Libellé préféré : genre;
Synonymes NCIt : taxon d'un genre;
Définition NCIt : Catégorie taxonomique classée au-dessous d'une famille (ou sous-famille) et au-dessus
d'une espèce, et consistant généralement en un groupe d'espèces présentant des caractéristiques
similaires.;
Identifiant d'origine : C45292;
CUI UMLS : C1708235;
- Alignements automatiques faux
- Type(s) sémantique(s)
N3-AUTOINDEXEE
Des stéréotypes de genre encore très ancrés, notamment chez les hommes
https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/publications-communique-de-presse/etudes-et-resultats/des-stereotypes-de-genre-encore-tres-ancres
La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES)
publie une étude concernant l’opinion des personnes résidant en France métropolitaine
sur les stéréotypes de genre. Cette étude révèle que la majorité des Français rejette
les stéréotypes de genre pris dans leur ensemble. Les représentations stéréotypées
liées au soin apporté aux autres sont celles qui rencontrent le plus d’adhésion. De
manière générale, l’adhésion aux stéréotypes de genre est plus marquée parmi les hommes,
les plus âgés, les immigrés et les personnes ayant une pratique religieuse. À l’inverse,
les femmes et les personnes diplômées du supérieur sont surreprésentées parmi les
personnes qui les rejettent. L’étude confirme aussi l’inégale répartition des tâches
domestiques au sein des couples, d’autant plus marquée qu’il y a adhésion aux stéréotypes
de genre.
2024
DREES - Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques
France
article de périodique
néoplasie endocrinienne multiple
Genre
stéréotypie
hommes
stéréotypie
allèle sauvage ELL
hommes
Stéréotypes
genre
langue mendé
ménogaril
identité de genre
stéréotypeur
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N3-AUTOINDEXEE
Expliquer les différences biologiques entre les hommes et les femmes par des mécanismes
de genre
https://www.theses.fr/2023TOU30042
Introduction. La charge allostatique est utilisée en épidémiologie pour explorer la
façon dont l'environnement social des individus construit leur biologie et leur santé.
Cette mesure est calculée à partir de biomarqueurs dont on observe que les distributions
sont différentes en fonction du sexe. Ces différences sont-elles physiologiques, liées
au dimorphisme sexuel, ou s'expliquent-elles, au moins en partie, par des mécanismes
sociaux, liés au genre ? Pour répondre à cette question, il était nécessaire au préalable
de clarifier certains points, notamment : qu'est-ce que le genre et comment le penser,
le mesurer, le capturer en épidémiologie ? A partir de différentes conceptualisations
du genre, nous avons élaboré des stratégies méthodologiques. Nous avons ensuite confronté
les différentes stratégies aux données, pour répondre à 4 objectifs : (1) Y a-t-il
des différences biologiques entre les hommes et les femmes ? (2) Ces différences varient-elle
lorsque l'environnement précoce varie ? (3) Ces différences s'expliquent-elles, au
moins en partie, par des mécanismes de genre ? (4) Ces différences varient-elles lorsque
les caractéristiques socio-comportementales au cours de la vie varient ? Méthodes.
Pour répondre aux objectifs, nous avons utilisé deux bases de données : la cohorte
britannique de naissance NCDS-58 (population de 44-45 ans) et l'enquête française
CONSTANCES (population de 40-50 ans). Nous avons exploré des mesures anthropométriques,
des biomarqueurs cardiovasculaires, métaboliques, inflammatoires, neuroendocriniens
et autres, et un score allostatique, calculé de plusieurs façons. [...]
2023
theses.fr
France
thèse ou mémoire
femmes
biotechnologie
biologie
ménogaril
hommes
agents biologiques
mécanisme
néoplasie endocrinienne multiple
allèle sauvage ELL
biologie
genre
identité de genre
hommes
langue mendé
Genre
biologique
mécanique
biologie
Femmes
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N3-AUTOINDEXEE
Genre et santé au travail
https://www.maisonmedicale.org/sante-conjuguee/genre-et-sante-au-travail/
Malgré les conquêtes du mouvement féministe – accès au marché de l’emploi, diminution
des écarts salariaux dans certaines contrées… – des femmes travaillent encore dans
de moins bonnes conditions que les hommes et gagnent de moindres rémunérations. Elles
sont davantage employées à temps partiel, souvent involontaire, et de plus en plus
exposées à des horaires de travail atypiques : travail de nuit, le dimanche, horaires
irréguliers. Surreprésentées dans les métiers dévalorisés tels que le travail du care,
elles continuent d’assurer la majeure partie du travail non rémunéré. Les risques
professionnels qu’elles courent spécifiquement sont encore sous-estimés et donnent
lieu à une moindre reconnaissance et à un moindre dédommagement de leurs maladies
professionnelles.
2023
Fédération des maisons médicales
France
article de périodique
Santé au travail
genre
métier
santé au travail
identité de genre
Genre
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