Libellé préféré : désapprouvé; 
Synonyme CISMeF : déconseillé; 
Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Utilisé pour indiquer quelque chose qui est toléré ou soutenu, mais qui n'est pas
               recommandé (découragé), et qui peut être en voie d être éliminé ; obsolescent.; 
Traductions automatiques par l'ANS : dépisté; 
         
         
            Identifiant d'origine : C71491; 
CUI UMLS : C2349939; 
 Type(s) sémantique(s) Type(s) sémantique(s)
 
         
         
         
         
N3-AUTOINDEXEE
Faut-il dépister une infection des voies urinaires si un enfant a des symptômes respiratoires?
https://www.cfp.ca/content/70/3/e44
Question Un garçon de 8 mois est amené à notre clinique parce qu’il fait de la fièvre
            depuis 3 jours. Depuis l’apparition de la fièvre, il présente de la toux et une rhinorrhée,
            et son petit frère de 4 ans a aussi eu récemment de la toux et des symptômes du rhume.
            J’ai entendu dire que la présence de symptômes respiratoires signifiait une moins
            grande probabilité d’infection des voies urinaires (IVU). Chez quels nourrissons fébriles
            qui ont des symptômes respiratoires devrait-on faire un prélèvement pour procéder
            à une analyse d’urine en vue de dépister une IVU? Réponse La façon de poser un diagnostic
            chez des nourrissons fébriles présentant des symptômes respiratoires varie selon l’âge.
            Une analyse d’urine devrait être effectuée chez tous les nourrissons fébriles de moins
            de 2 mois, qu’ils aient ou non des symptômes respiratoires. Les cliniciens devraient
            évaluer les facteurs de risque d’une IVU chez tous les nourrissons âgés de 2 à 24
            mois et ne devraient pas exclure un diagnostic d’IVU en se fondant seulement sur la
            présence de symptômes respiratoires. Le recours à un outil prédictif pour estimer
            la probabilité d’une IVU avant le test pourrait aider à la décision chez les patients
            de cette population.
2024
Le Médecin de Famille Canadien
Canada
article de périodique
se produire
détection
Voies urinaires
atropine/hyoscyamine/méthénamine/bleu de méthylène/salicylate de phényle/acide benzoïque
détaché
symptôme
infections urinaires
enfant
Israël
infections urinaires
infections urinaires
Interleukine
symptôme
syndrome
désapprouvé
maladie infectieuse des voies urinaires
Illinois
enfant
infection urinaire, CTCAE
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N3-AUTOINDEXEE
Réfutation des mythes entourant le dépistageComment dépister plus judicieusement
https://www.cfp.ca/content/69/11/e216
Le dépistage est souvent considéré comme un effort noble et valable. La plupart des
            patients croient que le dépistage ne cause pas de préjudices et ne peut produire que
            des bénéfices pour la santé1. En tant que médecins, nous savons que ce n’est pas le
            cas. Cet article a pour but de passer en revue et d’expliquer certains des mythes
            problématiques entourant le dépistage. L’évolution des soins de santé, que ce soit
            pour les maladies infectieuses ou chroniques, a influencé notre approche envers le
            dépistage et a contribué à ces mythes. Nous avons présumé que nous pourrions nous
            attaquer aux maladies chroniques de la même manière que nous avons lutté contre les
            maladies infectieuses; cependant, non seulement la prise en charge des maladies chroniques
            n’est pas aussi simple, mais les résultats des tests diagnostiques pour ces maladies
            sont rarement certains. Cette incertitude est davantage amplifiée dans les résultats
            des tests de dépistage. Le dépistage commence par la prémisse voulant qu’un test subi
            par une personne ou une population admissible asymptomatique, une fois ou périodiquement,
            puisse identifier un précurseur traitable d’une maladie (p. ex. pour la prévenir)
            ou détecter une maladie traitable à un stade plus précoce (p. ex. pour prévenir une
            morbidité et une mortalité plus élevées). Pour que le dépistage soit efficace, l’identification
            du problème doit conduire à des traitements efficaces et bénéfiques pour le patient
            (p. ex. réduire la morbidité et la mortalité) dans la mesure où l’ampleur des préjudices
            est acceptable. Pourtant, la recherche omet souvent de fournir les renseignements
            essentiels pour quantifier à la fois les bienfaits et les préjudices du dépistage2.
            Les patients et les cliniciens ne sont donc pas en mesure de juger de l’équilibre
            entre eux et de s’engager dans une véritable prise de décision partagée. Cette réalité
            alimente les présomptions et les mythes au sujet du dépistage.
2023
Le Médecin de Famille Canadien
Canada
article de périodique
se produire
circonférentiel
désapprouvé
atropine/hyoscyamine/méthénamine/bleu de méthylène/salicylate de phényle/acide benzoïque
détaché
détection
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