Libellé préféré : long terme;

Synonyme CISMeF : longue durée;

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N3-AUTOINDEXEE
La consommation d’alcool des adultes en France en 2021, évolutions récentes et tendances de long terme
http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2024/2/2024_2_1.html
Introduction – La consommation d’alcool, très élevée en France, expose à de nombreux risques pour la santé, à court et long terme. Au cours des dernières décennies, les modes de consommation ont fortement évolué. L’objectif de cet article est de présenter un panorama de la consommation d’alcool en France en 2021 à partir de l’enquête Baromètre de Santé publique France, actualisant les constats datant de 2017 en France hexagonale et 2014 dans les départements ultramarins et permettant d’apprécier les tendances sur près de 30 ans. Méthode – Les données utilisées proviennent des éditions 1992, 1995, 2000, 2005, 2010, 2014, 2017 et 2021 des Baromètres de Santé publique France, enquêtes téléphoniques sur échantillon aléatoire réalisées auprès d’adultes de 18-75 ans résidant en France hexagonale et dans les départements et régions d’outre-mer (DROM). Les indicateurs présentés sont issus du module de questions Audit-C (Alcohol Use Disorders Identification Test-Consumption version courte). Résultats – Les tendances de long terme révèlent une baisse des consommations quotidienne et hebdomadaire au cours des dernières décennies, faisant écho aux baisses des volumes de vente. En revanche, le phénomène des alcoolisations ponctuelles importantes suit des tendances récentes contrastées : plutôt en diminution parmi les jeunes hommes, il tend à augmenter parmi les femmes de plus de 35 ans. Des disparités régionales sont également observées. Conclusion – Les modes de consommation d’alcool continuent d’évoluer et la mise en place d’actions de prévention pour réduire les risques induits par la consommation d’alcool reste nécessaire.
2024
SPF - Santé publique France
France
article de périodique
consommation d'alcool
histoire de la consommation alcoolique
alcool éthylique
adulte
long terme
adulte légalement
gène CHFR
français
France
récent
adulte
plus récent
consommation d'alcool
tendances
alcool

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N2-AUTOINDEXEE
Les thérapies psychologiques sont-elles efficaces pour réduire la dépression chez les personnes âgées vivant dans des établissements de soins de longue durée ?
https://www.cochrane.org/fr/CD013059/DEPRESSN_les-therapies-psychologiques-sont-elles-efficaces-pour-reduire-la-depression-chez-les-personnes
Principaux messages - Les thérapies psychologiques (parfois appelées thérapies par la parole) pourraient traiter les symptômes de la dépression mieux que les approches non thérapeutiques chez les personnes âgées vivant dans des établissements de soins de longue durée (ESLD) (par exemple, des maisons de soins infirmiers ou des maisons de retraite et des établissements d'aide à la vie autonome). - Les thérapies psychologiques pourraient également être plus efficaces que les approches non thérapeutiques pour améliorer la qualité de vie et le bien-être psychologique (la santé émotionnelle et le fonctionnement général d'un individu) à court terme. - En raison de données probantes limitées, les avantages de la thérapie psychologique et ses effets dans un sens élargi et à plus long terme ne sont pas clairs. Que voulions-nous découvrir ? Nous voulions savoir si les thérapies psychologiques étaient bénéfiques pour la gestion de la dépression dans les ESLD. En quoi est-ce important ? La dépression est fréquente chez les personnes âgées vivant en ESLD. Ce groupe se voit souvent la prescription de médicaments pour gérer la dépression. Les thérapies psychologiques pourraient être une alternative envisageable.
2024
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
établissements de soins de long séjour
depression
psychothérapie
Dépression
résider
quel mois est-ce maintenant ?
établi
durée
dépression
Psychologie
dépression
Soins de longue durée
personne âgée
soins
PERSONNE AGEE
dépression
effet secondaire d'une dépression
chlorhydrate de papavérine
personne âgée
établissement de soins
activités de soins
sujet âgé
long terme
thérapie
sujet âgé de 80 ans ou plus
vie

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N3-AUTOINDEXEE
Anticoagulants oraux directs pour le traitement à long terme de l’embolie pulmonaire : mise à jour
https://minerva-ebp.be/Theme/Analysis/855
Analyse de Li M, Li J, Wang X, et al. Oral direct thrombin inhibitors or oral factor Xa inhibitors versus conventional anticoagulants for the treatment of pulmonary embolism. Cochrane Database Syst Rev 2023, Issue 4. DOI: 10.1002/14651858.CD010957.pub3 Question clinique Pour le traitement à long terme de l’embolie pulmonaire, quelles sont l’efficacité et la sécurité des anticoagulants oraux directs (AOD), par comparaison avec les anticoagulants classiques (les héparines non fractionnées, les héparines de bas poids moléculaire, le fondaparinux et les antagonistes de la vitamine K) ? Conclusion Cette mise à jour d’une synthèse méthodique Cochrane de RCTs qui ont été correctement menées d’un point de vue méthodologique confirme que, sur la base des données probantes actuellement disponibles, il n’y a aucune différence entre les AOD et les anticoagulants classiques en ce qui concerne l’efficacité du traitement à long terme (jusqu’à 12 mois) de l’embolie pulmonaire. Il n’y avait pas non plus de différence entre les deux options thérapeutiques quant aux hémorragies majeures, mais des recherches plus approfondies dans certains sous-groupes et avec différents AOD sont vivement recommandées.
2024
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
lecture critique d'article
embolie pulmonaire
Directives
anticoagulants
anticoagulothérapie
leadership
traitement anticoagulant
mettre à jour
anticoagulant
embolie pulmonaire
anticoagulant oral direct
embolie pulmonaire
long terme
embolie pulmonaire
anticoagulants oraux
embolie pulmonaire
maintenance de logiciel

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N3-AUTOINDEXEE
Garantir la disponibilité des médicaments et assurer à plus long terme une souveraineté industrielle
https://sante.gouv.fr/IMG/pdf/feuille-de-route-medicaments-fevrier-2024.pdf
https://sante.gouv.fr/actualites/presse/communiques-de-presse/article/penuries-de-medicaments-la-ministre-du-travail-de-la-sante-et-des-solidarites
Depuis 2019 et à plus forte raison pendant la crise sanitaire, les travaux entrepris par les ministères chargés de la Santé et de l’Industrie, notamment dans le cadre de la feuille de route précédente (2019-2022) ont permis la mise en place des mesures pour renforcer la prévention de pénuries pour les médicaments (notamment ceux qualifiés « d’intérêt thérapeutique majeur » (MITM)) : obligation pour les industriels de constituer des stocks de sécurité de leurs produits pour le marché national, interdiction des exportations par les grossistes-répartiteurs, possibilité pour les pharmaciens d’exécuter des préparations magistrales ou encore informations régulières aux prescripteurs sur l’état des tensions. Les services des deux ministères ont également œuvré pour trouver de nouvelles solutions rapides pour les Français pour faire face à la tension en amoxicilline. En collaboration étroite avec les industriels du secteur, il a été notamment mis en place des accords prix-volumes contribuant à sécuriser davantage l’approvisionnement sur cette molécule.
2024
Ministère de la Santé et de la Prévention
France
rapport
Médicaments
assurance prestations pharmaceutiques
Industrie
couverture d'assurance
date disponible
disponibilité
Assurance médicaments
médicament
industrie pharmaceutique
long terme
substance pharmacologique

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N3-AUTOINDEXEE
Un traitement chirurgical d’une sciatique n’est pas associé à une amélioration à long terme par rapport à une approche conservative
https://minerva-ebp.be/Theme/Analysis/849
Analyse de Liu C, Ferreira GE, Abdel Shaheed C, et al. Surgical versus non-surgical treatment for sciatica: systematic review and meta-analysis of randomised controlled trials BMJ 2023;381 e070730. DOI: 10.1136/bmj-2022-070730 Question clinique Chez des personnes atteintes de sciatique de toute durée due à une hernie discale lombaire (diagnostiquée par imagerie radiologique), le traitement chirurgical est-il meilleur qu’un traitement non chirurgical, à des injections péridurales de stéroïdes, à un placebo ou à une chirurgie simulée en termes d’efficacité et de tolérance ?
2024
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
lecture critique d'article
long terme
associé à
Sciatalgie
approche
associé à
rapport de recherche
procédure de préservation
rapport albumine/globuline
pas de traitement
préservation
Accroître
sciatique
conservation
Procédure chirurgicale
Pression systolique
terme rapporté

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N2-AUTOINDEXEE
Informer des risques à long terme liés à l’alcool et des repères de consommation : efficacité d’une campagne médiatique sur les connaissances et la consommation d’alcool
http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2024/9/2024_9_2.html
Introduction – En 2019, Santé publique France a diffusé pour la première fois une campagne de communication visant à améliorer les connaissances de la population concernant les risques à moyen-long termes liés aux consommations d’alcool et les repères de consommation à moindre risque, dans l’objectif d’inciter les buveurs à la réduction de leur consommation. Cet article présente les principaux résultats de l’évaluation d’efficacité de la campagne et discute de leurs implications. Méthode – De février à octobre 2019, 2 538 consommateurs d’alcool âgés de 18 à 75 ans ont été interrogés en ligne à 3 reprises : avant la diffusion de la campagne (T0), juste après la diffusion (T1) et environ 6 mois après (T2). Résultats – Entre T0 et T1, des interactions positives entre l’exposition à la campagne et la vague d’enquête ont été observées pour la connaissance du repère « maximum 2 verres par jour » (odds ratio ajustés, ORa 1,32 ; intervalle de confiance à 95%, IC95%: [1,08-1,62], p 0,008), du risque d’hémorragie cérébrale (ORa 1,80 [1,44-2,25], p 0,001) et du risque d’hypertension (ORa 1,41 [1,09-1,81], p 0,008 ; visible uniquement parmi les plus favorisés : ORa 1,90 [1,31-2,75], p 0,001) , mais pas pour la connaissance du risque de cancer ni celle du repère « minimum 2 jours sans consommation ». Une interaction significative entre l’exposition à la campagne et la vague d’enquête a été observée entre T0 et T1 pour la consommation d’alcool à risque, parmi les femmes seulement (ORa 0,67 [0,50-0,88], p 0,004). Entre T0 et T2, aucune interaction significative n’a été détectée sur les variables étudiées. Discussion – Les résultats de cette étude suggèrent que cette campagne sur les risques et les repères a eu un effet positif sur les connaissances et les comportements de la population. Ils viennent nourrir la littérature scientifique encore trop peu abondante concernant l’impact des campagnes médiatiques de prévention alcool. Les effets observés ne sont pas homogènes dans tous les groupes sociodémographiques et ne sont visibles qu’à court terme : une attention en matière d’inégalités sociales de santé et une répétition régulière des messages pourraient permettre d’améliorer ces deux aspects.
Introduction – En 2019, Santé publique France a diffusé pour la première fois une campagne de communication visant à améliorer les connaissances de la population concernant les risques à moyen-long termes liés aux consommations d’alcool et les repères de consommation à moindre risque, dans l’objectif d’inciter les buveurs à la réduction de leur consommation. Cet article présente les principaux résultats de l’évaluation d’efficacité de la campagne et discute de leurs implications. Méthode – De février à octobre 2019, 2 538 consommateurs d’alcool âgés de 18 à 75 ans ont été interrogés en ligne à 3 reprises : avant la diffusion de la campagne (T0), juste après la diffusion (T1) et environ 6 mois après (T2). Résultats – Entre T0 et T1, des interactions positives entre l’exposition à la campagne et la vague d’enquête ont été observées pour la connaissance du repère « maximum 2 verres par jour » (odds ratio ajustés, ORa 1,32 ; intervalle de confiance à 95%, IC95%: [1,08-1,62], p 0,008), du risque d’hémorragie cérébrale (ORa 1,80 [1,44-2,25], p 0,001) et du risque d’hypertension (ORa 1,41 [1,09-1,81], p 0,008 ; visible uniquement parmi les plus favorisés : ORa 1,90 [1,31-2,75], p 0,001) , mais pas pour la connaissance du risque de cancer ni celle du repère « minimum 2 jours sans consommation ». Une interaction significative entre l’exposition à la campagne et la vague d’enquête a été observée entre T0 et T1 pour la consommation d’alcool à risque, parmi les femmes seulement (ORa 0,67 [0,50-0,88], p 0,004). Entre T0 et T2, aucune interaction significative n’a été détectée sur les variables étudiées. Discussion – Les résultats de cette étude suggèrent que cette campagne sur les risques et les repères a eu un effet positif sur les connaissances et les comportements de la population. Ils viennent nourrir la littérature scientifique encore trop peu abondante concernant l’impact des campagnes médiatiques de prévention alcool. Les effets observés ne sont pas homogènes dans tous les groupes sociodémographiques et ne sont visibles qu’à court terme : une attention en matière d’inégalités sociales de santé et une répétition régulière des messages pourraient permettre d’améliorer ces deux aspects.
2024
SPF - Santé publique France
France
article de périodique
article de périodique
alcool éthylique
alcool éthylique
campagne médiatique
campagne médiatique
négociation
négociation
Médiation
Médiation
signaux
signaux
histoire de la consommation alcoolique
histoire de la consommation alcoolique
consommation d'alcool
consommation d'alcool
connaissance
connaissance
informatif
informatif
long terme
long terme
étude d'efficacité
étude d'efficacité
Savoir
Savoir
risque
risque
connaissance
connaissance
alcool
alcool
consommation d'alcool
consommation d'alcool
Rendement
Rendement
pas d'information disponible
pas d'information disponible
informé
informé

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N2-AUTOINDEXEE
La trachéotomie précoce ou tardive est-elle plus efficace chez les patients atteints de COVID-19 grave qui devraient nécessiter une ventilation artificielle de longue durée ?
https://www.cochrane.org/fr/CD015532/HAEMATOL_la-tracheotomie-precoce-ou-tardive-est-elle-plus-efficace-chez-les-patients-atteints-de-covid-19
Principaux messages - Pour les adultes hospitalisés avec COVID-19 sous ventilation mécanique, la réalisation d'une trachéotomie précoce (où les médecins pratiquent une incision à travers la peau dans la trachée pour insérer un tube respiratoire) avant 10 jours après le début de la ventilation, pourrait avoir peu ou pas d'effet sur les décès et le temps passé par les patients sous ventilateur par rapport à une trachéotomie tardive, réalisée 10 jours ou plus après le début de la ventilation. - Nous ne savons pas si la trachéotomie précoce améliore ou aggrave l'état des patients ou raccourcit leur séjour en unité de soins intensifs. - Les chercheurs devraient se mettre d'accord sur les critères de jugement principaux à utiliser dans la recherche de la COVID-19 ; la recherche future devrait se concentrer sur des études bien planifiées avec des méthodes robustes. Nous pourrions alors tirer des conclusions plus solides sur le meilleur moment pour la trachéotomie chez les patients atteints de COVID-19 grave.
2023
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
COVID-19
jusqu'à l'efficacité
sévère
quel mois est-ce maintenant ?
ventilation artificielle
COVID-19
incision de la trachée
COVID-19
ventilation
maladie
a comme patient
long terme
trachéotomie
ventilation artificielle
patients
durée
patient
trachéotomie
sérieux

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N3-AUTOINDEXEE
Evaluation et suivi post-opératoire. Gestion des complications précoces et sur le long terme
https://campus.neurochirurgie.fr/article1751.html
2023
Campus numérique de Neurochirurgie
France
matériel d'enseignement audio-visuel
complications postopératoires
Évaluation
postes de direction
suivre
complication post-opératoire
suivi d'étude clinique
évaluation
complication précoce
long terme
études d'évaluation comme sujet
examen physique
Supervision
post-cure
évaluation
complications

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N3-AUTOINDEXEE
Evaluation et facteurs pronostiques de la qualité de vie à long terme des patients et des proches, après une hospitalisation pour COVID19 grave, lors de la première vague de la pandémie: étude QUALICOVID
http://docnum.univ-lorraine.fr/public/MED_T_2023_1088_BONNET_AUDE.pdf
INTRODUCTION : De plus en plus de preuves mettent en évidence les repercussions à court et moyen terme d’une hospitalisation pour COVID grave sur la qualité de vie liée à la santé des survivants des unités de soins intensifs. Le but de ce travail est de quantifier de façon multimodale la qualité de vie à long terme à 2,5 ans des patients ayant survécu à une forme sévère de COVID19 et de leurs familles, et d'essayer d'identifier des éléments liés au patient, à la COVID-19, ou à la prise en charge, qui prédisent la qualité de cette survie. MÉTHODES : Nous avons réalisé une étude de cohorte prospective sur 68 patients précédemment hospitalisés pour une forme sévère de pneumopathie ou SDRA COVID en unité de soins intensifs lors de la première vague de la pandémie, avec évaluation de leur qualité de vie liée à la santé (EQ5D5L), des déficiences physiques (échelle modifiée du Medical Research Council), mentales (Hospital Anxiety and Depression Scale, Impact of EventScale-revised), cognitives (Montréal Cognitive Assessment blind) et professionnelles. Nous avons également évalué les déficiences mentales de 44 membres de la famille. RÉSULTATS : la mortalité en soin critique, à l'hôpital et à 2,5 ans dans notre cohorte est respectivement de 32%, 39% et 42%. A 30 mois, l'EQ-VAS médian est de 70 (IQR:50-80). En ce qui concerne les différentes dimensions de l'EQ5D5L : 34 (50%) patients ont décrit des problèmes en termes de mobilité, 12 (17%) dans la réalisation de leurs soins personnels, 36 (52%) dans les activités quotidiennes, 45 (65%) ont décrit des douleurs, 28 (41%) des symptômes de dépression ou d'anxiété. Vingt-et-un (31%) et 16 (23%) patients souffraient respectivement d'anxiété et de dépression probable à certaine. Huit (12 %) patients présentaient des symptômes modérés à sévères de stress post-traumatique (SPT). 31 (46%) patients présentaient des séquelles cognitives légères à sévères. Cinq (12 %) proches présentaient des symptômes de stress post-traumatique, 4 (10 %) et 23 (53 %) proches présentaient respectivement une dépression et une anxiété probables ou certaines. En raison d'un manque de puissance dans notre étude, l'analyse bi-variée n'a pas révélé de facteur de risque pour l'altération de l'EQ-VAS à 30 mois.CONCLUSION : Il existe une forte altération des différentes dimensions de la qualité de vie liée à la santé, principalement dans les domaines de la mobilité, de l'autonomie et des activités habituelles, ainsi que des stigmates fréquents d'anxiété. Cela ne semble pas spécifique au COVID, mais plus lié à un séjour prolongé en réanimation pour une pathologie grave. Un axe important de recherche serait la standardisation des techniques d'évaluation dans le cadre de programmes de recherche structurés.
2023
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
sévère
Évaluation qualitative
pendant ou après
facteur
étude DICOM
prognostic
hospitalisation
pronostic
le plus proche
études d'évaluation comme sujet
COVID-19
patients hospitalisés
long terme
collecte de données
étude clinique
à l'étude
sérieux
patient hospitalisé
Facteurs pronostiques
guéri ou résolu
près de
a comme patient
qualité de vie

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N3-AUTOINDEXEE
Prise en charge pharmacologique des comportements sexuels inappropriés des résidents en soins de longue durée
https://www.cfp.ca/content/69/10/e202
Question clinique Quels sont les médicaments les plus efficaces pour gérer les comportements sexuels inappropriés (CSI) des personnes atteintes de démence qui résident en foyers de soins de longue durée (SLD)? Résultats Les comportements sexuels inappropriés dus à la démence causent des problèmes complexes aux résidents, à leur famille et au personnel des foyers de SLD. La prévalence des CSI chez les patients atteints de démence varie (de 1,8 à 25,0 %), mais ils sont plus communs chez les hommes et les personnes dont la démence est sévère. Les interventions comportementales sont recommandées comme thérapie de première intention, mais les personnes qui vivent en SLD et qui ont des CSI ont souvent besoin d’une pharmacothérapie en raison des risques qu’elles posent pour les autres résidents. Malheureusement, la prise en charge pharmacologique des CSI n’a pas été étudiée en profondeur. Le présent article fait la synthèse des points saillants d’un article publié dans le Canadian Geriatrics Society Journal of CME, qui propose une approche exhaustive pour aborder ce problème épineux.
2023
Le Médecin de Famille Canadien
Canada
article de périodique
soins
durée
gestion des soins aux patients
comportement sexuel
soins de longue durée
pharmacologie
résidence
pharmacologie
comportement sexuel
comportement sexuel
pharmacologiste
prise en charge du comportement
comportement inapproprié
inapproprié
long terme
activités de soins

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N3-AUTOINDEXEE
Les résultats à long terme d’une étude randomisée en cas de cancer prostatique localisé de faible risque confirment une survie similaire que le choix thérapeutique soit une surveillance active, la chirurgie ou la radiothérapie
https://www.minerva-ebp.be/FR/Analysis/832
Analyse de Hamdy FC, Donovan JL, Lane JA, et al. Fifteen-year outcomes after monitoring, surgery, or radiotherapy for prostate cancer. N Engl J Med 2023;388:1547‑58. DOI: 10.1056/NEJMoa2214122 Question clinique En cas de cancer de la prostate localisé détecté par une élévation du taux de PSA entre 3 et 20 μg/l chez des hommes âgés de 50 à 69 ans, quel est le meilleur traitement en termes de mortalité par cancer de la prostate : suivi actif, chirurgie ou radiothérapie ? Conclusion Les auteurs concluent qu’après 15 ans de suivi, la mortalité spécifique au cancer de la prostate était faible quel que soit le traitement attribué. Ainsi, le choix du traitement implique de peser les compromis entre les avantages et les inconvénients associés aux traitements du cancer localisé de la prostate. Le choix en cas de cancer prostatique localisé de faible risque avec donc un taux de mortalité faible se fera avec le patient entre 3 possibilités : surveillance active, prostatectomie radicale, radiothérapie prostatique curative.
2023
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
lecture critique d'article
randomisation non clinique
comportement de choix
tumeur maligne localisée
cancer
étude de cas
cancer de la prostate
ACTIVIR
cancer localement avancé
tumeurs de la prostate
risque de cancer
Cancer de la prostate
survie
chirurgie générale
tumeur maligne, sai
American College of Cardiology/American Heart Association classificationde score de compléxité des lésions A
ayant comme résultat
long terme
étude des résultats du cancer de la prostate
radiothérapie
asthénie
Activir
similarité
observation de patient
intervention chirurgicale
casse-croute
observation (surveillance clinique)
série de cas
risque
études par échantillonnage
cas clinique
radiothérapie
faible risque
études de résultat
radiothérapie X
prostate, sai
Choisir
recherche sur les survivants du cancer
Thérapeutique

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15/05/2024


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