papillome humain
Allèle sauvage MLL
papillomavirus humain
condylome acuminé
papillomavirus humain

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N2-AUTOINDEXEE
Dépistage du cancer du col de l’utérus au Québec : recommandations pour l’implantation du test de détection des virus du papillome humain (test VPH) comme test de dépistage primaire
https://www.inesss.qc.ca/publications/repertoire-des-publications/publication/depistage-cancer-uterus-recommandations.html
Au Canada, il est estimé qu’une femme sur 168 développera un cancer du col de l’utérus au cours de sa vie. Le dépistage du cancer du col se fait actuellement par cytologie (test de Papanicolaou ou test Pap). Il existe cependant une alternative soit le test de détection des virus du papillome humain (VPH), un test moléculaire permettant la détection des acides nucléiques du virus à partir d’un prélèvement génital. En 2017, l’INESSS publiait un état de connaissances comparant la cytologie au test VPH, constatant que le test VPH se compare favorablement à la cytologie. À la suite de cette publication, le MSSS a signifié son intention d’aller de l’avant avec l’implantation du test VPH comme test primaire pour le dépistage du cancer du col de l’utérus. C’est dans ce contexte que le MSSS a mandaté l’INESSS afin d’émettre des recommandations en lien avec les stratégies et modalités de mise en œuvre de ce test, et ce, notamment concernant l’optimisation de la participation au dépistage, la trajectoire de dépistage à retenir, la pertinence d’offrir l’autoprélèvement et la manière d’assurer une prise en charge optimale des personnes avec résultats anormaux aux tests de dépistage.
2024
INESSS - Institut national d'excellence en santé et en services sociaux
Canada
recommandation de santé publique
Dépistage précoce du cancer
carcinome du col utérin
implantation dans l'utérus
détection
test
papillomaviridae
Virus du papillome humain
cancer du col utérin pT1a1 trouvé dans TNM v8
primaire
dépistage du cancer
tumeurs du col de l'utérus
prothèses et implants
dermatomyosite
cancer du col de l'utérus
dépistage du cancer
administration via un implant
papillomavirus humain
dépistage du cancer cervical
Québec
Altrétamine/étoposide/Procarbazine
papillomavirus humain
cancer
Cancer du col de l'utérus
principal
cause primaire du décès
enquêteur
directives de santé publique
Implantation

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N3-AUTOINDEXEE
Virus du papillome humain (HPV) et cancer lié à une infection à HPV
https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/human-papilloma-virus-and-cancer
Principaux faits Le groupe des virus du papillome humain (HPV) comprend 200 virus connus. Chez la majorité des personnes, une infection à HPV n’est pas préoccupante, mais certains types de HPV à risque élevé sont courants et peuvent entraîner des verrues génitales ou un cancer. Dans 90 % des cas, le système immunitaire élimine tout seul l’infection. Une infection à HPV à risque élevé persistante est une cause de cancer du col de l’utérus et est associée aux cancers de la vulve, du vagin, de la bouche/gorge, du pénis et de l’anus (1). L’infection à HPV est à l’origine d’environ 5 % de tous les cancers dans le monde, et on estime que, chaque année, 625 600 femmes et 69 400 hommes développent un cancer lié à une infection à HPV. Les femmes vivant avec le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ont six fois plus de risques de développer un cancer du col de l’utérus que les autres. La vaccination prophylactique contre le HPV peut prévenir ces cancers. De plus, le dépistage des infections à HPV et le traitement des lésions précancéreuses sont des méthodes efficaces pour prévenir le cancer du col de l’utérus.
2023
OMS - Organisation Mondiale de la Santé
Suisse
information scientifique et technique
information patient et grand public
Cancer
tumeurs
cancer
Virus du papillome humain
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
tumeur maligne, sai
papillomavirus humain
infection à virus du papillome humain
papillomaviridae
maladie infectieuse
infections à papillomavirus

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N3-AUTOINDEXEE
Vaccins gratuits contre les virus du papillome humain (VPH) et les hépatites A et B pour les garçons et les filles en 4e année du primaire - Août 2023
https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/document-000111/
Le dépliant Vaccins gratuits contre les virus du papillome humain (VPH) et les hépatites A et B pour les enfants en 4e année du primaire fournit de l'information aux parents en vue d'un consentement éclairé à la vaccination contre le VPH et les hépatites A et B.
2023
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MSSS - Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec
Canada
brochure pédagogique pour les patients
Vaccins
vaccins antiviraux
Garçons
virus de la vaccine
hépatite virale b
Papillome
vaccination
papillomavirus humain
Hépatite
virus de la vaccine
Vaccine
Filles
Virus
hépatite B
famille nucléaire
Virus du papillome humain
vaccination; médication préventive
papillomaviridae
Virus
hepatite
principal
hommes

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N2-AUTOINDEXEE
Calendrier de vaccination contre les virus du papillome humain pour les personnes âgées de 18 ans et plus au Québec
https://www.inspq.qc.ca/publications/3242
Des études montrent que la vaccination à une, deux ou trois doses contre les virus du papillome humain (VPH) de type 16 et 18 offre une protection similaire, ce qui remet en question la nécessité de maintenir la recommandation actuelle de trois doses de vaccin pour les personnes de 18 ans et plus. Les calendriers à une ou deux doses de vaccin contre les VPH ont été évalués et recommandés pour les jeunes âgés de 9 à 15 ans. La vaccination contre les VPH peut toutefois débuter après cet âge et comprendre les trois doses généralement recommandées. La protection contre le VPH 18 conférée par le vaccin quadrivalent reste très élevée contre les infections persistantes et les lésions précancéreuses jusqu’à 14 ans après la vaccination, malgré des niveaux d’anticorps bas ou même non détectables.
2022
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
Calendrier
virus de la vaccine
papillomaviridae
vaccination
sujet âgé de 80 ans ou plus
Vaccins
vaccination; médication préventive
Virus
personne âgée
vaccins antiviraux
sujet âgé
Québec
PERSONNE AGEE
virus de la vaccine
papillomavirus humain
Personne humaine
Virus du papillome humain
calendrier vaccinal
Virus
Papillome
Vaccine

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N2-AUTOINDEXEE
Dépistage du cancer du col de l’utérus au Québec : recommandations pour l’implantation du test de détection des virus du papillome humain (test VPH) comme test de dépistage primaire
https://www.inesss.qc.ca/publications/repertoire-des-publications/publication/depistage-du-cancer-du-col-de-luterus-au-quebec-recommandations-pour-limplantation-du-test-de-detection-des-virus-du-papillome-humain-test-vph-comme-test-de-depistage-primaire.html
Au Canada, il est estimé qu’une femme sur 168 développera un cancer du col de l’utérus au cours de sa vie. Le dépistage du cancer du col se fait actuellement par cytologie (test de Papanicolaou ou test Pap). Il existe cependant une alternative soit le test de détection des virus du papillome humain (VPH), un test moléculaire permettant la détection des acides nucléiques du virus à partir d’un prélèvement génital. En 2017, l’INESSS publiait un état de connaissances comparant la cytologie au test VPH, constatant que le test VPH se compare favorablement à la cytologie. À la suite de cette publication, le MSSS a signifié son intention d’aller de l’avant avec l’implantation du test VPH comme test primaire pour le dépistage du cancer du col de l’utérus. C’est dans ce contexte que le MSSS a mandaté l’INESSS afin d’émettre des recommandations en lien avec les stratégies et modalités de mise en œuvre de ce test, et ce, notamment concernant l’optimisation de la participation au dépistage, la trajectoire de dépistage à retenir, la pertinence d’offrir l’autoprélèvement et la manière d’assurer une prise en charge optimale des personnes avec résultats anormaux aux tests de dépistage. Après avoir procédé à l’analyse des données scientifiques, contextuelles et expérientielles recueillies, l’INESSS émet une série de recommandations entre autres concernant la trajectoire de dépistage et l’autoprélèvement.
2022
INESSS - Institut national d'excellence en santé et en services sociaux
Canada
recommandation pour la pratique clinique
Virus du papillome humain
Québec
papillomaviridae
dermatomyosite
dépistage du cancer
Dépistage précoce du cancer
cancer du col de l'utérus
tumeurs du col de l'utérus
papillomavirus humain
prothèses et implants
dépistage du cancer
Virus
Papillome
Cancer du col de l'utérus
enquêteur
directives de santé publique
Cancer du col de l'utérus
Virus
implantation dans l'utérus
cancer
principal

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N3-AUTOINDEXEE
Impact populationnel de l'adoption d'un calendrier mixte de vaccination contre les virus du papillome humain au Québec : une étude de modélisation
http://hdl.handle.net/20.500.11794/38216
En 2018, la province de Québec a modifié son calendrier de vaccination contre les virus du papillome humain (VPH), remplaçant le calendrier comportant 2 doses de vaccin nonavalent par un calendrier de vaccination mixte, comportant une dose de vaccin nonavalent suivie d’une dose de vaccin bivalent. Toutefois, l’efficacité clinique et la durée de protection conférées par ce calendrier mixte ne sont pas connues avec précision, impliquant une incertitude quant à son impact populationnel sur l’incidence des maladies associées aux VPH. L’impact populationnel du calendrier mixte au Québec a été évalué à l’aide d’une étude de modélisation mathématique. Le modèle utilisé (HPV-ADVISE) est basé sur les individus et simule la dynamique de transmission des VPH à l’échelle populationnelle. Les mesures d’impact considérées incluent la réduction prédite par le modèle du taux d’incidence et du nombre total de cas des maladies attribuables aux VPH. L’effet de l’incertitude quant à l’efficacité vaccinale et la durée de protection sur l’impact du calendrier mixte a été exploré à l’aide d’analyses de sensibilité univariées. Pour les lésions cancéreuses et précancéreuses, les simulations ont globalement prédit une faible différence d’impact entre les scénarios les plus plausibles du calendrier mixte et le calendrier comportant 2 doses de vaccin nonavalent, conséquence de l’importance inférieure du fardeau attribuable aux génotypes 31/33/45/52/58 comparativement aux génotypes 16/18. L’impact sur l’incidence des condylomes s’est avéré beaucoup plus sensible à la durée de protection qu’à l’efficacité vaccinale. Pour les scénarios jugés plausibles, la réduction à long terme du taux d’incidence des condylomes a été prédite entre 50 % (durée de protection de 20 ans) et 90 % (protection à vie, efficacité de 75 à 100 %). Cette grande variabilité dans les prédictions du modèle suggère qu’une surveillance populationnelle des infections à VPH et des condylomes suite à l’implantation du calendrier mixte pourrait être indiquée.
2020
CorpusUL - Dépôt institutionnel de l'Université Laval
Canada
thèse ou mémoire
Virus
papillomaviridae
calendrier vaccinal
papillomavirus humain
Virus
Québec
virus de la vaccine
Calendrier
vaccins antiviraux
vaccination
collecte de données
virus de la vaccine
Vaccins
Papillome
vaccination; médication préventive
Vaccine
adoption
adoption
Virus du papillome humain
virus de la vaccine

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N3-AUTOINDEXEE
Couvertures vaccinales contre l’hépatite B et les virus du papillome humain en 4e année du primaire : état d’implantation des mesures recommandées
https://www.inspq.qc.ca/publications/2662
Afin de favoriser l’atteinte des objectifs de couvertures vaccinales (CV) des programmes de vaccination en milieu scolaire, des orientations ont été émises par le Directeur national de santé publique recommandant aux régions l’implantation des cinq mesures suivantes : La rétroaction des résultats de CV auprès des établissements de santé et des écoles; L’utilisation et la personnalisation des lettres types destinées aux enseignants et aux parents, en incluant les coordonnées de l’infirmière scolaire dans les communications aux parents; L’introduction d’une communication destinée aux parents à la fin de la 3e année du primaire (outil transmis en avril 2018); L’instauration de processus minimaux attendus de rappels et de relances pour le retour des formulaires de consentement à la vaccination en 4e année du primaire; Enfin, l’offre d’une formation spécifique sur le programme du virus du papillome humain (VPH) pour les infirmières scolaires annuellement. Cette formation est d’ailleurs offerte depuis septembre 2016.
2020
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
rapport
Virus de l'hépatite ni A ni B
poids et mesures
virus de l'hépatite B
Virus
Couverture vaccinale
directives de santé publique
virus de l'hépatite b
Papillome
hepatite
Mesures
virus de l'hépatite A humaine
implant
papillomavirus humain
Virus du papillome humain
Virus de l'hépatite B
principal
papillomaviridae
prothèses et implants
hépatite virale

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N2-AUTOINDEXEE
Virus du papillome humain et santé buccodentaire
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/rapports-publications/releve-maladies-transmissibles-canada-rmtc/numero-mensuel/2020-46/numero-11-12-5-novembre-2020/virus-papillome-humain-sante-buccodentaire.html
Le Canada fait partie des chefs de file mondiaux en santé buccodentaire. Malgré cela, les préoccupations sont de plus en plus vives au sujet des taux croissants de cancers de la bouche et de la gorge liés au virus du papillome humain (VPH). Le lien entre le VPH et le cancer du col de l’utérus est bien établi; heureusement, grâce à la détection et à la vaccination, le Canada a l’un des taux d’incidence les plus faibles du cancer du col de l’utérus au monde. Les cancers de la bouche et de la gorge liés au VPH, cependant, présentent un tableau différent. Au Canada, entre 25 % et 35 % des cancers de la bouche et de la gorge sont liés à l’infection par le VPH par voie orale; et en 2012, le taux d’incidence du cancer de l’oropharynx associé au VPH était plus de 4,5 fois plus élevé chez les hommes que chez les femmes. De plus, la couverture vaccinale contre le VPH au Canada est plus élevée chez les femmes que chez les hommes. Les médecins et les infirmières en santé publique et en milieu clinique ont un rôle à jouer dans la lutte contre la transmission du VPH, tout comme les professionnels de la santé buccodentaire. Les professionnels de la santé buccodentaire peuvent jouer un rôle clé dans la prévention de l’infection par le VPH et des cancers oropharynx liés au VPH en sensibilisant, en éduquant et en offrant des conseils à leurs clients et en encourageant des interventions préventives et diagnostiques fondées sur des données probantes.
2020
RMTC
Canada
article de périodique
papillomaviridae
santé buccodentaire
Virus
Virus
Papillome
Virus du papillome humain
papillomavirus humain

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N3-AUTOINDEXEE
Groupes supplémentaires qui pourraient être visés par une vaccination gratuite contre les virus du papillome humain (VPH)
https://www.inspq.qc.ca/publications/2490
À la suite de différentes demandes reçues et pour répondre à la question du MSSS du 24 janvier 2018 qui en découle, à savoir si d’autres groupes devraient être visés par une vaccination gratuite contre les virus du papillome humain (VPH), les données disponibles ont été revues et le présent document a fait l’objet d’une révision par les membres du CIQ à l’automne 2018. Le Programme québécois gratuit de vaccination contre les VPH est parmi les plus étendus répertoriés.
2019
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
rapport
vaccins antiviraux
papillomavirus humain
Vaccins
vaccination; médication préventive
vaccination
papillomaviridae
virus de la vaccine
Papillome
Virus
Vaccine
vaccination
Virus du papillome humain
virus de la vaccine
Virus

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N2-AUTOINDEXEE
Portrait de l’incidence et de la mortalité des cancers associés aux virus du papillome humain (VPH) : mise à jour de l’incidence 2008-2010 et de la mortalité 2008-2012
https://www.inspq.qc.ca/publications/2492
Au Québec, le programme public de vaccination contre les VPH a été introduit en 2008. Ce programme, qui s’adressait aux jeunes filles de la 4e année du primaire, a été élargi en 2016 pour inclure les garçons du même âge. En 2013, l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) publiait un premier portrait des cancers associés aux VPH au Québec, pour la période prévaccination de 1984 à 2007. Le présent rapport fait une mise à jour de l’incidence des cancers associés aux VPH ainsi que de la mortalité attribuable à ces cancers, pour évaluer le fardeau de la maladie et celui potentiellement évitable par la vaccination. Bien que l’effet de la vaccination sur les cancers ne sera visible que dans les années futures, l’évolution temporelle de l’incidence et de la mortalité des cancers associés aux VPH a également été révisée, afin d’inclure les dernières années disponibles dans l’analyse des tendances.
2019
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
rapport
Virus
Fracture avulsion
Papillome
Virus
Virus du papillome humain
mortalité
virus satellites
incidence
portraits comme sujet
Gangrène de Fournier
papillomavirus humain
Portrait
papillomaviridae

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N3-AUTOINDEXEE
Évaluation du webinaire sur la vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) pour les infirmières scolaires - 2018
https://www.inspq.qc.ca/publications/2549
Depuis plusieurs années, la vaccination contre les VPH fait l’objet d’une importante attention médiatique. Afin de soutenir le travail des infirmières vaccinatrices, une formation (de type webinaire avec une session de questions-réponses) leur est offerte annuellement en début de l’année scolaire. Le webinaire offert en septembre 2018 portait entre autres sur les changements annoncés pour le programme de vaccination contre les VPH. Selon les estimations fournies par le Campus virtuel de l’INSPQ, il y avait 304 inscriptions pour cette activité de formation pour une estimation d’approximativement 764 participantes.
2019
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
rapport
vaccination
Virus
papillomaviridae
virus de la vaccine
Virus
vaccination; médication préventive
vaccins antiviraux
Vaccine
Papillome
Virus du papillome humain
virus de la vaccine
Fracture induite
études d'évaluation comme sujet
vaccination
Vaccins
papillomavirus humain

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N2-AUTOINDEXEE
Vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) des femmes vues en colposcopie
https://www.inspq.qc.ca/publications/2292
À long terme, les individus ayant déjà eu des lésions ou subi un traitement pour une maladie reliée aux VPH sont à risque accru de faire une autre maladie reliée à ces virus. La vaccination contre les VPH pourrait réduire ce risque. Cependant, les études effectuées à ce sujet sont généralement d’une faible qualité méthodologique et leurs résultats sont contradictoires. Les études randomisées qui ont servi à l’homologation des vaccins contre les VPH et plusieurs analyses des données de suivi ont conclu qu’il n’y a pas d’évidence que le vaccin ait un effet sur l’issue d‘infections prévalentes ou de lésions (progression/élimination) déjà présentes au moment de la vaccination. Les données sur la vaccination contre les VPH des individus âgés de plus de 45 ans sont limitées. À notre connaissance, il n’y a pas de données sur l’efficacité des vaccins contre les VPH lorsqu'ils sont administrés aux individus âgés de 46 ans et plus ayant déjà eu des lésions ou subi un traitement chirurgical pour une maladie reliée aux VPH. Après discussion, le CIQ considère donc que les données présentement disponibles sont insuffisantes pour recommander des changements aux indications de vaccination contre les VPH présentes au PIQ. Le CIQ réitère que les bénéfices attendus de la vaccination sont maximaux lorsque la vaccination est administrée avant le début des activités sexuelles et qu’ils diminuent avec l’âge. Le CIQ considère que les données disponibles ne supportent pas de repousser les limites supérieures d’âge à la vaccination au-delà de celles homologuées et actuellement au PIQ. Le CIQ profite de l’occasion pour redire que les vaccins contre les VPH n’ont pas d’effet thérapeutique. Les données indiquent que la vaccination contre les VPH n'est pas efficace pour traiter une infection ou une lésion associée aux VPH déjà présente au moment de la vaccination.
2017
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INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
France
français
rapport
Femelle
Femmes
vaccination
Virus du papillome humain
vaccins antiviraux
endoscopie du vagin
papillomavirus humain
vaccination; médication préventive
virus de la vaccine
papillomaviridae
virus de la vaccine
colposcopie
Femelle
femmes
virus de la vaccine

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N2-AUTOINDEXEE
Comparaison des stratégies de dépistage du cancer du col de l'utérus avec le test de détection des virus du papillome humain (test VPH) ou la cytologie gynécologique (test Pap)
https://www.inesss.qc.ca/publications/repertoire-des-publications/publication/comparaison-des-strategies-de-depistage-du-cancer-du-col-de-luterus-avec-le-test-de-detection-des-virus-du-papillome-humain-test-vph-ou-la-cytologie-gynecologique-test-pap.html
Devant l’implantation du programme de vaccination contre le VPH et en raison des changements dans la pratique du dépistage du cancer du col utérin davantage orientée vers l’utilisation du test VPH, la Direction générale de cancérologie a confié à l’INESSS, en collaboration avec des experts du milieu, le mandat de comparer la validité, l’efficacité et la sécurité du test VPH à celle de la cytologie.
2017
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INESSS - Institut national d'excellence en santé et en services sociaux
Canada
français
évaluation technologique
gynécologique
Cancer du col de l'utérus
enquêteur
dépistage du cancer
cancer
biologie cellulaire
cancer du col de l'utérus
cytologique
papillomaviridae
cancer
col de l'utérus
Frottis vaginaux
dépistage du cancer
papillomavirus humain
gynécologie
Virus du papillome humain
tumeurs du col de l'utérus
Dépistage précoce du cancer

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N3-AUTOINDEXEE
Prévalence des infections au virus du papillome humain (VPH) : résultats de l’étude PIXEL - Portrait de la santé sexuelle des jeunes adultes au Québec, 2013-2014
https://www.inspq.qc.ca/publications/2084
Le principal objectif du volet VPH (virus du papillome humain) de l’étude PIXEL était d’estimer la prévalence globale et spécifique par génotype des infections génitales au VPH chez les jeunes femmes vaccinées et non vaccinées dans le but d’évaluer l’impact à court terme du programme de vaccination contre le VPH offert au Québec depuis 2008. De façon complémentaire, l’étude visait également une première appréciation de l’impact indirect de la vaccination des femmes chez les hommes, en mettant en parallèle la prévalence d’infection orale au VPH chez les femmes à celle des hommes, par groupe d’âge. L’étude PIXEL, réalisée au Québec en 2013-2014, a porté sur plus de 3 500 jeunes de 17 à 29 ans. L’étude comprenait à la fois des données recueillies par questionnaire avec des prélèvements biologiques pour la détection de certaines infections transmissibles sexuellement, dont le VPH.
2016
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INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
français
rapport
Santé sexuelle
Portrait
santé reproductive
prévalence
infections
infection à virus du papillome humain
portraits comme sujet
enfants majeurs
santé sexuelle
adulte
Québec
études de résultat
Virus du papillome humain
papillomaviridae
Jeune adulte
évaluation de résultat des soins
ayant comme résultat
Portrait
jeune adulte

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28/04/2024


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