Libellé préféré : sérieux;
Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Causer la peur ou l'anxiété en menaçant de grands méfaits ; d'une grande conséquence.;
Traductions automatiques par l'ANS : Séridité; grave;
Identifiant d'origine : C54035;
CUI UMLS : C0205404;
- Alignements automatiques CISMeF supervisés
- Correspondances UMLS (même concept)
- Type(s) sémantique(s)
N3-AUTOINDEXEE
Avis conjoint - Une nouvelle disposition de la Loi concernant les soins de fin de
vie : aide médicale à mourir et déficience physique grave
https://cms.cmq.org/files/documents/Avis-et-prises-de-position/oiiq-cmq-amm-deficience-physique.pdf
Le 7 mars dernier, une nouvelle disposition de la Loi modifiant la Loi concernant
les soins de fin de vie et d’autres dispositions législatives est entrée en vigueur.
Elle ouvre l’accès à l’aide médicale à mourir (AMM) à une personne qui a « une déficience
physique grave (DPG) entraînant des incapacités significatives et persistantes »2
et qui éprouve « des souffrances physiques ou psychiques persistantes, insupportables
et qui ne peuvent être apaisées dans des conditions qu’elle juge tolérables ». L’Ordre
des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) et le Collège des médecins du Québec
(CMQ) prévoient de publier des documents visant à guider la pratique des professionnels
compétents auprès des personnes qui souffrent d’une DPG. Vous pouvez d’ores et déjà
prendre en considération les éléments suivants au moment d’accompagner une personne
ayant une DPG qui demande une AMM.
2024
CMQ - Collège des Médecins du Québec
Canada
information scientifique et technique
Vie
infirmité
suicide assisté
infirmité
jugement
Aide médicale
Loi
Soins
conjoints
déficience
Physique
ni en accord ni en désaccord
conjoints
Dispositifs
disposition (psychologie)
dispositif
soins palliatifs
sérieux
sévère
examen physique
dispositif
Medicaid (USA)
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N3-AUTOINDEXEE
La légalisation de l’usage « récréatif » du cannabis serait une grave erreur sanitaire
https://www.academie-medecine.fr/la-legalisation-de-lusage-recreatif-du-cannabis-serait-une-grave-erreur-sanitaire/
Dans un précédent communiqué, les Académies de médecine et de pharmacie s’étaient
émues d’une consultation citoyenne portant sur le « cannabis récréatif » aux items
orientés. Cette démarche s’inscrivait dans un mouvement idéologique visant à adouber
au préalable un usage médical afin de donner à cette drogue des lettres de noblesse
« thérapeutiques ». Or, comme il vient d’être rappelé dans une méta-analyse récente
: « La plupart des résultats associés aux cannabinoïdes ne sont étayés que par des
preuves faibles (études observationnelles), avec une certitude faible à très faible
(essais contrôlés randomisés) ou qui ne sont pas significatifs (études observationnelles,
essais contrôlés randomisés) ». En revanche, la toxicité du principal constituant
psychotrope de la drogue, le tétrahydrocannabinol (THC) est parfaitement établie :
toxicité physique supérieure à celle du tabac (cancers, infarctus, troubles du rythme
cardiaque, AVC, artérites…), toxicité psychique (troubles cognitifs et anxiodépressifs,
syndrome amotivationnel, désinhibition, induction ou aggravation de la schizophrénie…),
effets sur la grossesse et sur la descendance, modifications épigénétiques (3, 4).
Il est aussi un inducteur de violences familiales, professionnelles, routières (avec
605 morts en 2021). La multiplication par 6 en 25 ans du taux de THC dans sa résine,
augmente son pouvoir addictif et, partant, le recrutement des sujets qui en deviennent
dépendants après l’avoir expérimenté ; ce qui exacerbe aussi sa toxicité physique
et psychique ; on est très loin de la « drogue douce » longtemps présentée.
2023
Académie Nationale de Médecine
France
information scientifique et technique
marijuana
cannabis
cannabis
sérieux
sévère
Marihuana
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N3-AUTOINDEXEE
Pandémie COVID et personnes âgées en France : impact de la pandémie sur le profil
des personnes âgées admises pour infection grave à SARS-CoV-2 en réanimation en France
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04342814
Contexte : la population générale vieillit, ainsi de plus de plus de personnes âgées
sont admises en réanimation. La période COVID a bouleversé nos pratiques. Les moyens
limités que nous avions nous ont amené à réfléchir d’autant plus sur nos critères
d’admission en réanimation. Nous pouvons nous poser la question des conséquences possibles
de la pandémie COVID 19 sur la prise en charge et sur le profil des personnes âgées
admises en réanimation en France. Nous allons ainsi comparer les caractéristiques
des personnes âgées de plus de 80 ans admises en réanimation en France pour insuffisance
respiratoire aiguë sur infection à SARS-CoV-2 versus insuffisance respiratoire aiguë
d’étiologie autre, avant la pandémie COVID, comparer également la survie et les décisions
de limitations et d’arrêts des thérapeutiques actives. br Méthodes : nous avons comparé
deux cohortes issues de deux études internationales étudiant les personnes âgées hospitalisées
en réanimation avant le COVID (VIP2) et les personnes âgées admises pour détresse
respiratoire sur infection à SARS-CoV-2 (COVIP), en extrayant les personnes de plus
de 80 ans et uniquement les données françaises. Les caractéristiques initiales de
chaque cohorte ont été répertoriées, ainsi que les modalités de suppléance d’organe,
la durée de séjour, la survie et les limitations et arrêts de thérapeutiques actives.
Nous avons réalisé également une analyse appariée selon l’âge ( -2 ans), le genre,
le SOFA score ( - 2) et le score CFS de fragilité ( - 1) selon un ratio 1 : 2 (1 COVID
pour 2 non COVID) br Résultats et conclusion : 440 patient·es de 80 ans et plus admis·es
en réanimation en France ont été inclus·es dans cette étude : 123 issu·es de la cohorte
COVIP et 317 de la cohorte VIP2. Dans cette étude comparative, parmi les personnes
âgées de 80 ans et plus en France incluses, le groupe COVID est constitué de plus
d’hommes, de personnes moins âgées, d’un score de fragilité plus faible ainsi que
d’une évaluation de l’autonomie plus élevée que dans le groupe non COVID. La cohorte
COVID avait bénéficié de plus de ventilation mécanique par rapport à la cohorte non
COVID, ainsi que de plus de vasopresseurs. Dans l’analyse appariée, il y a 94 patient·es
issu·es de COVIP apparié·es avec 158 patient·es de VIP2. Ces résultats restaient significatifs
après appariement selon les facteurs d’âge, de genre, de SOFA score et de score CFS
de fragilité. Cette étude a montré également un taux plus élevé de limitations et
d’arrêt des thérapeutiques actives dans le groupe COVID par rapport aux non COVID
après appariement. Nous constatons un taux de mortalité plus élevé chez celles atteintes
d’une insuffisance respiratoire aiguë sur infection à SARS-CoV-2 par rapport à celles
atteintes d’insuffisance respiratoire aiguë hors COVID. (59,5 % versus 31,94%).
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
PERSONNE AGEE
infection
coronavirus du SARS
personne âgée
gène CHFR
pandémies
sujet âgé
raisonnement
France
sérieux
profil
effet secondaire associé avec une infection
touble pandémique
supplément oral arginine, omega 3 et nucléotides
personne âgée
français
réanimation
SARS-CoV-2
sévère
COVID-19
réanimation
sujet âgé de 80 ans ou plus
maladie infectieuse
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N2-AUTOINDEXEE
La trachéotomie précoce ou tardive est-elle plus efficace chez les patients atteints
de COVID-19 grave qui devraient nécessiter une ventilation artificielle de longue
durée ?
https://www.cochrane.org/fr/CD015532/HAEMATOL_la-tracheotomie-precoce-ou-tardive-est-elle-plus-efficace-chez-les-patients-atteints-de-covid-19
Principaux messages - Pour les adultes hospitalisés avec COVID-19 sous ventilation
mécanique, la réalisation d'une trachéotomie précoce (où les médecins pratiquent une
incision à travers la peau dans la trachée pour insérer un tube respiratoire) avant
10 jours après le début de la ventilation, pourrait avoir peu ou pas d'effet sur les
décès et le temps passé par les patients sous ventilateur par rapport à une trachéotomie
tardive, réalisée 10 jours ou plus après le début de la ventilation. - Nous ne savons
pas si la trachéotomie précoce améliore ou aggrave l'état des patients ou raccourcit
leur séjour en unité de soins intensifs. - Les chercheurs devraient se mettre d'accord
sur les critères de jugement principaux à utiliser dans la recherche de la COVID-19
; la recherche future devrait se concentrer sur des études bien planifiées avec des
méthodes robustes. Nous pourrions alors tirer des conclusions plus solides sur le
meilleur moment pour la trachéotomie chez les patients atteints de COVID-19 grave.
2023
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
COVID-19
jusqu'à l'efficacité
sévère
quel mois est-ce maintenant ?
ventilation artificielle
COVID-19
incision de la trachée
COVID-19
ventilation
maladie
a comme patient
long terme
trachéotomie
ventilation artificielle
patients
durée
patient
trachéotomie
sérieux
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N3-AUTOINDEXEE
Intoxication alimentaire grave : plusieurs cas de botulisme en lien avec la fréquentation
d’un restaurant à bordeaux
https://sante.gouv.fr/IMG/pdf/dgs-urgent_2023-15_-_intoxication_alimentaire_grave_-_plusieurs_cas_de_botulisme.pdf
Les autorités sanitaires ont été informées de la survenue de 10 cas cliniquement évocateurs
de botulisme alimentaire : une personne est décédée ; 8 personnes sont hospitalisées
(Bordeaux et Ile de France) dont 7 personnes en réanimation ou en unité de Surveillance
continue. Tous les cas ont fréquenté le même établissement à Bordeaux entre le lundi
4 et le dimanche 10 septembre 2023 (Restaurant « TCHIN TCHIN WINE BAR », bar très
prisé de la clientèle anglo-saxonne) et tous les cas ont consommé des sardines en
bocal réalisées par le restaurateur (fabrication artisanale).
2023
Ministère de la Santé et de la Prévention
France
information scientifique et technique
Botulisme d'origine alimentaire
entrepôt
botulisme
caténine delta-1
sérieux
botulisme
Intoxication alimentaire
intoxication alimentaire
Restaurants
Allèle sauvage BCAR1
casse-croute
intoxication alimentaire
caisse (unité de dosage)
intoxications
Allèle sauvage CTNND1
sévère
botulisme
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N3-AUTOINDEXEE
Evaluation et facteurs pronostiques de la qualité de vie à long terme des patients
et des proches, après une hospitalisation pour COVID19 grave, lors de la première
vague de la pandémie: étude QUALICOVID
http://docnum.univ-lorraine.fr/public/MED_T_2023_1088_BONNET_AUDE.pdf
INTRODUCTION : De plus en plus de preuves mettent en évidence les repercussions à
court et moyen terme d’une hospitalisation pour COVID grave sur la qualité de vie
liée à la santé des survivants des unités de soins intensifs. Le but de ce travail
est de quantifier de façon multimodale la qualité de vie à long terme à 2,5 ans des
patients ayant survécu à une forme sévère de COVID19 et de leurs familles, et d'essayer
d'identifier des éléments liés au patient, à la COVID-19, ou à la prise en charge,
qui prédisent la qualité de cette survie. MÉTHODES : Nous avons réalisé une étude
de cohorte prospective sur 68 patients précédemment hospitalisés pour une forme sévère
de pneumopathie ou SDRA COVID en unité de soins intensifs lors de la première vague
de la pandémie, avec évaluation de leur qualité de vie liée à la santé (EQ5D5L), des
déficiences physiques (échelle modifiée du Medical Research Council), mentales (Hospital
Anxiety and Depression Scale, Impact of EventScale-revised), cognitives (Montréal
Cognitive Assessment blind) et professionnelles. Nous avons également évalué les déficiences
mentales de 44 membres de la famille. RÉSULTATS : la mortalité en soin critique, à
l'hôpital et à 2,5 ans dans notre cohorte est respectivement de 32%, 39% et 42%. A
30 mois, l'EQ-VAS médian est de 70 (IQR:50-80). En ce qui concerne les différentes
dimensions de l'EQ5D5L : 34 (50%) patients ont décrit des problèmes en termes de mobilité,
12 (17%) dans la réalisation de leurs soins personnels, 36 (52%) dans les activités
quotidiennes, 45 (65%) ont décrit des douleurs, 28 (41%) des symptômes de dépression
ou d'anxiété. Vingt-et-un (31%) et 16 (23%) patients souffraient respectivement d'anxiété
et de dépression probable à certaine. Huit (12 %) patients présentaient des symptômes
modérés à sévères de stress post-traumatique (SPT). 31 (46%) patients présentaient
des séquelles cognitives légères à sévères. Cinq (12 %) proches présentaient des symptômes
de stress post-traumatique, 4 (10 %) et 23 (53 %) proches présentaient respectivement
une dépression et une anxiété probables ou certaines. En raison d'un manque de puissance
dans notre étude, l'analyse bi-variée n'a pas révélé de facteur de risque pour l'altération
de l'EQ-VAS à 30 mois.CONCLUSION : Il existe une forte altération des différentes
dimensions de la qualité de vie liée à la santé, principalement dans les domaines
de la mobilité, de l'autonomie et des activités habituelles, ainsi que des stigmates
fréquents d'anxiété. Cela ne semble pas spécifique au COVID, mais plus lié à un séjour
prolongé en réanimation pour une pathologie grave. Un axe important de recherche serait
la standardisation des techniques d'évaluation dans le cadre de programmes de recherche
structurés.
2023
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
sévère
Évaluation qualitative
pendant ou après
facteur
étude DICOM
prognostic
hospitalisation
pronostic
le plus proche
études d'évaluation comme sujet
COVID-19
patients hospitalisés
long terme
collecte de données
étude clinique
à l'étude
sérieux
patient hospitalisé
Facteurs pronostiques
guéri ou résolu
près de
a comme patient
qualité de vie
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