Libellé préféré : papillomavirus humain;

Synonyme SNOMED : virus du papillome humain; virus des verrues; virus de la verrue vulgaire;

Détails


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N2-AUTOINDEXEE
Dépistage du cancer du col de l’utérus au Québec : recommandations pour l’implantation du test de détection des virus du papillome humain (test VPH) comme test de dépistage primaire
https://www.inesss.qc.ca/publications/repertoire-des-publications/publication/depistage-cancer-uterus-recommandations.html
Au Canada, il est estimé qu’une femme sur 168 développera un cancer du col de l’utérus au cours de sa vie. Le dépistage du cancer du col se fait actuellement par cytologie (test de Papanicolaou ou test Pap). Il existe cependant une alternative soit le test de détection des virus du papillome humain (VPH), un test moléculaire permettant la détection des acides nucléiques du virus à partir d’un prélèvement génital. En 2017, l’INESSS publiait un état de connaissances comparant la cytologie au test VPH, constatant que le test VPH se compare favorablement à la cytologie. À la suite de cette publication, le MSSS a signifié son intention d’aller de l’avant avec l’implantation du test VPH comme test primaire pour le dépistage du cancer du col de l’utérus. C’est dans ce contexte que le MSSS a mandaté l’INESSS afin d’émettre des recommandations en lien avec les stratégies et modalités de mise en œuvre de ce test, et ce, notamment concernant l’optimisation de la participation au dépistage, la trajectoire de dépistage à retenir, la pertinence d’offrir l’autoprélèvement et la manière d’assurer une prise en charge optimale des personnes avec résultats anormaux aux tests de dépistage.
2024
INESSS - Institut national d'excellence en santé et en services sociaux
Canada
recommandation de santé publique
Dépistage précoce du cancer
carcinome du col utérin
implantation dans l'utérus
détection
test
papillomaviridae
Virus du papillome humain
cancer du col utérin pT1a1 trouvé dans TNM v8
primaire
dépistage du cancer
tumeurs du col de l'utérus
prothèses et implants
dermatomyosite
cancer du col de l'utérus
dépistage du cancer
administration via un implant
papillomavirus humain
dépistage du cancer cervical
Québec
Altrétamine/étoposide/Procarbazine
papillomavirus humain
cancer
Cancer du col de l'utérus
principal
cause primaire du décès
enquêteur
directives de santé publique
Implantation

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N2-AUTOINDEXEE
Verrues anogénitales (causées par les virus du papillome humain)
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies-infectieuses/sante-sexuelle-infections-transmissibles-sexuellement/lignes-directrices-canadiennes/verrues-anogenitales.html
Ce guide porte sur l'évaluation et la prise en charge des verrues anogénitales (VAG) externes causées par les virus du papillome humain (VPH). Les recommandations relatives à la vaccination contre le VPH et au dépistage du cancer lié au VPH dépassent la portée de ce guide. Les verrues anogénitales (VAG) sont fréquentes et entraînent des coûts importants en termes de recours aux soins de santé ainsi que des effets psychosociaux néfastes. Les VAG sont causées par le virus du papillome humain (VPH), principalement les types 6 et 11 du VPH. Au cours des dernières années, l'incidence des VAG a nettement diminué dans les pays où des programmes de vaccination contre le VPH ont été mis en place. Les types 6 et 11 du VPH se transmettent principalement par contact épithélial, par des personnes asymptomatiques ou symptomatiques. La transmission peut survenir lors de rapports sexuels oraux, vaginaux et anaux, ainsi que lors d'autres contacts intimes cutanés. La transmission périnatale est rare mais peut entraîner une papillomatose respiratoire récurrente chez les nourrissons et les enfants.
2024
Gouvernement du Canada
Canada
recommandation professionnelle
Allèle sauvage LATS1
verrue
papillomaviridae
Verrues
condylomes acuminés
Virus du papillome humain
Allèle sauvage MLL
papillomavirus humain
condylome acuminé
papillomavirus humain

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N3-AUTOINDEXEE
Virus du papillome humain (HPV) et cancer lié à une infection à HPV
https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/human-papilloma-virus-and-cancer
Principaux faits Le groupe des virus du papillome humain (HPV) comprend 200 virus connus. Chez la majorité des personnes, une infection à HPV n’est pas préoccupante, mais certains types de HPV à risque élevé sont courants et peuvent entraîner des verrues génitales ou un cancer. Dans 90 % des cas, le système immunitaire élimine tout seul l’infection. Une infection à HPV à risque élevé persistante est une cause de cancer du col de l’utérus et est associée aux cancers de la vulve, du vagin, de la bouche/gorge, du pénis et de l’anus (1). L’infection à HPV est à l’origine d’environ 5 % de tous les cancers dans le monde, et on estime que, chaque année, 625 600 femmes et 69 400 hommes développent un cancer lié à une infection à HPV. Les femmes vivant avec le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ont six fois plus de risques de développer un cancer du col de l’utérus que les autres. La vaccination prophylactique contre le HPV peut prévenir ces cancers. De plus, le dépistage des infections à HPV et le traitement des lésions précancéreuses sont des méthodes efficaces pour prévenir le cancer du col de l’utérus.
2023
OMS - Organisation Mondiale de la Santé
Suisse
information scientifique et technique
information patient et grand public
Cancer
tumeurs
cancer
Virus du papillome humain
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
tumeur maligne, sai
papillomavirus humain
infection à virus du papillome humain
papillomaviridae
maladie infectieuse
infections à papillomavirus

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N1-SUPERVISEE
Dépliant sur la vaccination contre les cancers HPV (papillomavirus humains)
https://www.e-cancer.fr/Expertises-et-publications/Catalogue-des-publications/Depliant-sur-la-vaccination-contre-les-cancers-HPV-papillomavirus-humains
Ce dépliant fait le point sur la vaccination contre les cancers HPV (papillomavirus humains) pour les filles et les garçons dès 11 ans.
2023
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INCa - Institut National du Cancer
France
infections à papillomavirus
infections à papillomavirus
tumeurs
adolescent
brochure pédagogique pour les patients
papillomavirus humain
Vaccins contre les papillomavirus
Vaccins contre les papillomavirus humains
papillomaviridae

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N3-AUTOINDEXEE
Vaccins gratuits contre les virus du papillome humain (VPH) et les hépatites A et B pour les garçons et les filles en 4e année du primaire - Août 2023
https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/document-000111/
Le dépliant Vaccins gratuits contre les virus du papillome humain (VPH) et les hépatites A et B pour les enfants en 4e année du primaire fournit de l'information aux parents en vue d'un consentement éclairé à la vaccination contre le VPH et les hépatites A et B.
2023
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MSSS - Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec
Canada
brochure pédagogique pour les patients
Vaccins
vaccins antiviraux
Garçons
virus de la vaccine
hépatite virale b
Papillome
vaccination
papillomavirus humain
Hépatite
virus de la vaccine
Vaccine
Filles
Virus
hépatite B
famille nucléaire
Virus du papillome humain
vaccination; médication préventive
papillomaviridae
Virus
hepatite
principal
hommes

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N3-AUTOINDEXEE
Attitude du médecin généraliste en Martinique envers la vaccination contre les papillomavirus humains chez le garçon
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03903345
Introduction : IST la plus fréquente au monde, HPV est responsable, chez les hommes, de lésions bénignes et malignes. Le vaccin contre les HPV recommandé et remboursé chez la jeune fille depuis 2007, l’est chez les jeunes garçons depuis le 1er janvier 2021. Objectif : ce vaccin est sûr et efficace, pourtant peu prescrit en France et encore moins en Martinique. Nous voulions évaluer l’attitude du médecin généraliste en Martinique envers la vaccination anti HPV chez les garçons et ainsi connaitre les motifs de prescription ou de non-prescription. Méthodes : nous avons réalisé une étude qualitative exploratoire à visée descriptive. Des entretiens individuels semi-dirigés via un questionnaire de 16 questions ont été effectués sur un échantillon aléatoire de 12 médecins généralistes installés en Martinique. Résultats : contrairement aux propositions de vaccination chez les jeunes filles, les propositions des médecins interrogés à destination des jeunes garçons sont peu nombreuses. Leur démarche vaccinale est aussi confrontée à de nombreux obstacles. Notamment, le manque de connaissances des médecins généralistes sur les lésions liées à HPV chez l’homme ainsi que sur les bénéfices de la vaccination, l’abord de la sexualité chez l’adolescent et le refus des patients lié à une crainte du vaccin. Selon eux, les voies à suivre pour améliorer l’efficience du médecin traitant dans cette prise en charge pourraient être la mise à jour régulière des connaissances médicales, des campagnes d’information grand public, la restauration du lien patient-médecin mais aussi le recours à l’obligation vaccinale. Conclusion : notre étude a permis de mettre en lumière les principaux freins rencontrés par le médecin généraliste en Martinique dans le projet thérapeutique qu’est la vaccination anti HPV chez le garçon. Elle a permis également de connaitre des pistes de travail pour favoriser l’amélioration de la couverture vaccinale.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Vaccins contre les papillomavirus
attitude
posture
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccine
médecins généralistes
médecine générale
Martinique
vaccination
vaccination
papillomaviridae
vaccination; médication préventive
Vaccins
Garçons
papillomavirus humain
Médecins
Vaccins contre les papillomavirus humains

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N2-AUTOINDEXEE
Couverture vaccinale contre les infections à papillomavirus humain des filles âgées de 15 à 18 ans et déterminants de vaccination, France, 2021
http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2022/24-25/2022_24-25_3.html
Introduction – Notre étude vise à estimer la couverture vaccinale contre les infections à papillomavirus (HPV) chez les filles de 15 à 18 ans en France, à explorer les déterminants associés à cette vaccination et à décrire les raisons de non-vaccination en France métropolitaine. Méthode – L’étude s’appuie sur les données recueillies lors de l’enquête Baromètre santé 2021. Les participants ont été sélectionnés par une génération aléatoire de numéros de téléphone fixe et mobile, et interrogés entre février et décembre 2021. Les parents de filles de 15 à 18 ans ont été interrogés sur la vaccination HPV de leur(s) fille(s). Les déterminants de la vaccination HPV ont été étudiés par régression univariée et multivariée de Poisson. Les analyses ont été réalisées sous Stata SE.64 15.1 (StataCorp, États-Unis). Résultats – La couverture vaccinale contre les infections à HPV est estimée à 43,6% [40,1-47,1] en France métropolitaine, à 13,8% [7,8-23,0] en Guadeloupe, à 17,2% [9,5-29,2] en Martinique, à 22,6% [14,4-33,5] en Guyane, et à 24,0% [16,3-33,2] sur l’île de La Réunion. En France métropolitaine, les couvertures vaccinales sont plus élevées chez les filles âgées de 18 ans (48,7% [40,6-56,9], ratio de prévalence ajusté (RPa) 1,30 [1,04‑1,62], p 0,022) versus celles de 15 ans (39,0% [32,4-46,0]), chez les filles aînées (46,8% [42,9‑50,8], RPa 1,34 [1,08‑1,67], p 0,008) vs celles ne l’étant pas (31,8% [25,2-39,2]), lorsque les parents ont les plus hauts revenus (2e et 3e terciles de revenus par unité de consommation : 53,8% [47,2-60,2] et 56,4% [50,1-62,6]) vs 1er tercile : 32,9% [28,0‑38,2], respectivement RPa 1,35 [1,10-1,66], p 0,004 et RPa 1,24 [0,99-1,55], p 0,063), se considèrent à l’aise financièrement en comparaison avec ceux ayant une situation financière plus défavorable : « à l’aise » : 58,8% [50,9‑66,2] vs « y arrive difficilement » : 25,6% [15,5-39,3], RPa 0,56 [0,35-0,88], p 0,013 et « n’y arrive pas sans dettes » : 14,5% [5,7-32,2], RPa 0,35 [0,14-0,85], p 0,02) , ont au moins 5 années d’études après le bac (59,2% [52,1-66,1], RPa 1,32 [1,06-1,65], p 0,012) vs ceux sans diplôme ou avec un diplôme inférieur au bac (36,7% [30,5-43,4]), et ceux de nationalité française de naissance (46,3% [42,5-50,0]) vs ceux qui ont acquis la nationalité française (24,1% [14,9-36,4], RPa 0,59 [0,38-0,91], p 0,017). Conclusion – Malgré une amélioration des couvertures vaccinales contre les infections à HPV chez les filles en France, elles restent modérées notamment dans les populations les moins favorisées économiquement. Ces résultats invitent à renforcer les actions de promotion de vaccination notamment auprès de ces populations en vue de réduire les inégalités de santé.
2022
SPF - Santé publique France
France
article de périodique
France
français
maladie infectieuse
famille nucléaire
France
dû à
papillomaviridae
vaccination
papillomavirus humain
France
vaccination
vaccination; médication préventive
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Filles
Humains
Vaccine
Vaccins
infections à papillomavirus
France
Couverture vaccinale
France
Vaccination

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N2-AUTOINDEXEE
Étude sur les leviers et les 2 freins à la vaccination contre les papillomavirus humains (HPV)
http://www.ors-auvergne-rhone-alpes.org/pdf/Rapport_HPV_Region.pdf
La connaissance du rôle des papillomavirus humains (HPV) dans l’apparition de certains cancers (notamment du col de l’utérus) est aujourd’hui bien établie. La vaccination est officiellement recommandée en France pour les filles et les garçons âgés de 11 à 14 ans et jusqu’à 26 ans pour les hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes. La couverture vaccinale contre les HPV en France a tendance à progresser ces dernières années mais elle demeure toutefois insuffisante, en particulier en Auvergne-Rhône-Alpes. Dans ce contexte, l’Observatoire régional de la santé Auvergne-Rhône-Alpes a réalisé une étude sur les freins et les leviers à la vaccination contre les HPV avec le soutien financier de la Région Auvergne-Rhône-Alpes. L’étude repose sur trois volets : - une synthèse bibliographique sur la couverture vaccinale contre les HPV en France et en région, sur les freins et leviers déjà repérés ainsi que sur les grandes actions déployées pour promouvoir ce vaccin ; - une analyse quantitative sur les données régionales concernant la couverture vaccinale contre les HPV et la prévalence des cancers impliquant les papillomavirus ; - une enquête qualitative sur les freins et leviers des professionnels et des habitants à la vaccination contre les HPV. L’étude permet ainsi de : - disposer d’un état des lieux quantitatif sur les principaux indicateurs relatifs aux HPV (couverture vaccinale contre les HPV, prévalence du cancer du col de l’utérus et des autres cancers associés aux HPV) dans la région Auvergne-Rhône-Alpes et aux niveaux géographiques infrarégionaux disponibles ; - mieux connaître et comprendre, à l’échelle de son territoire, la diversité de ces espaces et de ses populations, les freins qui existent à la vaccination contre les papillomavirus chez les professionnels et chez les habitants ; - repérer les leviers qu’il serait possible de mobiliser, en complément de ce qui existe déjà, pour améliorer significativement la couverture vaccinale contre les papillomavirus.
2022
ORS Auvergne-Rhône-Alpes
France
rapport
frein
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
vaccination
Vaccins contre les papillomavirus humains
collecte de données
vaccination
Vaccins
Vaccine
vaccination; médication préventive
papillomaviridae
papillomavirus humain
Vaccins contre les papillomavirus

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N2-AUTOINDEXEE
La vaccination contre les infections liées aux papillomavirus humains (HPV) pour prévenir les cancers
https://www.e-cancer.fr/Professionnels-de-sante/Facteurs-de-risque-et-de-protection/Agents-infectieux/Prevenir-les-cancers-lies-aux-HPV
Chaque année, en France, 6 400 nouveaux cas de cancers sont attribuables aux infections liées aux papillomavirus humains (HPV) alors qu’il existe une vaccination sûre et efficace. L’augmentation de la couverture vaccinale dans l’hexagone comme dans les DROM est donc un enjeu de santé publique : l’extension de la vaccination aux garçons (mise en œuvre depuis le 1er janvier 2021) est un nouveau levier même si vacciner les filles demeure la priorité.
2022
INCa - Institut National du Cancer
France
information patient et grand public
maladie infectieuse
prévenance
vaccination; médication préventive
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins
vaccination
papillomavirus humain
Vaccins contre les papillomavirus humains
infections à papillomavirus
Vaccine
papillomaviridae
vaccination
Vaccins contre les papillomavirus

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N2-AUTOINDEXEE
Dépistage du cancer du col de l’utérus au Québec : recommandations pour l’implantation du test de détection des virus du papillome humain (test VPH) comme test de dépistage primaire
https://www.inesss.qc.ca/publications/repertoire-des-publications/publication/depistage-du-cancer-du-col-de-luterus-au-quebec-recommandations-pour-limplantation-du-test-de-detection-des-virus-du-papillome-humain-test-vph-comme-test-de-depistage-primaire.html
Au Canada, il est estimé qu’une femme sur 168 développera un cancer du col de l’utérus au cours de sa vie. Le dépistage du cancer du col se fait actuellement par cytologie (test de Papanicolaou ou test Pap). Il existe cependant une alternative soit le test de détection des virus du papillome humain (VPH), un test moléculaire permettant la détection des acides nucléiques du virus à partir d’un prélèvement génital. En 2017, l’INESSS publiait un état de connaissances comparant la cytologie au test VPH, constatant que le test VPH se compare favorablement à la cytologie. À la suite de cette publication, le MSSS a signifié son intention d’aller de l’avant avec l’implantation du test VPH comme test primaire pour le dépistage du cancer du col de l’utérus. C’est dans ce contexte que le MSSS a mandaté l’INESSS afin d’émettre des recommandations en lien avec les stratégies et modalités de mise en œuvre de ce test, et ce, notamment concernant l’optimisation de la participation au dépistage, la trajectoire de dépistage à retenir, la pertinence d’offrir l’autoprélèvement et la manière d’assurer une prise en charge optimale des personnes avec résultats anormaux aux tests de dépistage. Après avoir procédé à l’analyse des données scientifiques, contextuelles et expérientielles recueillies, l’INESSS émet une série de recommandations entre autres concernant la trajectoire de dépistage et l’autoprélèvement.
2022
INESSS - Institut national d'excellence en santé et en services sociaux
Canada
recommandation pour la pratique clinique
Virus du papillome humain
Québec
papillomaviridae
dermatomyosite
dépistage du cancer
Dépistage précoce du cancer
cancer du col de l'utérus
tumeurs du col de l'utérus
papillomavirus humain
prothèses et implants
dépistage du cancer
Virus
Papillome
Cancer du col de l'utérus
enquêteur
directives de santé publique
Cancer du col de l'utérus
Virus
implantation dans l'utérus
cancer
principal

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N3-AUTOINDEXEE
Comprendre les déterminants de l'hésitation à l'égard du vaccin contre les papillomavirus humains en France
https://www.theses.fr/2022SORUS317
Cette thèse consiste en trois articles scientifiques s’intéressant aux facteurs influençant la couverture vaccinale par le vaccin anti-HPV. Plus spécifiquement, elle analyse les facteurs liés à cette vaccination chez les mères de filles âgées de 11 à 14 ans en France métropolitaine, sous l’angle de l’hésitation vaccinale. Le premier article restitue l’élaboration d’un instrument visant à interroger les facteurs influençant la couverture vaccinale par le vaccin anti-HPV, selon le modèle conceptuel des déterminants de l’hésitation vaccinale de l’OMS. Nous nous sommes appuyés sur une revue de la littérature scientifique de questionnaires validés, et sur un panel multidisciplinaire d’une quinzaine d’experts sollicités selon la méthodologie de Delphi. Cette consultation réalisée sur Internet en deux tours a permis d’identifier 57 questions. Le deuxième article présente les résultats d’une enquête téléphonique menée sur un échantillon représentatif de 1102 mères de filles âgées de 11 à 14 ans sélectionné par la méthode des quotas, faisant suite à une phase pilote testant l’instrument du premier article sur un échantillon représentatif d’une trentaine de mères. Les entretiens comprenaient des questions additionnelles, et avaient été conduits selon la méthode d’entretien téléphonique assisté par ordinateur. Le facteur le plus fortement négativement associé à la vaccination anti-HPV était l'âge de l'adolescente : la croyance de la mère selon laquelle sa fille était trop jeune pour être vaccinée (OR 0,16 ; IC95% 0,09-0,29), et l'âge plus jeune de l'adolescente (OR 0,17 ; IC95%, 0,10-0,28 pour les filles âgées de 11 ans par rapport à celles âgées de 14 ans). Deux facteurs étaient positivement associés à la couverture vaccinale : être en accord avec l'affirmation selon laquelle les médecins croient que vacciner les filles contre les HPV est une bonne idée, et avoir posé des questions au médecin traitant sur les vaccins HPV (OR 4,99 ; IC95%, 2,09-11,89 ; et OR 3,44 ; IC95 %, 2,40-4,92, respectivement). Le troisième article présente une analyse secondaire des données de l’enquête Vaccinoscopie visant à évaluer le rôle du recours à Internet comme source d’information sur la vaccination chez les mères hésitantes vis-à-vis de cette vaccination, sur la vaccination anti-HPV de leurs filles. Nous avons réalisé une analyse poolée des données de 2015 à 2018 portant sur les mères de filles âgées de 14 et 15 ans, d’abord à travers un modèle de régression logistique multivarié, puis par des modèles d’équations structurelles. La régression logistique ajustée sur la recommandation de la vaccination anti-HPV par le médecin, les attitudes à l'égard des vaccins en général, la perception de l'utilité du vaccin anti-HPV, le niveau d'éducation de la mère, la région de résidence et l'année de l'enquête montrait que l’utilisation d'Internet par les mères était significativement associée à une moindre vaccination anti-HPV chez leurs filles (OR 0,66 ; IC95%, 0,47-0,91). Les modèles d’équations structurelles ont confirmé l'effet négatif de l'utilisation d'Internet, en révélant les liens mécanistiques sous-jacents à la moindre couverture vaccinale du vaccin anti-HPV. Les résultats de cette thèse ont des implications en matière de politiques publiques de vaccination anti-HPV. Ils interrogent notamment sur l’opportunité d’abaisser le seuil d’éligibilité de la vaccination anti-HPV en population générale de 11 à 9 ans et soulignent, entre autres, la nécessité de renforcer la formation et l’implication des médecins généralistes quant à la recommandation de vacciner contre les HPV.
2022
theses.fr
France
thèse ou mémoire
Vaccine
France
papillomaviridae
France
Vaccins contre les papillomavirus
France
France
français
France
vaccination
Vaccins contre les papillomavirus humains
vaccination; médication préventive
papillomavirus humain
vaccin
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins

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N2-AUTOINDEXEE
Calendrier de vaccination contre les virus du papillome humain pour les personnes âgées de 18 ans et plus au Québec
https://www.inspq.qc.ca/publications/3242
Des études montrent que la vaccination à une, deux ou trois doses contre les virus du papillome humain (VPH) de type 16 et 18 offre une protection similaire, ce qui remet en question la nécessité de maintenir la recommandation actuelle de trois doses de vaccin pour les personnes de 18 ans et plus. Les calendriers à une ou deux doses de vaccin contre les VPH ont été évalués et recommandés pour les jeunes âgés de 9 à 15 ans. La vaccination contre les VPH peut toutefois débuter après cet âge et comprendre les trois doses généralement recommandées. La protection contre le VPH 18 conférée par le vaccin quadrivalent reste très élevée contre les infections persistantes et les lésions précancéreuses jusqu’à 14 ans après la vaccination, malgré des niveaux d’anticorps bas ou même non détectables.
2022
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
Calendrier
virus de la vaccine
papillomaviridae
vaccination
sujet âgé de 80 ans ou plus
Vaccins
vaccination; médication préventive
Virus
personne âgée
vaccins antiviraux
sujet âgé
Québec
PERSONNE AGEE
virus de la vaccine
papillomavirus humain
Personne humaine
Virus du papillome humain
calendrier vaccinal
Virus
Papillome
Vaccine

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N2-AUTOINDEXEE
Vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) : la France est très en retard
https://www.academie-medecine.fr/vaccination-contre-le-papillomavirus-humain-hpv-la-france-est-tres-en-retard/
L’infection par les papillomavirus humains (HPV) est une infection sexuellement transmissible très répandue, qui affecte plus de 80 % des personnes (hommes et femmes) au début de leur vie sexuelle. En France, ces virus sont responsables, chaque année, de plus de 100 000 verrues génitales bénignes, plus de 30 000 lésions pré-cancéreuses et plus de 8000 cancers des régions génitales, anales et oropharyngées [1]. Après la démonstration du rôle de certains papillomavirus humains (HPV) dans le développement du cancer du col utérin (en 1985), ainsi que des cancers ano-génitaux et oropharyngés (en 2009), les cibles des premiers vaccins anti-HPV mis sur le marché en 2007 ont été progressivement élargies pour inclure, depuis 2018, les 9 types d’HPV à l’origine des tumeurs bénignes, pré-cancers et cancers, HPV-dépendants.
2022
Académie Nationale de Médecine
France
information scientifique et technique
Vaccins
vaccination
vaccination
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
vaccination; médication préventive
France
France
Vaccine
français
Vaccins contre les papillomavirus
papillomavirus humain
France
Vaccins contre les papillomavirus humains
France
papillomaviridae
France

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N3-AUTOINDEXEE
Évaluation du rapport coût-utilité de la généralisation de la vaccination contre les papillomavirus humains aux garçons: méta-revue systématique de la littérature
http://thesesante.ups-tlse.fr/3156/
Introduction : les papillomavirus humains sont impliqués dans la survenue d'autres pathologies que le cancer cervical touchant également les hommes. Depuis les années 2010, de plus en plus de pays font le choix d'étendre cette vaccination aux garçons malgré un rapport coût-utilité mal établi. Objectif : réaliser une analyse du rapport coût-utilité (ICER) d'une vaccination neutre quant au genre, prenant en compte toutes les pathologies attribuées aux HPV. Méthode : une méta-revue systématique de la littérature a été réalisée par deux chercheurs sur les bases de données de PubMed, Cochrane et Web of Science ainsi que sur la littérature grise afin d'inclure des revues systématiques publiées entre 2006 et 2019. Résultats : les ICER retrouvés sont répartis de part et d'autre du seuil de rentabilité avec un intervalle compris entre 13 700 et 290 290 USD/QALYg. Cette variabilité est liée à de nombreux facteurs modulateurs : la couverture vaccinale féminine, la prise en compte de toutes les pathologies HPV-induites, le prix et le nombre de doses, la durée et l'efficacité de la protection vaccinale et le taux d'actualisation. Conclusion : les ICER estimés sont trop hétérogènes pour permettre de conclure sur l'intérêt médico-économique d'étendre la vaccination anti-HPV aux garçons. De meilleurs rapports coût-utilité sont obtenus lorsque l'ensemble des pathologies HPV-induites sont incluses, notamment les cancers oropharyngés et lorsque la couverture vaccinale féminine est basse ( 40%). La diminution du prix des doses ainsi que la généralisation d'un schéma vaccinal à 2 doses devraient améliorer les rapports coût-utilité.
2021
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
vaccination
Rapport d'évaluation
Systématique
littérature de revue comme sujet
études d'évaluation comme sujet
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Coût
Littérature
papillomaviridae
classification
Revue systématique
métastase tumorale
Systématique
Systématique
papillomavirus humain
Vaccins contre les papillomavirus humains
Systématique
Vaccins contre les papillomavirus
rapport albumine/globuline
Vaccine
vaccine généralisée
Vaccins
vaccination; médication préventive
coûts et analyse des coûts

---
N3-AUTOINDEXEE
Modélisation dynamique des infections et co-infections génitales à papillomavirus humain (HPV) et de l’impact à long terme de la vaccination anti-HPV
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-03231970
L’infection génitale au papillomavirus humain (HPV) concerne près d’un tiers des moins de 25 ans dès le début de leur activité sexuelle. Généralement asymptomatique, elle peut conduire au développement de lésions cancéreuses. Parmi la quarantaine de génotypes HPV transmis par les voies génitales, une quinzaine a été évaluée comme oncogène et agent causal du cancer du col de l’utérus. Deux vaccins proposés en France depuis 2007 aux jeunes filles ciblent deux génotypes HPV les plus à risque de cancer du col de l’utérus. Ces vaccins n’incluant qu’une fraction des HPV, l’évolution des prévalences d’infection et de co-infection reste incertaine. L’objectif de ce travail de thèse est de mieux comprendre l’impact des interactions entre génotypes HPV lors de co-infections intra-hôte sur l’évolution des prévalences des génotypes vaccinaux (V) et non vaccinaux (NV). Pour y répondre, ce travail s’appuie sur le développement d’un modèle individu-centré permettant de reproduire à la fois l’hétérogénéité des comportements sexuels et les dynamiques de transmission de génotypes V et NV en fonction de l’âge. Une première partie présente une description détaillée de ce modèle stochastique et de sa validation sur des données d’enquêtes. Ce modèle suppose que l’interaction entre génotypes se traduit par la réduction (compétition) ou la prolongation (synergie) de la durée d’infection par un génotype NV en cas d’infection préalable par un génotype V. La calibration des paramètres de transmission pour différentes forces d’interaction montre que plusieurs d’entre elles sont compatibles avec les données épidémiologiques pré-vaccinales d’infection et de co-infection. Dans les simulations, après introduction de la vaccination dans la population, nous observons que la prévalence des génotypes NV augmente en cas de compétition et diminue en cas de synergie et ce d’autant plus que l’interaction est forte. En cas de compétition, l’augmentation de la prévalence des NV pourrait entraîner une faible diminution voire une augmentation de la prévalence globale de tous les génotypes malgré la vaccination. La deuxième partie vise à explorer, par une étude de simulations, comment l’introduction de la vaccination modifie la diffusion de l’infection dans le réseau de contacts. Les simulations mettent en évidence des variations de prévalence des génotypes NV avant et après vaccination plus marquées chez les individus moins actifs. Dans la troisième partie, le modèle est utilisé pour émuler les schémas d’études épidémiologiques afin de déterminer les conditions (nombre de sujets, délai après l’introduction du vaccin) nécessaires à la détection d’une diminution ou augmentation des prévalences de HPV suite à l’introduction de la vaccination dans la population. Une revue systématique de la littérature fait ressortir deux schémas d’études observationnelles comparant les prévalences d’infection soit dans deux populations en périodes pré- et post-vaccinales, soit chez les vaccinés et les non vaccinés en période post-vaccinale. Les résultats obtenus suggèrent que les études publiées à ce jour quel qu’en soit le schéma manquent de puissance statistique pour détecter une variation de prévalence des génotypes NV. S’appuyant sur le développement d’un modèle validé pour reproduire des comportements sexuels et des prévalences d’infection à HPV réalistes, l’ensemble de ce travail de thèse participe donc à l’amélioration des connaissances épidémiologiques sur les infections et co-infections à HPV et permet d’anticiper l’impact des mesures de prévention vaccinale sur la prévalence de l’infection à HPV.
2021
TEL - Thèses en ligne
France
thèse ou mémoire
vaccination
papillomaviridae
vaccination; médication préventive
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
maladie infectieuse
vaccination
Vaccine
Humains
Vaccins
appareil génital, sai
papillomavirus humain
Vaccins contre les papillomavirus
co-infection
infections à papillomavirus
infections de l'appareil reproducteur
Vaccination
humains
vaccination

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N2-AUTOINDEXEE
Détection de l’ARN des papillomavirus humain (HPV) à haut risque dans le cadre du dépistage primaire du cancer du col utérin
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3305614/fr/detection-de-l-arn-des-papillomavirus-humain-hpv-a-haut-risque-dans-le-cadre-du-depistage-primaire-du-cancer-du-col-uterin
Objectifs La Direction générale de la santé a saisi la HAS pour savoir si la détection de l’ARN de HPV peut être réalisé au même titre que la détection de l’ADN de HPV dans le cadre du dépistage primaire des lésions précancéreuses du col utérin, chez les femmes de 30 à 65 ans. Pour répondre à cette saisine, trois questions d’évaluation ont été retenues : Question n 1 : Est-ce que la validité diagnostique du test HPV à ARN est différente de la validité diagnostique du test HPV à ADN validé pour la détection des lésions précancéreuses du col utérin dans un contexte de dépistage primaire ? Question n 2 : Quelle est la performance longitudinale du test HPV à ARN comparée à celle du test HPV à ADN ? Question n 3 : Est-ce que la validité diagnostique d’un test HPV à ARN sur un auto-prélèvement (APV) est égale au test HPV à ARN sur un échantillon cervical collecté par un professionnel (i.e. prélèvement clinicien) ?
2021
HAS - Haute Autorité de Santé
France
290. Épidémiologie, facteurs de risque, prévention et dépistage des cancers
évaluation technologique
ARN
cancer
Risque
tumeurs du col de l'utérus
Humains
enquêteur
UTERINE
principal
utérus, sai
Appréciation des risques
dépistage du cancer
Cancer
Dépistage précoce du cancer
acide ribonucléique
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus humain
papillomaviridae
dépistage du cancer

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N3-AUTOINDEXEE
Couvertures vaccinales contre l’hépatite B et les virus du papillome humain en 4e année du primaire : état d’implantation des mesures recommandées
https://www.inspq.qc.ca/publications/2662
Afin de favoriser l’atteinte des objectifs de couvertures vaccinales (CV) des programmes de vaccination en milieu scolaire, des orientations ont été émises par le Directeur national de santé publique recommandant aux régions l’implantation des cinq mesures suivantes : La rétroaction des résultats de CV auprès des établissements de santé et des écoles; L’utilisation et la personnalisation des lettres types destinées aux enseignants et aux parents, en incluant les coordonnées de l’infirmière scolaire dans les communications aux parents; L’introduction d’une communication destinée aux parents à la fin de la 3e année du primaire (outil transmis en avril 2018); L’instauration de processus minimaux attendus de rappels et de relances pour le retour des formulaires de consentement à la vaccination en 4e année du primaire; Enfin, l’offre d’une formation spécifique sur le programme du virus du papillome humain (VPH) pour les infirmières scolaires annuellement. Cette formation est d’ailleurs offerte depuis septembre 2016.
2020
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
rapport
Virus de l'hépatite ni A ni B
poids et mesures
virus de l'hépatite B
Virus
Couverture vaccinale
directives de santé publique
virus de l'hépatite b
Papillome
hepatite
Mesures
virus de l'hépatite A humaine
implant
papillomavirus humain
Virus du papillome humain
Virus de l'hépatite B
principal
papillomaviridae
prothèses et implants
hépatite virale

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N3-AUTOINDEXEE
Impact populationnel de l'adoption d'un calendrier mixte de vaccination contre les virus du papillome humain au Québec : une étude de modélisation
http://hdl.handle.net/20.500.11794/38216
En 2018, la province de Québec a modifié son calendrier de vaccination contre les virus du papillome humain (VPH), remplaçant le calendrier comportant 2 doses de vaccin nonavalent par un calendrier de vaccination mixte, comportant une dose de vaccin nonavalent suivie d’une dose de vaccin bivalent. Toutefois, l’efficacité clinique et la durée de protection conférées par ce calendrier mixte ne sont pas connues avec précision, impliquant une incertitude quant à son impact populationnel sur l’incidence des maladies associées aux VPH. L’impact populationnel du calendrier mixte au Québec a été évalué à l’aide d’une étude de modélisation mathématique. Le modèle utilisé (HPV-ADVISE) est basé sur les individus et simule la dynamique de transmission des VPH à l’échelle populationnelle. Les mesures d’impact considérées incluent la réduction prédite par le modèle du taux d’incidence et du nombre total de cas des maladies attribuables aux VPH. L’effet de l’incertitude quant à l’efficacité vaccinale et la durée de protection sur l’impact du calendrier mixte a été exploré à l’aide d’analyses de sensibilité univariées. Pour les lésions cancéreuses et précancéreuses, les simulations ont globalement prédit une faible différence d’impact entre les scénarios les plus plausibles du calendrier mixte et le calendrier comportant 2 doses de vaccin nonavalent, conséquence de l’importance inférieure du fardeau attribuable aux génotypes 31/33/45/52/58 comparativement aux génotypes 16/18. L’impact sur l’incidence des condylomes s’est avéré beaucoup plus sensible à la durée de protection qu’à l’efficacité vaccinale. Pour les scénarios jugés plausibles, la réduction à long terme du taux d’incidence des condylomes a été prédite entre 50 % (durée de protection de 20 ans) et 90 % (protection à vie, efficacité de 75 à 100 %). Cette grande variabilité dans les prédictions du modèle suggère qu’une surveillance populationnelle des infections à VPH et des condylomes suite à l’implantation du calendrier mixte pourrait être indiquée.
2020
CorpusUL - Dépôt institutionnel de l'Université Laval
Canada
thèse ou mémoire
Virus
papillomaviridae
calendrier vaccinal
papillomavirus humain
Virus
Québec
virus de la vaccine
Calendrier
vaccins antiviraux
vaccination
collecte de données
virus de la vaccine
Vaccins
Papillome
vaccination; médication préventive
Vaccine
adoption
adoption
Virus du papillome humain
virus de la vaccine

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N2-AUTOINDEXEE
Virus du papillome humain et santé buccodentaire
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/rapports-publications/releve-maladies-transmissibles-canada-rmtc/numero-mensuel/2020-46/numero-11-12-5-novembre-2020/virus-papillome-humain-sante-buccodentaire.html
Le Canada fait partie des chefs de file mondiaux en santé buccodentaire. Malgré cela, les préoccupations sont de plus en plus vives au sujet des taux croissants de cancers de la bouche et de la gorge liés au virus du papillome humain (VPH). Le lien entre le VPH et le cancer du col de l’utérus est bien établi; heureusement, grâce à la détection et à la vaccination, le Canada a l’un des taux d’incidence les plus faibles du cancer du col de l’utérus au monde. Les cancers de la bouche et de la gorge liés au VPH, cependant, présentent un tableau différent. Au Canada, entre 25 % et 35 % des cancers de la bouche et de la gorge sont liés à l’infection par le VPH par voie orale; et en 2012, le taux d’incidence du cancer de l’oropharynx associé au VPH était plus de 4,5 fois plus élevé chez les hommes que chez les femmes. De plus, la couverture vaccinale contre le VPH au Canada est plus élevée chez les femmes que chez les hommes. Les médecins et les infirmières en santé publique et en milieu clinique ont un rôle à jouer dans la lutte contre la transmission du VPH, tout comme les professionnels de la santé buccodentaire. Les professionnels de la santé buccodentaire peuvent jouer un rôle clé dans la prévention de l’infection par le VPH et des cancers oropharynx liés au VPH en sensibilisant, en éduquant et en offrant des conseils à leurs clients et en encourageant des interventions préventives et diagnostiques fondées sur des données probantes.
2020
RMTC
Canada
article de périodique
papillomaviridae
santé buccodentaire
Virus
Virus
Papillome
Virus du papillome humain
papillomavirus humain

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N3-AUTOINDEXEE
Acceptabilité de la vaccination masculine contre le papillomavirus humain : revue systématique de la littérature
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03110696
Introduction : la vaccination HPV est considérée comme l’une des plus grandes réussites de la médecine moderne. Elle a récemment été recommandée chez l’homme dans divers pays du monde dont la France. Même si le vaccin papillomavirus est considéré comme efficace dans la prévention du cancer du col de l’utérus, son utilité chez l’homme reste en majorité mal connue. Pourtant l’incidence des maladies HPV induites chez l’homme n’est pas négligeable. Matériel et méthode : nous avons réalisé une revue systématique de la littérature interrogeant les bases de données, MEDLINE, COCHRANE, la Banque de données de Santé Publique (BDSP) et PASCAL. Les recherches ont été effectuées entre le 4 Janvier et le 29 Février 2020. Une veille bibliographique a ensuite été menée jusqu’en Avril 2020. Des articles traitant de l’acceptabilité de la vaccination HPV chez l’homme, publiés entre 2010 et 2020, ont été sélectionnés. L’objectif de ce travail était d’évaluer l’acceptabilité et la perception par les hommes de la vaccination masculine contre le papillomavirus humain. Résultats : 27 articles ont été retenus et analysés. La synthèse des données recueillies a permis de distinguer les facteurs augmentant l’acceptabilité vaccinale HPV, des réticences à la vaccination. La perception du bénéfice de la vaccination, le regret anticipé, la perception de la gravité et de la susceptibilité à l’infection à HPV sont des facteurs influençant positivement l’acceptabilité du vaccin. A l’inverse, le manque de connaissance sur les IST et le papillomavirus, la peur des effets indésirables du vaccin et le prix du vaccin sont cités comme facteurs de réticence à la vaccination. Malgré une réelle méconnaissance sur le papillomavirus, les hommes interrogés, et notamment les hommes androgames, expriment une bonne acceptabilité vis-à-vis du vaccin HPV. Conclusion : Des campagnes visant à promouvoir la recommandation vaccinale chez l’homme par les acteurs de santé, à informer le grand public mais surtout les collégiens et leurs parents et à réduire les freins dus au coût et à la désinformation peuvent favoriser l’acceptabilité de la vaccination masculine anti-papillomavirus. Des études futures, plus particulièrement en France, sont nécessaires pour promouvoir efficacement le vaccin anti-papillomavirus chez les hommes.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Revue systématique
papillomaviridae
Vaccine
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Systématique
Vaccins contre les papillomavirus
littérature de revue comme sujet
vaccination
Systématique
vaccination; médication préventive
Vaccins contre les papillomavirus humains
Systématique
sexe masculin, sai
Vaccins
papillomavirus humain
Littérature
Systématique
vaccination

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N3-AUTOINDEXEE
Etude des facteurs de la vaccination contre le Papillomavirus humain chez une sélection de jeunes filles de terminale en Seine-Maritime
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02269100
L’objectif de cette étude est d’évaluer auprès des jeunes filles de terminale de Seine-Maritime leurs connaissances au sujet de l’infection à Papillomavirus Humain et sa prévention. br Secondairement, l’intérêt serait de trouver des pistes de compréhension de l’insuffisance de couverture vaccinale et des axes à améliorer afin d’informer plus et mieux les étudiantes pour augmenter le taux de couverture vaccinale. br Matériel et méthode br Cette étude est descriptive et rétrospective. Elle a été réalisée auprès de 232 jeunes filles de terminale de Seine-Maritime à l’aide d’un questionnaire anonyme distribué dans 4 lycées du département. br Résultats br La majorité des étudiantes ont peu de connaissances sur le Papillomavirus humain, son moyen de dépistage et sur sa vaccination. 56% des sujets de notre étude ont été vaccinés. Ce taux est raisonnable au vu du faible taux de la couverture vaccinale anti-HPV en France. Cependant, de nombreux freins à la vaccination ont été mis en lumière, il faut les comprendre afin de pouvoir les combattre. br Conclusion br Une information claire et adaptée doit être délivrée au plus grand nombre de jeunes filles, de garçons et de parents afin d’obtenir une couverture vaccinale plus large.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Filles
phase terminale
Vaccins contre les papillomavirus humains
vaccination
Vaccine
famille nucléaire
collecte de données
papillomavirus humain
facteur
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination; médication préventive
papillomaviridae
vaccination
adolescent
Vaccins
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Sélection

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N3-AUTOINDEXEE
Le papillomavirus humain et la vaccination anti-HPV en France : comparaison au système australien et étude mettant en évidence les freins à cette vaccination
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02417224
Le papillomavirus est responsable de nombreuses pathologies de la peau et des muqueuses dont les verrues, les condylomes et un certain nombre de cancers : cancers du col de l’utérus, du vagin, du pénis, de l’anus, cancers oro-pharyngés. On estime que 75% des hommes et des femmes sexuellement actifs seront au contact de ce virus durant leur vie. Enfin de prévenir la contamination par le papillomavirus, trois vaccins anti HPV sont disponibles en France. Cependant, notre taux de couverture anti-HPV est très faible en comparaison aux autres pays de l’Union Européenne ou de l’Australie. Quelles en sont les raisons ? Dans un premier temps, nous étudierons le papillomavirus, son épidémiologie, ses infections et traitements. Puis nous comparerons le système de vaccination anti-HPV français au programme national de vaccination australien. Dans un second temps, nous avons élaboré deux questionnaires destinés à la population et aux professionnels de santé et étudié les résultats afin d’identifier les différents freins à la vaccination anti-HPV en France.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Vaccins
France
population d'origine océanique
frein
français
papillomavirus humain
Vaccins contre les papillomavirus humains
vaccination
vaccination; médication préventive
France
collecte de données
Vaccine
France
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
France
France
vaccination
Vaccins contre les papillomavirus

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N3-AUTOINDEXEE
Groupes supplémentaires qui pourraient être visés par une vaccination gratuite contre les virus du papillome humain (VPH)
https://www.inspq.qc.ca/publications/2490
À la suite de différentes demandes reçues et pour répondre à la question du MSSS du 24 janvier 2018 qui en découle, à savoir si d’autres groupes devraient être visés par une vaccination gratuite contre les virus du papillome humain (VPH), les données disponibles ont été revues et le présent document a fait l’objet d’une révision par les membres du CIQ à l’automne 2018. Le Programme québécois gratuit de vaccination contre les VPH est parmi les plus étendus répertoriés.
2019
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
rapport
vaccins antiviraux
papillomavirus humain
Vaccins
vaccination; médication préventive
vaccination
papillomaviridae
virus de la vaccine
Papillome
Virus
Vaccine
vaccination
Virus du papillome humain
virus de la vaccine
Virus

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N2-AUTOINDEXEE
Portrait de l’incidence et de la mortalité des cancers associés aux virus du papillome humain (VPH) : mise à jour de l’incidence 2008-2010 et de la mortalité 2008-2012
https://www.inspq.qc.ca/publications/2492
Au Québec, le programme public de vaccination contre les VPH a été introduit en 2008. Ce programme, qui s’adressait aux jeunes filles de la 4e année du primaire, a été élargi en 2016 pour inclure les garçons du même âge. En 2013, l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) publiait un premier portrait des cancers associés aux VPH au Québec, pour la période prévaccination de 1984 à 2007. Le présent rapport fait une mise à jour de l’incidence des cancers associés aux VPH ainsi que de la mortalité attribuable à ces cancers, pour évaluer le fardeau de la maladie et celui potentiellement évitable par la vaccination. Bien que l’effet de la vaccination sur les cancers ne sera visible que dans les années futures, l’évolution temporelle de l’incidence et de la mortalité des cancers associés aux VPH a également été révisée, afin d’inclure les dernières années disponibles dans l’analyse des tendances.
2019
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
rapport
Virus
Fracture avulsion
Papillome
Virus
Virus du papillome humain
mortalité
virus satellites
incidence
portraits comme sujet
Gangrène de Fournier
papillomavirus humain
Portrait
papillomaviridae

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N3-AUTOINDEXEE
Évaluation du webinaire sur la vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) pour les infirmières scolaires - 2018
https://www.inspq.qc.ca/publications/2549
Depuis plusieurs années, la vaccination contre les VPH fait l’objet d’une importante attention médiatique. Afin de soutenir le travail des infirmières vaccinatrices, une formation (de type webinaire avec une session de questions-réponses) leur est offerte annuellement en début de l’année scolaire. Le webinaire offert en septembre 2018 portait entre autres sur les changements annoncés pour le programme de vaccination contre les VPH. Selon les estimations fournies par le Campus virtuel de l’INSPQ, il y avait 304 inscriptions pour cette activité de formation pour une estimation d’approximativement 764 participantes.
2019
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
rapport
vaccination
Virus
papillomaviridae
virus de la vaccine
Virus
vaccination; médication préventive
vaccins antiviraux
Vaccine
Papillome
Virus du papillome humain
virus de la vaccine
Fracture induite
études d'évaluation comme sujet
vaccination
Vaccins
papillomavirus humain

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N2-AUTOINDEXEE
Evaluation de la recherche des papillomavirus humains (HPV) en dépistage primaire des lésions précancéreuses et cancéreuses du col de l’utérus et place du double marquage immuno-histochimique (p16/Ki67)
https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2806160/fr/evaluation-de-la-recherche-des-papillomavirus-humains-hpv-en-depistage-primaire-des-lesions-precancereuses-et-cancereuses-du-col-de-l-uterus-et-place-du-double-marquage-immuno-histochimique-p16/ki67
Conformément à son programme de travail, et après cadrage, la Haute Autorité de santé (HAS) va procéder, à la demande de la Direction Générale de la Santé (DGS), à l'évaluation de la recherche des papillomavirus humains (HPV) en dépistage primaire des lésions précancéreuses et cancéreuses du col de l'utérus et place du double marquage immuno-histochimique (p16/Ki67).
2019
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HAS - Haute Autorité de Santé
France
290. Épidémiologie, facteurs de risque, prévention et dépistage des cancers
français
information scientifique et technique
facteurs socioéconomiques
papillomaviridae
Recherche évaluative
papillomavirus humain
lésion
feuilles de plante
histocytochimie
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
études d'évaluation comme sujet
Dépistage
blessures
principal
col de l'utérus
états précancéreux
Humains
feuilles
double
Dépistage de masse
plaies et blessures
humains

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N2-AUTOINDEXEE
Comparaison des stratégies de dépistage du cancer du col de l'utérus avec le test de détection des virus du papillome humain (test VPH) ou la cytologie gynécologique (test Pap)
https://www.inesss.qc.ca/publications/repertoire-des-publications/publication/comparaison-des-strategies-de-depistage-du-cancer-du-col-de-luterus-avec-le-test-de-detection-des-virus-du-papillome-humain-test-vph-ou-la-cytologie-gynecologique-test-pap.html
Devant l’implantation du programme de vaccination contre le VPH et en raison des changements dans la pratique du dépistage du cancer du col utérin davantage orientée vers l’utilisation du test VPH, la Direction générale de cancérologie a confié à l’INESSS, en collaboration avec des experts du milieu, le mandat de comparer la validité, l’efficacité et la sécurité du test VPH à celle de la cytologie.
2017
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INESSS - Institut national d'excellence en santé et en services sociaux
Canada
français
évaluation technologique
gynécologique
Cancer du col de l'utérus
enquêteur
dépistage du cancer
cancer
biologie cellulaire
cancer du col de l'utérus
cytologique
papillomaviridae
cancer
col de l'utérus
Frottis vaginaux
dépistage du cancer
papillomavirus humain
gynécologie
Virus du papillome humain
tumeurs du col de l'utérus
Dépistage précoce du cancer

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N3-AUTOINDEXEE
Facteurs associés à l'acceptation d'une ordonnance de vaccin contre les papillomavirus humains dans quatre cabinets de médecine générale des Hauts-de-France
http://www.sudoc.fr/225720620
Contexte : En 2017, la couverture vaccinale (CV) anti papillomavirus humain (HPV) est très faible en France avec seulement 17% de jeunes filles vaccinées. L'objectif de cette étude était d'étudier les facteurs associés à l'acceptation d'une ordonnance de vaccin anti-HPV, chez les jeunes filles âgées de 11 à 19 ans, consultant dans 4 cabinets de médecine générale des Hauts de France
2017
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
généralisé
France
vaccin
ordonnances
quatre
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
vaccination; médication préventive
vaccination
France
Acceptation des soins par les patients
papillomavirus humain
France
Vaccins contre les papillomavirus humains
France
Vaccins contre les papillomavirus
France
vaccination
papillomaviridae
Vaccins
français
Médecins
Vaccine
médecine générale
facteur

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N3-AUTOINDEXEE
Impact de la brochure de l'INPES sur le taux de couverture vaccinale anti-papillomavirus humains dans quatre cabinets de médecine générale des Hauts-de-France
http://www.sudoc.fr/225725673
Contexte : Le taux de couverture vaccinale contre les papillomavirus humains (HPV), responsables du cancer du col de l'utérus est très faible en France avec seulement 17% de jeunes filles vaccinées. L'objectif de cette étude était d'évaluer l'impact d'une brochure médicale sur le taux de couverture vaccinale anti-HPV des jeunes filles consultant dans quatre centres de médecine générale
2017
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
Couverture vaccinale
France
papillomavirus humain
France
Humains
médecine générale
brochures
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
généralisé
France
France
papillomaviridae
vaccination; médication préventive
quatre
Médecins
français
France
couverture d'assurance

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N2-AUTOINDEXEE
Vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) des femmes vues en colposcopie
https://www.inspq.qc.ca/publications/2292
À long terme, les individus ayant déjà eu des lésions ou subi un traitement pour une maladie reliée aux VPH sont à risque accru de faire une autre maladie reliée à ces virus. La vaccination contre les VPH pourrait réduire ce risque. Cependant, les études effectuées à ce sujet sont généralement d’une faible qualité méthodologique et leurs résultats sont contradictoires. Les études randomisées qui ont servi à l’homologation des vaccins contre les VPH et plusieurs analyses des données de suivi ont conclu qu’il n’y a pas d’évidence que le vaccin ait un effet sur l’issue d‘infections prévalentes ou de lésions (progression/élimination) déjà présentes au moment de la vaccination. Les données sur la vaccination contre les VPH des individus âgés de plus de 45 ans sont limitées. À notre connaissance, il n’y a pas de données sur l’efficacité des vaccins contre les VPH lorsqu'ils sont administrés aux individus âgés de 46 ans et plus ayant déjà eu des lésions ou subi un traitement chirurgical pour une maladie reliée aux VPH. Après discussion, le CIQ considère donc que les données présentement disponibles sont insuffisantes pour recommander des changements aux indications de vaccination contre les VPH présentes au PIQ. Le CIQ réitère que les bénéfices attendus de la vaccination sont maximaux lorsque la vaccination est administrée avant le début des activités sexuelles et qu’ils diminuent avec l’âge. Le CIQ considère que les données disponibles ne supportent pas de repousser les limites supérieures d’âge à la vaccination au-delà de celles homologuées et actuellement au PIQ. Le CIQ profite de l’occasion pour redire que les vaccins contre les VPH n’ont pas d’effet thérapeutique. Les données indiquent que la vaccination contre les VPH n'est pas efficace pour traiter une infection ou une lésion associée aux VPH déjà présente au moment de la vaccination.
2017
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INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
France
français
rapport
Femelle
Femmes
vaccination
Virus du papillome humain
vaccins antiviraux
endoscopie du vagin
papillomavirus humain
vaccination; médication préventive
virus de la vaccine
papillomaviridae
virus de la vaccine
colposcopie
Femelle
femmes
virus de la vaccine

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N3-AUTOINDEXEE
Le dépistage du papillomavirus humain (HPV) par rapport au test de Papanicolaou (frottis cervico-utérin) pour le dépistage du cancer du col de l'utérus
http://www.cochrane.org/fr/CD008587/le-depistage-du-papillomavirus-humain-hpv-par-rapport-au-test-de-papanicolaou-frottis-cervico-uterin
Objectifs : Déterminer la précision diagnostique du test du HPV pour la détection de néoplasies intraépithéliales cervicales (CIN) de grade 2 ou supérieur (CIN 2 ) confirmées par analyse histologique, notamment l'adénocarcinome in situ, chez les femmes participant au dépistage primaire du cancer du col de l'utérus ; et comparer cette précision à la précision du test cytologique (en milieu liquide et conventionnel) à différents seuils.
2017
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Cochrane
France
Royaume-Uni
français
résumé ou synthèse en français
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
test de papanicolaou
test de papanicolaou
cancer du col de l'utérus
papillomaviridae
papillomavirus humain
dépistage du cancer
rapport albumine/globuline
rapport (information)
Frottis vaginaux
utérus, sai
Humains
col de l'utérus
Cancer du col de l'utérus
cancer
tumeurs du col de l'utérus
dépistage du cancer
cancer
Dépistage précoce du cancer
rapport de recherche
humains

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N3-AUTOINDEXEE
Impact du diagnostic de lésions associées au Papillomavirus Humain (HPV) sur la sexualité féminine : étude qualitative
https://www.iumsp.ch/fr/rds/264
Cette étude s’inscrit dans un projet plus large visant à évaluer l’impact sur la sexualité féminine d’un diagnostic de lésions associées au HPV. Pour ce faire, un volet quantitatif comparant la fonction sexuelle d’une population de femmes présentant une lésion liée au HPV, à celle d’une population sans lésion a été conçu. Lors de la récolte des données, les instigatrices principales ont décidé d’ajouter un complément qualitatif visant à approfondir la compréhension des données quantitatives. Elles ont ainsi mandaté la plateforme de soutien méthodologique en recherche qualitative, sous l’égide du CepiC, pour réaliser ce complément. Ce rapport expose le complément de recherche qualitatif.
2016
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IUMSP - Institut universitaire de médecine sociale et préventive
France
français
rapport
qualitatif
plaies et blessures
lésion
papillomaviridae
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
état sexuel
recherche qualitative
sexualité
sexe féminin, sai
aucun diagnostic
Humains
papillomavirus humain
diagnostic
blessures
humains

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N3-AUTOINDEXEE
Vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes - Questions et réponses à l'intention des intervenants
http://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/document-001583/
2016
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MSSS - Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec
France
français
information patient et grand public
LGBT
humains
papillome
vaccination
homosexualité masculine
papillomaviridae
virus de la vaccine
virus de la vaccine
Question-réponse
papillomavirus humain
intention
Hommes
relatif
vaccins antiviraux
hommes
virus de la vaccine
Question-réponse

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N3-AUTOINDEXEE
Évaluation de l'implantation du programme de vaccination contre les papillomavirus humains organisé en milieu scolaire en Nouvelle-Calédonie
http://www.sudoc.fr/199225206
Un programme de vaccination anti-HPV en milieu scolaire a été mis en place en Nouvelle-Calédonie en 2015. L'objectif du travail était d'évaluer la première campagne (schéma vaccinal complet de deux doses) afin d'en identifier les freins et les leviers potentiels et d'apporter des recommandations d'amélioration.
2016
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
vaccination
papillomaviridae
papillomavirus humain
Vaccins contre les papillomavirus
établissements scolaires
évaluation de programme
vaccination
prothèses et implants
organisation
Vaccins contre les papillomavirus humains
vaccination
organisateurs embryonnaires
implant
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
médial
vaccination; médication préventive
programmes de vaccination
Nouvelle-Calédonie

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N3-AUTOINDEXEE
Données et outils pour l'optimisation de l’impact de la vaccination prophylactique contre les papillomavirus humains en France
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01325228
Introduction : Depuis 2007, la vaccination contre les infections à papillomavirus humains (HPV) est recommandée en complément du dépistage du cancer du col utérin (CCU). Cependant, au vu de la faible couverture vaccinale en France, l’impact épidémiologique de la vaccination est discuté, ainsi que le choix de la population cible et les moyens déployés pour son adhésion à la recommandation. Cette thèse propose des données et des outils originaux pour l’évaluation et l’optimisation de l’impact de la vaccination HPV en France
2015
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TEL - Thèses en ligne
France
français
thèse ou mémoire
Vaccination
vaccination
français
Humains
papillomaviridae
outil
papillomavirus humain
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination; médication préventive
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
France
vaccination
vaccination
humains
ensemble de données

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20/04/2024


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