Libellé préféré : obstétricien; 
Synonyme SNOMED : obstétricienne; 
         
         
            Identifiant d'origine : J-06156; 
CUI UMLS : C0334897; 
Alignements automatiques CISMeF supervisés
                  
                  
                
               
Correspondance SNOMED CT
                
               
Correspondances UMLS (même concept)
                  
                
               
Type(s) sémantique(s)
                
            
          
         
         
         
         
N2-AUTOINDEXEE
Mort fœtale : consensus formalisé d’experts du Collège national des gynécologues et
            obstétriciens français.
https://cngof.fr/app/pdf/RPC//RPC%20DU%20CNGOF/Obst%C3%A9trique/Complications%20de%20la%20grossesse/Mort%20Foetale%202024%20CFE%20.pdf?x60010
La mort fœtale est définie par l’arrêt spontané de l’activité cardiaque à partir de
            quatorze semaines d’aménorrhée. La prévalence en France de la mort fœtale après 22
            SA est comprise entre 3,2 et 4,4/1000 naissances. Concernant la prévention de la mort
            fœtale en population générale, il est recommandé de ne pas préconiser le repos et
            de ne pas prescrire une supplémentation en vitamine A, ni en vitamine D, ni en micronutriments
            dans le seul but de réduire le risque de mort fœtale (Recommandations faibles ; Qualité
            de la preuve basse). Il est recommandé de ne pas prescrire de l’aspirine (Recommandation
            faible ; Qualité de la preuve très basse). Il est recommandé de vacciner contre la
            grippe en période épidémique et contre le SARS-CoV-2 (Recommandations fortes ; Qualité
            de la preuve basse). Il est recommandé de ne pas réaliser de recherche systématique
            d’un circulaire du cordon au cours des échographies de dépistage (Recommandation forte
            ; Qualité de la preuve basse) et de ne pas réaliser de surveillance antepartum systématique
            par cardiotocographie (Recommandation faible ; Qualité de la preuve très basse). Il
            est recommandé de ne pas encourager les femmes à réaliser un compte des mouvements
            actifs fœtaux pour réduire le risque de mort fœtale (Recommandation forte, qualité
            de la preuve élevée). Concernant le bilan en cas de mort fœtale, Il est proposé qu’un
            examen externe fœtal soit systématiquement proposé (Avis d’experts). Il est recommandé
            de réaliser un examen fœtopathologique et anatomopathologique placentaire afin d’en
            déterminer la cause (Recommandation Forte. Qualité de la preuve modérée).
2024
CNGOF - Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
France
recommandation pour la pratique clinique
gynécologue
mort foetale
France
obstétricien
obstétriciens
mort foetale intrapartum
français
mort
gynécologue
établissements scolaires
consultants
consensus
---
N2-AUTOINDEXEE
Mort fœtale
Consensus formalisé d’experts du Collège national des gynécologues-obstétriciens français
https://cngof.fr/app/pdf/RPC//RPC%20DU%20CNGOF/Obst%C3%A9trique/Complications%20de%20la%20grossesse/Mort%20Foetale%202024%20CFE%20.pdf?x58847
La mort fœtale est définie par l’arrêt spontané de l’activité cardiaque à partir de
            quatorze semaines d’aménorrhée. La prévalence en France de la mort fœtale après 22
            SA est comprise entre 3,2 et 4,4/1000 naissances. Concernant la prévention de la mort
            fœtale en population générale, il est recommandé de ne pas préconiser le repos et
            de ne pas prescrire une supplémentation en vitamine A, ni en vitamine D, ni en micronutriments
            dans le seul but de réduire le risque de mort fœtale (Recommandations faibles ; Qualité
            de la preuve basse). Il est recommandé de ne pas prescrire de l’aspirine (Recommandation
            faible ; Qualité de la preuve très basse). Il est recommandé de vacciner contre la
            grippe en période épidémique et contre le SARS-CoV-2 (Recommandations fortes ; Qualité
            de la preuve basse). Il est recommandé de ne pas réaliser de recherche systématique
            d’un circulaire du cordon au cours des échographies de dépistage (Recommandation forte
            ; Qualité de la preuve basse) et de ne pas réaliser de surveillance antepartum systématique
            par cardiotocographie (Recommandation faible ; Qualité de la preuve très basse). Il
            est recommandé de ne pas encourager les femmes à réaliser un compte des mouvements
            actifs fœtaux pour réduire le risque de mort fœtale (Recommandation forte, qualité
            de la preuve élevée). Concernant le bilan en cas de mort fœtale, Il est proposé qu’un
            examen externe fœtal soit systématiquement proposé (Avis d’experts). Il est recommandé
            de réaliser un examen fœtopathologique et anatomopathologique placentaire afin d’en
            déterminer la cause (Recommandation Forte. Qualité de la preuve modérée). Il est recommandé
            de réaliser une analyse chromosomique par puce à ADN plutôt qu’un caryotype conventionnel
            afin d’identifier plus fréquemment une anomalie potentiellement causale (Recommandation
            forte, qualité de la preuve modérée) ; pour cela, il est proposé de privilégier un
            prélèvement postnatal à visée génétique sur la face fœtale placentaire (Avis d’experts).
            Il est proposé de rechercher des anticorps antiphospholipides et de réaliser systématiquement
            un test de Kleihauer et la recherche d’agglutinines irrégulières (Avis d’experts).
            Il est proposé de réaliser une consultation de synthèse ayant pour objectifs d’évaluer
            l’état physique et psychologique des parents, de restituer les résultats, de discuter
            la cause et d’informer sur la surveillance pour une future grossesse (Avis d’experts).
2024
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CNGOF - Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
France
recommandation pour la pratique clinique
consensus
mort
gynécologue
français
consultants
langue française 
mort fœtale intrautérine
obstétriciens
gynécologue
mort foetale
obstétricien
France
mort foetale intrapartum
établissements scolaires
---
N2-AUTOINDEXEE
La technique de la césarienne : recommandations pour la pratique clinique du Collège
            national des gynécologues obstétriciens français
https://cngof.fr/app/pdf/RPC//RPC%20DU%20CNGOF/Obst%C3%A9trique/Chirurgie%20obst%C3%A9tricale/C%C3%A9sarienne%202022-RPC-technique-de-cesarienne.pdf?x58847
Objectif Déterminer les procédures permettant de réduire la morbidité maternelle lors
            de la réalisation d’une césarienne. Matériel et méthodes Méthodologie GRADE  avec
            questions formulées sous le format PICO (Patients, Intervention, Comparison, Outcome)
            et critères de jugement définis a priori et classifiés selon leur importance. Recherche
            bibliographique extensive : Pubmed, Cochrane, EMBASE. Analyse de la qualité de la
            preuve (élevée, modérée, basse, très basse) et formulation d’une recommandation (i)
            forte ou (ii) faible ou (iii) absence de recommandation. Deux tours de relectures
            avec des relecteurs extérieurs pour retenir les recommandations faisant consensus.
2023
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CNGOF - Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
France
recommandation pour la pratique clinique
langue française 
directives de santé publique
obstétricien
césarienne
français
France
Guide de bonnes pratiques cliniques
gynécologue
hôpitaux privés à but lucratif
obstétriciens
Guide de bonnes pratiques cliniques
césarienne
césarienne
gynécologue
établissements scolaires
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N3-AUTOINDEXEE
Impact des recommandations du collège national des gynécologues obstétriciens français
            sur l'hémorragie du post-partum de décembre 2014 au sein de la région Sud : une étude
            rétrospective
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02361531
Objectif : évaluer l’impact des recommandations du Collège National des Gynécologues
            et Obstétriciens Français sur l’hémorragie du post-partum (HPP) au sein de la région
            Sud sur la morbidité maternelle et identifier les facteurs de risque des HPP à issue
            défavorable. Design : cohorte rétrospective Cadre : HPP au sein de la région Sud de
            2013-2014 et 2016-2017 Échantillon : base de données extraite du programme de médicalisation
            des systèmes d’information de la région Sud de 2013-2014 et 2016-2017 Méthode : étude
            de la population d’HPP de deux périodes A : 2013-2014 et B : 2016-2017 avec identification
            des facteurs de risque d’HPP à issue défavorable selon un critère de jugement créé
            via la méthode Delphi entre janvier et février 2019. L’impact des recommandations
            a été évalué grâce à une étude qualitative réalisée au sein du réseau de périnatalité
            Méditerranée, par deux questionnaires déclaratifs et la comparaison des fréquences
            des comorbidités et les prises en charge entre A et B. Mesure des résultats principaux
            : Analyses univariées et multivariées par régression logistique afin de déterminer
            les facteurs associés à une HPP à issue défavorable. Résultats : avoir un hydramnios
            (OR 2.11 ; IC 95% [1.20-3.97]),une pré-éclampsie (OR 2.16 ; IC 95% [1.51-3.08]) ,
            un HELLP syndrome (OR 5.56 ; IC95% [2.53-12.21]) , un décollement prématuré du placenta
            (OR 2.48 ; IC95% [1.34-4.57], un placenta adhérent pathologique (OR 6.75 ; IC 95%
            [2.79-16.34]) ; une césarienne (OR 2.94 ; IC 95% [2.44-3.56]), une extraction instrumentale
            (OR 1.53 ; IC 95% [1.22-1.92]), une grossesse multiple (OR 1.34 ; IC 95% [1.00-1.80]),
            une déchirure du col (OR 2.57 ; IC95% [1.22-5.43]), accoucher d’un enfant mort-né
            (OR 2.32 ; IC95% [1.32-4.08]) étaient fortement associés avec une issue défavorable
            à l’HPP. Les taux d’incidence d’HPP observés ont augmenté entre A et B (32.9‰ et 35.8‰
            (p 0.05)). La comparaison des deux périodes avant-après montrait : moins d’hospitalisation
            avec passage en soins intensifs (5.34% vs 3.82% ; p 0.05), moins de révisions utérines
            après (48.97% vs 41.92% p  0.0001) ; plus de tamponnement intra-utérin (2.41% vs 3.85%
            p  0.0001) ; moins d’embolisation utérine (3.08% vs 1.84% p  0.0001) ; moins d’HPP
            à l’issue défavorable selon les critères composites de jugement 2 et 4 (respectivement
            5% vs 3% ; p 0.05 e et 6% vs 5% ; p 0.05).
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
hémorragie post-partum
France
Fracture comminutive
établissements scolaires
hémorragie de la délivrance
gynécologue
hémorragie du sein
français
France
études rétrospectives
Régions
obstétricien
France
Hémorragie
directives de santé publique
France
régional
Hémorragie
région mammaire
France
hémorragie
---
N3-AUTOINDEXEE
Perception du débat sur les violences obstétricales par les professionnels, sages
            femmes et gynécologues-obstétriciens
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02301776
Introduction – Objectifs : près de deux ans après la polémique de l’été 2017 au sujet
            des violences obstétricales, notre étude propose d’explorer la perception de ce débat
            par les professionnels, sages-femmes et gynécologues-obstétriciens. Au-delà des prises
            de position officielles des hautes instances représentatives de ces professions, il
            nous a paru important de recueillir le point de vue et les aspirations des professionnels
            en première ligne lors des accouchements. Notre analyse vise également à identifier
            les facteurs conduisant à reconnaitre ou non l’existence de violences lors de la prise
            en charge des patientes en obstétrique. Matériel et méthode : seize entretiens semi-directifs
            ont été conduits auprès de sages-femmes et de gynécologue-obstétriciens entre septembre
            et décembre 2018. Résultats : notre étude a montré que le concept de violences obstétricales
            était reconnu par les professionnels de l’obstétrique, lui conférant une légitimité,
            même si l’expression ne faisait pas l’unanimité. Nombre d’entre elles et eux se sont
            remis en question, toute profession confondue, engageant certains à modifier leur
            pratique sur les derniers mois. Le seul facteur clivant identifié concernait les années
            d’expérience, en ce sens que les praticiens les plus âgés considéraient que la violence
            était plus importante au début de leur carrière. Un consensus s’est dégagé sur l’importance
            d’informer les patientes sur les actes réalisés et le fait qu’il existait peu de circonstances
            atténuantes pour justifier la survenue de violences obstétricales. Au contraire, le
            recueil du consentement ne faisait pas l’objet d’un consensus. Conclusion : en définitive,
            le débat sur les violences obstétricales initié sur la base des témoignages de patientes
            semble avoir cédé le pas à un questionnement plus profond sur la relation entre soignants
            et soignés. Ainsi, il nous apparaît que ce débat exprime de nouvelles aspirations
            en matière de prise en charge de la naissance, dont les professionnels semblent avoir
            pris la mesure par la remise en question de leur pratique.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
perception
profession de sage-femme
perception
violence
Violence
Perception
Sages-femmes
Perception
gynécologue
obstétricien
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N3-AUTOINDEXEE
Nouvelles recommandations du Collège national des gynécologues et obstétriciens français
            de 2010: quelles évolutions pour les complications materno-foetales des patientes
            présentant un diabète gestationnel ? Étude rétrospective comparative dans une population
            strasbourgeoise (2012/2016)
http://www.sudoc.fr/24098238X
Le diabète gestationnel est une complication fréquente de la grossesse. Depuis 2011,
            de nouvelles recommandations sont entrées en vigueur. Le dépistage se fait désormais
            de façon ciblée, sur facteurs de risque, selon les critères de l’ IADPSG, à savoir
            une glycémie à jeun au premier trimestre et une HGPO à 24-28 SA en cas de dépistage
            négatif ou non fait. Nous souhaitons évaluer l'impact de la mise en place des nouvelles
            recommandations. L'objectif principal de notre étude est d'évaluer l'évolution du
            taux de macrosomie (poids de naissance supérieur au 95ème percentile) chez des patientes
            présentant un DG en 2012 (au début de la mise en place des recommandations) comparativement
            aux patientes de 2016 (après mise en place des recommandations). Les critères secondaires
            ont été choisis en s'inspirant des critères de l'étude HAPO et de l'IADPSG, fondatrices
            des nouvelles recommandations: d'une part les issues maternelles puis les issues foeto-néonatales.Il
            s'agit d'une étude comparative, monocentrique et rétrospective, menée au Centre Hospitalier
            Universitaire de Strasbourg. Elle porte sur la totalité des femmes suivies pour un
            DG et ayant accouché à la maternité du CMCO entre le premier janvier 2012 et le trente-et-un
            décembre 2012 d'une part et entre le trente-septembre 2015 et le trente-et-un novembre
            2016 d'autre part. Les données ont été recueillies par consultation des dossiers médicaux
            informatisés via le logiciel DIAMM et par consultation des dossiers papiers. Résultats
            : 710 patientes diabétiques gestationnels ont été recensées. Nous avons pu analyser
            270 dossiers complets dans le groupe 2012 et 358 en 2016. La prévalence du DG était
            de 9,6% (2012)  vs 11,6% (2016). Notre critère principal, la  macrosomie (supérieure
            au 95ème percentile) a baissé significativement 19,7% (2012) vs 6,19% (2016) avec
            p  0,005. Cette différence se confirme dans chaque sous groupes GAJ ou HGPO. Parmi
            les critères secondaires :diminution significative des taux : de césarienne programmée
            74,72% (2012) vs 86,03% (2016) , de déclenchement 59,85% (2012) vs 48,33% (2016) ,
            d'HTA gravidique 10,04% (2012) vs 3,89% (2016) et de MAP 6,69% (2012) vs 2,78% (2016)
            avec p 0,005. Nous n'avons pas démontré de différence significative pour les complications
            foeto- néonatales autres que le critère de jugement principal.  L'absence de différence
            significative  en terme de complications périnatales est retrouvée dans de nombreux
            travaux dans la littérature.  Le DG est en constante augmentation. La macrosomie (
            95ème percentile) et certaines issues maternelles majeures ont diminué à distance
            de la mise en place des recommandations.  Le DG est un problème de santé publique,
            qui nécessite une prévention par règles hygiéno-diététiques et  par un dépistage dans
            le post-partum (HGPO 75g à 3mois). Le médecin traitant est le pilier de ce suivi en
            ambulatoire auprès des patientes.
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
foetus
population
établissements scolaires
complication diabétique
France
complications du diabète
patients
directives de santé publique
gynécologue
France
France
a comme patient
études rétrospectives
diabète gestationnel
France
Diabète gestationnel
complications du diabète
français
foetus, sai
France
étude comparative
obstétricien
---
N3-AUTOINDEXEE
Analyse des pratiques des obstétriciens français face aux choix des parents de poursuivre
            la grossesse après l’annonce d’une pathologie foetale d’une particulière gravité
http://www.sudoc.fr/224036491
Objectif de l’étude : Analyser les pratiques des obstétriciens français face au choix
            des parents de poursuivre la grossesse après l’annonce d’une pathologie foetale de
            particulière gravité, non curable. Matériel et Méthode : Etude descriptive, transversale
            et nationale, par questionnaires anonymes, informatisés, et envoyés via les adresses
            mails professionnelles aux gynécologues-obstétriciens thésés, exerçant en France (métropole
            et DOM-TOM), dans les maternités de tout type.
2017
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
obstétricien
gravité
parents
obstétricien
état post-
Face
grossesse
maladies foetales
parent
Foetus
pathologique
divulgation
France
grossesse
français
grossesse
Annonce publicitaire
foetus, sai
gravitation
femmes enceintes
grossesse
Pesanteur
comportement de choix
Annonce publicitaire
face
foetus
---
N3-AUTOINDEXEE
Le travail des soignants dédiés à la vie face à la mort périnatale : sages-femmes
            et gynécologues-obstétricien(ne)s
Conservatoire national des arts et métiers - CNAM, 2017
https://hal.archives-ouvertes.fr/tel-01743688
Grâce à des entretiens non directifs réalisés auprès de 16 sages-femmes et 16 obstétricien(ne)s,
            cette recherche tente de cerner l’impact que la mort périnatale a sur eux et sur leur
            travail, au-delà de celui qu’elle a sur les parents avec le deuil périnatal.
2017
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HAL Archives ouvertes
France
français
thèse ou mémoire
obstétricien
gynécologue
vie
Travail
gynécologue
a comme soignant
obstétricien
profession de sage-femme
aidants
Face
Fracture de fatigue
professions
mort périnatale
métier
syndrome de Arts
Mort périnatale
mort
Mort
travail
Sages-femmes
face
ataxie
maladies génétiques liées au chromosome X
surdité-cécité
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