Libellé préféré : papillomavirus;

Synonyme SNOMED : groupe des papillomavirus; papovavirus; groupe du virus du papillome;

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N3-AUTOINDEXEE
Proposition d’une extension de la Vaccination contre le Papillomavirus (HPV) pour les hommes et les femmes jusqu’à 26 ans : Un moyen d’accélérer l’élimination des cancers HPV induits
https://www.academie-medecine.fr/1000053001/
L’Académie nationale de médecine (ANM) s’est mobilisée à plusieurs reprises pour la promotion de la vaccination contre le papillomavirus (HPV) dans l’espoir d’éliminer les cancers HPV induits du col utérin, de l’oropharynx, de la cavité buccale et de l’anus (1-4). Depuis leurs premières publications en 2007, les recommandations vaccinales des instances gouvernementales ont largement évolué. Actuellement, la vaccination contre les infections à HPV est recommandée en France pour l’ensemble des filles et des garçons âgés de 11 à 14 ans avec un schéma à 2 doses. Par ailleurs, dans le cadre du rattrapage vaccinal, la vaccination HPV par Gardasil9 est recommandée pour les deux sexes entre 15 et 19 ans révolus et pour les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes ou les patients immunodéprimés, jusqu’à l’âge de 26 ans selon un schéma à 3 doses. En septembre 2023, une campagne de vaccination gratuite en classe de cinquième pour tous les élèves de 11 à 14 ans a été mise en place. L’ANM se félicite de toutes ces mesures mais s’inquiète, étant donné le retard vaccinal pris depuis 2007, du nombre de sujets n’ayant pas bénéficié d’une vaccination depuis sa création. Il est estimé ainsi un retard cumulé de 2 millions de femmes de 20 à 26 ans non vaccinées (5) et ce retard double, en incluant la vaccination masculine maintenant admise. De plus, la période COVID-19 a eu un impact supplémentaire négatif sur la vaccination (6).
2024
Académie Nationale de Médecine
France
information scientifique et technique
Vaccins antipapillomavirus humain
Induire
vaccination
Papillomavirus humain positif
néoplasie endocrinienne multiple
proposita
milieux de culture
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus
système nerveux autonome
accélération
papillomavirus humain type 26
femmes
traction
Vaccins contre les papillomavirus
infection à virus du papillome humain
expansif
allèle sauvage ELL
jusqu'à
retiré
moyens communication et information
langue mendé
hommes
vaccination; médication préventive
test ADN papillomavirus humain
Femmes
ménogaril
vaccination
hommes
milieu
lobe moyen de la prostate
vaccination
papillomaviridae

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N3-AUTOINDEXEE
Déterminants de la décision parentale d’une vaccination anti-papillomavirus chez un garçon
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04155786
Introduction : l’infection à papillomavirus humain est l’infection sexuellement transmissible la plus fréquente. Depuis décembre 2019, la Haute Autorité de Santé recommande l’élargissement de la vaccination anti-papillomavirus aux garçons. Ce vaccin concerne surtout des mineurs, dont la décision de vaccination revient aux parents. Nous ne savons pas comment les parents de garçons perçoivent la vaccination depuis son remboursement pour les adolescents de sexe masculin. Objectif : l’objectif de cette étude est de déterminer les facteurs sur lesquels les parents de garçons basent leur décision de vaccination de leur fils contre le papillomavirus. Matériel et méthode : il s’agit d’une étude qualitative descriptive menée par entretiens semi-dirigés individuels auprès de 18 parents de garçons âgés de 11 à 18 ans. Résultats : la majorité des parents interrogés est favorable à la vaccination anti-papillomavirus de leur fils. Le principal facteur favorisant est l’information sur la vaccination anti-papillomavirus des garçons. Les autres facteurs favorisants sont le besoin de protection, les qualités de fiabilité et d’utilité du vaccin, la qualité de la relation parent-médecin, la préoccupation par rapport à la sexualité de leur fils et la présence de proches concernés par le papillomavirus ou par une maladie grave. La vaccination en milieu scolaire favoriserait la décision de vaccination. Les caractères d’incertitude (crainte des effets indésirables) et d’inutilité du vaccin, la présence de contraintes logistiques et contextuelles, la vision réduite de la sexualité de leur fils, la relation parent-médecin dégradée (absence de recommandation de la vaccination par le médecin, méfiance vis-à-vis du médecin), le manque d’intérêt pour le sujet et le sentiment de vaccination excessive sont des freins à la décision de vaccination. Discussion : la délivrance d’informations de qualité par un professionnel de santé a un impact positif sur la décision vaccinale des parents. Ainsi, il semble nécessaire de renforcer les actions d’informations sur la vaccination anti-papillomavirus des garçons auprès des parents afin d’augmenter l’adhésion vaccinale. Après la mise en œuvre de la campagne de vaccination scolaire à la rentrée 2023, il serait intéressant de mesurer son impact sur la décision vaccinale des parents.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
vaccination
Parent
vaccination
papillomavirus
Vaccins contre les papillomavirus
Garçons
papillomavirus
vaccination
vaccination; médication préventive

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N2-AUTOINDEXEE
Vacciner filles et garçons contre les papillomavirus dans les collèges ? avis du conseil scientifique du CNGE
https://www.cnge.fr/conseil_scientifique/productions_du_conseil_scientifique/avis_du_conseil_scientifique/vacciner_filles_et_garcons_contre_les_papillomavir/
En 2019, la Haute Autorité de santé a émis un avis favorable à l’élargissement de la vaccination contre les papillomavirus (HPV) à tous les garçons âgés de 11 a 14 ans révolus avec un rattrapage possible pour les adolescents et jeunes adultes âgés de 15 a 19 ans re volus1 et jusqu’à 26 ans révolus pour les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes. En France, les données les plus récentes montrent une couverture vaccinale pour un schéma complet à 41,5% (jeunes filles nées en 2006)2. Dans le but d’élargir la couverture vaccinale et d’atteindre l’objectif de 80% en 2030 selon la stratégie décennale de lutte contre les cancers3, la vaccination anti-HPV sera proposée aux élèves volontaires (filles et garçons) des classes de cinquième. Environ 70% à 80% des personnes sexuellement actives seront infectées au moins une fois dans leur vie par un HPV1. L’infection asymptomatique régresse le plus souvent mais peut persister chez certains patients et générer des lésions pré-cancéreuses et cancéreuses génitales, anales, et ORL. Le cancer du col de l’utérus (CCU) est le cancer lié aux HPV le plus fréquent avec près de 3 000 nouveaux cas et 1 100 décès par an en France.
2023
CNGE - Collège National des Généralistes Enseignants
France
information scientifique et technique
Filles
vaccine
vaccin
vaccination
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins contre les papillomavirus
famille nucléaire
Assistance
vaccination
vaccination; médication préventive
Vaccine
papillomavirus
établissements scolaires
Vaccins
Garçons
jugement

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N3-AUTOINDEXEE
Que pensent les parents de garçons de 11 à 19 ans de la vaccination papillomavirus ?: étude qualitative sur le ressenti à la vaccination papillomavirus en médecine générale
https://pepite-depot.univ-lille.fr/LIBRE/Th_Medecine/2022/2022ULILM022.pdf
Introduction : Les infections par les HPV sont parmi les IST les plus fréquentes. Dans de très rares cas, elles peuvent évoluer en cancer. Chaque année en France, 6300 nouveaux cancers sont HPV-induits dont 29% surviennent chez les hommes. La vaccination HPV est disponible depuis 2006 pour les jeunes filles. En 2019, la HAS publie ses nouvelles recommandations et élargit la vaccination HPV aux jeunes garçons. L’objectif principal de cette étude était de décrire les représentations des parents et de préciser les critères déterminants de la réalisation cette vaccination. Méthode : Étude qualitative par entretiens semi-dirigés réalisés auprès de 10 patients dans un cabinet de médecine générale des Hauts de France. L’analyse des données a été réalisée à l’aide du logiciel Nvivo version 12, avec une triangulation. Résultats : Les déterminants décisionnels de la vaccination HPV sont multifactoriels. Les parents estiment ne pas avoir une information suffisante. Ils se considèrent comme les garants de la santé de leurs enfants et s’impliquent émotionnellement dans leur processus de réflexion. Aborder la sexualité leur semble systématique lors de la présentation des vaccins HPV ce qui peut être un frein pour certains. Ils estiment que l'avis de leur fils est indispensable à la prise de décision. Les freins principaux sont la crainte des effets secondaires et la méfiance due aux polémiques médiatiques de ces dernières années. Le principal levier d’acceptabilité demeure l’accès à une information claire et loyale. Cette information est attendue en priorité de la part du médecin généraliste, source de savoir et de confiance. Conclusion : Cerner et combattre les fondements de la défiance vaccinale constituent des enjeux de santé publique. Le médecin généraliste joue un rôle central dans la mission de prévention et dans la proposition vaccinale. Uniformiser les messages transmis par les scientifiques et les politiques en réalisant une campagne d’information à échelle nationale semble essentiel afin d’améliorer la couverture vaccinale.
2022
PEPITE - Panorama des productions universitaires - Université Lille 2 Droit et Santé
France
thèse ou mémoire
recherche qualitative
vaccin contre la vaccine
dû à
Garçons
médecine générale
vaccination; médication préventive
Vaccins
parents
Médecins
parent
Vaccine
papillomavirus
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination

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N3-AUTOINDEXEE
Etude de l'adhésion à la vaccination contre le papillomavirus chez les parents des garçons de 11 à 19 ans
http://thesesante.ups-tlse.fr/3963/
Introduction : la vaccination contre le HPV apparait comme une stratégie efficace pour lutter contre les infections à papillomavirus qui touchent aussi bien les hommes que les femmes. L'objectif principal de cette étude était de recueillir l'avis des parents des garçons concernés par cette vaccination. Matériel et méthodes : étude épidémiologique observationnelle, transversale, réalisée à l'aide d'un questionnaire diffusé aux parents ayant des garçons de 11 à 19 ans, sur l'ensemble du territoire français. Résultats : 617 réponses ont été obtenues et 581 ont été analysées. L'intention de vaccination est favorable à 79,7% et défavorable pour 20,3% des parents. La présence d'une fille vaccinée dans la fratrie, les connaissances et du remboursement du vaccin chez le garçon, un accès à une source d'information fiable, semblent être des facteurs influençant la décision. Conclusion : la connaissance des freins et des leviers à la vaccination contre le HPV permet d'améliorer la communication autour de ce virus et ainsi de sensibiliser au mieux la population générale afin de lui permettre de faire un choix éclairé concernant sa santé.
2022
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
parents
parent
Vaccins
vaccination; médication préventive
vaccination
vaccination
adhésif
adhésifs
Garçons
dû à
Vaccins contre les papillomavirus
collecte de données
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus
Vaccine

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N2-AUTOINDEXEE
Intérêt de la vaccination contre le papillomavirus chez les jeunes hommes: revue systématique de la littérature
https://n2t.net/ark:/47881/m6np2472
Synthèse des données disponibles concernant l'efficacité de la vaccination chez les hommes dans la prévention des cancers à HPV. L'objectif secondaire de ce travail était d'évaluer les risques et les bénéfices de la vaccination masculine pour les femmes par immunité collective dans la prévention des cancers qui leur sont propres.
2022
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
Vaccins contre les papillomavirus
classification
Systématique
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Littérature
Vaccins
vaccination
littérature de revue comme sujet
Revue systématique
Vaccine
vaccination
Systématique
adolescent
papillomavirus
Systématique
vaccination; médication préventive
Systématique

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N2-AUTOINDEXEE
Vaccins contre les papillomavirus humains: note de synthèse de l’OMS ( mise à jour de 2022)
https://apps.who.int/iris/handle/10665/365351
Conformément à son mandat, qui prévoit qu’elle fournisse aux États Membres des orientations à caractère normatif en matière de politique sanitaire, l’OMS publie une série de notes de synthèse1 régulièrement mises à jour sur les vaccins et les associations vaccinales contre les maladies ayant une incidence sur la santé publique internationale. Ces notes portent principalement sur l’utilisation des vaccins dans le cadre de programmes de vaccination à grande échelle.
2022
OMS - Organisation Mondiale de la Santé
Suisse
article de périodique
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination
Vaccine
Vaccins
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
vaccin
vaccination
vaccine
vaccination; médication préventive
vaccins synthétiques
Organisation Mondiale de la Santé
papillomavirus

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N3-AUTOINDEXEE
L'accompagnement infirmier favorisant les formes et ressources des jeunes face à l'infection à Papillomavirus Humain: travail de Bachelor
http://doc.rero.ch/record/333397?ln=fr
Nous avons décidé d'orienter notre travail de Bachelor en soins infirmiers sur une problématique de santé touchant les personnes à risque et souffrant de l'infection à Papillomavirus Humain (HPV). L'infection à Papillomavirus est une problématique actuelle avec une prévalence en augmentation ces dernières années. Une part importante de la population est touchée au moins une fois dans sa vie par cette infection. Lors de nos stages, nous avons été marquées par des femmes atteintes du HPV et ayant développé des lésions ou cancers à cause du HPV. Nous avons également été confrontées à des personnes de notre entourage se trouvant à différents stades de la maladie. L'infection au HPV peut avoir des conséquences physiques et psychologiques importantes dans certains cas. C'est une infection qui peut être prévenue facilement, les conséquences sont donc évitables. Nous nous sommes rendues compte que malgré la prévention, les connaissances de la population concernant le HPV sont moindres et que la prévalence est encore élevée
2021
RERO DOC - Réseau des bibliothèques de Suisse occidentale
Suisse
thèse ou mémoire
Face
papillomavirus
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
maladie infectieuse
Travail
infections à papillomavirus
travail
Ressources
Infection
ressources en santé
métier
Infirmiers
adolescent

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N3-AUTOINDEXEE
Attitude des jeunes garçons de 15 à 25 ans à l'égard des risques liés à la sexualité (Contraception et Papillomavirus)
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03578295
CONTEXTE : L’âge moyen des premiers rapports sexuels en France se situe à 17 ans depuis maintenant une dizaine d’années. Nous observons cependant une modification des pratiques sexuelles. Bien qu’ayant tendance à la diminution, le taux d’interruptions volontaires de grossesses stagne depuis une dizaine d’années malgré de nombreuses réformes facilitant l’accès à la contraception. Au cours de sa vie, 75% de la population sexuellement active sera infectée par un papillomavirus, ce qui en fait la maladie sexuellement transmissible la plus répandue. Une nouvelle recommandation de la HAS a fait son apparition début 2021 proposant la vaccination aux jeunes garçons. OBJECTIF : L’objectif de l’étude est de recueillir l’avis de jeunes garçons sur leur rôle dans la contraception au sein du couple ainsi que leur acceptation d’une potentielle pilule masculine et de la vaccination contre le papillomavirus. MÉTHODE : Il s’agit d’une étude qualitative réalisée par entretiens semi-dirigés auprès d’un panel diversifié de 20 garçons âgés de 15 à 25 ans révolus, de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Inclusion jusqu’à saturation théorique des données. Analyse thématique indépendante par deux chercheuses. RÉSULTATS : Les jeunes participants manquaient de connaissances, tout particulièrement en ce qui concernait le papillomavirus. Cela engendrait quelques interrogations de leur part sur la vaccination, bien qu’une majorité l’envisageait. De la même manière, ces lacunes, ainsi que d’éventuels effets indésirables, impactaient l’acceptation d’une pilule masculine. Ils se considéraient dans l’ensemble impliqués dans la contraception au sein du couple, majoritairement par l’utilisation du préservatif qui reste la méthode masculine de référence, les autres disponibles à ce jour étant jugées moins pratiques. Afin de limiter ces freins, le médecin traitant pourrait être un élément essentiel en améliorant la communication, pour le moment quelque peu insuffisante. CONCLUSION : L’acceptation d’une nouvelle contraception hormonale masculine ainsi que de la vaccination contre le papillomavirus pourrait être favorisée par une meilleure communication. D’une part, le médecin traitant pourrait prendre une place plus importante dans la prévention par une information plus régulière. D’autre part, davantage d’interventions en milieu scolaire seraient souhaitables, tout comme le développement d’autres modes de communication plus adaptés à cette génération.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
attitude
Garçons
papillomavirus
état sexuel
Rapports sexuels protégés
dû à
contraception
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Risque
contraception
adolescent
Sexualité
posture

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N2-AUTOINDEXEE
Faible couverture vaccinale contre les papillomavirus chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes : un manque de proposition du vaccin par les médecins
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02171646
Introduction. En France, il est recommandé de vacciner seulement les jeunes filles contre les infections à HPV, avec deux exceptions pour les hommes : les immunodéprimés de moins de 20 ans (depuis 2014), et les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) de moins de 27 ans (depuis 2016). L'objectif de cette étude était d’explorer la couverture vaccinale contre les HPV chez les HSH, et de déterminer les facteurs associés, notamment la perception et le niveau d’adhésion au vaccin dans cette population, et l'offre vaccinale par les médecins. Matériels et Méthodes. Nous avons diffusé un questionnaire anonyme en ligne destiné aux HSH en France sur différents réseaux sociaux entre le 7 octobre 2018 et le 6 janvier 2019. Ce questionnaire explorait notamment des données sociodémographiques, le statut vaccinal pour les HPV et le VHA, les perceptions concernant la vaccination, et l'offre vaccinale par les médecins. Résultats. Le questionnaire a été complété par 2094 participants (âge 35,4 11 ans). La grande majorité (93,5%) déclarait avoir des relations sexuelles uniquement avec des hommes ; 342 (16,3%) utilisaient la prophylaxie pré-exposition (PrEP). La recommandation de vaccination contre les HPV était connue par 39,2% des participants ; dans l’ensemble, 8,0% étaient vaccinés. Parmi les 501 participants concernés par la recommandation de vaccination (avoir moins de 27 ans en 2016, et donc être dans la cible sur la période 2016-2019), 90 (17,9%) étaient vaccinés ; cette proportion était significativement beaucoup plus élevée parmi les personnes sous PrEP que chez les autres (52,5% vs 15,0%, p 0,01). Concernant la perception de la vaccination de manière générale, sur une échelle de 1 à 10, la médiane de réponse était de 10 [interquartile 25-75 : 8-10] à « être en faveur de la vaccination », 10 [9-10] à « les vaccins sont utiles », et 2 [1-5] à « les vaccins sont dangereux » ; seuls 4,0% (92) jugeaient le vaccin anti-HPV « plutôt » ou « absolument » dangereux. Ces critères ne variaient que faiblement selon le statut vaccinal. Par ailleurs, les participants avaient été informés de la recommandation vaccinale par un médecin quel qu'il soit dans 16,5% des cas, dont 22,9% de ceux ayant moins de 27 ans en 2016. Parmi les 82,6% qui avaient un médecin traitant, 9,9% avaient été informés par celui-ci (sans différence selon l’âge). Par ailleurs, 9,1% avaient été informés par un autre médecin. Enfin, 79,9% des non-vaccinés accepteraient la vaccination si celle-ci leur était proposée, dont 82,2% des personnes ayant moins de 27 ans en 2016. La moitié des participants environ (49,4%) était vacciné contre l’hépatite A. Conclusion. La couverture vaccinale contre les HPV est faible chez les HSH ayant participé à cette étude (8,0%), y compris chez les moins de 27 ans concernés par la recommandation de vaccination (17,9%). Cela semble largement résulter d'un manque de proposition du vaccin de la part des médecins plutôt que d'une opposition à la vaccination par les HSH. Sur ce plan, être dans un programme de PrEP apparait comme un avantage.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Médecins
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
médecins
Vaccination
Vaccine
proposita
asthénie
vaccination
Couverture vaccinale
homosexualité masculine
vaccins
Vaccins
faute professionnelle
vaccination; médication préventive
Hommes
vaccin
Vaccine
papillomavirus

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N2-AUTOINDEXEE
Dépistage du cancer du col de l’utérus en fonction du statut vaccinal contre les papillomavirus humains: Étude descriptive sur 2188 patientes alsaciennes nées entre 1986 et 1990
http://www.sudoc.fr/234019131
Introduction : les moyens de prévention du cancer du col sont la vaccination et le dépistage par Frottis Cervico-Utérin (FCU). L’objectif était d’étudier le dépistage chez les alsaciennes ayant pu être vaccinées en rattrapage en fonction de leur statut vaccinal. Méthodes : un tirage au sort de la moitié des alsaciennes nées entre 1986 et 1990 a été fait. Les données sur la vaccination ont été collectées par courrier et celles sur le dépistage grâce aux données de l’association Eve. Un appariement des non vaccinées aux vaccinées a été fait. Résultats : 29 944 courriers ont été envoyés avec 7,3% de réponse. 30,35% des patientes étaient vaccinées. 1220 patientes ont été appariées. Le dépistage était plus souvent initié chez les non vaccinées (79,5% vs 75%,p 0,01). Le nombre de FCU était plus important chez les non vaccinées (2,2 vs 2, p 0,05) avec une augmentation des frottis anormaux (4% vs 10%, p 0,01). Conclusion : Le statut vaccinal semble influencer l’entrée en dépistage et ses modalités.
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
dépistage du cancer
patients
cancer
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus
a comme patient
Fistule vésicoutérine
Fistule oesotrachéale
cancer du col de l'utérus
cancer
Cancer du col de l'utérus
dépistage du cancer
collecte de données
col de l'utérus
Hématome
Cancer du col de l'utérus
Dépistage précoce du cancer
tumeurs du col de l'utérus

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N2-AUTOINDEXEE
Apport de l'entretien motivationnel dans une consultation de médecine générale pour améliorer l'acceptabilité de la vaccination contre le papillomavirus
http://www.sudoc.fr/234040076
Introduction : La vaccination contre le papillomavirus est un moyen de prévention efficace contre les lésions précancéreuses du col de l'utérus et des études commencent à mettre en évidence son efficacité dans la lutte contre le cancer du col de l'utérus. En France, la méfiance vis-à-vis des vaccins et en particulier du vaccin contre le papillomavirus ne permet pas d'avoir des couvertures vaccinales suffisantes pour faire baisser l'incidence du cancer du col de l'utérus qui reste pourtant un véritable problème de santé publique. L'entretien motivationnel semble être un outil intéressant mais a été peu évalué dans le domaine de la vaccination. Il paraissait donc intéressant d'évaluer son efficacité dans le cadre de la vaccination contre le papillomavirus. Matériel et Méthodes : L'étude quantitative, de cohorte, prospective a été réalisée auprès de 30 parents de jeunes filles non vaccinées contre le papillomavirus. 12 parents ont bénéficié d'un entretien motivationnel et ont rempli un questionnaire électronique et 18 parents n'ont pas bénéficié d'entretien motivationnel et ont rempli un questionnaire papier. Résultats : Une meilleure acceptabilité vaccinale a été constaté dans le groupe ayant bénéficié d'un entretien motivationnel avec 58% (n 7) de parents favorables à la vaccination, 17% (n 2) de défavorables et 25% (n 3) d'indécis. Les parents n'ayant pas bénéficié d'un entretien motivationnel, étaient 39% (n 7) à être favorables à la vaccination, 11% (n 2) à ne pas être favorables et 50% (n 9) à être indécis. Les principaux freins à la vaccination étaient, dans les deux groupes, la peur des effets indésirables et de développer une maladie grave. Tous les parents manquaient de connaissances sur le papillomavirus et le vaccin contre le papillomavirus. Leurs principales sources d'information étaient les médias et le bouche à oreille. Conclusion : Notre étude a mis en évidence un intérêt de l'entretien motivationnel sur l'acceptabilité parentale de la vaccination contre HPV des jeunes filles. Si les résultats de notre étude ne sont pas significatifs en raison du faible effectif, la tendance positive de la pratique d'entretiens motivationnels sur l'acceptabilité des parents est prometteuse. La pratique d'entretiens motivationnels devrait être encouragée et évaluée à plus grande échelle.
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
consultants
entretien motivationnel
vaccination
vaccination
Médecins
Vaccine
vaccination
médecine générale
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins contre les papillomavirus
papillomavirus
Vaccins
vaccination; médication préventive

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N3-AUTOINDEXEE
Papillomavirus et cancer
https://www.e-cancer.fr/Expertises-et-publications/Catalogue-des-publications/Papillomavirus-et-cancer
Plus de 6 300 cancers incidents par an sont liés aux papillomavirus humains (HPV). Ces cancers concernent majoritairement les femmes, mais aussi les hommes pour près d'un tiers. Cette nouvelle Fiche repère fait le point sur les données scientifiques récentes autour des HPV et du cancer : données épidémiologiques, localisations spécifiques, prévention par la vaccination et dépistage. Commander le dépliant sur la vaccination contre les HPV. Commander les outils d'information sur le dépistage du cancer du col de l'utérus. Consulter les informations pour les professionnels de santé sur la vaccination et le dépistage.
2018
INCa - Institut National du Cancer
France
brochure pédagogique pour les patients
tumeurs
Cancer
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
cancer
papillomavirus
Cancer
tumeur maligne, sai

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N2-AUTOINDEXEE
Interrogations et représentations de la population générale sur le papillomavirus humain: enquête qualitative via les forums internet
http://www.sudoc.fr/232380686
Le papillomavirus humain est l'infection sexuellement transmissible la plus fréquente. Il reste mal connu de la population générale. Les patients n'osent pas toujours poser leurs questions à leur médecin traitant. Les forums internet sont des lieux d'expression libre notamment dans la recherche d'informations en santé. L'objectif de notre étude était de déterminer les interrogations et représentations à propos du papillomavirus via les forums internet. Une étude qualitative descriptive a été conduite sur quatre forums français, Atoute, Doctissimo, Santé-médecine et Onmeda, avec les mots clés « papillomavirus », « HPV », « maladie », « transmission ». Les fils de discussion datés de janvier 2007 à décembre 2017 ont été recueillis via l'application Ncapture du logiciel Nvivo . Les données ont été catégorisées grâce à ce logiciel en codage ouvert. Nous avons retrouvé de nombreuses interrogations concernant l'épidémiologie, la pathogénicité, les moyens diagnostiques ou de prévention, le dépistage par frottis du col de l'utérus, et les traitements de l'HPV. Le sujet le plus fréquemment abordé était les modes de transmission. Il existait de nombreuses fausses croyances. L'infection par le papillomavirus était responsable d'anxiété, de peur ou de colère. Les informations données par les soignants étaient jugées insuffisantes, peu claires ou discordantes. Une différenciation homme-femme était souvent faite concernant l'infection par le virus. Les modes de transmission nombreux du papillomavirus entrainent une incompréhension de cette infection sexuellement transmissible. Les informations délivrées par les soignants sur le HPV pourraient être améliorées, tant dans la population masculine que féminine. Il serait intéressant d'évaluer à quels moments ces informations pourraient être données, notamment chez les adolescent-e-s, pour être comprises du plus grand nombre
2018
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
population
Internet
papillomavirus
Populations générales
enquêteur
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
collecte de données

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N2-AUTOINDEXEE
Évaluation de l'acceptabilité du vaccin contre le papillomavirus auprès des collégiens et lycéens de sexe masculin de Loire-Atlantique
http://www.sudoc.fr/229656528
L'infection par le papillomavirus humain (HPV) est une des infections sexuellement transmissibles les plus fréquentes touchant l'homme et la femme. En France, les recommandations proposent la vaccination contre le HPV aux filles depuis 2007 et aux hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes depuis 2016. Certains pays ont étendu leurs recommandations vaccinales à l'ensemble des garçons, avec des résultats encourageants concernant l'efficacité et la tolérance. L'objectif de l'étude était d'évaluer l'acceptabilité de cette stratégie et ses déterminants chez les adolescents de sexe masculin en France
2018
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
sexe masculin, sai
vaccin
Vaccine
vaccination
vaccination
Vaccins
vaccination; médication préventive
Vaccins contre les papillomavirus
Sexe
étudiants
Mâle
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus
sexe

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N2-AUTOINDEXEE
La vaccination contre le papillomavirus : facteurs intervenants dans la décision de vaccination. Étude quantitative basée sur un double questionnaire distribué aux jeunes filles et à leurs parents
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01840611
Objectifs : identifier des facteurs influençant les parents dans leur décision de faire ou non vacciner leur fille contre l’HPV et étudier l’effet des représentations qu’ils peuvent avoir concernant cette vaccination ; puis étudier les caractéristiques des jeunes filles, pour préciser les résultats obtenus auprès des parents.
2018
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
parents
Vaccins
vaccination; médication préventive
Vaccins contre les papillomavirus
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus
parent
vaccination
Questionnaires
jeunes
facteur
quantitatif
vaccination
vaccin contre la vaccine
quantité
double
marketing
collecte de données
ayant une distribution
Filles
Vaccine

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N3-AUTOINDEXEE
Vaccination anti-papillomavirus : perception et rôle des infirmiers scolaires
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02142110
Introduction : Le cancer du col de l’utérus constitue un problème de santé publique. La morbi-mortalité peut être réduite grâce à la vaccination anti-papillomavirus humain (HPV). Cependant, la couverture vaccinale en France reste actuellement la plus basse d’Europe. Certains pays voisins à couverture vaccinale élevée s’appuient sur les infirmiers scolaires. Qu’en pensent les infirmiers scolaires en France et quel est leur rôle concernant l’information sur la vaccination anti-HPV ? Méthode : Une étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés a été menée de novembre 2017 à mars 2018, auprès d’infirmiers scolaires volontaires de l’enseignement secondaire. Une analyse thématique manuelle avec double codage a été réalisée. Résultats : Douze entretiens ont été analysés. La vaccination anti-HPV était exceptionnellement abordée avec les élèves. Les infirmiers décrivaient un manque d’information concernant la vaccination anti-HPV, limitant leur perception et la délivrance d’une éventuelle information auprès de la population cible. Le manque de temps et la multitude de missions inhérentes à leur métier étaient des barrières dans le développement de leur mission de prévention. Leur mission était tributaire de la hiérarchie et des intervenants extérieurs. Ils ont mis en doute la transparence des laboratoires et se méfiaient des éventuels effets indésirables liés aux adjuvants. D’autres vaccins étaient considérés comme prioritaires et les infirmiers estimaient que les jeunes filles ne se sentaient pas concernées par ce sujet par immaturité ou manque d’intérêt. Ils en référaient au médecin généraliste, perçu comme un pivot central de l’information autour de la vaccination. Ils insistaient sur l’importance des parents, considérés comme décisionnaires et la nécessité de les sensibiliser à cette vaccination pour améliorer la couverture vaccinale. Conclusion : Les infirmiers scolaires semblent actuellement peu investis dans l’information sur la vaccination anti-HPV. Une meilleure information lors de leur formation permettrait de les sensibiliser à cette problématique de santé publique. La participation de cette profession en contact direct de la population cible pourrait améliorer la couverture vaccinale. Il serait intéressant d’envisager la mise en place d’actions communes avec le médecin généraliste, qui est perçu comme un acteur majeur de l’information concernant la vaccination.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Vaccins contre les papillomavirus
perception
Vaccins
vaccination; médication préventive
papillomavirus
Perception
Vaccine
vaccination
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Perception
perception
vaccination
rôle de l'infirmier

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N3-AUTOINDEXEE
Analyse qualitative des informations diffusées sur les forums Internet à propos des vaccins contre le papillomavirus
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01877279
Introduction : depuis 2011, nous assistons en France à une baisse de la couverture vaccinale des adolescentes contre le papillomavirus. Dans une société où les médias sociaux prennent une place de plus en plus importante dans la diffusion des informations sur la santé, il est important de faire le point sur les informations véhiculées par les forums Internet à propos de ces vaccins.
2017
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
diffusion de l'information
papillomavirus
Internet
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination; médication préventive
vaccination
diffusion
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
vaccin
vaccine
vaccination
diffus
proposant
Vaccine
vaccination
qualitatif
propagation
Vaccins

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N3-AUTOINDEXEE
Etat des lieux de la vaccination contre les papillomavirus en France et impact des polémiques anti vaccinales
http://www.sudoc.fr/192720732
L'histoire vaccinale a été marquée par une évolution des obligations et de la législation vaccinale. Nous avons voulu évaluer l'impact de la polémique, concernant les vaccins anti papillomavirus, sur les taux de couvertures vaccinales en France. Dans cet objectif, nous avons effectué un travail bibliographique et une analyse des arguments des associations anti vaccins, très actives sur internet
2016
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
Vaccins contre les papillomavirus
France
vaccination
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins
Vaccine
vaccination
France
français
papillomavirus
France
vaccination
vaccination; médication préventive
France
France

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N3-AUTOINDEXEE
Vaccins papillomavirus et syndromes de Guillain-Barré : gérer les incertitudes
In Rev Prescrire 2016 ; 36 (392) : 427-432
http://www.prescrire.org/Fr/3/31/52058/0/NewsDetails.aspx
Le dépistage organisé par frottis est le meilleur moyen connu de réduire la mortalité par cancers du col de l'utérus. Il faut encore quelques années de recul pour savoir dans quelle mesure le vaccin papillomavirus réduirait cette mortalité. Du côté de ses effets indésirables, il est plausible qu'il expose à un risque rare de syndrome de Guillain-Barré...
2016
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Prescrire
France
français
résumé ou synthèse en français
polyradiculonévrite infectieuse aiguë
vaccination
Vaccins
incertitude
syndrome de Guillain-Barré
vaccine
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination
papillomavirus
vaccin
vaccins

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21/04/2024


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