Libellé préféré : se produire;
Synonyme CISMeF : avoir lieu; arriver;
Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Venez passer.;
Traductions automatiques par l'ANS : occur; Lieu de prélèvement; Terrain de cuisine; happen; dépisté; occasionnel;
Identifiant d'origine : C54069;
CUI UMLS : C1709305;
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Alignements automatiques faux
Type(s) sémantique(s)
N3-AUTOINDEXEE
Faut-il dépister une infection des voies urinaires si un enfant a des symptômes respiratoires?
https://www.cfp.ca/content/70/3/e44
Question Un garçon de 8 mois est amené à notre clinique parce qu’il fait de la fièvre
depuis 3 jours. Depuis l’apparition de la fièvre, il présente de la toux et une rhinorrhée,
et son petit frère de 4 ans a aussi eu récemment de la toux et des symptômes du rhume.
J’ai entendu dire que la présence de symptômes respiratoires signifiait une moins
grande probabilité d’infection des voies urinaires (IVU). Chez quels nourrissons fébriles
qui ont des symptômes respiratoires devrait-on faire un prélèvement pour procéder
à une analyse d’urine en vue de dépister une IVU? Réponse La façon de poser un diagnostic
chez des nourrissons fébriles présentant des symptômes respiratoires varie selon l’âge.
Une analyse d’urine devrait être effectuée chez tous les nourrissons fébriles de moins
de 2 mois, qu’ils aient ou non des symptômes respiratoires. Les cliniciens devraient
évaluer les facteurs de risque d’une IVU chez tous les nourrissons âgés de 2 à 24
mois et ne devraient pas exclure un diagnostic d’IVU en se fondant seulement sur la
présence de symptômes respiratoires. Le recours à un outil prédictif pour estimer
la probabilité d’une IVU avant le test pourrait aider à la décision chez les patients
de cette population.
2024
Le Médecin de Famille Canadien
Canada
article de périodique
se produire
détection
Voies urinaires
atropine/hyoscyamine/méthénamine/bleu de méthylène/salicylate de phényle/acide benzoïque
détaché
symptôme
infections urinaires
enfant
Israël
infections urinaires
infections urinaires
Interleukine
symptôme
syndrome
désapprouvé
maladie infectieuse des voies urinaires
Illinois
enfant
infection urinaire, CTCAE
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N3-AUTOINDEXEE
Réfutation des mythes entourant le dépistageComment dépister plus judicieusement
https://www.cfp.ca/content/69/11/e216
Le dépistage est souvent considéré comme un effort noble et valable. La plupart des
patients croient que le dépistage ne cause pas de préjudices et ne peut produire que
des bénéfices pour la santé1. En tant que médecins, nous savons que ce n’est pas le
cas. Cet article a pour but de passer en revue et d’expliquer certains des mythes
problématiques entourant le dépistage. L’évolution des soins de santé, que ce soit
pour les maladies infectieuses ou chroniques, a influencé notre approche envers le
dépistage et a contribué à ces mythes. Nous avons présumé que nous pourrions nous
attaquer aux maladies chroniques de la même manière que nous avons lutté contre les
maladies infectieuses; cependant, non seulement la prise en charge des maladies chroniques
n’est pas aussi simple, mais les résultats des tests diagnostiques pour ces maladies
sont rarement certains. Cette incertitude est davantage amplifiée dans les résultats
des tests de dépistage. Le dépistage commence par la prémisse voulant qu’un test subi
par une personne ou une population admissible asymptomatique, une fois ou périodiquement,
puisse identifier un précurseur traitable d’une maladie (p. ex. pour la prévenir)
ou détecter une maladie traitable à un stade plus précoce (p. ex. pour prévenir une
morbidité et une mortalité plus élevées). Pour que le dépistage soit efficace, l’identification
du problème doit conduire à des traitements efficaces et bénéfiques pour le patient
(p. ex. réduire la morbidité et la mortalité) dans la mesure où l’ampleur des préjudices
est acceptable. Pourtant, la recherche omet souvent de fournir les renseignements
essentiels pour quantifier à la fois les bienfaits et les préjudices du dépistage2.
Les patients et les cliniciens ne sont donc pas en mesure de juger de l’équilibre
entre eux et de s’engager dans une véritable prise de décision partagée. Cette réalité
alimente les présomptions et les mythes au sujet du dépistage.
2023
Le Médecin de Famille Canadien
Canada
article de périodique
se produire
circonférentiel
désapprouvé
atropine/hyoscyamine/méthénamine/bleu de méthylène/salicylate de phényle/acide benzoïque
détaché
détection
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N2-AUTOINDEXEE
Avis relatif à l’utilisation de l’eau du fond des retenues collinaires à Mayotte pour
produire de l’eau destinée à la consommation humaine (EDCH)
https://www.hcsp.fr/explore.cgi/avisrapportsdomaine?clefr=1354
Dans le contexte de la pénurie d’eau douce touchant le département de Mayotte, le
Haut Conseil de la santé publique (HCSP) se prononce sur l’utilisation de l’eau du
fond des retenues collinaires pour la production d’eau destinée à la consommation
humaine (EDCH). Après analyse des éléments techniques reçus, le HCSP considère, au
regard de l’impact prévisible du mélange des eaux du fond avec les eaux de surface
sur les paramètres microbiologiques et physico-chimiques (notamment arsenic, fer,
manganèse, cyanobactéries et cyanotoxines) que les capacités actuelles des filières
de traitement et de suivi de la qualité des eaux (brutes et traitées) ne permettent
pas de garantir la totale maitrise des risques sanitaires. Le HCSP conclut que le
rapport bénéfice/risque est défavorable et, malgré la situation exceptionnelle de
pénurie d’eau à laquelle est confrontée la population de Mayotte, donne donc un avis
défavorable à l’utilisation de l’eau du fond des retenues collinaires pour la production
d’EDCH. Le HCSP recommande la mise en œuvre, sans délai et avec les moyens nécessaires,
des mesures de gestion déjà préconisées par des experts et ce, en vue d’améliorer
et de garantir en permanence la production et la distribution d’EDCH conforme aux
normes en vigueur.
2023
HCSP - Haut Conseil de la Santé Publique
France
recommandation de santé publique
Consommation d'eau
eau
consommation de boisson
se produire
ni en accord ni en désaccord
Personnes apparentées
Mayotte
homo sapiens
émigration et immigration
humains
Comores
jugement
Consommation d'eau
humains
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N3-AUTOINDEXEE
Validation d'une check-list d'aide au diagnostic initial des causes de confusion aiguë
chez des personnes âgées arrivant à l'hôpital avec cette pathologie
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04118373
Contexte : le syndrome confusionnel aigu est fréquent chez le sujet âgé et est souvent
sous diagnostiqué. Il n’existe pas de traitement pharmacologique efficace, les deux
principales actions sont le diagnostic et le traitement rapide de ses causes qui peuvent
être multiples chez un même patient. Pour faciliter cette tâche, une liste de contrôle,
ou check-list, des facteurs précipitant de confusion aiguë les plus fréquents a été
développée. L’objectif de cette étude est de valider l’utilisation de cette check-list
chez des sujets âgés se présentant à l’hôpital avec cette pathologie. br Matériels
et méthodes : étude transversale et multicentrique incluant des patients âgés de plus
de 65 ans admis dans un Service d’Accueil des Urgences ou de Gériatrie aiguë avec
un syndrome confusionnel aigu. Deux médecins ont rempli de façon indépendante la check-list
pour chaque patient et ont répondu à un bref questionnaire. Le critère de jugement
principal est la reproductibilité inter-observateur mesurée par le coefficient kappa
(k). Les critères de jugement secondaires sont : la capacité de discrimination, mesurée
par la sensibilité et la spécificité de chacune des 5 catégories de facteurs précipitant
étudiés par rapport aux diagnostics médicaux finaux du patient et la faisabilité de
la check-list en pratique réelle, évaluée avec le temps moyen de réalisation et le
ressenti par les évaluateurs de son utilisation. br Résultats : dans l’analyse intermédiaire
des 47 patients inclus dans l’étude entre mars 2021 et mars 2022 on retrouve en moyenne
1,78 causes de confusion aiguë par patient. La concordance inter-individus est satisfaisante
pour les infections (k 0,69), les pathologies neurologiques (k 0,68) et les troubles
hydroélectrolytiques (k 0,61). Elle est moyenne pour les médicaments (k 0,49) et le
groupe « autres pathologies aiguës » (k 0,57). La sensibilité de la check-list est
très bonne pour le diagnostic des infections (100%) et des troubles hydroélectrolytiques
(90%) mais mauvaise pour les trois autres catégories : pathologie neurologique (67%),
médicaments (56%) et autres pathologies (33%). Les évaluateurs ont rempli la check-list
en 4 minutes en moyenne et la majorité d’entre eux (41%) pensent l’utiliser en pratique.
br Conclusion : cette analyse intermédiaire réalisée sur plus de la moitié de l’effectif
total prévu montre une bonne reproductibilité de la check-list pour les catégories
infection, trouble hydroélectrolytique et pathologie neurologique et une bonne sensibilité
pour le diagnostic d’infection et de trouble hydroélectrolytique. Néanmoins, la reproductibilité
et la discrimination de la check-list est moins évidente dans les autres catégories.
Il sera nécessaire de compléter le nombre de patients prévus pour confirmer ces résultats
et envisager l’introduction d’améliorations dans la check-list en conséquence.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
hôpital
confusion
effet secondaire de confusion
sujet âgé de 80 ans ou plus
Pneumonie interstitielle aiguë
anatomopathologie
diagnostic assisté par ordinateur
allèle sauvage AICDA
gène AIP
arrivée
validation
se produire
confusion
confusion mentale
liste de contrôle
PATHOLOGIE
personne âgée
assistance
aucun diagnostic
Diagnostic
hôpitaux
sujet âgé
Maladie aigüe
personne âgée
PERSONNE AGEE
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