Libellé préféré : papillomavirus;
Synonyme SNOMED : groupe des papillomavirus; papovavirus; groupe du virus du papillome;
Identifiant d'origine : L-35600;
CUI UMLS : C0030358;
Alignements automatiques CISMeF supervisés
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Correspondances UMLS (même concept)
Décrit
Type(s) sémantique(s)
- virus [Type sémantique UMLS]
N3-AUTOINDEXEE
Proposition d’une extension de la Vaccination contre le Papillomavirus (HPV) pour
les hommes et les femmes jusqu’à 26 ans : Un moyen d’accélérer l’élimination des cancers
HPV induits
https://www.academie-medecine.fr/1000053001/
L’Académie nationale de médecine (ANM) s’est mobilisée à plusieurs reprises pour la
promotion de la vaccination contre le papillomavirus (HPV) dans l’espoir d’éliminer
les cancers HPV induits du col utérin, de l’oropharynx, de la cavité buccale et de
l’anus (1-4). Depuis leurs premières publications en 2007, les recommandations vaccinales
des instances gouvernementales ont largement évolué. Actuellement, la vaccination
contre les infections à HPV est recommandée en France pour l’ensemble des filles et
des garçons âgés de 11 à 14 ans avec un schéma à 2 doses. Par ailleurs, dans le cadre
du rattrapage vaccinal, la vaccination HPV par Gardasil9 est recommandée pour les
deux sexes entre 15 et 19 ans révolus et pour les hommes ayant des relations sexuelles
avec des hommes ou les patients immunodéprimés, jusqu’à l’âge de 26 ans selon un schéma
à 3 doses. En septembre 2023, une campagne de vaccination gratuite en classe de cinquième
pour tous les élèves de 11 à 14 ans a été mise en place. L’ANM se félicite de toutes
ces mesures mais s’inquiète, étant donné le retard vaccinal pris depuis 2007, du nombre
de sujets n’ayant pas bénéficié d’une vaccination depuis sa création. Il est estimé
ainsi un retard cumulé de 2 millions de femmes de 20 à 26 ans non vaccinées (5) et
ce retard double, en incluant la vaccination masculine maintenant admise. De plus,
la période COVID-19 a eu un impact supplémentaire négatif sur la vaccination (6).
2024
Académie Nationale de Médecine
France
information scientifique et technique
Vaccins antipapillomavirus humain
Induire
vaccination
Papillomavirus humain positif
néoplasie endocrinienne multiple
proposita
milieux de culture
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus
système nerveux autonome
accélération
papillomavirus humain type 26
femmes
traction
Vaccins contre les papillomavirus
infection à virus du papillome humain
expansif
allèle sauvage ELL
jusqu'à
retiré
moyens communication et information
langue mendé
hommes
vaccination; médication préventive
test ADN papillomavirus humain
Femmes
ménogaril
vaccination
hommes
milieu
lobe moyen de la prostate
vaccination
papillomaviridae
---
N2-AUTOINDEXEE
Vacciner filles et garçons contre les papillomavirus dans les collèges ? avis du conseil
scientifique du CNGE
https://www.cnge.fr/conseil_scientifique/productions_du_conseil_scientifique/avis_du_conseil_scientifique/vacciner_filles_et_garcons_contre_les_papillomavir/
En 2019, la Haute Autorité de santé a émis un avis favorable à l’élargissement de
la vaccination contre les papillomavirus (HPV) à tous les garçons âgés de 11 a 14
ans révolus avec un rattrapage possible pour les adolescents et jeunes adultes âgés
de 15 a 19 ans re volus1 et jusqu’à 26 ans révolus pour les hommes ayant des relations
sexuelles avec des hommes. En France, les données les plus récentes montrent une couverture
vaccinale pour un schéma complet à 41,5% (jeunes filles nées en 2006)2. Dans le but
d’élargir la couverture vaccinale et d’atteindre l’objectif de 80% en 2030 selon la
stratégie décennale de lutte contre les cancers3, la vaccination anti-HPV sera proposée
aux élèves volontaires (filles et garçons) des classes de cinquième. Environ 70% à
80% des personnes sexuellement actives seront infectées au moins une fois dans leur
vie par un HPV1. L’infection asymptomatique régresse le plus souvent mais peut persister
chez certains patients et générer des lésions pré-cancéreuses et cancéreuses génitales,
anales, et ORL. Le cancer du col de l’utérus (CCU) est le cancer lié aux HPV le plus
fréquent avec près de 3 000 nouveaux cas et 1 100 décès par an en France.
2023
CNGE - Collège National des Généralistes Enseignants
France
information scientifique et technique
Filles
vaccine
vaccin
vaccination
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins contre les papillomavirus
famille nucléaire
Assistance
vaccination
vaccination; médication préventive
Vaccine
papillomavirus
établissements scolaires
Vaccins
Garçons
jugement
---
N3-AUTOINDEXEE
Déterminants de la décision parentale d’une vaccination anti-papillomavirus chez un
garçon
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04155786
Introduction : l’infection à papillomavirus humain est l’infection sexuellement transmissible
la plus fréquente. Depuis décembre 2019, la Haute Autorité de Santé recommande l’élargissement
de la vaccination anti-papillomavirus aux garçons. Ce vaccin concerne surtout des
mineurs, dont la décision de vaccination revient aux parents. Nous ne savons pas comment
les parents de garçons perçoivent la vaccination depuis son remboursement pour les
adolescents de sexe masculin. Objectif : l’objectif de cette étude est de déterminer
les facteurs sur lesquels les parents de garçons basent leur décision de vaccination
de leur fils contre le papillomavirus. Matériel et méthode : il s’agit d’une étude
qualitative descriptive menée par entretiens semi-dirigés individuels auprès de 18
parents de garçons âgés de 11 à 18 ans. Résultats : la majorité des parents interrogés
est favorable à la vaccination anti-papillomavirus de leur fils. Le principal facteur
favorisant est l’information sur la vaccination anti-papillomavirus des garçons. Les
autres facteurs favorisants sont le besoin de protection, les qualités de fiabilité
et d’utilité du vaccin, la qualité de la relation parent-médecin, la préoccupation
par rapport à la sexualité de leur fils et la présence de proches concernés par le
papillomavirus ou par une maladie grave. La vaccination en milieu scolaire favoriserait
la décision de vaccination. Les caractères d’incertitude (crainte des effets indésirables)
et d’inutilité du vaccin, la présence de contraintes logistiques et contextuelles,
la vision réduite de la sexualité de leur fils, la relation parent-médecin dégradée
(absence de recommandation de la vaccination par le médecin, méfiance vis-à-vis du
médecin), le manque d’intérêt pour le sujet et le sentiment de vaccination excessive
sont des freins à la décision de vaccination. Discussion : la délivrance d’informations
de qualité par un professionnel de santé a un impact positif sur la décision vaccinale
des parents. Ainsi, il semble nécessaire de renforcer les actions d’informations sur
la vaccination anti-papillomavirus des garçons auprès des parents afin d’augmenter
l’adhésion vaccinale. Après la mise en œuvre de la campagne de vaccination scolaire
à la rentrée 2023, il serait intéressant de mesurer son impact sur la décision vaccinale
des parents.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
vaccination
Parent
vaccination
papillomavirus
Vaccins contre les papillomavirus
Garçons
papillomavirus
vaccination
vaccination; médication préventive
---
N2-AUTOINDEXEE
Intérêt de la vaccination contre le papillomavirus chez les jeunes hommes: revue systématique
de la littérature
https://n2t.net/ark:/47881/m6np2472
Synthèse des données disponibles concernant l'efficacité de la vaccination chez les
hommes dans la prévention des cancers à HPV. L'objectif secondaire de ce travail était
d'évaluer les risques et les bénéfices de la vaccination masculine pour les femmes
par immunité collective dans la prévention des cancers qui leur sont propres.
2022
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
Vaccins contre les papillomavirus
classification
Systématique
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Littérature
Vaccins
vaccination
littérature de revue comme sujet
Revue systématique
Vaccine
vaccination
Systématique
adolescent
papillomavirus
Systématique
vaccination; médication préventive
Systématique
---
N3-AUTOINDEXEE
Que pensent les parents de garçons de 11 à 19 ans de la vaccination papillomavirus
?: étude qualitative sur le ressenti à la vaccination papillomavirus en médecine générale
https://pepite-depot.univ-lille.fr/LIBRE/Th_Medecine/2022/2022ULILM022.pdf
Introduction : Les infections par les HPV sont parmi les IST les plus fréquentes.
Dans de très rares cas, elles peuvent évoluer en cancer. Chaque année en France, 6300
nouveaux cancers sont HPV-induits dont 29% surviennent chez les hommes. La vaccination
HPV est disponible depuis 2006 pour les jeunes filles. En 2019, la HAS publie ses
nouvelles recommandations et élargit la vaccination HPV aux jeunes garçons. L’objectif
principal de cette étude était de décrire les représentations des parents et de préciser
les critères déterminants de la réalisation cette vaccination. Méthode : Étude qualitative
par entretiens semi-dirigés réalisés auprès de 10 patients dans un cabinet de médecine
générale des Hauts de France. L’analyse des données a été réalisée à l’aide du logiciel
Nvivo version 12, avec une triangulation. Résultats : Les déterminants décisionnels
de la vaccination HPV sont multifactoriels. Les parents estiment ne pas avoir une
information suffisante. Ils se considèrent comme les garants de la santé de leurs
enfants et s’impliquent émotionnellement dans leur processus de réflexion. Aborder
la sexualité leur semble systématique lors de la présentation des vaccins HPV ce qui
peut être un frein pour certains. Ils estiment que l'avis de leur fils est indispensable
à la prise de décision. Les freins principaux sont la crainte des effets secondaires
et la méfiance due aux polémiques médiatiques de ces dernières années. Le principal
levier d’acceptabilité demeure l’accès à une information claire et loyale. Cette information
est attendue en priorité de la part du médecin généraliste, source de savoir et de
confiance. Conclusion : Cerner et combattre les fondements de la défiance vaccinale
constituent des enjeux de santé publique. Le médecin généraliste joue un rôle central
dans la mission de prévention et dans la proposition vaccinale. Uniformiser les messages
transmis par les scientifiques et les politiques en réalisant une campagne d’information
à échelle nationale semble essentiel afin d’améliorer la couverture vaccinale.
2022
PEPITE - Panorama des productions universitaires - Université Lille 2 Droit et Santé
France
thèse ou mémoire
recherche qualitative
vaccin contre la vaccine
dû à
Garçons
médecine générale
vaccination; médication préventive
Vaccins
parents
Médecins
parent
Vaccine
papillomavirus
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination
---
N2-AUTOINDEXEE
Vaccins contre les papillomavirus humains: note de synthèse de l’OMS ( mise à jour
de 2022)
https://apps.who.int/iris/handle/10665/365351
Conformément à son mandat, qui prévoit qu’elle fournisse aux États Membres des orientations
à caractère normatif en matière de politique sanitaire, l’OMS publie une série de
notes de synthèse1 régulièrement mises à jour sur les vaccins et les associations
vaccinales contre les maladies ayant une incidence sur la santé publique internationale.
Ces notes portent principalement sur l’utilisation des vaccins dans le cadre de programmes
de vaccination à grande échelle.
2022
OMS - Organisation Mondiale de la Santé
Suisse
article de périodique
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination
Vaccine
Vaccins
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
vaccin
vaccination
vaccine
vaccination; médication préventive
vaccins synthétiques
Organisation Mondiale de la Santé
papillomavirus
---
N3-AUTOINDEXEE
Etude de l'adhésion à la vaccination contre le papillomavirus chez les parents des
garçons de 11 à 19 ans
http://thesesante.ups-tlse.fr/3963/
Introduction : la vaccination contre le HPV apparait comme une stratégie efficace
pour lutter contre les infections à papillomavirus qui touchent aussi bien les hommes
que les femmes. L'objectif principal de cette étude était de recueillir l'avis des
parents des garçons concernés par cette vaccination. Matériel et méthodes : étude
épidémiologique observationnelle, transversale, réalisée à l'aide d'un questionnaire
diffusé aux parents ayant des garçons de 11 à 19 ans, sur l'ensemble du territoire
français. Résultats : 617 réponses ont été obtenues et 581 ont été analysées. L'intention
de vaccination est favorable à 79,7% et défavorable pour 20,3% des parents. La présence
d'une fille vaccinée dans la fratrie, les connaissances et du remboursement du vaccin
chez le garçon, un accès à une source d'information fiable, semblent être des facteurs
influençant la décision. Conclusion : la connaissance des freins et des leviers à
la vaccination contre le HPV permet d'améliorer la communication autour de ce virus
et ainsi de sensibiliser au mieux la population générale afin de lui permettre de
faire un choix éclairé concernant sa santé.
2022
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
parents
parent
Vaccins
vaccination; médication préventive
vaccination
vaccination
adhésif
adhésifs
Garçons
dû à
Vaccins contre les papillomavirus
collecte de données
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus
Vaccine
---
N3-AUTOINDEXEE
Attitude des jeunes garçons de 15 à 25 ans à l'égard des risques liés à la sexualité
(Contraception et Papillomavirus)
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03578295
CONTEXTE : L’âge moyen des premiers rapports sexuels en France se situe à 17 ans depuis
maintenant une dizaine d’années. Nous observons cependant une modification des pratiques
sexuelles. Bien qu’ayant tendance à la diminution, le taux d’interruptions volontaires
de grossesses stagne depuis une dizaine d’années malgré de nombreuses réformes facilitant
l’accès à la contraception. Au cours de sa vie, 75% de la population sexuellement
active sera infectée par un papillomavirus, ce qui en fait la maladie sexuellement
transmissible la plus répandue. Une nouvelle recommandation de la HAS a fait son apparition
début 2021 proposant la vaccination aux jeunes garçons. OBJECTIF : L’objectif de l’étude
est de recueillir l’avis de jeunes garçons sur leur rôle dans la contraception au
sein du couple ainsi que leur acceptation d’une potentielle pilule masculine et de
la vaccination contre le papillomavirus. MÉTHODE : Il s’agit d’une étude qualitative
réalisée par entretiens semi-dirigés auprès d’un panel diversifié de 20 garçons âgés
de 15 à 25 ans révolus, de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Inclusion jusqu’à saturation
théorique des données. Analyse thématique indépendante par deux chercheuses. RÉSULTATS
: Les jeunes participants manquaient de connaissances, tout particulièrement en ce
qui concernait le papillomavirus. Cela engendrait quelques interrogations de leur
part sur la vaccination, bien qu’une majorité l’envisageait. De la même manière, ces
lacunes, ainsi que d’éventuels effets indésirables, impactaient l’acceptation d’une
pilule masculine. Ils se considéraient dans l’ensemble impliqués dans la contraception
au sein du couple, majoritairement par l’utilisation du préservatif qui reste la méthode
masculine de référence, les autres disponibles à ce jour étant jugées moins pratiques.
Afin de limiter ces freins, le médecin traitant pourrait être un élément essentiel
en améliorant la communication, pour le moment quelque peu insuffisante. CONCLUSION
: L’acceptation d’une nouvelle contraception hormonale masculine ainsi que de la vaccination
contre le papillomavirus pourrait être favorisée par une meilleure communication.
D’une part, le médecin traitant pourrait prendre une place plus importante dans la
prévention par une information plus régulière. D’autre part, davantage d’interventions
en milieu scolaire seraient souhaitables, tout comme le développement d’autres modes
de communication plus adaptés à cette génération.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
attitude
Garçons
papillomavirus
état sexuel
Rapports sexuels protégés
dû à
contraception
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Risque
contraception
adolescent
Sexualité
posture
---
N3-AUTOINDEXEE
L'accompagnement infirmier favorisant les formes et ressources des jeunes face à l'infection
à Papillomavirus Humain: travail de Bachelor
http://doc.rero.ch/record/333397?ln=fr
Nous avons décidé d'orienter notre travail de Bachelor en soins infirmiers sur une
problématique de santé touchant les personnes à risque et souffrant de l'infection
à Papillomavirus Humain (HPV). L'infection à Papillomavirus est une problématique
actuelle avec une prévalence en augmentation ces dernières années. Une part importante
de la population est touchée au moins une fois dans sa vie par cette infection. Lors
de nos stages, nous avons été marquées par des femmes atteintes du HPV et ayant développé
des lésions ou cancers à cause du HPV. Nous avons également été confrontées à des
personnes de notre entourage se trouvant à différents stades de la maladie. L'infection
au HPV peut avoir des conséquences physiques et psychologiques importantes dans certains
cas. C'est une infection qui peut être prévenue facilement, les conséquences sont
donc évitables. Nous nous sommes rendues compte que malgré la prévention, les connaissances
de la population concernant le HPV sont moindres et que la prévalence est encore élevée
2021
RERO DOC - Réseau des bibliothèques de Suisse occidentale
Suisse
thèse ou mémoire
Face
papillomavirus
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
maladie infectieuse
Travail
infections à papillomavirus
travail
Ressources
Infection
ressources en santé
métier
Infirmiers
adolescent
---
N2-AUTOINDEXEE
Faible couverture vaccinale contre les papillomavirus chez les hommes ayant des relations
sexuelles avec des hommes : un manque de proposition du vaccin par les médecins
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02171646
Introduction. En France, il est recommandé de vacciner seulement les jeunes filles
contre les infections à HPV, avec deux exceptions pour les hommes : les immunodéprimés
de moins de 20 ans (depuis 2014), et les hommes ayant des relations sexuelles avec
des hommes (HSH) de moins de 27 ans (depuis 2016). L'objectif de cette étude était
d’explorer la couverture vaccinale contre les HPV chez les HSH, et de déterminer les
facteurs associés, notamment la perception et le niveau d’adhésion au vaccin dans
cette population, et l'offre vaccinale par les médecins. Matériels et Méthodes. Nous
avons diffusé un questionnaire anonyme en ligne destiné aux HSH en France sur différents
réseaux sociaux entre le 7 octobre 2018 et le 6 janvier 2019. Ce questionnaire explorait
notamment des données sociodémographiques, le statut vaccinal pour les HPV et le VHA,
les perceptions concernant la vaccination, et l'offre vaccinale par les médecins.
Résultats. Le questionnaire a été complété par 2094 participants (âge 35,4 11 ans).
La grande majorité (93,5%) déclarait avoir des relations sexuelles uniquement avec
des hommes ; 342 (16,3%) utilisaient la prophylaxie pré-exposition (PrEP). La recommandation
de vaccination contre les HPV était connue par 39,2% des participants ; dans l’ensemble,
8,0% étaient vaccinés. Parmi les 501 participants concernés par la recommandation
de vaccination (avoir moins de 27 ans en 2016, et donc être dans la cible sur la période
2016-2019), 90 (17,9%) étaient vaccinés ; cette proportion était significativement
beaucoup plus élevée parmi les personnes sous PrEP que chez les autres (52,5% vs 15,0%,
p 0,01). Concernant la perception de la vaccination de manière générale, sur une échelle
de 1 à 10, la médiane de réponse était de 10 [interquartile 25-75 : 8-10] à « être
en faveur de la vaccination », 10 [9-10] à « les vaccins sont utiles », et 2 [1-5]
à « les vaccins sont dangereux » ; seuls 4,0% (92) jugeaient le vaccin anti-HPV «
plutôt » ou « absolument » dangereux. Ces critères ne variaient que faiblement selon
le statut vaccinal. Par ailleurs, les participants avaient été informés de la recommandation
vaccinale par un médecin quel qu'il soit dans 16,5% des cas, dont 22,9% de ceux ayant
moins de 27 ans en 2016. Parmi les 82,6% qui avaient un médecin traitant, 9,9% avaient
été informés par celui-ci (sans différence selon l’âge). Par ailleurs, 9,1% avaient
été informés par un autre médecin. Enfin, 79,9% des non-vaccinés accepteraient la
vaccination si celle-ci leur était proposée, dont 82,2% des personnes ayant moins
de 27 ans en 2016. La moitié des participants environ (49,4%) était vacciné contre
l’hépatite A. Conclusion. La couverture vaccinale contre les HPV est faible chez les
HSH ayant participé à cette étude (8,0%), y compris chez les moins de 27 ans concernés
par la recommandation de vaccination (17,9%). Cela semble largement résulter d'un
manque de proposition du vaccin de la part des médecins plutôt que d'une opposition
à la vaccination par les HSH. Sur ce plan, être dans un programme de PrEP apparait
comme un avantage.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Médecins
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
médecins
Vaccination
Vaccine
proposita
asthénie
vaccination
Couverture vaccinale
homosexualité masculine
vaccins
Vaccins
faute professionnelle
vaccination; médication préventive
Hommes
vaccin
Vaccine
papillomavirus
---
N2-AUTOINDEXEE
Apport de l'entretien motivationnel dans une consultation de médecine générale pour
améliorer l'acceptabilité de la vaccination contre le papillomavirus
http://www.sudoc.fr/234040076
Introduction : La vaccination contre le papillomavirus est un moyen de prévention
efficace contre les lésions précancéreuses du col de l'utérus et des études commencent
à mettre en évidence son efficacité dans la lutte contre le cancer du col de l'utérus.
En France, la méfiance vis-à-vis des vaccins et en particulier du vaccin contre le
papillomavirus ne permet pas d'avoir des couvertures vaccinales suffisantes pour faire
baisser l'incidence du cancer du col de l'utérus qui reste pourtant un véritable problème
de santé publique. L'entretien motivationnel semble être un outil intéressant mais
a été peu évalué dans le domaine de la vaccination. Il paraissait donc intéressant
d'évaluer son efficacité dans le cadre de la vaccination contre le papillomavirus.
Matériel et Méthodes : L'étude quantitative, de cohorte, prospective a été réalisée
auprès de 30 parents de jeunes filles non vaccinées contre le papillomavirus. 12 parents
ont bénéficié d'un entretien motivationnel et ont rempli un questionnaire électronique
et 18 parents n'ont pas bénéficié d'entretien motivationnel et ont rempli un questionnaire
papier. Résultats : Une meilleure acceptabilité vaccinale a été constaté dans le groupe
ayant bénéficié d'un entretien motivationnel avec 58% (n 7) de parents favorables
à la vaccination, 17% (n 2) de défavorables et 25% (n 3) d'indécis. Les parents n'ayant
pas bénéficié d'un entretien motivationnel, étaient 39% (n 7) à être favorables à
la vaccination, 11% (n 2) à ne pas être favorables et 50% (n 9) à être indécis. Les
principaux freins à la vaccination étaient, dans les deux groupes, la peur des effets
indésirables et de développer une maladie grave. Tous les parents manquaient de connaissances
sur le papillomavirus et le vaccin contre le papillomavirus. Leurs principales sources
d'information étaient les médias et le bouche à oreille. Conclusion : Notre étude
a mis en évidence un intérêt de l'entretien motivationnel sur l'acceptabilité parentale
de la vaccination contre HPV des jeunes filles. Si les résultats de notre étude ne
sont pas significatifs en raison du faible effectif, la tendance positive de la pratique
d'entretiens motivationnels sur l'acceptabilité des parents est prometteuse. La pratique
d'entretiens motivationnels devrait être encouragée et évaluée à plus grande échelle.
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
consultants
entretien motivationnel
vaccination
vaccination
Médecins
Vaccine
vaccination
médecine générale
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins contre les papillomavirus
papillomavirus
Vaccins
vaccination; médication préventive
---
N2-AUTOINDEXEE
Dépistage du cancer du col de l’utérus en fonction du statut vaccinal contre les papillomavirus
humains: Étude descriptive sur 2188 patientes alsaciennes nées entre 1986 et 1990
http://www.sudoc.fr/234019131
Introduction : les moyens de prévention du cancer du col sont la vaccination et le
dépistage par Frottis Cervico-Utérin (FCU). L’objectif était d’étudier le dépistage
chez les alsaciennes ayant pu être vaccinées en rattrapage en fonction de leur statut
vaccinal. Méthodes : un tirage au sort de la moitié des alsaciennes nées entre 1986
et 1990 a été fait. Les données sur la vaccination ont été collectées par courrier
et celles sur le dépistage grâce aux données de l’association Eve. Un appariement
des non vaccinées aux vaccinées a été fait. Résultats : 29 944 courriers ont été envoyés
avec 7,3% de réponse. 30,35% des patientes étaient vaccinées. 1220 patientes ont été
appariées. Le dépistage était plus souvent initié chez les non vaccinées (79,5% vs
75%,p 0,01). Le nombre de FCU était plus important chez les non vaccinées (2,2 vs
2, p 0,05) avec une augmentation des frottis anormaux (4% vs 10%, p 0,01). Conclusion
: Le statut vaccinal semble influencer l’entrée en dépistage et ses modalités.
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
dépistage du cancer
patients
cancer
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus
a comme patient
Fistule vésicoutérine
Fistule oesotrachéale
cancer du col de l'utérus
cancer
Cancer du col de l'utérus
dépistage du cancer
collecte de données
col de l'utérus
Hématome
Cancer du col de l'utérus
Dépistage précoce du cancer
tumeurs du col de l'utérus
---
N3-AUTOINDEXEE
Papillomavirus et cancer
https://www.e-cancer.fr/Expertises-et-publications/Catalogue-des-publications/Papillomavirus-et-cancer
Plus de 6 300 cancers incidents par an sont liés aux papillomavirus humains (HPV).
Ces cancers concernent majoritairement les femmes, mais aussi les hommes pour près
d'un tiers. Cette nouvelle Fiche repère fait le point sur les données scientifiques
récentes autour des HPV et du cancer : données épidémiologiques, localisations spécifiques,
prévention par la vaccination et dépistage. Commander le dépliant sur la vaccination
contre les HPV. Commander les outils d'information sur le dépistage du cancer
du col de l'utérus. Consulter les informations pour les professionnels de santé
sur la vaccination et le dépistage.
2018
INCa - Institut National du Cancer
France
brochure pédagogique pour les patients
tumeurs
Cancer
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
cancer
papillomavirus
Cancer
tumeur maligne, sai
---
N3-AUTOINDEXEE
Vaccination anti-papillomavirus : perception et rôle des infirmiers scolaires
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02142110
Introduction : Le cancer du col de l’utérus constitue un problème de santé publique.
La morbi-mortalité peut être réduite grâce à la vaccination anti-papillomavirus humain
(HPV). Cependant, la couverture vaccinale en France reste actuellement la plus basse
d’Europe. Certains pays voisins à couverture vaccinale élevée s’appuient sur les infirmiers
scolaires. Qu’en pensent les infirmiers scolaires en France et quel est leur rôle
concernant l’information sur la vaccination anti-HPV ? Méthode : Une étude qualitative
par entretiens individuels semi-dirigés a été menée de novembre 2017 à mars 2018,
auprès d’infirmiers scolaires volontaires de l’enseignement secondaire. Une analyse
thématique manuelle avec double codage a été réalisée. Résultats : Douze entretiens
ont été analysés. La vaccination anti-HPV était exceptionnellement abordée avec les
élèves. Les infirmiers décrivaient un manque d’information concernant la vaccination
anti-HPV, limitant leur perception et la délivrance d’une éventuelle information auprès
de la population cible. Le manque de temps et la multitude de missions inhérentes
à leur métier étaient des barrières dans le développement de leur mission de prévention.
Leur mission était tributaire de la hiérarchie et des intervenants extérieurs. Ils
ont mis en doute la transparence des laboratoires et se méfiaient des éventuels effets
indésirables liés aux adjuvants. D’autres vaccins étaient considérés comme prioritaires
et les infirmiers estimaient que les jeunes filles ne se sentaient pas concernées
par ce sujet par immaturité ou manque d’intérêt. Ils en référaient au médecin généraliste,
perçu comme un pivot central de l’information autour de la vaccination. Ils insistaient
sur l’importance des parents, considérés comme décisionnaires et la nécessité de les
sensibiliser à cette vaccination pour améliorer la couverture vaccinale. Conclusion
: Les infirmiers scolaires semblent actuellement peu investis dans l’information sur
la vaccination anti-HPV. Une meilleure information lors de leur formation permettrait
de les sensibiliser à cette problématique de santé publique. La participation de cette
profession en contact direct de la population cible pourrait améliorer la couverture
vaccinale. Il serait intéressant d’envisager la mise en place d’actions communes avec
le médecin généraliste, qui est perçu comme un acteur majeur de l’information concernant
la vaccination.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Vaccins contre les papillomavirus
perception
Vaccins
vaccination; médication préventive
papillomavirus
Perception
Vaccine
vaccination
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Perception
perception
vaccination
rôle de l'infirmier
---
N2-AUTOINDEXEE
Interrogations et représentations de la population générale sur le papillomavirus
humain: enquête qualitative via les forums internet
http://www.sudoc.fr/232380686
Le papillomavirus humain est l'infection sexuellement transmissible la plus fréquente.
Il reste mal connu de la population générale. Les patients n'osent pas toujours poser
leurs questions à leur médecin traitant. Les forums internet sont des lieux d'expression
libre notamment dans la recherche d'informations en santé. L'objectif de notre étude
était de déterminer les interrogations et représentations à propos du papillomavirus
via les forums internet. Une étude qualitative descriptive a été conduite sur quatre
forums français, Atoute, Doctissimo, Santé-médecine et Onmeda, avec les mots clés
« papillomavirus », « HPV », « maladie », « transmission ». Les fils de discussion
datés de janvier 2007 à décembre 2017 ont été recueillis via l'application Ncapture
du logiciel Nvivo . Les données ont été catégorisées grâce à ce logiciel en codage
ouvert. Nous avons retrouvé de nombreuses interrogations concernant l'épidémiologie,
la pathogénicité, les moyens diagnostiques ou de prévention, le dépistage par frottis
du col de l'utérus, et les traitements de l'HPV. Le sujet le plus fréquemment abordé
était les modes de transmission. Il existait de nombreuses fausses croyances. L'infection
par le papillomavirus était responsable d'anxiété, de peur ou de colère. Les informations
données par les soignants étaient jugées insuffisantes, peu claires ou discordantes.
Une différenciation homme-femme était souvent faite concernant l'infection par le
virus. Les modes de transmission nombreux du papillomavirus entrainent une incompréhension
de cette infection sexuellement transmissible. Les informations délivrées par les
soignants sur le HPV pourraient être améliorées, tant dans la population masculine
que féminine. Il serait intéressant d'évaluer à quels moments ces informations pourraient
être données, notamment chez les adolescent-e-s, pour être comprises du plus grand
nombre
2018
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
population
Internet
papillomavirus
Populations générales
enquêteur
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
collecte de données
---
N2-AUTOINDEXEE
Évaluation de l'acceptabilité du vaccin contre le papillomavirus auprès des collégiens
et lycéens de sexe masculin de Loire-Atlantique
http://www.sudoc.fr/229656528
L'infection par le papillomavirus humain (HPV) est une des infections sexuellement
transmissibles les plus fréquentes touchant l'homme et la femme. En France, les recommandations
proposent la vaccination contre le HPV aux filles depuis 2007 et aux hommes ayant
des relations sexuelles avec des hommes depuis 2016. Certains pays ont étendu leurs
recommandations vaccinales à l'ensemble des garçons, avec des résultats encourageants
concernant l'efficacité et la tolérance. L'objectif de l'étude était d'évaluer l'acceptabilité
de cette stratégie et ses déterminants chez les adolescents de sexe masculin en France
2018
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
sexe masculin, sai
vaccin
Vaccine
vaccination
vaccination
Vaccins
vaccination; médication préventive
Vaccins contre les papillomavirus
Sexe
étudiants
Mâle
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus
sexe
---
N2-AUTOINDEXEE
La vaccination contre le papillomavirus : facteurs intervenants dans la décision de
vaccination. Étude quantitative basée sur un double questionnaire distribué aux jeunes
filles et à leurs parents
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01840611
Objectifs : identifier des facteurs influençant les parents dans leur décision de
faire ou non vacciner leur fille contre l’HPV et étudier l’effet des représentations
qu’ils peuvent avoir concernant cette vaccination ; puis étudier les caractéristiques
des jeunes filles, pour préciser les résultats obtenus auprès des parents.
2018
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
parents
Vaccins
vaccination; médication préventive
Vaccins contre les papillomavirus
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus
parent
vaccination
Questionnaires
jeunes
facteur
quantitatif
vaccination
vaccin contre la vaccine
quantité
double
marketing
collecte de données
ayant une distribution
Filles
Vaccine
---
N3-AUTOINDEXEE
Analyse qualitative des informations diffusées sur les forums Internet à propos des
vaccins contre le papillomavirus
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01877279
Introduction : depuis 2011, nous assistons en France à une baisse de la couverture
vaccinale des adolescentes contre le papillomavirus. Dans une société où les médias
sociaux prennent une place de plus en plus importante dans la diffusion des informations
sur la santé, il est important de faire le point sur les informations véhiculées par
les forums Internet à propos de ces vaccins.
2017
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
diffusion de l'information
papillomavirus
Internet
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination; médication préventive
vaccination
diffusion
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
vaccin
vaccine
vaccination
diffus
proposant
Vaccine
vaccination
qualitatif
propagation
Vaccins
---
N3-AUTOINDEXEE
Etat des lieux de la vaccination contre les papillomavirus en France et impact des
polémiques anti vaccinales
http://www.sudoc.fr/192720732
L'histoire vaccinale a été marquée par une évolution des obligations et de la législation
vaccinale. Nous avons voulu évaluer l'impact de la polémique, concernant les vaccins
anti papillomavirus, sur les taux de couvertures vaccinales en France. Dans cet objectif,
nous avons effectué un travail bibliographique et une analyse des arguments des associations
anti vaccins, très actives sur internet
2016
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
Vaccins contre les papillomavirus
France
vaccination
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins
Vaccine
vaccination
France
français
papillomavirus
France
vaccination
vaccination; médication préventive
France
France
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