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Traductions automatiques par l'ANS : PHYSIQUE; Résistance physique;

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N3-AUTOINDEXEE
Avis conjoint - Une nouvelle disposition de la Loi concernant les soins de fin de vie : aide médicale à mourir et déficience physique grave
https://cms.cmq.org/files/documents/Avis-et-prises-de-position/oiiq-cmq-amm-deficience-physique.pdf
Le 7 mars dernier, une nouvelle disposition de la Loi modifiant la Loi concernant les soins de fin de vie et d’autres dispositions législatives est entrée en vigueur. Elle ouvre l’accès à l’aide médicale à mourir (AMM) à une personne qui a « une déficience physique grave (DPG) entraînant des incapacités significatives et persistantes »2 et qui éprouve « des souffrances physiques ou psychiques persistantes, insupportables et qui ne peuvent être apaisées dans des conditions qu’elle juge tolérables ». L’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) et le Collège des médecins du Québec (CMQ) prévoient de publier des documents visant à guider la pratique des professionnels compétents auprès des personnes qui souffrent d’une DPG. Vous pouvez d’ores et déjà prendre en considération les éléments suivants au moment d’accompagner une personne ayant une DPG qui demande une AMM.
2024
CMQ - Collège des Médecins du Québec
Canada
information scientifique et technique
Vie
infirmité
suicide assisté
infirmité
jugement
Aide médicale
Loi
Soins
conjoints
déficience
Physique
ni en accord ni en désaccord
conjoints
Dispositifs
disposition (psychologie)
dispositif
soins palliatifs
sérieux
sévère
examen physique
dispositif
Medicaid (USA)

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N2-AUTOINDEXEE
Maltraitance physique chez l’enfant. Améliorer le repérage, le diagnostic et la prise en charge dans le secteur de la santé
https://www.academie-medecine.fr/maltraitance-physique-chez-lenfant-ameliorer-le-reperage-le-diagnostic-et-la-prise-en-charge-dans-le-secteur-de-la-sante/
La maltraitance à enfants a longtemps été ignorée. Les récents plans ministériels prévoient de nombreuses mesures de protection dont le déploiement d’unités d’accueil pédiatriques des enfants en danger (UAPED). Malgré toutes ces avancées, le diagnostic reste sous-estimé dans le secteur de la santé avec une prévalence de l’ordre de 1 enfant sur 10 dans les pays à hauts revenus, toutes catégories de maltraitance confondues. La fréquence de décès serait de 1 enfant tous les 5 jours en France. Les violences subies durant l’enfance représentent une lourde perte de chance en termes d’espérance de vie, de santé, de développement et d’insertion. Le rapport est limité aux Maltraitances Physiques chez l’Enfant (MPE) et n’aborde donc pas les maltraitances sexuelles. Le maître-mot est la nécessité d’hospitaliser l’enfant pour une protection immédiate, une évaluation multidisciplinaire, les soins et l’alerte des autorités en temps utile. Les résultats de l’étude montrent une réelle prise de conscience de la MPE dans le secteur pédiatrique. Toutefois, le diagnostic peut être sous-estimé et banalisé chez l’enfant, ce qui signifie que l’étiologie « traumatisme infligé » doit être évoquée largement par le médecin quel que soit son lieu d’intervention. Il y a une amélioration nette de la formation dans ce domaine. Toutefois, le rapport met en évidence une insuffisance persistante des moyens humains dans les secteurs des UAPED, de médecine scolaire, de PMI et de pédopsychiatrie. Le psycho-traumatisme doit être pris en charge à court, moyen et long terme. Le diagnostic différentiel permet d’éliminer toutes les étiologies confondantes tels que traumatisme accidentel, maladie rare ou autres. Tout médecin doit pouvoir être guidé, accompagné et protégé pour les situations de MPE. Les médecins référents « Violences » des conseils départementaux de l’ordre des médecins (CDOM) doivent avoir une compétence dans le domaine de la MPE. L’académie nationale de médecine propose 6 recommandations : une hospitalisation prioritaire de tout enfant victime ou suspect de MPE jusqu’à ce que tous les éléments du diagnostic soient établis ; un renforcement des moyens humains des UAPED en y intégrant un temps de pédopsychiatrie ; un renforcement du repérage des situations à risque dès la maternité ; un renforcement de la protection et de l’accompagnement des médecins afin que ceux-ci n’hésitent plus à signaler les situations de MPE ; l’extension du périmètre du numéro 119 aux médecins et personnels de santé ; la création d’un registre national pour suivre l’épidémiologie et juger de l’efficacité des mesures prises
2024
Académie Nationale de Médecine
France
rapport
repérage
diagnostic
maltraitance des enfants
Physique
Accroître
examen physique
étude diagnostique
gestion des soins aux patients
Sévices
aucun diagnostic
enfant
santé
suivi (localisation)
maladie

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N3-AUTOINDEXEE
Les facteurs de pénibilité physique au travail
https://dares.travail-emploi.gouv.fr/publication/les-facteurs-de-penibilite-physique-au-travail
Si l’enquête Conditions de travail permet d’objectiver les différentes formes de pénibilité auxquelles sont exposés les salariés dans leur travail, elle ne permet d’en mesurer ni l’intensité, ni la durée. C’est la raison pour laquelle aucune référence à des seuils chiffrés d’exposition n’est évoquée dans l'étude Les salariés du privé sont-ils informés des risques liés à leur activité professionnelle et bénéficient-ils de dispositifs de prévention ?. Seule l’appréciation du salarié quant à son exposition à divers risques professionnels est recueillie. En cas de pénibilité physique ressentie, cela peut se traduire par des atteintes à la santé, avec une corrélation entre le niveau de pénibilité d’une part, et l’augmentation des douleurs dues au travail et des accidents de travail d’autre part (éclairage ci-dessous). Les risques professionnels pris en compte dans cette étude sont exclusivement les facteurs de pénibilité physique auxquels les salariés sont confrontés dans l’exercice de leur travail et le « niveau d’exposition » est défini par le nombre de facteurs cumulés.
2024
Ministère du Travail
France
information scientifique et technique
Lieu de travail
métier
travail
travail
Physique
facteur
professions
emploi en informatique
examen physique

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N3-AUTOINDEXEE
Facteurs de risque croisés d’inactivité physique chez les adultes canadiens
https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/82-003-x/2023011/article/00002-fra.htm
Introduction En moyenne, 45 % des adultes canadiens respectent la recommandation préconisant l’accumulation d’au moins 150 minutes d’activité physique d’intensité modérée à vigoureuse par semaine. Cette unique statistique masque une vaste gamme de niveaux de respect de la recommandation parmi différents groupes au sein de la population. La présente étude vise à déterminer comment le sexe, l’âge et la situation familiale recoupent les facteurs de risque connus en matière d’inactivité physique pour cerner, au sein de la population canadienne, les groupes les plus à risque de ne pas suivre la recommandation liée à l’activité physique.
2023
Statistique Canada
Canada
article de périodique
traverser
adulte
examen physique
hybridation génétique
inactivité physique
inactivité
étude croisée
adulte
facteur de risque
facteurs de risque
adulte légalement

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15/05/2024


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