Libellé préféré : néoplasie endocrinienne multiple;

Synonymes NCIt : tumeurs endocrines multiples; adénomatose endocrinienne multiple; tumeur multiple polyglandulaire;

Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Le syndrome néoplasique héréditaire autosomique dominant caractérisé par le développement de divers néoplasmes endocriniens et d'anomalies dans différents sites anatomiques. Il existe quatre types : type 1 (MEN 1), causés par l'inactivation du gène suppresseur de tumeur MEN-1, type 2A (MEN 2A), causés par une mutation du gène RET de type 2B (MEN 2B), aussi dues à une mutation du gène RET (RET 4). Les patients avec le MEN 1 peuvent développer une hyperparathyroïdie et des adénomes parathyroïdiens, des adénomes de l'hypophyse, des tumeurs des îlots pancréatiques et des tumeurs carcinoïdes. Les patients avec le MEN 2A développent des carcinomes médullaires de la thyroïde et peuvent aussi développer des carcinomes thyroïdiens et des glandes parathyroï;

Traductions automatiques par l'ANS : Néoplasie endocrinienne multiple; syndrome de néoplasie endocrinienne multiple; adénomatose endocrinienne; Syndrome MEN; Syndromes MEN; HOMMES;

Code ICD-O : 8360/1;

Codes issus des synonymes : CDR0000270863; CDR0000563964; CDR0000044551;

Détails


Consulter ci-dessous une sélection des principales ressources :

Vous pouvez consulter :


N3-AUTOINDEXEE
Proposition d’une extension de la Vaccination contre le Papillomavirus (HPV) pour les hommes et les femmes jusqu’à 26 ans : Un moyen d’accélérer l’élimination des cancers HPV induits
https://www.academie-medecine.fr/1000053001/
L’Académie nationale de médecine (ANM) s’est mobilisée à plusieurs reprises pour la promotion de la vaccination contre le papillomavirus (HPV) dans l’espoir d’éliminer les cancers HPV induits du col utérin, de l’oropharynx, de la cavité buccale et de l’anus (1-4). Depuis leurs premières publications en 2007, les recommandations vaccinales des instances gouvernementales ont largement évolué. Actuellement, la vaccination contre les infections à HPV est recommandée en France pour l’ensemble des filles et des garçons âgés de 11 à 14 ans avec un schéma à 2 doses. Par ailleurs, dans le cadre du rattrapage vaccinal, la vaccination HPV par Gardasil9 est recommandée pour les deux sexes entre 15 et 19 ans révolus et pour les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes ou les patients immunodéprimés, jusqu’à l’âge de 26 ans selon un schéma à 3 doses. En septembre 2023, une campagne de vaccination gratuite en classe de cinquième pour tous les élèves de 11 à 14 ans a été mise en place. L’ANM se félicite de toutes ces mesures mais s’inquiète, étant donné le retard vaccinal pris depuis 2007, du nombre de sujets n’ayant pas bénéficié d’une vaccination depuis sa création. Il est estimé ainsi un retard cumulé de 2 millions de femmes de 20 à 26 ans non vaccinées (5) et ce retard double, en incluant la vaccination masculine maintenant admise. De plus, la période COVID-19 a eu un impact supplémentaire négatif sur la vaccination (6).
2024
Académie Nationale de Médecine
France
information scientifique et technique
Vaccins antipapillomavirus humain
Induire
vaccination
Papillomavirus humain positif
néoplasie endocrinienne multiple
proposita
milieux de culture
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus
système nerveux autonome
accélération
papillomavirus humain type 26
femmes
traction
Vaccins contre les papillomavirus
infection à virus du papillome humain
expansif
allèle sauvage ELL
jusqu'à
retiré
moyens communication et information
langue mendé
hommes
vaccination; médication préventive
test ADN papillomavirus humain
Femmes
ménogaril
vaccination
hommes
milieu
lobe moyen de la prostate
vaccination
papillomaviridae

---
N3-AUTOINDEXEE
Des stéréotypes de genre encore très ancrés, notamment chez les hommes
https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/publications-communique-de-presse/etudes-et-resultats/des-stereotypes-de-genre-encore-tres-ancres
La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie une étude concernant l’opinion des personnes résidant en France métropolitaine sur les stéréotypes de genre. Cette étude révèle que la majorité des Français rejette les stéréotypes de genre pris dans leur ensemble. Les représentations stéréotypées liées au soin apporté aux autres sont celles qui rencontrent le plus d’adhésion. De manière générale, l’adhésion aux stéréotypes de genre est plus marquée parmi les hommes, les plus âgés, les immigrés et les personnes ayant une pratique religieuse. À l’inverse, les femmes et les personnes diplômées du supérieur sont surreprésentées parmi les personnes qui les rejettent. L’étude confirme aussi l’inégale répartition des tâches domestiques au sein des couples, d’autant plus marquée qu’il y a adhésion aux stéréotypes de genre.
2024
DREES - Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques
France
article de périodique
néoplasie endocrinienne multiple
Genre
stéréotypie
hommes
stéréotypie
allèle sauvage ELL
hommes
Stéréotypes
genre
langue mendé
ménogaril
identité de genre
stéréotypeur

---
N3-AUTOINDEXEE
Utilisation d’un dispositif de marketing social auprès des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes en temps de crise : le cas de l’épidémie de Mpox en France
http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2023/24-25/2023_24-25_4.html
Début mai 2022, des cas de Mpox ont été signalés en Europe et dans le monde, sans lien direct avec un voyage en Afrique Centrale ou de l’Ouest, où le virus est présent, ou avec des personnes de retour de voyage. Ceux-ci concernaient majoritairement des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH). Dès les premiers jours, Santé publique France a mobilisé son dispositif Sexosafe pour alerter la population HSH et diffuser des messages de prévention ciblés à son attention. Dans le cadre d’un plan de communication gradué, deux campagnes portant sur le repérage des symptômes et la promotion de la vaccination ont été diffusées du 9 juin 2022 au 30 septembre 2022, générant 884 071 visites sur le site sexosafe.fr. Dans le cadre des urgences sanitaires, le travail de prévention auprès de populations vulnérables aux épidémies est largement facilité par l’existence de dispositifs de marketing social pérennes s’appuyant sur des données d’enquêtes, d’un réseau de partenaires associatifs et de professionnels de santé.
2023
SPF - Santé publique France
France
article de périodique
hommes
gène CHFR
Épidémies de maladies
trouble épidémique
disposition (psychologie)
Allèle sauvage BCAR1
Relation sociale
Dispositifs
marketing social
Épidémies
crise
Crise
hommes
équipement et fournitures
marché
allèle sauvage ELL
ménogaril
langue mendé
français
caisse (unité de dosage)
Allèle sauvage CTNND1
casse-croute
néoplasie endocrinienne multiple
dispositif
utilisation d'un dispositif
caténine delta-1
France
coït

---
N3-AUTOINDEXEE
Accès au don de sang des hommes ayant des rapports sexuels entre hommes : bilan de l’allègement des critères en avril 2020
https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2023/acces-au-don-de-sang-des-hommes-ayant-des-rapports-sexuels-entre-hommes-bilan-de-l-allegement-des-criteres-en-avril-2020
Santé publique France publie le bilan de la seconde modification des critères de sélection d’accès au don de sang des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes dont les données ne montrent pas d’impact négatif sur la sécurité transfusionnelle.
2023
SPF - Santé publique France
France
information scientifique et technique
critère
langue mendé
donneurs de sang
bilan
don de sang
rapports sexuels
coït
infirmières administratives
allèle sauvage ELL
diazooxonorleucine
néoplasie endocrinienne multiple
ménogaril
sang
Rapport sexuel
Bilan
protocole IVE
prélèvement de sang
hommes
hommes

---
N3-AUTOINDEXEE
Diagnostics d’infection à VIH chez des hommes nés à l’étranger, contaminés par rapports sexuels entre hommes, France, 2012-2021
http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2023/24-25/2023_24-25_1.html
Introduction – Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) nés à l’étranger constituent une population particulièrement vulnérable vis-à-vis du VIH. L’objectif de cet article est de décrire les nouveaux diagnostics d’infection à VIH dans cette population en France, à partir de la déclaration obligatoire du VIH. Matériel et méthode – L’analyse a porté sur les diagnostics d’infection à VIH en 2021 chez des HSH nés à l’étranger, déclarés au 30 juin 2022, et les tendances observées sur la période 2012 à 2021 ont été décrites. Résultats – En 2021, le nombre d’HSH nés à l’étranger découvrant leur séropositivité a été estimé à 582 (intervalle de confiance à 95%, IC95%: [496-668]), soit 12% de l’ensemble des découvertes. Le nombre de découvertes dans cette population a augmenté régulièrement entre 2012 et 2019, alors qu’il a diminué chez les HSH nés en France et s’est stabilisé chez les hétérosexuel(le)s. L’âge médian des HSH nés à l’étranger ayant découvert leur séropositivité en 2021 était de 31 ans au moment du diagnostic. Ils étaient nés principalement en Afrique subsaharienne (33%, part en augmentation depuis 2012), en Amérique ou aux Caraïbes (24%, part en diminution), en Afrique du Nord (18%) ou en Europe (15%). Cette répartition par région de naissance est différente de celle observée chez les hétérosexuel(le)s né(e)s à l’étranger, qui étaient très majoritairement né(e)s en Afrique subsaharienne (76%). Le délai médian entre arrivée en France et diagnostic des HSH nés à l’étranger était de 3 ans. La part des diagnostics précoces était de 28% et celle des diagnostics tardifs, de 40%. Lors de la découverte de séropositivité VIH, 37% des HSH nés à l’étranger étaient co-infectés par une infection sexuellement transmissible (IST) bactérienne, proportion en augmentation depuis 2012. Discussion-conclusion –  Ces données soulignent la diversité des origines géographiques de la population des HSH nés à l’étranger diagnostiqués pour le VIH en France, et l’intérêt de la promotion du dépistage et de la PrEP en direction de cette population.
2023
SPF - Santé publique France
France
article de périodique
Aspects multinationaux
Infection à VIH
vih
rapports sexuels
langue mendé
gène NES
infections à VIH
hommes
infection à virus de l'immunodéficience humaine
gène CHFR
coït
contaminant
allèle sauvage ELL
aucun diagnostic
ménogaril
français
étude diagnostique
diagnostic
néoplasie endocrinienne multiple
Rapport sexuel
hommes
France
étranger
contamination

---
N3-AUTOINDEXEE
Expliquer les différences biologiques entre les hommes et les femmes par des mécanismes de genre
https://www.theses.fr/2023TOU30042
Introduction. La charge allostatique est utilisée en épidémiologie pour explorer la façon dont l'environnement social des individus construit leur biologie et leur santé. Cette mesure est calculée à partir de biomarqueurs dont on observe que les distributions sont différentes en fonction du sexe. Ces différences sont-elles physiologiques, liées au dimorphisme sexuel, ou s'expliquent-elles, au moins en partie, par des mécanismes sociaux, liés au genre ? Pour répondre à cette question, il était nécessaire au préalable de clarifier certains points, notamment : qu'est-ce que le genre et comment le penser, le mesurer, le capturer en épidémiologie ? A partir de différentes conceptualisations du genre, nous avons élaboré des stratégies méthodologiques. Nous avons ensuite confronté les différentes stratégies aux données, pour répondre à 4 objectifs : (1) Y a-t-il des différences biologiques entre les hommes et les femmes ? (2) Ces différences varient-elle lorsque l'environnement précoce varie ? (3) Ces différences s'expliquent-elles, au moins en partie, par des mécanismes de genre ? (4) Ces différences varient-elles lorsque les caractéristiques socio-comportementales au cours de la vie varient ? Méthodes. Pour répondre aux objectifs, nous avons utilisé deux bases de données : la cohorte britannique de naissance NCDS-58 (population de 44-45 ans) et l'enquête française CONSTANCES (population de 40-50 ans). Nous avons exploré des mesures anthropométriques, des biomarqueurs cardiovasculaires, métaboliques, inflammatoires, neuroendocriniens et autres, et un score allostatique, calculé de plusieurs façons. [...]
2023
theses.fr
France
thèse ou mémoire
femmes
biotechnologie
biologie
ménogaril
hommes
agents biologiques
mécanisme
néoplasie endocrinienne multiple
allèle sauvage ELL
biologie
genre
identité de genre
hommes
langue mendé
Genre
biologique
mécanique
biologie
Femmes

---
N2-AUTOINDEXEE
L’espérance de vie sans incapacité à 65 ans est de 11,8 ans pour les femmes et de 10,2 ans pour les hommes en 2022
https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/publications-communique-de-presse/etudes-et-resultats/lesperance-de-vie-sans-incapacite-65-ans-1
La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie une étude qui actualise l’indicateur de l’espérance de vie sans incapacité à la naissance et à 65 ans pour l’année 2022. En France, l’espérance de vie à la naissance s’allonge régulièrement, même si elle a été affectée par l’épidémie de Covid-19 et qu’elle n’a pas encore retrouvé sa valeur de 2019, avant l’épidémie. Mais ces années supplémentaires de vie ne sont pas toutes nécessairement vécues « en bonne santé ». C’est pourquoi la DREES est en charge de publier un autre indicateur, l’espérance de vie sans incapacité, qui correspond au nombre d’années qu’une personne peut espérer vivre sans être limitée dans les activités de la vie quotidienne.
2023
DREES - Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques
France
article de périodique
langue vietnamienne
handicap
femmes
étoposide/Ifosfamide/Vincristine
hommes
incapacité
dix
Antartique
langue mendé
ménogaril
espérance de vie
néoplasie endocrinienne multiple
allèle sauvage ELL
délétion du chromosome 11
Femmes
système nerveux autonome
Endoscopie par Fluorescence induite par laser
hommes
statut de performance Lansky 10

---
Nous contacter.
24/04/2024


[Accueil] [Haut de page]

© CHU de Rouen. Toute utilisation partielle ou totale de ce document doit mentionner la source.