Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Un score total de l'IPSS-R de 2 à 3, indiquant un faible risque.;

Traductions automatiques par l'ANS : Faible risque lié à l'IPSS-R; Catégorie de risque faible de IPSS-R; Faible risque; bas; Scoring international révisé pour la catégorie à faible risque du syndrome myélodysplasique;

CUI Metathesaurus NCI : CL973409;

Détails


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Vous pouvez consulter :


N3-AUTOINDEXEE
Pertinence des consultations et tests préopératoires pour une chirurgie élective à faible risque chez les personnes de 16 ans et plus
https://www.inesss.qc.ca/publications/repertoire-des-publications/publication/pertinence-des-consultations-et-tests-preoperatoires-pour-une-chirurgie-elective-a-faible-risque-chez-les-personnes-de-16-ans-et-plus.html
Lors d’une chirurgie à faible risque, les consultations médicales ou les tests préopératoires engendrent rarement une modification de la prise en charge par l’équipe de soins. Ces demandes, souvent inutiles en contexte préopératoire, génèrent une surutilisation des ressources, des délais et des coûts pour le système de santé et pour le patient. Les demandes de consultations et de tests préopératoires devraient être individualisées selon la condition de santé du patient et les risques associés à la chirurgie. De routine, les consultations médicales et les tests préopératoires ne sont pas recommandés pour les patients devant subir une chirurgie élective à faible risque. Cependant, selon certaines considérations cliniques spécifiques relevées lors de l’appréciation préopératoire de la condition de santé, des consultations médicales ou des tests préopératoires pourraient être envisagés si le résultat est susceptible de modifier la prise en charge périopératoire. Sans se substituer au jugement clinique, le guide publié par l’INESSS devrait permettre aux professionnels de la santé impliqués de mieux cibler les requêtes de consultations médicales et de tests préopératoires pour les chirurgies à faible risque, favorisant ainsi une utilisation pertinente des ressources, une économie de coûts et des bénéfices pour le patient et l’environnement.
2024
INESSS - Institut national d'excellence en santé et en services sociaux
Canada
recommandation professionnelle
consulter
faible risque
intervention chirurgicale
Personna +
système nerveux autonome
Interventions chirurgicales non urgentes
procédures de chirurgie élective
asthénie
Samoa américaines
American College of Cardiology/American Heart Association classificationde score de compléxité des lésions A
personnes
peuple
papillomavirus humain de type 16
orientation vers un spécialiste
analyse de laboratoire
consultants
risque

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N3-AUTOINDEXEE
Que penser des opioïdes pour les douleurs aiguës dans le bas du dos et dans le cou ?
https://minerva-ebp.be/FR/Article/2364
Analyse de Jones CM, Day RO, Koes BW, et al. Opioid analgesia for acute low back pain and neck pain (the OPAL trial): a randomised placebo-controlled trial. Lancet 2023;402:304-12. DOI: 10.1016/S0140-6736(23)00404-X. Erratum in: Lancet 2023;402:612. DOI: 10.1016/S0140-6736(23)01681-1 Question clinique Quelle est l’efficacité et quelle est la sécurité d’emploi des analgésiques opioïdes, par rapport à un placebo, pour le traitement des douleurs lombaires et cervicales aiguës ? Conclusion Cette étude multicentrique randomisée, en double aveugle, contrôlée par placebo, correctement conçue, montre que les opioïdes ne sont pas plus efficaces qu’un placebo dans le traitement des douleurs lombaires et cervicales aiguës. En outre, un risque accru d’abus à long terme a été observé dans le groupe auquel des opioïdes ont été prescrits.
2024
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
lecture critique d'article
agoniste des opiacés
Opioïdes
lombalgie
opioïdes
col vésical
plus bas
Dos
douleur
analgésiques morphiniques
cervicalgie
dessous (objet)
Cou
Dos
douleur aigüe
douleur aigüe
le plus bas
quel mois est-ce maintenant ?
cou

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N2-AUTOINDEXEE
Chirurgie élective à faible risque chez les personnes de 16 ans et plus
https://www.inesss.qc.ca/fileadmin/doc/INESSS/Rapports/Biologie_medicale/INESSS_Pertinence_tests_preop_GUO.pdf
L’usage de routine de consultations ou tests préopératoires pour une chirurgie à faible risque apporte peu ou pas de bénéfices aux patients. Cela peut nuire au patient et engendrer une surutilisation des ressources, notamment par : • des déplacements et visites médicales inutiles; • des découvertes fortuites (incidentalomes/fortuitomes) menant à une cascade de tests sans bénéfices pour le patient; • des délais d’attente et des coûts pour le système de santé et les patients. Les consultations et tests préopératoires ne devraient pas être utilisés pour le diagnostic ou le dépistage d’une nouvelle pathologie ou encore pour compléter l’évaluation de la nécessité de la chirurgie. Sans se substituer au jugement clinique, le présent outil devrait favoriser une utilisation pertinente des ressources, une économie de coûts, et des bénéfices pour le patient et pour l’environnement.
2024
INESSS - Institut national d'excellence en santé et en services sociaux
Canada
recommandation pour la pratique clinique
peuple
faible risque
Samoa américaines
système nerveux autonome
papillomavirus humain de type 16
American College of Cardiology/American Heart Association classificationde score de compléxité des lésions A
risque
personnes
asthénie
Personna +
Interventions chirurgicales non urgentes
intervention chirurgicale
procédures de chirurgie élective

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N3-AUTOINDEXEE
Les résultats à long terme d’une étude randomisée en cas de cancer prostatique localisé de faible risque confirment une survie similaire que le choix thérapeutique soit une surveillance active, la chirurgie ou la radiothérapie
https://www.minerva-ebp.be/FR/Analysis/832
Analyse de Hamdy FC, Donovan JL, Lane JA, et al. Fifteen-year outcomes after monitoring, surgery, or radiotherapy for prostate cancer. N Engl J Med 2023;388:1547‑58. DOI: 10.1056/NEJMoa2214122 Question clinique En cas de cancer de la prostate localisé détecté par une élévation du taux de PSA entre 3 et 20 μg/l chez des hommes âgés de 50 à 69 ans, quel est le meilleur traitement en termes de mortalité par cancer de la prostate : suivi actif, chirurgie ou radiothérapie ? Conclusion Les auteurs concluent qu’après 15 ans de suivi, la mortalité spécifique au cancer de la prostate était faible quel que soit le traitement attribué. Ainsi, le choix du traitement implique de peser les compromis entre les avantages et les inconvénients associés aux traitements du cancer localisé de la prostate. Le choix en cas de cancer prostatique localisé de faible risque avec donc un taux de mortalité faible se fera avec le patient entre 3 possibilités : surveillance active, prostatectomie radicale, radiothérapie prostatique curative.
2023
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
lecture critique d'article
randomisation non clinique
comportement de choix
tumeur maligne localisée
cancer
étude de cas
cancer de la prostate
ACTIVIR
cancer localement avancé
tumeurs de la prostate
risque de cancer
Cancer de la prostate
survie
chirurgie générale
tumeur maligne, sai
American College of Cardiology/American Heart Association classificationde score de compléxité des lésions A
ayant comme résultat
long terme
étude des résultats du cancer de la prostate
radiothérapie
asthénie
Activir
similarité
observation de patient
intervention chirurgicale
casse-croute
observation (surveillance clinique)
série de cas
risque
études par échantillonnage
cas clinique
radiothérapie
faible risque
études de résultat
radiothérapie X
prostate, sai
Choisir
recherche sur les survivants du cancer
Thérapeutique

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N3-AUTOINDEXEE
Dépistage des cancers cutanés en médecine générale: étude qualitative auprès de 12 médecins généralistes bas-normands
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03999150
Introduction : L'incidence des cancers cutanés est en constante augmentation en France. La corrélation entre la précocité du diagnostic, le pronostic et les disparités démographiques des dermatologues plaide en faveur de la participation des médecins généralistes (MG) au dépistage des cancers cutanés. L’objectif de notre étude était de s'interroger sur les facteurs influençant la pratique du dépistage des cancers cutanés par les MG, aussi bien les freins que les facteurs favorisants. Méthode : Une étude qualitative auprès de MG a été menée à l’aide d’entretiens semi-directifs, individuels et de groupe, suivis d’une analyse thématique. Résultats : 12 entretiens ont été menés auprès de MG. Le dépistage était source de difficulté dû au manque de formation et d’expérience et à la difficulté croissante d'accès au dermatologue. Il était considéré non prioritaire par rapport au soin. L’aspect chronophage et l’absence de consultation dédiée freinaient le dépistage. Certains freins étaient médecin-dépendants selon ses représentations et son intérêt pour la dermatologie ; d’autres liés au patient, en particulier l’accès difficile à la peau. Le dépistage était favorisé par l’investissement du MG pour la dermatologie et un lieu d’exercice à forte incidence de cancers cutanés. Les pistes de solutions proposées étaient de développer des consultations dédiées de dépistage en soins primaires. Les MG espéraient le développement du travail en réseaux de soins et l’accès facilité à la télé dermatologie. Discussion : Le déshabillage des patients n’est pas systématique et est souvent partiel. Pourtant essentiel à l’examen clinique, il est nécessaire de ne pas le négliger.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Algérie
Dépistage
le plus bas
Médicament
dépistage du cancer de la peau
plus bas
médecine
étude de dépistage
dessous (objet)
Dépistage de masse
médecins généralistes
peau, sai
recherche qualitative

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N3-AUTOINDEXEE
Après une thrombose veineuse profonde, le port de bas de contention de manière régulière est-il nécessaire pour prévenir le syndrome post-thrombotique ?
https://www.minerva-ebp.be/Theme/Analysis/848
Analyse de Meng J, Liu W, Wu Y, et al. Is it necessary to wear compression stockings and how long should they be worn for preventing post thrombotic syndrome? A meta-analysis of randomized controlled trials. Thromb Res 2023;225:79-86. DOI: 10.1016/j.thromres.2023.03.016 Question clinique Quel est l’effet du port de bas de contention pendant un temps déterminé, par rapport au fait de ne pas porter de bas de contention ou de porter des bas placebo, pour prévenir le syndrome post-thrombotique (SPT) après une thrombose veineuse profonde (TVP) du membre inférieur ? Conclusion Cette synthèse méthodique avec méta-analyse, qui a été correctement menée sur le plan méthodologique, suggère que le port de bas de contention pendant 2 ans après une TVP réduit le risque de syndrome post-thrombotique. Cela repose sur des études cliniquement très hétérogènes et dont les résultats n’étaient pas cohérents. D’après les données disponibles, les preuves d’un effet préventif peuvent donc être considérées comme plutôt faibles. Une étude plus poussée, contrôlée par placebo, est donc certainement nécessaire pour déterminer le bénéfice réel du port de bas de contention en prévention d’un syndrome post-thrombotique et pour savoir chez quels patients, à partir de quel moment et pendant combien de temps après le diagnostic de TVP l’effet le plus important peut être attendu.
2023
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
lecture critique d'article
prévenance
port de données
thrombus
syndrome post-thrombotique
dronabinol
dessous (objet)
Illinois
thrombose
autant que nécessaire
quel mois est-ce maintenant ?
bas de contention
Israël
thrombophlébite profonde
le plus bas
chlorhydrate de ropinirole
maniérisme
plus bas
pendant ou après
Thrombose veineuse profonde
Interleukine
Thrombose veineuse profonde
effet secondaire associé avec syndromes

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03/05/2024


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