Libellé préféré : symptôme;

Définition alternative : Preuves subjectives de la maladie perçues par le patient;

Codes issus des synonymes : CDR0000045022;

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N3-AUTOINDEXEE
Faut-il dépister une infection des voies urinaires si un enfant a des symptômes respiratoires?
https://www.cfp.ca/content/70/3/e44
Question Un garçon de 8 mois est amené à notre clinique parce qu’il fait de la fièvre depuis 3 jours. Depuis l’apparition de la fièvre, il présente de la toux et une rhinorrhée, et son petit frère de 4 ans a aussi eu récemment de la toux et des symptômes du rhume. J’ai entendu dire que la présence de symptômes respiratoires signifiait une moins grande probabilité d’infection des voies urinaires (IVU). Chez quels nourrissons fébriles qui ont des symptômes respiratoires devrait-on faire un prélèvement pour procéder à une analyse d’urine en vue de dépister une IVU? Réponse La façon de poser un diagnostic chez des nourrissons fébriles présentant des symptômes respiratoires varie selon l’âge. Une analyse d’urine devrait être effectuée chez tous les nourrissons fébriles de moins de 2 mois, qu’ils aient ou non des symptômes respiratoires. Les cliniciens devraient évaluer les facteurs de risque d’une IVU chez tous les nourrissons âgés de 2 à 24 mois et ne devraient pas exclure un diagnostic d’IVU en se fondant seulement sur la présence de symptômes respiratoires. Le recours à un outil prédictif pour estimer la probabilité d’une IVU avant le test pourrait aider à la décision chez les patients de cette population.
2024
Le Médecin de Famille Canadien
Canada
article de périodique
se produire
détection
Voies urinaires
atropine/hyoscyamine/méthénamine/bleu de méthylène/salicylate de phényle/acide benzoïque
détaché
symptôme
infections urinaires
enfant
Israël
infections urinaires
infections urinaires
Interleukine
symptôme
syndrome
désapprouvé
maladie infectieuse des voies urinaires
Illinois
enfant

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N3-AUTOINDEXEE
Association entre l'utilisation des sources d'information, les croyances complotistes et les symptômes anxieux et dépressifs chez les adultes durant la pandémie de COVID-19 au Canada
https://papyrus.bib.umontreal.ca/xmlui/handle/1866/32145
Introduction : La pandémie de COVID-19 a eu un impact négatif sur la santé mentale de la population. Les médias sociaux ont aussi largement contribué à la propagation des théories du complot sur la pandémie. Cependant, l’impact spécifique des diverses sources d’information et des croyances complotistes sur le fardeau psychologique de la pandémie au Canada reste encore méconnu. Objectifs : Ce mémoire vise à mesurer l’association entre l’exposition à différentes sources d’information sur la pandémie et les symptômes anxiodépressifs dans la population adulte du Canada, puis à analyser le rôle modérateur des croyances complotistes sur cette relation. Méthodes : Il s’agit d’une analyse secondaire des données d’une enquête transversale internationale en ligne à propos de l’impact des communications médiatiques sur les réactions psychologiques et comportementales à la pandémie. Les données analysées sont celles des participants canadiens de la collecte de novembre 2020 (n 9 522 adultes). Les quartiles (Q) d’intensité d’utilisation des sources institutionnelles, des médias traditionnels et des sources informelles (ex. : médias sociaux) ont été inclus dans des analyses de régression logistique multivariable ayant pour variables dépendantes les symptômes anxieux (GAD-7) ou dépressifs (PHQ-9). Dans des modèles subséquents, l’ajout d’un terme d’interaction a permis de tester l’effet modérateur des croyances complotistes sur l’association entre l’utilisation des sources informelles et les symptômes anxiodépressifs. Résultats : Une utilisation élevée des sources informelles est associée à une plus grande probabilité de symptômes anxieux (Q4 : ratio de cotes ajusté (RCa) 1,35 [IC95% : 1,12-1,64]), mais pas dépressifs. L’utilisation des sources institutionnelles est associée à une probabilité accrue de symptômes anxieux (Q3 : RCa 1,28 [1,07-1,52] ; Q4 : RCa 1,46 [1,20-1,78]) et dépressifs (Q4 : RCa 1,41 [1,17-1,69]). Les résultats pour l’utilisation des médias traditionnels ne sont pas statistiquement significatifs. Les croyances complotistes sont associées à une probabilité plus élevée de symptômes anxieux (Q3 : RCa 1,34 [1,10-1,62] ; Q4 : RCa 1,94 [1,60-2,35]) et dépressifs (Q2 : RCa 1,31 [1,10-1,56] ; Q3 : RCa 1,44 [1,21-1,73] ; Q4 : RCa 2,43 [2,03-2,92]). Toutefois, l’interaction entre les croyances complotistes et les sources informelles d’information n’est pas statistiquement significative. Conclusion : Ces résultats suggèrent la possibilité de moduler les interventions de santé publique en fonction des habitudes de consommation de l’information et du niveau de croyances complotistes pour mieux cibler et soutenir les personnes présentant un risque accru de développer des symptômes anxieux ou dépressifs.
2023
Papyrus - Université de Montréal
Canada
thèse ou mémoire
Relation sociale
COVID-19
adulte
adulte
humeur anxieuse
Croyances
pandémies
utilisation
pas d'information disponible
Symptômes dépressifs
depression
dépression
COVID-19
dépression
sous source
COVID-19
dépression
touble pandémique
sources d'information
culture (sociologie)
association
Canada
adulte légalement
symptôme
symptôme
Dépression

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29/03/2024


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