Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Une mesure quantitative du poids d'un échantillon biologique.;
Traductions automatiques par l'ANS : Poids de l'échantillon; POIDS; Mesure du poids de l'échantillon;
Identifiant d'origine : C106569;
CUI UMLS : C3827964;
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Type(s) sémantique(s)
N2-AUTOINDEXEE
Les suppléments de calcium aident-ils les personnes en surpoids ou obèses à perdre
du poids ?
https://www.cochrane.org/fr/CD012268/ENDOC_les-supplements-de-calcium-aident-ils-les-personnes-en-surpoids-ou-obeses-perdre-du-poids
Principaux messages - Les suppléments de calcium pourraient entraîner peu ou pas de
différence dans la réduction du poids corporel global chez les personnes en surpoids
ou obèses, par rapport à des suppléments de calcium fictifs (c.-à-d. placebo). - Les
suppléments de calcium entraînent probablement une légère réduction de l'indice de
masse corporelle (IMC) et du tour de taille. - D'autres recherches de haute qualité
sont nécessaires pour mieux comprendre le lien entre les suppléments de calcium et
le poids corporel. Qu'est-ce que l'obésité ? Le surpoids et l'obésité sont définis
comme une accumulation excessive de graisse qui présente un risque pour la santé.
Un indice de masse corporelle (IMC) supérieur à 25 est considéré comme surpoids, et
supérieur à 30 comme obésité. Les personnes en surpoids ou obèses ont un risque plus
élevé d'hypertension artérielle, de maladies cardiovasculaires et de diabète. L'obésité
est un problème de santé significatif à l'échelle mondiale.
2024
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
calcium
calcium alimentaire
personnes
calcium
supplément de calcium
Poids
surpoids
quel mois est-ce maintenant ?
Calcium
poids du corps
peuple
Personna +
surpoids
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N3-AUTOINDEXEE
Poids économique de l'infertilité et évolution du recours aux traitements médicamenteux
https://theses.hal.science/tel-04620536
La prévalence de l'infertilité ne cesse d'augmenter et constitue un réel enjeu de
santé publique, tant par les défis liés au traitement et à la prise en charge qu'elle
suppose que par le poids économique qu'elle engendre. Pourtant les données sur la
prise en charge de l'infertilité, hors aide médicale à la procréation, sont peu nombreuses.
Le recours aux bases de données médico-administratives françaises doit nous permettre
de pallier ce manque. Dans cette thèse, nous avons valorisé le poids économique du
recours au traitement de l'infertilité d'une cohorte de femmes en population générale
et d'une cohorte de femmes ayant eu un cancer pédiatrique (cohorte FCCSS). Nous avons
montré que le coût annuel moyen par femme de la prise en charge de l'infertilité dans
chacune de ces populations était respectivement de 2 018 euros (IC95% : 1 609 ; 2
428) et 2 924 euros (IC95% : 2 133 ; 3 715). Sur une période de suivi de 3,5 ans,
nous avons estimé le poids économique en population générale à 70,0 millions (IC95%
: 57,6 ; 82,4) d'euros pour 10 000 femmes âgées de 18 à 50 ans. Contre toute attente,
une part importante des dépenses observées est liée au traitement médicamenteux de
l'infertilité (citrate de clomifène et gonadotrophines), surtout en début de traitement.
Nous avons analysé le recours à ces deux classes de traitement, d'un point de vue
pharmaco-épidémiologique, entre 2010 et 2017. Nous avons observé une diminution significative
des prescriptions du citrate de clomifène en parallèle d'une augmentation significative
des prescriptions des gonadotrophines. Ces tendances étaient influencées par l'âge,
l'APL et le FDep13. D'autre part, le type de traitement du cancer reçu dans l'enfance
avait un impact significatif sur les dépenses associées à l'infertilité. La radiothérapie
seule était associée à des coûts plus élevés que l'absence de traitement par radiothérapie
ou chimiothérapie. Dans un contexte socio-démographique d'augmentation du recours
au traitement de l'infertilité, cette thèse ouvre la voie à de futurs travaux sur
l'identification des parcours de soins qui permettraient une analyse plus fine du
recours aux traitements de l'infertilité et de ses déterminants.
2024
HAL Archives ouvertes
France
thèse ou mémoire
poids du corps
médicament
économies
pharmacothérapie
infertilité
traitement médicamenteux
évolution
infertilité
Médicaments
traitement médicamenteux
économie
Économie
infertilité
Poids
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N3-AUTOINDEXEE
Effet à long terme d’une modification de l’apport glucidique sur le poids : étude
prospective de 28 ans
https://minerva-ebp.be/FR/Article/2396
Analyse de Wan Y, Tobias DK, Dennis KK, et al. Association between changes in carbohydrate
intake and long term weight changes: prospective cohort study. BMJ 2023;382:e073939.
DOI: 10.1136/bmj-2022-073939 Question clinique Comment les variations dans l'apport
en glucides influencent-elles la tendance à la prise de poids à long terme dans une
population générale ? Conclusion Cette étude, méthodologiquement rigoureuse et menée
sur une large cohorte de soignants, montre une association statistiquement significative
entre la consommation de glucides et une prise de poids durable et maintenue dans
le temps à partir de la cinquantaine. Cette prise de poids reste cependant variable
selon la source et la quantité de glucides. Toutefois, la généralisation de ces résultats
nécessite une exploration plus approfondie, et il serait bénéfique de conduire des
études supplémentaires pour valider ces conclusions sur des populations diversifiées.
2024
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
lecture critique d'article
études prospectives
glucides
long terme
modification
effet, apparence
Antigua-et-Barbuda
maltodextrine
études prospectives
système nerveux autonome
résultat de la thérapie
Effets à long terme
glucides
Poids
hydrates de carbone
poids du corps
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N3-AUTOINDEXEE
Quelle est l’efficacité des interventions comportementales visant le contrôle du poids
chez les adultes en première ligne ?
https://minerva-ebp.be/FR/Article/2344
Analyse de Madigan CD, Graham HE, Sturgiss E, et al. Effectiveness of weight management
interventions for adults delivered in primary care: systematic review and meta-analysis
of randomised controlled trials. BMJ 2022;377:e069719. DOI: 10.1136/bmj-2021-069719
Question clinique Chez les adultes ayant un BMI 25, quelle est, en termes de diminution
du poids après 12 mois, l’efficacité des interventions comportementales visant le
contrôle du poids qui sont proposées en première ligne, comparées à l’absence d’intervention,
à une intervention minimale ou à un groupe témoin avec attention ? Conclusion Cette
revue systématique avec méta-analyse de RCTs montre que les interventions relatives
au mode de vie qui sont proposées dans la pratique de première ligne peuvent conduire
à une perte de poids à un an, limitée mais statistiquement significative. L’intervention
doit être intensive, avec au moins 12 contacts, et les patients doivent être motivés
pour effectivement suivre le programme. L’effet diminue avec le temps, mais reste
statistiquement significatif pendant deux ans. Cette synthèse méthodique est de qualité
modérée ; ses résultats sont similaires à ceux des précédentes méta-analyses portant
sur cette question.
2023
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
lecture critique d'article
adulte légalement
ligne
thérapie comportementale
contrôle scientifique
quel mois est-ce maintenant ?
Contrôle du comportement
Poids
intervention comportementale
efficacité des interventions
groupes témoins
line unité de longueur
adulte
comportement
contrôle d'une étude
poids du corps
maladie sous contrôle
Rendement
contrôler
adulte
Contrôler
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N3-AUTOINDEXEE
Consulter quand on est gros-se : la place du poids
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04440017
Introduction : la Haute Autorité de Santé a publié des recommandations en 2011 sur
le repérage et le traitement du surpoids et de l’obésité de l’adulte en soins de premier
recours, où le calcul de l’indice de masse corporelle est au centre de la prise en
charge. En 2017, Gras Politique a publié en ligne un document d’aide à la consultation
de santé pour les personnes grosses. Un des axes de critique concerne l’abord systématique
du poids en consultation, quel que soit le motif de recours aux soins. L’objectif
de cette étude était d’explorer les facteurs qui pouvaient influencer le vécu des
consultations médicales par les personnes grosses, aussi bien dans les consultations
qu’en-dehors. br Matériels et Méthodes : dix-huit personnes grosses âgées de 20 à
49 ans ont participé chacune à un entretien individuel semi structuré. Les données
ont été analysées en théorie ancrée. br Résultats : deux axes se sont dégagés : d’une
part, les personnes grosses savaient qu’elles étaient grosse et que cela les rendait
visibles, ce qui semblait être le point de départ des discriminations qu’elles pouvaient
subir, mais dans l’ensemble elles vivaient plutôt bien leurs corps et dans leurs corps
; d’autre part, dans la situation de consultation médicale, s’est révélée une différence
entre la temporalité médicale et le cheminement personnel des patient-es, et une absence
de consensus concernant les objectifs de soins, ce qui rendait certaines consultations
inconfortables. En fait, de nombreuses personnes grosses ont subi des expériences
traumatiques de l’enfance et l’alimentation pouvait parfois être une stratégie pour
ne pas ressentir le trauma et ses effets. La méconnaissance par les médecins de ce
facteur de maintien de surpoids et d’obésité rendait difficile la relation thérapeutique
et l’adhésion aux soins. Les participant-es ont proposé des conseils pour apaiser
la relation thérapeutique. br Discussion : une prise en charge des patient-es dans
leur globalité, y compris les antécédents d’expériences traumatiques de l’enfance,
semble indispensable à l’amélioration de la relation thérapeutique et de l’adhésion
aux soins.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
consultants
Poids
poids du corps
placement
orientation vers un spécialiste
consulter
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