Libellé préféré : détection;
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Traductions automatiques par l'ANS : dépisté;
Identifiant d'origine : C16210;
CUI UMLS : C1511790;
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N2-AUTOINDEXEE
Dépistage du cancer du col de l’utérus au Québec : recommandations pour l’implantation
du test de détection des virus du papillome humain (test VPH) comme test de dépistage
primaire
https://www.inesss.qc.ca/publications/repertoire-des-publications/publication/depistage-cancer-uterus-recommandations.html
Au Canada, il est estimé qu’une femme sur 168 développera un cancer du col de l’utérus
au cours de sa vie. Le dépistage du cancer du col se fait actuellement par cytologie
(test de Papanicolaou ou test Pap). Il existe cependant une alternative soit le test
de détection des virus du papillome humain (VPH), un test moléculaire permettant la
détection des acides nucléiques du virus à partir d’un prélèvement génital. En 2017,
l’INESSS publiait un état de connaissances comparant la cytologie au test VPH, constatant
que le test VPH se compare favorablement à la cytologie. À la suite de cette publication,
le MSSS a signifié son intention d’aller de l’avant avec l’implantation du test VPH
comme test primaire pour le dépistage du cancer du col de l’utérus. C’est dans ce
contexte que le MSSS a mandaté l’INESSS afin d’émettre des recommandations en lien
avec les stratégies et modalités de mise en œuvre de ce test, et ce, notamment concernant
l’optimisation de la participation au dépistage, la trajectoire de dépistage à retenir,
la pertinence d’offrir l’autoprélèvement et la manière d’assurer une prise en charge
optimale des personnes avec résultats anormaux aux tests de dépistage.
2024
INESSS - Institut national d'excellence en santé et en services sociaux
Canada
recommandation de santé publique
Dépistage précoce du cancer
carcinome du col utérin
implantation dans l'utérus
détection
test
papillomaviridae
Virus du papillome humain
cancer du col utérin pT1a1 trouvé dans TNM v8
primaire
dépistage du cancer
tumeurs du col de l'utérus
prothèses et implants
dermatomyosite
cancer du col de l'utérus
dépistage du cancer
administration via un implant
papillomavirus humain
dépistage du cancer cervical
Québec
Altrétamine/étoposide/Procarbazine
papillomavirus humain
cancer
Cancer du col de l'utérus
principal
cause primaire du décès
enquêteur
directives de santé publique
Implantation
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N3-AUTOINDEXEE
Faut-il dépister une infection des voies urinaires si un enfant a des symptômes respiratoires?
https://www.cfp.ca/content/70/3/e44
Question Un garçon de 8 mois est amené à notre clinique parce qu’il fait de la fièvre
depuis 3 jours. Depuis l’apparition de la fièvre, il présente de la toux et une rhinorrhée,
et son petit frère de 4 ans a aussi eu récemment de la toux et des symptômes du rhume.
J’ai entendu dire que la présence de symptômes respiratoires signifiait une moins
grande probabilité d’infection des voies urinaires (IVU). Chez quels nourrissons fébriles
qui ont des symptômes respiratoires devrait-on faire un prélèvement pour procéder
à une analyse d’urine en vue de dépister une IVU? Réponse La façon de poser un diagnostic
chez des nourrissons fébriles présentant des symptômes respiratoires varie selon l’âge.
Une analyse d’urine devrait être effectuée chez tous les nourrissons fébriles de moins
de 2 mois, qu’ils aient ou non des symptômes respiratoires. Les cliniciens devraient
évaluer les facteurs de risque d’une IVU chez tous les nourrissons âgés de 2 à 24
mois et ne devraient pas exclure un diagnostic d’IVU en se fondant seulement sur la
présence de symptômes respiratoires. Le recours à un outil prédictif pour estimer
la probabilité d’une IVU avant le test pourrait aider à la décision chez les patients
de cette population.
2024
Le Médecin de Famille Canadien
Canada
article de périodique
se produire
détection
Voies urinaires
atropine/hyoscyamine/méthénamine/bleu de méthylène/salicylate de phényle/acide benzoïque
détaché
symptôme
infections urinaires
enfant
Israël
infections urinaires
infections urinaires
Interleukine
symptôme
syndrome
désapprouvé
maladie infectieuse des voies urinaires
Illinois
enfant
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N3-AUTOINDEXEE
Violences conjugales : acceptabilité de l’auto-détection par les patients et les soignants
aux urgences
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04478284
La prévalence des victimes de violences conjugales dans la population française est
difficile à estimer et varie de 1% à 26% selon les modalités de détection utilisées.
Une partie de ces victimes consulte dans les services d'urgences et malgré les recommandations
insistant sur la nécessaire détection systématique des violences, il est probable
qu'un certain nombre d'entre elles ne soient pas identifiées par les équipes soignantes.
Notre objectif était d'évaluer aux urgences l’acceptabilité par les patients de la
détection systématique des violences conjugales par le recours à un auto-questionnaire.
Nous avons conduit une étude observationnelle prospective multicentrique dans trois
services d'urgences hospitalo-universitaires parisiens sur une période de trois jours
consécutifs. Un autoquestionnaire portant sur la question des violences conjugales
était distribué à tous les patients inclus aux urgences. Le critère de jugement principal
était l'acceptabilité du questionnaire par les patients, définie par la proportion
de réponses à l’auto-questionnaire parmi le nombre total de questionnaires rendus.
Les critères de jugement secondaires étaient le niveau de confort des patients et
des soignants vis-à-vis de la distribution systématique de l'auto-questionnaire, la
prévalence des situations de violences conjugales parmi les patients ayant répondu
au questionnaire, ainsi que la faisabilité de ce mode de détection systématique aux
urgences. Cette dernière était définie par la proportion de questionnaires distribués
durant la période d’inclusion. Parmi les 1506 patients ayant consulté aux urgences
durant la période d'inclusion, 165 (11%) ont répondu au questionnaire parmi lesquels
11% d'entre eux ont été identifiés comme étant victimes de violences conjugales. Le
taux d’acceptabilité du questionnaire par les patients était de 74% et 93% des questionnaires
rendus étaient complets. Le taux de remise des questionnaires était faible et les
soignants semblaient peu confortables avec la thématique des violences conjugales.
Ainsi, la distribution systématique d’un questionnaire par l’Infirmier d’Accueil et
d’Orientation aux urgences apparait difficilement faisable en pratique. Il apparait
nécessaire de former davantage les soignants à la détection systématique des violences
conjugales via d’autres modes de détection et notamment par un questionnement simple
à l’oral lors de l’interrogatoire par le médecin.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Service des urgences
détection
enquêteur
urgences
patients
d'urgence
Violences conjugales
violence conjugale
a comme patient
patient
violence
a comme soignant
aidants
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N3-AUTOINDEXEE
Tests salivaires de détection immédiate de stupéfiants : communication des résultats
http://www.rst-sante-travail.fr/rst/pages-article/ArticleRST.html?ref=RST.QR%20177
Réponse de l'INRS à la question suivante : L'employeur peut-il communiquer le résultat
au médecin du travail ?
2023
RST - Références en Santé au Travail
France
article de périodique
détection
communication
enquêteur
ayant comme résultat
stupéfiants
communication
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N2-AUTOINDEXEE
Quelle est la valeur diagnostique de l’intuition clinique des médecins généralistes
dans la détection des cancers et des maladies graves ?
https://www.minerva-ebp.be/FR/Article/2351
2023
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
lecture critique d'article
intuition
diagnostic (procédure)
quel mois est-ce maintenant ?
maladie de Graves
Maladie grave
diagnostic
enquêteur
détection
médecine clinique
qualificatif général
maladie de Basedow
médecine clinique
médecins généralistes
goitre toxique diffus
intuition
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N3-AUTOINDEXEE
Réfutation des mythes entourant le dépistageComment dépister plus judicieusement
https://www.cfp.ca/content/69/11/e216
Le dépistage est souvent considéré comme un effort noble et valable. La plupart des
patients croient que le dépistage ne cause pas de préjudices et ne peut produire que
des bénéfices pour la santé1. En tant que médecins, nous savons que ce n’est pas le
cas. Cet article a pour but de passer en revue et d’expliquer certains des mythes
problématiques entourant le dépistage. L’évolution des soins de santé, que ce soit
pour les maladies infectieuses ou chroniques, a influencé notre approche envers le
dépistage et a contribué à ces mythes. Nous avons présumé que nous pourrions nous
attaquer aux maladies chroniques de la même manière que nous avons lutté contre les
maladies infectieuses; cependant, non seulement la prise en charge des maladies chroniques
n’est pas aussi simple, mais les résultats des tests diagnostiques pour ces maladies
sont rarement certains. Cette incertitude est davantage amplifiée dans les résultats
des tests de dépistage. Le dépistage commence par la prémisse voulant qu’un test subi
par une personne ou une population admissible asymptomatique, une fois ou périodiquement,
puisse identifier un précurseur traitable d’une maladie (p. ex. pour la prévenir)
ou détecter une maladie traitable à un stade plus précoce (p. ex. pour prévenir une
morbidité et une mortalité plus élevées). Pour que le dépistage soit efficace, l’identification
du problème doit conduire à des traitements efficaces et bénéfiques pour le patient
(p. ex. réduire la morbidité et la mortalité) dans la mesure où l’ampleur des préjudices
est acceptable. Pourtant, la recherche omet souvent de fournir les renseignements
essentiels pour quantifier à la fois les bienfaits et les préjudices du dépistage2.
Les patients et les cliniciens ne sont donc pas en mesure de juger de l’équilibre
entre eux et de s’engager dans une véritable prise de décision partagée. Cette réalité
alimente les présomptions et les mythes au sujet du dépistage.
2023
Le Médecin de Famille Canadien
Canada
article de périodique
se produire
circonférentiel
désapprouvé
atropine/hyoscyamine/méthénamine/bleu de méthylène/salicylate de phényle/acide benzoïque
détaché
détection
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N3-AUTOINDEXEE
Utilisation pertinente des analyses pour la détection des virus respiratoires durant
la saison grippale
https://www.inesss.qc.ca/covid-19/investigation-procedures-diagnostiques/utilisation-pertinente-des-analyses-pour-la-detection-des-virus-respiratoires-durant-la-saison-grippale.html
Cet outil s’adresse principalement aux cliniciens. Il est fourni à titre indicatif
et ne remplace pas le jugement du clinicien qui exerce les activités qui lui sont
réservées par la loi ou par un règlement. Le contenu et les positions reposent sur
une revue rapide de la littérature scientifique disponible au moment de sa réalisation
et ils sont soutenus par le savoir et l’expérience d’experts québécois.
2023
INESSS - Institut national d'excellence en santé et en services sociaux
Canada
algorithme
virus grippal
analyse
virus
utilisation significative
virus
détection
saisons
utilisation
enquêteur
pertinence
Système respiratoire
saisons
signe du système respiratoire
virus
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N3-AUTOINDEXEE
Détection en pharmacie d’officine des besoins des proches aidants concernant la prise
en charge médicamenteuse
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04176773
La prise en charge des proches aidants des sujets âgés est aujourd’hui une préoccupation
majeure de santé publique en raison du vieillissement de la population française et
de l’augmentation de la dépendance de la population gériatrique. Dans la littérature,
des difficultés rencontrées par les proches aidants ont révélé que la gestion médicamenteuse
est une thématique pouvant être problématique. L’étude menée dans cette thèse a pour
objectif de déterminer la proportion de proches aidants exprimant un besoin d’aide
sur les missions qu’ils effectuent en lien avec la prise en charge médicamenteuse,
de décrire les principales problématiques qu’ils rencontrent et d’analyser le lien
entre la complexité médicamenteuse et leurs besoins. Quarante-deux proches aidants
d’une/de personne(s) âgée(s) de plus de 60 ans ont été inclus au comptoir de deux
pharmacies d’officine. Leurs besoins ont été recueillis à l’aide d’un formulaire élaboré
pour cette étude, et d’entretiens semi-directifs. Presque la moitié des proches aidants
(N 19 ; 45,2%) exprimaient un besoin d’aide. Les principales problématiques rencontrées
comprenaient la gestion des rendez-vous médicaux, la gestion du stock de médicaments
et la planification de la prise médicamenteuse. Aucun lien statistiquement significatif
n’a été retrouvé entre l'expression d’un besoin d'aide par les proches aidants et
la complexité des prescriptions médicamenteuses. Le pharmacien d’officine, professionnel
de santé expert du médicament, est bien placé non seulement pour accompagner les aidants
dans les difficultés qu’ils rencontrent sur le domaine médicamenteux, et leur proposer
des solutions adaptées ; mais aussi pour leur proposer un soutien et une écoute active,
de par son accessibilité et son positionnement dans le parcours de soins.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
enquêteur
détection
le plus proche
pharmacie
Besoin
préparations pharmaceutiques
Médicaments
besoins et demandes de services de santé
aidants
médicaments pris
fardeau de l'aidant
Besoins
médicament
près de
gestion des soins aux patients
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N1-VALIDE
La détresse des personnes atteintes de cancer : un incontournable dans les soins -
Recommandations de Comité ad hoc sur la détection de la détresse du Comité national
des cogestionnaires de la Direction générale de cancérologie
http://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/document-001932/
Le document présente, entre autres, les recommandations du comité. Elles permettront
: de mettre en œuvre la détection systématique de la détresse auprès des personnes
atteintes de cancer; d’assurer que la trajectoire de réponse à la détresse offre
des soins interdisciplinaires, hiérarchisés en fonction de la sévérité de la détresse
et des problèmes évalués et fondés sur les guides de pratique clinique; d’évaluer
le degré d’implantation de la détection systématique de la détresse dans le réseau
québécois de cancérologie à l’aide d’indicateurs de performance et de cibles déterminés.
Ces recommandations d'experts sont destinées aux cliniciens, aux différents professionnels,
aux gestionnaires ainsi qu’aux directeurs des programmes de cancérologie des établissements
2017
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MSSS - Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec
Canada
français
recommandation professionnelle
tumeurs
émotions
Détresse
études d'évaluation comme sujet
techniques et procédures diagnostiques
détection
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