Libellé préféré : analyse de survie;

Définition du MeSH : Classe de procédures statistiques pour estimer la fonction de survie (fonction du temps, commençant par une population en vie à 100% à un moment donné et fournissant toujours le pourcentage en vie de la population aux heures suivantes). L'analyse de survie est alors employée pour faire des études des effets des traitements, des facteurs pronostiques, des expositions, et d'autres covariables sur la fonction. [Traduction effectuée avant 2008];

Synonyme CISMeF : analyse survie; analyse durée vie; Analyse de durée de vie;

Lien Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Analyse de survie;

Détails


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Classe de procédures statistiques pour estimer la fonction de survie (fonction du temps, commençant par une population en vie à 100% à un moment donné et fournissant toujours le pourcentage en vie de la population aux heures suivantes). L'analyse de survie est alors employée pour faire des études des effets des traitements, des facteurs pronostiques, des expositions, et d'autres covariables sur la fonction. [Traduction effectuée avant 2008]

N1-SUPERVISEE
Cancer épithélial de l'ovaire, des trompes et du péritoine primitif : Rucaparib (Rubraca) ne doit plus être utilisé en 3ᵉ ligne
https://ansm.sante.fr/informations-de-securite/cancer-epithelial-de-lovaire-des-trompes-et-du-peritoine-primitif-rucaparib-rubraca-ne-doit-plus-etre-utilise-en-3-ligne
L'évaluation conduite par l'Agence européenne des médicaments confirme qu'en cas de traitement par Rubraca, la survie globale (SG) est diminuée par rapport au traitement de référence [étude CO-338-043 (ARIEL 4)]. Aussi : Rubraca ne doit plus être utilisé en monothérapie pour le traitement de patientes adultes atteintes d’un cancer épithélial de l’ovaire, de la trompe de Fallope ou péritonéal primitif, de haut grade, sensible au platine, récidivant ou progressif, avec une mutation du gène BRCA (germinale et/ou somatique), qui ont été traitées avec deux lignes antérieures ou plus de chimiothérapie à base de platine, et qui ne peuvent pas tolérer une autre chimiothérapie à base de platine ; L’effet négatif en termes de survie globale (SG) du traitement par rucaparib par rapport au traitement par chimiothérapie (bras contrôle) a été confirmé lors de l'analyse finale des données de l'étude de phase 3 CO-338-043 (ARIEL4) pour le traitement des patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire avancé récidivant (SG médiane de 19,4 mois dans le groupe rucaparib par rapport à 25,4 mois dans le groupe chimiothérapie) ; Le rapport bénéfice/risque de rucaparib ne peut plus être considéré comme favorable pour l’indication de traitement de 3e ligne ; Les traitements en cours dans cette indication doivent être reconsidérés et les patientes concernées doivent être informées de ces dernières données et recommandations ; Rubraca est toujours autorisé en monothérapie pour le traitement d’entretien de patientes adultes atteintes d’un cancer épithélial de l’ovaire, de la trompe de Fallope ou péritonéal primitif, de haut grade, récidivant, sensible au platine, qui sont en réponse (complète ou partielle) à une chimiothérapie à base de platine...
2022
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ANSM - Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé
France
français
avis de pharmacovigilance
recommandation de bon usage du médicament
analyse de survie
RUBRACA
RUBRACA 300 mg, comprimé pelliculé
RUBRACA 250 mg, comprimé pelliculé
RUBRACA 200 mg, comprimé pelliculé
rucaparib
rucaparib
résultat thérapeutique
tumeurs de l'ovaire
tumeurs de la trompe de fallope
tumeurs du péritoine
traitement de maintenance

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N2-AUTOINDEXEE
Analyse des durées de survie, modèle de régression de Cox et Extensions
https://sesstim.univ-amu.fr/content/modele-regression-cox-et-extensions
Roch Giorgi
2021
SESSTIM
France
matériel d'enseignement audio-visuel
analyse de régression
analyse de survie
Analyse de régression
Analyse de survie
Modèles des risques proportionnels
Modèles de Cox
traction

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N1-SUPERVISEE
Survie des personnes atteintes de cancer en France métropolitaine (1989-2018)
https://www.e-cancer.fr/Expertises-et-publications/Les-donnees-sur-les-cancers/Survie-des-personnes-atteintes-de-cancer-en-France-metropolitaine
Pour chaque localisation, les résultats font état : de la survie à 1 et 5 ans des personnes diagnostiquées entre 2010 et 2015 ; des tendances de la survie à 1, 5 et 10 ans pour les personnes diagnostiquées entre 1989 et 2015 ; de la survie à 20 ans pour les personnes de moins de 75 ans diagnostiquées entre 1989 et 2000. Un document regroupant des compléments ainsi qu’un document montrant l’adéquation des modèles utilisés pour la localisation concernée sont également proposés à la lecture. A terme, 73 fiches survie pour chaque types et sous-types de cancers...
2021
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INCa - Institut National du Cancer
France
survie
tumeurs hématologiques
Tumeur solide
taux de survie
information scientifique et technique
France
analyse de survie
tumeurs

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N2-AUTOINDEXEE
Utilisation des pseudo-observations pour la modélisation des covariables en analyse de survie.
Webinar QuanTIM
https://youtu.be/F4iRAcw-a2k
https://sesstim.univ-amu.fr/video-box/webinar-quantim-francois-lefebvre
François LEFEBVRE
2019
SESSTIM
France
matériel d'enseignement audio-visuel
Observance par le patient
analyse de survie
observation

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N1-VALIDE
Survie nette conditionnelle chez les personnes atteintes de cancer en France métropolitaine
Étude réalisée à partir des données du réseau français des registres des cancers (FRANCIM)
https://www.santepubliquefrance.fr/docs/survie-nette-conditionnelle-chez-les-personnes-atteintes-de-cancer-en-france-metropolitaine-etude-realisee-a-partir-des-donnees-du-reseau-francai
Cette étude avait pour objectif d’estimer la survie conditionnelle à 1, 2, 5, et 10 ans (c’est à dire la probabilité nette de survivre jusqu’à ces dates sachant que l’on était encore vivant respectivement 0, 1, 4 et 9 ans après le diagnostic) pour les tumeurs les plus fréquentes (15 chez les femmes et 17 chez les hommes). Les probabilités nettes annuelles de décès en fonction du temps écoulé depuis le diagnostic ont été également estimées. Les données collectées par les registres du réseau Francim pour la période 1989-2013 ont été utilisées pour ce travail. Une stratégie de modélisation flexible du taux de mortalité en excès a été utilisée. Cette stratégie consistait à sélectionner un modèle à l’aide du critère d’Akaike parmi un ensemble de modèles « candidats » qui différaient au niveau du type d’effet de l’année de diagnostic ainsi qu’au niveau de son interaction avec le temps ou avec l’âge. L’analyse a été effectuée pour chaque localisation séparément chez l’homme et chez la femme. Toutes les estimations ont été fournies par âge. Cette étude montre que les valeurs de la survie nette cumulée à 5 ou 10 ans (indicateur le plus largement utilisé et diffusé) résultent essentiellement de périodes critiques où la probabilité de décès est très élevée et qu’en dehors de ces périodes, la probabilité de décès revient à des valeurs plus basses. Ces périodes critiques se situent généralement au début de la maladie ; cependant pour la moitié des cancers étudiés chez l’homme, un patient toujours en vie quatre ans après le diagnostic a encore une probabilité de décéder dans l’année supérieure à 10 %. Pour les femmes, particulièrement les plus jeunes, la situation est différente et apparemment plus favorable. Le risque de mourir durant la 5ème année n’est supérieur à 10 % que pour une faible fraction des cancers étudiés. Le risque le plus élevé se situe souvent immédiatement après le diagnostic. Toutefois pour certains cancers (ORL, mélanome, col utérin, ovaire, sein, système nerveux central) le risque le plus élevé s’observe autour de la première, voire de la seconde année, notamment chez les jeunes. La survie nette conditionnelle est un indicateur reflétant la dynamique du taux de mortalité en excès, complémentaire de la survie nette classique qui est un indicateur cumulé. Il faut s’attendre à voir évoluer la survie conditionnelle sous l’effet de l’anticipation des diagnostics mais aussi du développement de nouveaux traitements.
2018
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InVS - Institut de Veille Sanitaire
rapport
tumeurs
France
analyse de survie
tables de survie
tumeurs du col de l'utérus
tumeurs du côlon
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tumeurs de l'endomètre
tumeurs de l'estomac
tumeurs du foie
tumeurs de l'hypopharynx
tumeurs du larynx
mélanome
tumeurs de l'oesophage
tumeurs de l'oropharynx
tumeurs de l'ovaire
tumeurs du pancréas
tumeurs du poumon
tumeurs de la prostate
tumeurs du rectum
tumeurs du rein
tumeurs du sein
tumeurs du système nerveux central
tumeurs du testicule
tumeurs de la thyroïde
tumeurs de la vessie urinaire

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N2-AUTOINDEXEE
Intérêt de l’étude des modèles additifs pour l’analyse de survie
Séminaire Interne du SESSTIM
https://youtu.be/6akwl_bv1j0
https://sesstim.univ-amu.fr/video-box/seminaire-interne-du-sesstim-francois-lefebvre
François Lefebvre
2017
SESSTIM
France
matériel d'enseignement audio-visuel
collecte de données
médecin (médecine interne)
analyse de survie

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N1-VALIDE
ZYDELIG (idelalisib) - Diminution de la survie globale et l'augmentation du risque d'infections graves
http://canadiensensante.gc.ca/recall-alert-rappel-avis/hc-sc/2016/58118a-fra.php
Une diminution du taux de survie et une augmentation du risque d’effets indésirables graves (principalement des infections) ont été observées chez des patients qui recevaient ZYDELIG comparativement aux groupes de contrôle lors d’essais cliniques. Ces essais ont évalué l’ajout de ZYDELIG aux thérapies standard pour le traitement de première ligne de la leucémie lymphoïde chronique (LLC) et le traitement précoce du lymphome non hodgkinien de type indolent (LNHi). ZYDELIG ne devrait pas être utilisé pour le traitement de première ligne de la LLC. La monographie canadienne de produit pour ZYDELIG sera mise à jour pour refléter ces nouveaux renseignements...
2016
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Canadiens en santé
Canada
français
anglais
analyse de survie
ZYDELIG
ZYDELIG 100 mg, comprimé pelliculé
ZYDELIG 150 mg, comprimé pelliculé
idélalisib
idélalisib
leucémie chronique lymphocytaire à cellules B
Appréciation des risques
antinéoplasiques
cause de décès
infections
protocoles de polychimiothérapie antinéoplasique
Rituximab
continuité des soins
pneumonie à pneumocystis
sepsie
infections à cytomégalovirus
neutropénie fébrile induite par la chimiothérapie
avis de pharmacovigilance
lymphome malin non hodgkinien
lymphome non hodgkinien indolent
purines
quinazolinones

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N3-AUTOINDEXEE
Analyses de la survie conditionnelle selon le siège du cancer
http://www.statcan.gc.ca/pub/82-003-x/2011002/article/11425-fra.htm
2011
Statistique Canada
Canada
article de périodique
cancer
analyse de survie
cancer

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18/04/2024


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