Libellé préféré : effets d'une radiothérapie;
Synonyme SNOMED : mal des rayons post-radiothérapie;
Identifiant d'origine : DD-64110;
CUI UMLS : C0392615;
Alignement(s) exact CIM-10
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Correspondance SNOMED CT
Correspondances UMLS (même concept)
Métaterme(s)
Type(s) sémantique(s)
N1-SUPERVISEE
Les effets à long terme de la radiothérapie pour le traitement du gliome sur le fonctionnement
du cerveau
https://www.cochrane.org/fr/CD013047/les-effets-long-terme-de-la-radiotherapie-pour-le-traitement-du-gliome-sur-le-fonctionnement-du
Les gliomes sont des tumeurs cérébrales qui peuvent être très agressives et entraîner
la mort en quelques mois ; cependant, les personnes atteintes de gliomes moins agressifs
(gliomes de bas grade) peuvent survivre pendant plusieurs années. La plupart des gens
sont traités par chirurgie et peuvent également recevoir une radiothérapie avec ou
sans chimiothérapie. Cependant, la radiothérapie peut endommager les tissus sains
du cerveau, et nous n'en savons pas assez sur les effets à long terme possibles de
la radiothérapie sur le fonctionnement du cerveau, comme la mémoire, la communication,
la concentration et la vitesse de la traitement d’information (appelée neurocognition).
La progression de la tumeur peut également entraîner une détérioration du fonctionnement
du cerveau. Dans cette revue, nous avons examiné les effets à long terme possibles
de la radiothérapie sur le cerveau chez les adultes atteints de gliomes moins agressifs
qui avaient survécu pendant au moins deux ans après avoir été traités.
2019
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false
Cochrane
France
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
Troubles neurocognitifs
effets d'une radiothérapie
radiothérapie
gliome
Effets à long terme
temps
---
N3-AUTOINDEXEE
Effets iatrogènes à long terme de la radiothérapie dans l’enfance : prédiction de
risque et dépistage
http://www.theses.fr/2019SACLS533
Contexte : De nos jours, la survie à 5 ans des enfants atteints d’un cancer dépasse
les 80% en France, ce qui correspond à plus de 50 000 adultes guéris d’un cancer pédiatrique,
mais la prévalence des complications à long terme dépasse 60% après un suivi de 30
ans. Dans cette thèse, nous nous sommes intéressés à deux problème de santé distincts
: l’un grave et mortel, qui est le risque de cancer secondaire du sein – l’autre,
morbide, altérant la qualité de vie et multifactoriel, qui est le risque d’une petite
taille à l’âge adulte. Méthodes : L’approche fut différente, essentiellement descriptive
avec une analyse de terrain, puis interventionnelle avec la mise en place d’un programme
national de dépistage dans une population ciblée pour le cancer du sein secondaire
– et analytique avec élaboration d’un modèle de prédiction du risque pour le risque
d’une petite taille à l’âge adulte. La population étudiée fut en majeure partie celle
de la cohorte française FCCSS, qui sont des adultes guéris d’un cancer pédiatrique
solide et traités avant 2000, à laquelle se sont associés quelques centres pour la
partie sur le cancer du sein.Résultats : Peu de femmes guéries d’un cancer dans l’enfance
et dont le traitement comportait entre autres de la radiothérapie bénéficiaient d’un
dépistage (21,2% et 15,4% avec des examens radiologiques). Une proportion importante
de carcinomes infiltrants étaient agressifs avec 29% de tumeurs triple négatives.
Sur un plan interventionnel, le programme DeNaCaPST a débuté il y a 18 mois et a été
confronté au problème du suivi, et de la transition de ces adultes guéris. Concernant
le risque de petite taille adulte, nous avons pu préciser que de faibles doses de
radiothérapie reçues par l’hypophyse étaient un facteur de risque significatif, que
ce risque augmentait avec la dose, qu’un grand champ sur la colonne était également
un paramètre important. Etre petit et être jeune au diagnostic du cancer pédiatrique
étaient deux facteurs de risque supplémentaires. Par ailleurs, nous avons découvert
l’impact de deux molécules de chimiothérapie de la famille des alkylants : le busulfan
et la lomustine. Conclusion : Les cancers du sein secondaires rappellent ceux survenant
chez les femmes ayant une mutation constitutionnelle BRCA (âge de survenue, incidence
cumulée à 50 ans, agressivité des cancers, taux de bilatéralité), ce qui a justifié
l’élaboration d’un programme national, inspiré de celui pour les femmes à haut risque
du fait d’une mutation génétique pour que « à risque égale, un dépistage égal ».
Le réseau de prise en charge nécessaire se met progressivement en place, nécessitant
plusieurs amendements au programme. Concernant le risque de petite taille à l’âge
adulte, d’autres études sont nécessaires pour confirmer nos découvertes.
2019
theses.fr
France
thèse ou mémoire
Maladie iatrogène
Dépistage de masse
Effets à long terme
radiothérapie
Risque
Dépistage
effets d'une radiothérapie
Appréciation des risques
enfance
---
N3-AUTOINDEXEE
Quels sont les différents effets secondaires non cutanés liés à la radiothérapie,
auxquels les médecins généralistes peuvent être confrontés en cabinet chez les patientes
suivies pour un cancer du sein ?
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03213425
Chez les patientes atteintes de cancer du sein, la radiothérapie représente l’une
des principales options thérapeutiques. Elle expose cependant les patientes à de nombreux
effets secondaires non cutanés auxquels le médecin généraliste est souvent confronté
: effets secondaires osseux, cardiaques, oesophagiens et pulmonaires. Les objectifs
de cette étude sont d’évaluer la prévalence des pathologies pulmonaires, cardiaques,
osseuses et oesophagiennes survenues après radiothérapie chez les patientes atteintes
de cancer du sein et suivies dans un cabinet de médecine générale et de comparer nos
résultats avec ceux retrouvés dans la littérature. Matériel et méthode : une étude
observationnelle rétrospective a été réalisée dans un cabinet de médecine générale
à Banyuls sur Mer au cours de l’année 2016. Les patientes suivies pour un cancer du
sein ont toutes été incluses. Les patientes exclues sont celles n’ayant pas bénéficié
de radiothérapie ou une radiothérapie entre 2014 et 2016. Les différentes pathologies
ont été recueillies à partir des données du dossier médical des patientes. Les données
ont été complétées par l’interrogatoire et l’examen clinique des patientes. Résultats
: sur 103 patientes incluses, dont l’âge moyen calculé est de 64,07 ans, nous avons
observé 10 cas (9,7%) de pathologies pulmonaires précoces et 12 cas (11,6%) de pathologies
pulmonaires tardives, soit un taux de 21,3% de pathologies pulmonaires. On note 4
cas (3,9%) de fractures vertébrales et 3 cas (2,9%) de fractures costales avec une
prépondérance de fractures chez les patientes de plus de 70 ans, soit un taux de 6,8%
de pathologies fracturaires osseuses. Les pathologies cardiaques retrouvées sont de
6,8%, se composant des atteintes coronariennes apparues chez 4 patientes (3,9%) et
de myocardites et troubles du rythme chez 3 patientes (2,9%). Enfin, on relève un
taux de 5,8% (6 cas) de pathologies oesophagiennes. Conclusion : cette étude nous
éclaircit sur l’existence d’effets délétères de la radiothérapie sur les poumons,
le coeur, l’oesophage et les os, auxquels le médecin généraliste doit réagir lorsqu’il
y est confronté. L’innovation des techniques évolue toutefois dans le sens d’une réduction
de la radiotoxicité. Il est cependant primordial de ne pas négliger ces effets confirmés
dans l’analyse des différentes études, car chaque patiente, selon son âge, a pu bénéficier
d’un protocole d’irradiation différent.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
peau, sai
médecins généralistes
Médecins
tumeur maligne, sai
tumeurs du sein
a comme patient
radiothérapie
effets d'une radiothérapie
Cancer du sein
Cancer du sein
continuité des soins
cancer
---
N2-AUTOINDEXEE
Quels sont les différents effets secondaires non cutanés liés à la radiothérapie,
auxquels les médecins généralistes peuvent être confrontés en cabinet chez les patientes
suivies pour un cancer du sein ?
http://www.sudoc.fr/232893659
Objectif : Chez les patientes atteintes de cancer du sein, la radiothérapie représente
l’une des principales options thérapeutiques. Elle expose cependant les patientes
à de nombreux effets secondaires non cutanés auxquels le médecin généraliste est souvent
confronté : effets secondaires osseux, cardiaques, oesophagiens et pulmonaires. Les
objectifs de cette étude sont d’évaluer la prévalence des pathologies pulmonaires,
cardiaques, osseuses et oesophagiennes survenues après radiothérapie chez les patientes
atteintes de cancer du sein et suivies dans un cabinet de médecine générale et de
comparer nos résultats avec ceux retrouvés dans la littérature. Matériel et méthode
: Une étude observationnelle rétrospective a été réalisée dans un cabinet de médecine
générale à Banyuls sur Mer au cours de l’année 2016. Les patientes suivies pour un
cancer du sein ont toutes été incluses. Les patientes exclues sont celles n’ayant
pas bénéficié de radiothérapie ou une radiothérapie entre 2014 et 2016. Les différentes
pathologies ont été recueillies à partir des données du dossier médical des patientes.
Les données ont été complétées par l’interrogatoire et l’examen clinique des patientes.
Résultats : Sur 103 patientes incluses, dont l’âge moyen calculé est de 64,07 ans,
nous avons observé 10 cas (9,7%) de pathologies pulmonaires précoces et 12 cas (11,6
%) de pathologies pulmonaires tardives, soit un taux de 21,3% de pathologies pulmonaires.
On note 4 cas (3,9%) de fractures vertébrales et 3 cas (2,9%) de fractures costales
avec une prépondérance de fractures chez les patientes de plus de 70 ans, soit un
taux de 6,8% de pathologies fracturaires osseuses. Les pathologies cardiaques retrouvées
sont de 6,8%, se composant des atteintes coronariennes apparues chez 4 patientes (3,9%)
et de myocardites et troubles du rythme chez 3 patientes (2,9%). Enfin, on relève
un taux de 5,8% (6 cas) de pathologies oesophagiennes. Conclusion : Cette étude nous
éclaircit sur l’existence d’effets délétères de la radiothérapie sur les poumons,
le coeur, l’oesophage et les os, auxquels le médecin généraliste doit réagir lorsqu’il
y est confronté. L’innovation des techniques évolue toutefois dans le sens d’une réduction
de la radiotoxicité. Il est cependant primordial de ne pas négliger ces effets confirmés
dans l’analyse des différentes études, car chaque patiente, selon son âge, a pu bénéficier
d’un protocole d’irradiation différent
2018
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
tumeurs du sein
a comme patient
médecins généralistes
cancer
peau, sai
Cancer du sein
Cancer du sein
Médecins
effets d'une radiothérapie
continuité des soins
radiothérapie
cancer
tumeur maligne, sai
---