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Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Causer la peur ou l'anxiété en menaçant de grands méfaits ; d'une grande conséquence.;

Traductions automatiques par l'ANS : Séridité; grave;

Détails


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Vous pouvez consulter :


N3-AUTOINDEXEE
Avis conjoint - Une nouvelle disposition de la Loi concernant les soins de fin de vie : aide médicale à mourir et déficience physique grave
https://cms.cmq.org/files/documents/Avis-et-prises-de-position/oiiq-cmq-amm-deficience-physique.pdf
Le 7 mars dernier, une nouvelle disposition de la Loi modifiant la Loi concernant les soins de fin de vie et d’autres dispositions législatives est entrée en vigueur. Elle ouvre l’accès à l’aide médicale à mourir (AMM) à une personne qui a « une déficience physique grave (DPG) entraînant des incapacités significatives et persistantes »2 et qui éprouve « des souffrances physiques ou psychiques persistantes, insupportables et qui ne peuvent être apaisées dans des conditions qu’elle juge tolérables ». L’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) et le Collège des médecins du Québec (CMQ) prévoient de publier des documents visant à guider la pratique des professionnels compétents auprès des personnes qui souffrent d’une DPG. Vous pouvez d’ores et déjà prendre en considération les éléments suivants au moment d’accompagner une personne ayant une DPG qui demande une AMM.
2024
CMQ - Collège des Médecins du Québec
Canada
information scientifique et technique
Vie
infirmité
suicide assisté
infirmité
jugement
Aide médicale
Loi
Soins
conjoints
déficience
Physique
ni en accord ni en désaccord
conjoints
Dispositifs
disposition (psychologie)
dispositif
soins palliatifs
sérieux
sévère
examen physique
dispositif
Medicaid (USA)

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N3-AUTOINDEXEE
La légalisation de l’usage « récréatif » du cannabis serait une grave erreur sanitaire
https://www.academie-medecine.fr/la-legalisation-de-lusage-recreatif-du-cannabis-serait-une-grave-erreur-sanitaire/
Dans un précédent communiqué, les Académies de médecine et de pharmacie s’étaient émues d’une consultation citoyenne portant sur le « cannabis récréatif » aux items orientés. Cette démarche s’inscrivait dans un mouvement idéologique visant à adouber au préalable un usage médical afin de donner à cette drogue des lettres de noblesse « thérapeutiques ». Or, comme il vient d’être rappelé dans une méta-analyse récente : « La plupart des résultats associés aux cannabinoïdes ne sont étayés que par des preuves faibles (études observationnelles), avec une certitude faible à très faible (essais contrôlés randomisés) ou qui ne sont pas significatifs (études observationnelles, essais contrôlés randomisés) ». En revanche, la toxicité du principal constituant psychotrope de la drogue, le tétrahydrocannabinol (THC) est parfaitement établie : toxicité physique supérieure à celle du tabac (cancers, infarctus, troubles du rythme cardiaque, AVC, artérites…), toxicité psychique (troubles cognitifs et anxiodépressifs, syndrome amotivationnel, désinhibition, induction ou aggravation de la schizophrénie…), effets sur la grossesse et sur la descendance, modifications épigénétiques (3, 4). Il est aussi un inducteur de violences familiales, professionnelles, routières (avec 605 morts en 2021). La multiplication par 6 en 25 ans du taux de THC dans sa résine, augmente son pouvoir addictif et, partant, le recrutement des sujets qui en deviennent dépendants après l’avoir expérimenté ; ce qui exacerbe aussi sa toxicité physique et psychique ; on est très loin de la « drogue douce » longtemps présentée.
2023
Académie Nationale de Médecine
France
information scientifique et technique
marijuana
cannabis
cannabis
sérieux
sévère
Marihuana

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N3-AUTOINDEXEE
Pandémie COVID et personnes âgées en France : impact de la pandémie sur le profil des personnes âgées admises pour infection grave à SARS-CoV-2 en réanimation en France
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04342814
Contexte : la population générale vieillit, ainsi de plus de plus de personnes âgées sont admises en réanimation. La période COVID a bouleversé nos pratiques. Les moyens limités que nous avions nous ont amené à réfléchir d’autant plus sur nos critères d’admission en réanimation. Nous pouvons nous poser la question des conséquences possibles de la pandémie COVID 19 sur la prise en charge et sur le profil des personnes âgées admises en réanimation en France. Nous allons ainsi comparer les caractéristiques des personnes âgées de plus de 80 ans admises en réanimation en France pour insuffisance respiratoire aiguë sur infection à SARS-CoV-2 versus insuffisance respiratoire aiguë d’étiologie autre, avant la pandémie COVID, comparer également la survie et les décisions de limitations et d’arrêts des thérapeutiques actives. br Méthodes : nous avons comparé deux cohortes issues de deux études internationales étudiant les personnes âgées hospitalisées en réanimation avant le COVID (VIP2) et les personnes âgées admises pour détresse respiratoire sur infection à SARS-CoV-2 (COVIP), en extrayant les personnes de plus de 80 ans et uniquement les données françaises. Les caractéristiques initiales de chaque cohorte ont été répertoriées, ainsi que les modalités de suppléance d’organe, la durée de séjour, la survie et les limitations et arrêts de thérapeutiques actives. Nous avons réalisé également une analyse appariée selon l’âge ( -2 ans), le genre, le SOFA score ( - 2) et le score CFS de fragilité ( - 1) selon un ratio 1 : 2 (1 COVID pour 2 non COVID) br Résultats et conclusion : 440 patient·es de 80 ans et plus admis·es en réanimation en France ont été inclus·es dans cette étude : 123 issu·es de la cohorte COVIP et 317 de la cohorte VIP2. Dans cette étude comparative, parmi les personnes âgées de 80 ans et plus en France incluses, le groupe COVID est constitué de plus d’hommes, de personnes moins âgées, d’un score de fragilité plus faible ainsi que d’une évaluation de l’autonomie plus élevée que dans le groupe non COVID. La cohorte COVID avait bénéficié de plus de ventilation mécanique par rapport à la cohorte non COVID, ainsi que de plus de vasopresseurs. Dans l’analyse appariée, il y a 94 patient·es issu·es de COVIP apparié·es avec 158 patient·es de VIP2. Ces résultats restaient significatifs après appariement selon les facteurs d’âge, de genre, de SOFA score et de score CFS de fragilité. Cette étude a montré également un taux plus élevé de limitations et d’arrêt des thérapeutiques actives dans le groupe COVID par rapport aux non COVID après appariement. Nous constatons un taux de mortalité plus élevé chez celles atteintes d’une insuffisance respiratoire aiguë sur infection à SARS-CoV-2 par rapport à celles atteintes d’insuffisance respiratoire aiguë hors COVID. (59,5 % versus 31,94%).
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
PERSONNE AGEE
infection
coronavirus du SARS
personne âgée
gène CHFR
pandémies
sujet âgé
raisonnement
France
sérieux
profil
effet secondaire associé avec une infection
touble pandémique
supplément oral arginine, omega 3 et nucléotides
personne âgée
français
réanimation
SARS-CoV-2
sévère
COVID-19
réanimation
sujet âgé de 80 ans ou plus
maladie infectieuse

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N2-AUTOINDEXEE
La trachéotomie précoce ou tardive est-elle plus efficace chez les patients atteints de COVID-19 grave qui devraient nécessiter une ventilation artificielle de longue durée ?
https://www.cochrane.org/fr/CD015532/HAEMATOL_la-tracheotomie-precoce-ou-tardive-est-elle-plus-efficace-chez-les-patients-atteints-de-covid-19
Principaux messages - Pour les adultes hospitalisés avec COVID-19 sous ventilation mécanique, la réalisation d'une trachéotomie précoce (où les médecins pratiquent une incision à travers la peau dans la trachée pour insérer un tube respiratoire) avant 10 jours après le début de la ventilation, pourrait avoir peu ou pas d'effet sur les décès et le temps passé par les patients sous ventilateur par rapport à une trachéotomie tardive, réalisée 10 jours ou plus après le début de la ventilation. - Nous ne savons pas si la trachéotomie précoce améliore ou aggrave l'état des patients ou raccourcit leur séjour en unité de soins intensifs. - Les chercheurs devraient se mettre d'accord sur les critères de jugement principaux à utiliser dans la recherche de la COVID-19 ; la recherche future devrait se concentrer sur des études bien planifiées avec des méthodes robustes. Nous pourrions alors tirer des conclusions plus solides sur le meilleur moment pour la trachéotomie chez les patients atteints de COVID-19 grave.
2023
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
COVID-19
jusqu'à l'efficacité
sévère
quel mois est-ce maintenant ?
ventilation artificielle
COVID-19
incision de la trachée
COVID-19
ventilation
maladie
a comme patient
long terme
trachéotomie
ventilation artificielle
patients
durée
patient
trachéotomie
sérieux

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N3-AUTOINDEXEE
Intoxication alimentaire grave : plusieurs cas de botulisme en lien avec la fréquentation d’un restaurant à bordeaux
https://sante.gouv.fr/IMG/pdf/dgs-urgent_2023-15_-_intoxication_alimentaire_grave_-_plusieurs_cas_de_botulisme.pdf
Les autorités sanitaires ont été informées de la survenue de 10 cas cliniquement évocateurs de botulisme alimentaire : une personne est décédée ; 8 personnes sont hospitalisées (Bordeaux et Ile de France) dont 7 personnes en réanimation ou en unité de Surveillance continue. Tous les cas ont fréquenté le même établissement à Bordeaux entre le lundi 4 et le dimanche 10 septembre 2023 (Restaurant « TCHIN TCHIN WINE BAR », bar très prisé de la clientèle anglo-saxonne) et tous les cas ont consommé des sardines en bocal réalisées par le restaurateur (fabrication artisanale).
2023
Ministère de la Santé et de la Prévention
France
information scientifique et technique
Botulisme d'origine alimentaire
entrepôt
botulisme
caténine delta-1
sérieux
botulisme
Intoxication alimentaire
intoxication alimentaire
Restaurants
Allèle sauvage BCAR1
casse-croute
intoxication alimentaire
caisse (unité de dosage)
intoxications
Allèle sauvage CTNND1
sévère
botulisme

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N3-AUTOINDEXEE
Evaluation et facteurs pronostiques de la qualité de vie à long terme des patients et des proches, après une hospitalisation pour COVID19 grave, lors de la première vague de la pandémie: étude QUALICOVID
http://docnum.univ-lorraine.fr/public/MED_T_2023_1088_BONNET_AUDE.pdf
INTRODUCTION : De plus en plus de preuves mettent en évidence les repercussions à court et moyen terme d’une hospitalisation pour COVID grave sur la qualité de vie liée à la santé des survivants des unités de soins intensifs. Le but de ce travail est de quantifier de façon multimodale la qualité de vie à long terme à 2,5 ans des patients ayant survécu à une forme sévère de COVID19 et de leurs familles, et d'essayer d'identifier des éléments liés au patient, à la COVID-19, ou à la prise en charge, qui prédisent la qualité de cette survie. MÉTHODES : Nous avons réalisé une étude de cohorte prospective sur 68 patients précédemment hospitalisés pour une forme sévère de pneumopathie ou SDRA COVID en unité de soins intensifs lors de la première vague de la pandémie, avec évaluation de leur qualité de vie liée à la santé (EQ5D5L), des déficiences physiques (échelle modifiée du Medical Research Council), mentales (Hospital Anxiety and Depression Scale, Impact of EventScale-revised), cognitives (Montréal Cognitive Assessment blind) et professionnelles. Nous avons également évalué les déficiences mentales de 44 membres de la famille. RÉSULTATS : la mortalité en soin critique, à l'hôpital et à 2,5 ans dans notre cohorte est respectivement de 32%, 39% et 42%. A 30 mois, l'EQ-VAS médian est de 70 (IQR:50-80). En ce qui concerne les différentes dimensions de l'EQ5D5L : 34 (50%) patients ont décrit des problèmes en termes de mobilité, 12 (17%) dans la réalisation de leurs soins personnels, 36 (52%) dans les activités quotidiennes, 45 (65%) ont décrit des douleurs, 28 (41%) des symptômes de dépression ou d'anxiété. Vingt-et-un (31%) et 16 (23%) patients souffraient respectivement d'anxiété et de dépression probable à certaine. Huit (12 %) patients présentaient des symptômes modérés à sévères de stress post-traumatique (SPT). 31 (46%) patients présentaient des séquelles cognitives légères à sévères. Cinq (12 %) proches présentaient des symptômes de stress post-traumatique, 4 (10 %) et 23 (53 %) proches présentaient respectivement une dépression et une anxiété probables ou certaines. En raison d'un manque de puissance dans notre étude, l'analyse bi-variée n'a pas révélé de facteur de risque pour l'altération de l'EQ-VAS à 30 mois.CONCLUSION : Il existe une forte altération des différentes dimensions de la qualité de vie liée à la santé, principalement dans les domaines de la mobilité, de l'autonomie et des activités habituelles, ainsi que des stigmates fréquents d'anxiété. Cela ne semble pas spécifique au COVID, mais plus lié à un séjour prolongé en réanimation pour une pathologie grave. Un axe important de recherche serait la standardisation des techniques d'évaluation dans le cadre de programmes de recherche structurés.
2023
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
sévère
Évaluation qualitative
pendant ou après
facteur
étude DICOM
prognostic
hospitalisation
pronostic
le plus proche
études d'évaluation comme sujet
COVID-19
patients hospitalisés
long terme
collecte de données
étude clinique
à l'étude
sérieux
patient hospitalisé
Facteurs pronostiques
guéri ou résolu
près de
a comme patient
qualité de vie

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10/05/2024


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