Libellé préféré : Facteurs pronostiques;
Identifiant d'origine : M000616410;
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N3-AUTOINDEXEE
Evaluation et facteurs pronostiques de la qualité de vie à long terme des patients
et des proches, après une hospitalisation pour COVID19 grave, lors de la première
vague de la pandémie: étude QUALICOVID
http://docnum.univ-lorraine.fr/public/MED_T_2023_1088_BONNET_AUDE.pdf
INTRODUCTION : De plus en plus de preuves mettent en évidence les repercussions à
court et moyen terme d’une hospitalisation pour COVID grave sur la qualité de vie
liée à la santé des survivants des unités de soins intensifs. Le but de ce travail
est de quantifier de façon multimodale la qualité de vie à long terme à 2,5 ans des
patients ayant survécu à une forme sévère de COVID19 et de leurs familles, et d'essayer
d'identifier des éléments liés au patient, à la COVID-19, ou à la prise en charge,
qui prédisent la qualité de cette survie. MÉTHODES : Nous avons réalisé une étude
de cohorte prospective sur 68 patients précédemment hospitalisés pour une forme sévère
de pneumopathie ou SDRA COVID en unité de soins intensifs lors de la première vague
de la pandémie, avec évaluation de leur qualité de vie liée à la santé (EQ5D5L), des
déficiences physiques (échelle modifiée du Medical Research Council), mentales (Hospital
Anxiety and Depression Scale, Impact of EventScale-revised), cognitives (Montréal
Cognitive Assessment blind) et professionnelles. Nous avons également évalué les déficiences
mentales de 44 membres de la famille. RÉSULTATS : la mortalité en soin critique, à
l'hôpital et à 2,5 ans dans notre cohorte est respectivement de 32%, 39% et 42%. A
30 mois, l'EQ-VAS médian est de 70 (IQR:50-80). En ce qui concerne les différentes
dimensions de l'EQ5D5L : 34 (50%) patients ont décrit des problèmes en termes de mobilité,
12 (17%) dans la réalisation de leurs soins personnels, 36 (52%) dans les activités
quotidiennes, 45 (65%) ont décrit des douleurs, 28 (41%) des symptômes de dépression
ou d'anxiété. Vingt-et-un (31%) et 16 (23%) patients souffraient respectivement d'anxiété
et de dépression probable à certaine. Huit (12 %) patients présentaient des symptômes
modérés à sévères de stress post-traumatique (SPT). 31 (46%) patients présentaient
des séquelles cognitives légères à sévères. Cinq (12 %) proches présentaient des symptômes
de stress post-traumatique, 4 (10 %) et 23 (53 %) proches présentaient respectivement
une dépression et une anxiété probables ou certaines. En raison d'un manque de puissance
dans notre étude, l'analyse bi-variée n'a pas révélé de facteur de risque pour l'altération
de l'EQ-VAS à 30 mois.CONCLUSION : Il existe une forte altération des différentes
dimensions de la qualité de vie liée à la santé, principalement dans les domaines
de la mobilité, de l'autonomie et des activités habituelles, ainsi que des stigmates
fréquents d'anxiété. Cela ne semble pas spécifique au COVID, mais plus lié à un séjour
prolongé en réanimation pour une pathologie grave. Un axe important de recherche serait
la standardisation des techniques d'évaluation dans le cadre de programmes de recherche
structurés.
2023
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
sévère
Évaluation qualitative
pendant ou après
facteur
étude DICOM
prognostic
hospitalisation
pronostic
le plus proche
études d'évaluation comme sujet
COVID-19
patients hospitalisés
long terme
collecte de données
étude clinique
à l'étude
sérieux
patient hospitalisé
Facteurs pronostiques
guéri ou résolu
près de
a comme patient
qualité de vie
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N3-AUTOINDEXEE
Facteurs pronostiques de la covid-19 chez les patients de plus de 75 ans: étude observationnelle
multicentrique
https://www.sudoc.fr/255438273
Introduction : Les personnes âgées sont à haut risque de décès durant la pandémie
à COVID-19. Pourtant, la majeure partie des études pronostiques sont réalisées chez
des patients plus jeunes. Notre étude visait à déterminer la valeur pronostique des
facteurs de gravité connus et la fiabilité des scores pronostiques validés pour les
pneumonies bactériennes, spécifiquement dans une population très âgée, hospitalisée
pour une infection à SARS-CoV-2. Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude observationnelle,
rétrospective, conduite dans 4 centres hospitaliers des régions Bourgogne-Franche
Comté et Grand Est, du 1/3 au 1//5/2020. Tous les patients âgés de plus de 75 ans
hospitalisés pour COVID-19 dans des services de médecine aigue d’un de ces centres
étaient éligibles. Les facteurs associés à la mortalité à 1 mois étaient étudiés en
analyses uni et multivariée en utilisant un modèle de Cox. Les scores et biomarqueurs
étaient comparés selon leurs performances respectives (area under the receiver operating
characteristic, AUROC). Résultats : Parmi les 143 patients consécutifs hospitalisés
pour COVID-19 et inclus dans l’étude (âge médian 87 ans, 52% d’hommes), 48 (34%) étaient
décédés à 1 mois. Comparés aux survivants, les patients décédés présentaient plus
fréquemment un syndrome confusionnel et une tachycardie à l’admission (P 0.01 ; P
0.005) Toutefois, la fréquence respiratoire ne différait pas entre les deux groupes
(P 0.41). La présence d’une condensation alvéolaire ou d’un épanchement pleural au
scanner était significativement associée au décès (P 0.04 ; P 0.04). Deux tiers des
patients décédés présentaient une détresse respiratoire aigüe durant l’hospitalisation
(vs. 1% des survivants, P 0.001). Des soins palliatifs étaient entrepris pour 44%
des patients décédés. L’analyse multivariée que l’âge (Hazard Ratio (Intervalle de
Confiance à 95 %) (HR (IC95%) : 1.07 (1.00-1.14) par année, P 0.04), le sexe masculin
(HR (IC95%) : 2.21 (1.00-4.88) ; P 0.048)) et les comorbidités appréciées par le
score de Charlson (HR (IC95%) : 1.16 (1.02-1.30) par point ; P 0.021)) étaient les
facteurs associés à la mortalité intra-hospitalière. Les biomarqueurs sériques présentant
les meilleurs valeurs pronostiques à l’admission étaient le N terminal Pro Brain Natriuretic
Peptide (AUROC (IC95%) : 0.71 (0.60-0.82), la troponine Ic (AUROC (IC95%) : 0.70 (0.55-0.85)
et l’albuminémie (AUROC (IC95%) : 0.69 (0.57-0.84). Parmi les scores pronostiques,
le score de Fine présentait les meilleures performances (AUROC (IC95%) : 0.74 (0.60-0.88))
suivi par le score de l’OMS (AUROC (IC95%) : 0.70 [0.60-0.79]). Conclusion : L’âge,
le sexe masculin et un taux élevé de comorbidités étaient retrouvés dans notre étude
comme facteurs de risque indépendant de décès chez le sujet âgé hospitalisé pour COVID-19.
Le score OMS, basé exclusivement sur l’appréciation de la fonction respiratoire, semble
être un outil pronostique de choix pour l’évolution initiale.
2021
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
pneumopathie virale
infections à coronavirus
COVID-19
thèse ou mémoire
pronostic
a comme patient
étude multicentrique
Acrosyndrome
Facteurs pronostiques
patients
étude d'observation
études multicentriques comme sujet
facteur
pandémies
COVID-19
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N3-AUTOINDEXEE
Choc septique : facteurs pronostiques et phénotypes
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03229031
L’objectif de notre étude est de déterminer les variables et les phénotypes cliniques
pertinents pour la prédiction de l’évolution des patients en choc septique. Nous avons
réalisé une étude ancillaire sur 119 patients de 3 unités de réanimations, en état
de choc septique à l’admission (T0). Nous avons défini la dégradation clinique par
l’augmentation du score SOFA (Sequential Organ Failure Assessment) 1 dans les 48
premières heures de prise en charge en réanimation (ΔSOFA 1). Nous avons réalisé
une analyse univariée puis multivariée évaluant l’association entre la mortalité à
28 jours et la dégradation clinique. Nous avons ensuite identifié 3 phénotypes de
patients : « sain », « intermédiaire » et « grave », analysés selon deux évolutions
: « favorable » ou « défavorable », une évolution défavorable étant défini par la
persistance d’un phénotype « intermédiaire » ou « grave » après T0. A T0, l’analyse
multivariée a montré 2 variables associées à la mortalité à 28 jours : la dose de
noradrénaline (odds ratio (OR), 3.45 [intervalle de confiance à 95% (IC 95%), 1.07–11.08];
p 0.038) et la lactatémie artérielle (OR, 1.32 [IC 95%, 1.09–1.61]; p 0.006).
A T0, trois variables ont été associées à la dégradation clinique : la dose de noradrénaline
OR, 5.25 [IC 95%, 1.47–18.74]; p 0.011), la lactatémie artérielle (OR, 1.51 [IC
95%, 1.19–1.92]; p 0.001) et la différence veino-arterielle en dioxyde de carbone
(P(v-a)C02) (OR, 1.12 [IC 95%, 1.01–1.25]; p 0.04). A T0, les phénotypes (sain,
intermédiaire et grave) étaient répartis de la manière suivante : 28 (24%), 70 (59%)
et 21 patients (18%) respectivement. Nous avons finalement proposé un algorithme prenant
en compte les variables précédentes pour prédire l’évolution des patients, obtenant
une aire sous la courbe de 74% (63-85%). En conclusion, nos résultats soulignent que
certaines variables disponibles précocement au lit du patient, la dose de noradrénaline,
la lactatémie artérielle et la P(v-a)CO2 en particulier, ainsi que l’identification
de phénotypes, peuvent aider les cliniciens à prédire l’évolution des patients.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
choc septique
choc septique
Facteurs pronostiques
Choc
phénotype
phénotype
facteur
pronostic
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N3-AUTOINDEXEE
Les cancers du sein agressifs : conséquences de la ménopause chimio-induite chez les
femmes jeunes atteintes d'un cancer du sein non métastatique et facteurs pronostiques
de la rechute du cancer du sein triple négatif
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02292709
Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme et malgré une baisse
de la mortalité ces dernières années, attribuable à une détection précoce et une meilleure
prise en charge, il reste la première cause de mortalité par cancer et demeure donc
un problème majeur de santé publique. La mortalité par cancer du sein s’avère être
plus élevée dans le cas des cancers dits agressifs ou de mauvais pronostic tels que
le cancer du sein de la femme jeune et le cancer du sein triple négatif (CSTN). Mes
travaux de thèse portent sur ces deux types de cancer du sein avec comme objectifs
l’étude des conséquences de la ménopause chimio-induite (MCI) chez les femmes jeunes
atteintes d’un cancer du sein non métastatique d’une part et l’analyse des facteurs
pronostiques de la rechute du cancer du sein triple négatif d’autre part. Le premier
axe de ma thèse concerne l’étude clinique MENOCOR dont le but est d’évaluer chez les
femmes jeunes atteintes d’un cancer du sein non métastatique l’impact de la MCI sur
la qualité de vie (QdV). L’incidence de la MCI et l’étude des variations hormonales
font également partie des objectifs secondaires. Dans le cadre de cette thèse, l’analyse
intermédiaire, prévue dans le protocole, a été réalisée sur 59 patientes avec un recul
de 18 mois post-chimiothérapie. Ces premiers résultats ont tendance à montrer une
altération de la QdV évaluée par le QLQ-BR23 chez les patientes ménopausées vs les
non ménopausées (p 0.17). A ce stade de l’essai, le QLQ-BR23 semble donc être plus
adapté que le QLQ-C30 pour évaluer la QdV dans le contexte de cette étude. Nous avons
également observé une prédiction possible de la MCI par le dosage de l’AMH initial
et l’âge des patientes. Ainsi, ces résultats doivent être comparés à ceux de l’analyse
finale et nous supposons qu’avec une puissance plus importante (effectif total prévu
de 240 patientes et suivi de 30 mois post-traitement) les résultats concernant la
QdV pourraient être significatifs.Le deuxième axe de ma thèse a consisté à la création
d’une base de données sur le CSTN. Cette étude rétrospective s’inscrit dans la continuité
des travaux réalisés au Centre Jean PERRIN et a pour but d’évaluer la dynamique et
les facteurs prédictifs de la rechute du CSTN. Les analyses ont montré que l’atteinte
ganglionnaire, la présence d’emboles et la taille tumorale sont les principaux facteurs
pronostiques de la rechute. Les résultats présentés dans cette thèse confirment également
l’hétérogénéité des CSTN avec l’existence d’une disparité des réponses à la CTNA (allant
de la réponse complète à la chimiorésistance) et d’une diversité des rechutes (précoces
( 1 an), standards (1 à 5 ans) et tardives ( 5 ans)) soulignant la nécessité de
poursuivre la recherche de nouveaux biomarqueurs pouvant prédire la réponse ou encore
permettant de prévenir les rechutes afin d’améliorer la prise en charge des patientes.
En conclusion, ces résultats permettent d’ouvrir de nombreuses perspectives de recherches.
Nous prévoyons de comparer les résultats finaux de l’étude MENOCOR à ceux de l’analyse
intermédiaire présentés dans cette thèse. A l’issu de l’essai, nous espérons avoir
une meilleure compréhension de la MCI, de son impact sur la QdV et du rôle de l’AMH
dans la prédiction de la ménopause. Concernant le CSTN, il est prévu de mener une
autre étude rétrospective sur une cohorte plus large, avec cette fois-ci, l’analyse
des paramètres hématologiques. En fonction des résultats, une étude prospective pourra
être mise en place afin d’étudier le rôle du microenvironnement tumoral ainsi que
des paramètres hématologiques et génétiques dans la rechute des CSTN.
2019
TEL - Thèses en ligne
France
thèse ou mémoire
stress physiologique
pronostic
Cancer du sein
adolescent
agressivité
cancer du sein chez la femme
cancer
récidive
Cancer du sein
Agression
Triplés
Facteurs pronostiques
tumeur maligne, sai
glande mammaire de la femme
ménopause
ménopause
facteur
tumeurs du sein triple-négatives
Femmes
Femelle
Rechute
tumeurs du sein
triplés
femmes
Femelle
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N3-AUTOINDEXEE
Psychose débutante: facteurs pronostiques du premier épisode
http://www.sudoc.fr/236390554
La psychose est l’une des pathologies psychiatriques les plus redoutées; elle apparait
le plus souvent chez les adolescents et les jeunes adultes, se caractérisant par l’hétérogénéité
symptomatique et évolutive; le risque majeur que les praticiens redoutent est l’évolution
vers la chronicité et l’installation d’un handicap. Une revue de littérature des articles
récents nous a permis d’identifier certains facteurs pronostiques associés au premier
épisode psychotique ainsi que certains facteurs qui peuvent potentiellement être intéressants
pour les futures recherches, malgré la faible association de causalité entre ces facteurs
et leur pouvoir prédictif de l’évolution des troubles et du devenir des patients souffrant
d’un premier épisode psychotique. Ces différents facteurs pourraient servir d’outils
pour développer des programmes de prise en charge spécifique et personnalisée de ces
patients, ainsi que des programmes de prévention dans le but de tenter d’empêcher
la transition vers la chronicité, de réduire la sévérité des troubles et leur impact.
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
Facteurs pronostiques
pronostic
Psychoses
Psychose
psychose
trouble psychotique
épisode de
troubles psychotiques
Psychoses
facteur
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N3-AUTOINDEXEE
Incidence et facteurs pronostiques des toxicités sévères des thérapies ciblées chez
les patients âgés atteints de cancer
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02432349
Introduction : l’avènement des thérapies ciblées a permis d’entrer dans l’ère de la
médecine dite personnalisée. Cependant aucune donnée spécifique n’est disponible concernant
les sujets âgés qui sont sous représentés dans les essais de phase III. Ainsi l’ensemble
des données de ces essais sont extrapolées à cette population hétérogène alors que
leur profil de tolérance est probablement différent. Objectif : identifier l’incidence
des toxicités sévères des thérapies ciblées chez les personnes âgées et établir leurs
facteurs pronostiques de survenue. Méthodes : l’étude PreToxE est une étude observationnelle
prospective et rétrospective. Les patients de 70 ans et plus atteints de tumeur solide
avancée et traités par inhibiteur de tyrosine/thréonine kinase (ITK) ou inhibiteur
de mTOR selon l’autorisation de mise sur le marché étaient inclus. Le critère de jugement
principal était le taux de survenue de toxicité sévère, défini comme un décès lié
au traitement, une incapacité ou invalidité importante ou durable, une hospitalisation
ou l’arrêt de plus de trois semaines du traitement. Résultats : 212 patients issus
de deux cohortes indépendantes ont été inclus dans l’étude. L’âge médian était de
75 ans (70-88). Les cancers les plus fréquents étaient les cancers du poumon (n 66,
31%), du sein (n 52, 25%), des tissus mous (n 30, 14%), du rein (n 13, 6%) et du colon
(n 10, 5%). Les cinq ITK les plus prescrits étaient l’everolimus (n 52, 25%), l’erlotinib
(n 44, 21%), le pazopanib (n 39, 18%), le regorafenib (n 20, 9%) et le gefitinib (n
18, 9%). La dose initiale prescrite était inférieure à la dose recommandée chez 83
patients (39%). 87 patients (41%) ont eu une toxicité sévère comme décrite dans le
protocole. Cette proportion était similaire dans une cohorte indépendante de 99 patients
(n 43, 43%). En analyse multivariée, la poly médication était le seul facteur associé
à l’augmentation du risque de toxicité sévère. Conclusion : malgré une réduction de
dose à l’initiation des ITK dans presque 50% des cas, des toxicités sévères apparaissaient
chez environ 40% des patients. La prise concomitante d’au moins trois médicaments
est hautement prédictive de survenue de toxicités sévères et suggère une évaluation
gériatrique à l’initiation de la thérapie ciblée.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
thérapie
facteur
sévère
sujet âgé
a comme patient
incidence
pronostic
Cancer
tumeurs
effet toxique
cancer
Cancer
tumeur maligne, sai
Facteurs pronostiques
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