Libellé préféré : infertilité;
Synonyme SNOMED : non fertile; infertile; infécond; infécondité;
Identifiant d'origine : F-80410;
CUI UMLS : C0021359;
Alignements automatiques CISMeF supervisés
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Correspondance SNOMED CT
Correspondances UMLS (même concept)
Décrit
Type(s) sémantique(s)
- Fait [Type sémantique UMLS]
Voir aussi inter- (CISMeF)
N3-AUTOINDEXEE
Quelle est la meilleure thérapie pour les femmes qui produisent trop d'ovules lorsqu'elles
suivent un traitement d’infertilité ?
https://www.cochrane.org/fr/CD006606/CENTRALED_quelle-est-la-meilleure-therapie-pour-les-femmes-qui-produisent-trop-dovules-lorsquelles-suivent-un
Principaux messages - Nous ne savons pas si la maturation in vitro (faire pousser
des ovules immatures en dehors du corps jusqu'à ce qu'ils soient suffisamment matures
pour la fécondation) est meilleure que la fécondation in vitro (traitement où les
ovules sont fécondés avec du sperme en laboratoire) pour augmenter les naissances
vivantes et les grossesses chez les femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques
(où les ovaires ne produisent pas adéquatement les ovules) qui suivent un traitement
d’infertilité. - La maturation in vitro augmente le nombre de fausses couches et réduit
le syndrome d'hyperstimulation ovarienne (affection douloureuse dans laquelle les
ovaires produisent trop d'ovules) chez les femmes atteintes du syndrome des ovaires
polykystiques par rapport à la fécondation in vitro. - Il y a peu ou pas de différence
dans les naissances prématurées (avant la date prévue) et le développement du bébé
dans l'utérus, mais des études supplémentaires sont nécessaires.
2025
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
Femmes
infertilité
infertilité
ovule
thérapie
---
N2-AUTOINDEXEE
Prise en charge médicale du désir d'enfant et traitement de l'infertilité (PMA)
https://conseil-scientifique.public.lu/fr/publications/perinat/prise-en-charge-medicale-du-desir-d-enfant-et-traitement-de-l-infertilite-pma-2024.html
https://conseil-scientifique.public.lu/fr/publications/perinat/prise-en-charge-medicale-du-desir-d-enfant-et-traitement-de-l-infertilite-pma-arbre-decisionnel-2024.html
L’OMS souligne que « chaque être humain a le droit de jouir du meilleur état de santé
physique et mental possible. Ainsi les individus et les couples ont le droit de décider
du nombre d’enfants qu’ils souhaitent, du moment auquel les avoir et de l’écart entre
eux. Or l’infertilité peut empêcher la concrétisation de ces droits humains essentiels.
La lutte contre l’infertilité apparait dès lors comme un élément majeur de la réalisation
du droit des personnes et des couples à fonder une famille ». L’OMS définit l’infertilité
comme l’impossibilité d’être enceinte après 12 mois de rapports sexuels réguliers
et non protégés. (OMS, 2020 et 2023) La fertilité de la femme diminue avec l’âge et
ce facteur doit être pris en compte dans le délai de prise en charge et les méthodes
d’aide à la procréation proposées. (JAMA, 2021) Mais les couples ne consultent pas
systématiquement lorsqu’un désir d’enfant n’est pas satisfait, laissant parfois passer
le moment où une prise en charge a le plus de chances d’aboutir à une naissance. (Duron,
2013).
2024
Conseil Scientifique du Luxembourg
Luxembourg
recommandation professionnelle
allèle sauvage NCKIPSD
enfant
infertilité
infertilité
techniques de reproduction assistée
acétate tétradécanoylphorbol
4-méthoxyamphétamine
gestion des soins aux patients
enfant
infertilité
---
N2-AUTOINDEXEE
Prise en charge médicale du désir d'enfant et traitement de l'infertilité (PMA) -
version patients
https://conseil-scientifique.public.lu/fr/publications/perinat/prise-en-charge-medicale-du-desir-d-enfant-et-traitement-de-l-infertilite-pma-version-patients-2024.html
L’infortune d’un désir de grossesse non satisfait n’est pas rare. Dans les pays industrialisés,
12-15% des couples n’arrivent pas à concevoir après un an d’activité sexuelle régulière.
Si une information précise et quelques mesures simples peuvent apporter une grande
aide à courte échéance, il faut savoir que dans bien des cas, des investigations spécifiques
et des thérapies complexes doivent être proposées, afin de tenter l’obtention d’une
grossesse. Créé en 2005, le Laboratoire National de Procréation Médicalement Assistée
réalise plus de 600 ponctions par an depuis 2016. Notre service dispose des moyens
diagnostics et thérapeutiques pour prendre en charge le couple infertile. Ainsi, les
médecins spécialisés en médecine de reproduction vous prennent en charge en étroite
collaboration avec votre gynécologue habituel.
2024
Conseil Scientifique du Luxembourg
Luxembourg
information patient et grand public
infertilité
enfant
gestion des soins aux patients
a comme patient
acétate tétradécanoylphorbol
infertilité
4-méthoxyamphétamine
enfant
allèle sauvage NCKIPSD
infertilité
patient
techniques de reproduction assistée
patients
---
N3-AUTOINDEXEE
Poids économique de l'infertilité et évolution du recours aux traitements médicamenteux
https://theses.hal.science/tel-04620536
La prévalence de l'infertilité ne cesse d'augmenter et constitue un réel enjeu de
santé publique, tant par les défis liés au traitement et à la prise en charge qu'elle
suppose que par le poids économique qu'elle engendre. Pourtant les données sur la
prise en charge de l'infertilité, hors aide médicale à la procréation, sont peu nombreuses.
Le recours aux bases de données médico-administratives françaises doit nous permettre
de pallier ce manque. Dans cette thèse, nous avons valorisé le poids économique du
recours au traitement de l'infertilité d'une cohorte de femmes en population générale
et d'une cohorte de femmes ayant eu un cancer pédiatrique (cohorte FCCSS). Nous avons
montré que le coût annuel moyen par femme de la prise en charge de l'infertilité dans
chacune de ces populations était respectivement de 2 018 euros (IC95% : 1 609 ; 2
428) et 2 924 euros (IC95% : 2 133 ; 3 715). Sur une période de suivi de 3,5 ans,
nous avons estimé le poids économique en population générale à 70,0 millions (IC95%
: 57,6 ; 82,4) d'euros pour 10 000 femmes âgées de 18 à 50 ans. Contre toute attente,
une part importante des dépenses observées est liée au traitement médicamenteux de
l'infertilité (citrate de clomifène et gonadotrophines), surtout en début de traitement.
Nous avons analysé le recours à ces deux classes de traitement, d'un point de vue
pharmaco-épidémiologique, entre 2010 et 2017. Nous avons observé une diminution significative
des prescriptions du citrate de clomifène en parallèle d'une augmentation significative
des prescriptions des gonadotrophines. Ces tendances étaient influencées par l'âge,
l'APL et le FDep13. D'autre part, le type de traitement du cancer reçu dans l'enfance
avait un impact significatif sur les dépenses associées à l'infertilité. La radiothérapie
seule était associée à des coûts plus élevés que l'absence de traitement par radiothérapie
ou chimiothérapie. Dans un contexte socio-démographique d'augmentation du recours
au traitement de l'infertilité, cette thèse ouvre la voie à de futurs travaux sur
l'identification des parcours de soins qui permettraient une analyse plus fine du
recours aux traitements de l'infertilité et de ses déterminants.
2024
HAL Archives ouvertes
France
thèse ou mémoire
poids du corps
médicament
économies
pharmacothérapie
infertilité
traitement médicamenteux
évolution
infertilité
Médicaments
traitement médicamenteux
économie
Économie
infertilité
Poids
---
N3-AUTOINDEXEE
Infertilité, protocoles et traitements d'assistance médicale à la procréation. Enquête
sur les connaissances du pharmacien d'officine
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03882021
L’OMS décrit à ce jour l’infertilité comme une pathologie du système reproducteur
définie par l’impossibilité d’obtenir une grossesse après 12 mois de rapports sexuels
non protégés. En France, 15 à 25% des couples hétérosexuels sont concernés par des
difficultés à concevoir. Dans certains cas, l’infertilité du couple peut se résoudre
en améliorant son hygiène de vie et en l’aidant à mieux comprendre la biologie de
la reproduction pour concevoir aux moments opportuns. Mais certaines causes nécessitent
une aide médicale à la procréation (AMP). Le diagnostic de l’infertilité au sein du
couple est souvent difficile à vivre et à accepter, et l’AMP devient le seul moyen
de pouvoir procréer. L’attente, les examens, les traitements parfois très lourds rendent
les parcours AMP anxiogènes et complexes en termes de charge physique et psychologique
pour les patients. Le pharmacien d’officine reste à ce jour le seul professionnel
de santé disponible tous les jours sans rendez-vous. Il représente un élément clé
de l’équipe médicale autour des patients : il doit être capable de les conseiller
en termes d’hygiène de vie, de les aider à choisir les thérapies complémentaires à
leur traitement et doit savoir répondre à leurs interrogations. Pour tenir ce rôle
précieux, le pharmacien d’officine doit disposer de toutes les connaissances suffisantes
concernant la biologie de la reproduction, la santé nutritionnelle et les traitements
utilisés dans les protocoles d’AMP. De plus, la révision de la loi bioéthique, publiée
en août 2021 et appliquée à partir de fin septembre 2021, rend possible l’accès à
l’AMP pour les couples de femmes ainsi que les femmes célibataires. L’inclusion de
ces femmes devrait considérablement augmenter le nombre de patients ayant recours
à une AMP en France. En effet, près de 3000 femmes ont déjà fait une demande en centre
d’AMP. Le pharmacien d’officine serait ainsi d’autant plus sollicité sur le sujet
de l’infertilité, de la procréation et de l’AMP. L’objectif de cette thèse est de
faire le point sur les connaissances actuelles des pharmaciens d’officine sur la biologie
de la reproduction, l’infertilité et l’AMP. Elle permettra également de rappeler ces
connaissances fondamentales afin d’accompagner au mieux les patients rencontrant des
difficultés à concevoir qu’ils soient en parcours d’AMP ou pas.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
collecte de données
infertilité
pharmaciens
enquêteur
assistant médical
pharmacien
Assistance médicale à la procréation
connaissance
infertilité
Savoir
techniques de reproduction assistée
connaissance
---
N3-AUTOINDEXEE
Composés perfluoroalkylés et santé reproductive masculine : est-ce que le PFOA et
le PFOS augmentent le risque d’infertilité ?
https://www.yearbook-ers.jle.com/e-docs/composes_perfluoroalkyles_et_sante_reproductive_masculine_est_ce_que_le_pfoa_et_le_pfos_augmentent_le_risque_dinfertilite__322281/yb_breve.phtml
L’acide perfluoro-octanoïque (PFOA) et l’acide perfluoro-octane-sulfonique (PFOS)
de la famille de substance alkyls per- et polyfluorés, ou PFAS, constituent un vaste
groupe de composés largement utilisés depuis les années 1950 dans l’industrie pour
traiter les produits manufacturés du quotidien et accroître leur résistance aux processus
de dégradation. Les études épidémiologiques ont montré un probable accroissement du
risque pour de nombreux effets sanitaires (maladie thyroïdienne, taux de cholestérol
élevé, cancer du rein, des testicules et de la prostate, immunotoxicité, métabolisme,
maladie reproductive, etc.) associé à l’exposition à ces substances. Le poids des
preuves déterminant la plausibilité des hypothèses étiologiques varie en fonction
de la spécificité des propriétés physicochimiques de la substance au sein de sa famille
et des effets considérés. La plupart des études d’imprégnation ont montré une exposition
ubiquitaire de la population générale. Les études sur cohorte danoise et japonaise
présentent des corrélations entre imprégnation aux PFOS/PFOA des mères participantes
et des faibles poids à la naissance de leurs enfants. Le passage transplacentaire
mène à des effets toxiques au cours du développement embryonnaire et peut perturber
le développement fœtal des organes reproducteurs masculins. Ces expositions pourraient
être à l’origine fœtale de la dégradation de l’infertilité de l’adulte notamment par
des mécanismes épigénétiques.
2022
John Libbey Eurotext
France
article de périodique
résumé ou synthèse en français
santé masculine
acide perfluorooctanoïque
acide perfluorooctane sulfonique
asteraceae
sexe masculin, sai
infertilité
risque
infertilité
santé reproductive
---
N3-AUTOINDEXEE
Prise en charge de l’infertilité à l’officine
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03203717
Cette thèse porte sur la prise en charge de l’infertilité en officine et plus particulièrement
de la place du pharmacien d’officine dans le parcours de l’assistance médicale à la
procréation. L’infertilité : un sujet qui préoccupe de plus en plus les couples. Un
couple sur sept sera amené à consulter une fois dans sa vie pour problème d’infertilité
et un couple sur dix suit un traitement pour son infertilité. Ce travail de thèse
a pour objectif d’étudier dans quelles mesures le pharmacien d’officine peut trouver
sa place dans le parcours de l’assistance médicale à la procréation (PMA). La PMA
prend une part de plus en plus importante dans la prise en charge de ces couples et
en tant que pharmacien d’officine, nous en dispensons les traitements. Cette thèse
expose des traitements permettant de pallier certaines difficultés de conception et
permettant aux couples de pouvoir procréer ainsi que les conseils associés. De plus,
grâce à la réalisation et la diffusion d’un questionnaire aux professionnels de la
pharmacie, il est mis en lumière la nécessité d’une formation dispensée aux pharmaciens
d’officine, car ceux-ci ont un rôle essentiel dans le parcours de santé de la procréation
médicalement assistée : il peut être celui qui détecte une anomalie et oriente vers
un spécialiste adapté, il est auprès des patients engagés dans un parcours de PMA
pour orienter en cas d’effets indésirables ou de questions que pourraient se poser
les couples, il leur permet aussi d’avoir accès aux traitements malgré des contraintes
de temps et de conservation de ceux-ci et conseille aussi sur la prise de ces traitements.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
infertilité
gestion des soins aux patients
infertilité
---
N3-AUTOINDEXEE
Prise en charge de l'infertilité en médecine générale dans le sud des Hauts-de-France
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/view/index/docid/3280835
Introduction : un couple est considéré comme infertile après 12 mois de rapports sexuels
réguliers sans contraception, n'ayant abouti à une grossesse, chez les couples en
âge de procréer. 14% des couples français consultent pour un désir d'enfant. Le médecin
généraliste est un acteur important de leur prise en charge, via sa pratique de la
médecine dans sa globalité. Matériel et méthodes : l’objectif principal de cette étude
observationnelle, descriptive, transversale et quantitative, était de déterminer la
prise en charge réalisée par les médecins généralistes du sud des Hauts de France
lors d’une consultation pour infertilité. 264 questionnaires ont été envoyés par email.
Résultats : 110 réponses ont été reçues. 66,4% des médecins réalisaient un examen
clinique lors des consultations, et 24,7% réalisaient un examen gynécologique. 79,1%
prescrivaient des examens complémentaires. 3,6% des médecins considéraient avoir assez
de formation sur le sujet de l’infertilité, et 43,6% en souhaitaient davantage. Discussion
: les médecins généralistes suivaient en majorité les recommandations quant à l’interrogatoire
à réaliser, ainsi que pour l’examen clinique. Cependant, l’examen gynécologique chez
la femme était peu réalisé. Les examens complémentaires à prescrire étaient bien demandés,
hormis l’hystérosalpingographie. La plupart des médecins avaient le ressenti de ne
pas avoir assez de formation, et les formations en ligne ont été sollicitées pour
y remédier. Conclusion : les médecins généralistes du sud des Hauts de France initient
correctement les prises en charge en réalisant un bilan de « débrouillage » avant
la suite de la prise en charge par les spécialistes.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
infertilité
médecine générale
Médecins
France
France
France
France
gestion des soins aux patients
France
français
infertilité
---
N3-AUTOINDEXEE
La prévention primaire de l’infertilité en médecine Générale
https://athena.u-pec.fr/primo-explore/search?query=any,exact,998025823204611&vid=upec
La prévention primaire de l’infertilité (PPI) est une des stratégies de préservation
de la santé reproductrice à développer. L’objectif de notre recherche était de définir
les influences et les modalités des actions de PPI adaptées à la pratique de la médecine
de ville et de déterminer l’intérêt et les conditions de réalisation d’une consultation
dédiée de PPI (CDPPI). Une étude quantitative a été menée auprès des MSP, centre de
PMI/CPEF, cabinets de ville d’Île-de-France pendant 3 mois. 89 MG de 8 départements
ont répondus à un questionnaire anonyme. 56.2% des MG réalisaient des actions de PPI
en ville. La formation/l’expérience professionnelle dans un domaine en rapport avec
l’infertilité était un facilitateur de la démarche de prévention. Les actions de PPI
jugées réalisables par les MG étaient des actions de prévention qu’ils effectuaient
pour d’autres maladies chroniques. Les actions de PPI jugées peu réalisables remettaient
en cause les comportements attendus venant des MG par les instances pédagogiques.
Les interventions excluaient souvent les adolescents et les patients sans FDR d’infertilité.
Des stigmates du tabou de l’infertilité demeuraient dans la population étudiée comme
dans la population générale. Une majorité de MG était favorable à l’introduction d’une
CDPPI valorisée et ciblée. Cette étude a permis de mettre en perspective les ajustements
nécessaires à l’adaptation des attitudes des MG aux besoins des patients et aux recommandations
concernant la PPI. Elle présente les facettes d’une action complémentaire à l’AMP
pour refreiner le problème grandissant de l’infertilité et dont les enjeux socio-économico-éthiques
tiennent de la responsabilité des MG.
2021
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
infertilité
principal
médecine préventive
prévention primaire
médecine générale
infertilité
Médecins
---
N2-AUTOINDEXEE
Avis sur le projet de loi relatif à la bioéthique Assistance Médicale à la Procréation.
Accès aux origines. Protection de l’enfant. Protection des couples infertiles. Exclusion
de tout eugénisme
https://www.academie-medecine.fr/avis-sur-le-projet-de-loi-relatif-a-la-bioethique-assistance-medicale-a-la-procreation-acces-aux-origines-protection-de-lenfant-protection-des-couples-infertiles-exclusion-de-tout-eugenis/
Le projet de loi relatif à la bioéthique adopté par l’Assemblée Nationale en deuxième
lecture le 31 juillet 2020 doit prochainement être présenté au Sénat en deuxième lecture.
Les principaux chapitres et articles qui ouvrent de nouvelles possibilités soumises
au débat éthique concernent notamment : – L’accès à la procréation médicale assistée
pour tout couple formé de deux femmes ou pour toute femme non mariée. – La potentialité
de réaliser une autoconservation ovocytaire ou d’avoir recours à une conservation
d’embryon, lors d’une fécondation in vitro, dans l’intention de réaliser ultérieurement
le projet parental. – La possibilité pour les bénéficiaires d’AMP avec tiers donneur
d’obtenir les données « non identifiantes »[1] concernant le donneur après la naissance
de l’enfant issu d’un don. – L’accès, pour toute personne majeure conçue par AMP avec
tiers donneur, sur sa demande, à l’identité et aux données non identifiantes de ce
tiers donneur. Lequel ne peut procéder au don de gamètes ou d’embryon qu’après avoir
donné son consentement à la communication ultérieure de son identité et des données
non identifiantes au moment du don. Le recueil d’un consentement préalable des tiers
donneurs antérieur à l’application de la présente loi sera requis avant communication
de ces données – Dans le cas où, avec le consentement du couple ou de la femme non
mariée, des embryons sont conservés à des fins de recherche, la mise en place d’un
délai de cinq ans au terme duquel il est mis fin à cette conservation si ces embryons
n’ont pas été inclus dans un protocole.
2021
Académie Nationale de Médecine
France
information scientifique et technique
Enfant
Loi
Enfant
protection de l'enfance
Enfant
enfant
bioéthique
eugénisme
caractéristiques familiales
assistant médical
Assistance médicale à la procréation
Enfant
Enfant
techniques de reproduction assistée
Couples
infertilité
---
N2-AUTOINDEXEE
Recommandations de l’AFU et de la SALF concernant l’évaluation de l’homme infertile
https://www.urofrance.org/recommandation/recommandations-de-lafu-et-de-la-salf-concernant-levaluation-de-lhomme-infertile/
Contexte Ces recommandations communes de l’Association Française d’Urologie (AFU)
et de la Société d’Andrologie de Langue Française (SALF) ont pour objectif de fournir
des directives pratiques à la communauté urologique et andrologique Française concernant
l’évaluation des hommes infertiles. Matériel et méthodes Recherche bibliographique
dans PubMed en utilisant les mots-clés «male infertility», «diagnosis», «management»
et «evaluation» limitée aux articles cliniques en anglais et en français antérieurs
au 1/01/2020. Pour renseigner le niveau de preuves, le système de gradation de l’HAS
(2013) a été appliqué.
2021
Urofrance - Association Française d'Urologie
France
recommandation pour la pratique clinique
article de périodique
infertilité
Homme
Homme
humains
Homme
Homme
Homme
Homme
Homme
études d'évaluation comme sujet
directives de santé publique
Homme
homo sapiens
Homme
---
N3-AUTOINDEXEE
Vécu des femmes infertiles atteintes d’endométriose, à travers l’étude de forum
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03148508
Objectifs : étude qualitative du vécu des femmes infertiles atteintes d’endométriose
à travers les forums de discussion en ligne. Méthodes : étude qualitative menée sur
des forums de discussion francophones sur internet auxquels participent les femmes
infertiles atteintes d’endométriose. Résultats : au total, 82 commentaires ont été
analysés, provenant de 64 femmes sur 7 forums de discussion francophones. Quatre thématiques
ont émergé à partir du partage d’expérience de ces femmes : impact psychologique,
impact sur le couple et la sexualité, conséquences sur les relations sociales et impact
professionnel. Les forums sont perçus comme une aide apportant à la fois un soutien
psychologique et un outil précieux d’accès à de l’information sur leur pathologie.
Conclusion : l’étude des forums de discussion a montré des répercussions psycho-sociales
et sur le couple dans le vécu des femmes infertiles souffrant d’endométriose. Ces
impacts ont déjà été largement décrit dans la littérature, mais semble encore insuffisamment
pris en charge par les soignants. Dans cette population, les forums de discussion
semblent avoir un rôle bénéfique de soutien. L’impact professionnel de l’endométriose
mériterait d’être plus étudié et mieux connu par les entreprises.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
infertilité
endométriose
endométriose
Endométriose
Femelle
collecte de données
Femmes
Femelle
femmes
---
N1-SUPERVISEE
Infertilité
https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/infertility
L’infertilité est une affection du système reproducteur masculin ou féminin définie
par l’impossibilité d’aboutir à une grossesse après 12 mois ou plus de rapports sexuels
non protégés réguliers. L’infertilité touche des millions de personnes en âge de procréer
dans le monde et a une incidence sur leur famille et leur communauté. On estime qu’entre
48 millions de couples et 186 millions de personnes sont touchés par l’infertilité
dans le monde. Chez l'homme, l'infertilité est le plus souvent causée par des problèmes
d’excrétion du liquide séminal, l’absence ou de faibles niveaux de spermatozoïdes,
ou encore une anomalie au niveau de la forme et du mouvement des spermatozoïdes.
Chez la femme, l’infertilité peut être due à toute une série d’anomalies des ovaires,
de l’utérus, des trompes de Fallope et du système endocrinien, entre autres.
2020
false
false
false
false
OMS - Organisation Mondiale de la Santé
Suisse
infertilité féminine
infertilité masculine
infertilité féminine
infertilité masculine
information patient et grand public
infertilité
---
N3-AUTOINDEXEE
Connaissances et perceptions des expositions toxiques pour la reproduction chez les
couples infertiles pris en charge en assistance médicale à la procréation
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03148521
Introduction : l’identification des facteurs pouvant altérer la fertilité, y compris
les expositions reprotoxiques (ER), permet d’optimiser les chances de grossesse. Objectif
: analyser les connaissances des couples sur les ER, leur perception de leurs expositions,
et la corrélation entre les expositions perçues et réelles. Matériels et méthodes
: entre mars 2016 et novembre 2017, inclusion des couples en consultation pré-AMP
intraconjugale. Avant la consultation : auto-questionnaire anonyme individuel évaluant
la connaissance des reprotoxiques, les sources d’information, la perception d’une
exposition personnelle. En consultation, expositions évaluées par un questionnaire
standardisé. Corrélation des expositions perçues avec les expositions détectées. Résultats
: inclusion de 390 patient(e)s. Taux de connaissances sur les reprotoxiques 6919
bonnes réponses/11310 (61%). Facteurs reprotoxiques professionnels moins bien connus
que les facteurs alimentaires et d’habitus (58% vs 62% et 64%, p 0,71). 44% des patient(e)s
n’avaient jamais entendu parler des reprotoxiques. Pour les autres, sources d’information
principales médias (40%), internet (22%), gynécologues (15%). Patient(e)s percevant
une ER 141/390 (36%) ; ER retrouvée chez 112/141 (79%). Patient(e)s percevant une
absence d’ER 82/390 (21%) ; ER retrouvée chez 50 (61%) d’entre eux. Patient(e)s
sans avis sur leur ER 167/390 (43%); ER retrouvée chez 103/167 (62%). Les facteurs
reprotoxiques les moins bien connus étaient : chaleur (27%), ciment (24%), vibrations
(13%) et la sédentarité (18%). Au total, seuls 141/265 patient(e)s exposé(e)s étaient
conscient(e)s de leur ER. Conclusion : chez les couples infertiles, amélioration possible
des connaissances sur leurs ER notamment professionnelles. Importance d’améliorer
la formation médicale sur les facteurs environnementaux reprotoxiques.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
caractéristiques familiales
Exposition
gestion des soins aux patients
assistant médical
Savoir
perception
infertilité
Perception
Assistance médicale à la procréation
Perception
perception
connaissance
reproduction
toxiques
effets de l'exposition à un agent externe
techniques de reproduction assistée
Couples
connaissance
---
N3-AUTOINDEXEE
Etude du recours, de l’accès et de l’abandon des traitements de l’infertilité à partir
des données du Système National des Données de Santé
https://www.theses.fr/2020UPASR014
Plus de 50 millions de couples souffrent d’infertilité dans le monde. Dans les pays
développés, la progression de l’infertilité est due principalement au report de l’âge
à la parentalité. La prise en charge de l’infertilité se décompose en deux grandes
étapes : les traitements d’induction de l’ovulation et les techniques d’assistance
médicale à la procréation (AMP), qui sont respectivement les traitements de première
et de seconde intention. Les traitements d’AMP sont relativement bien connus alors
que les inductions de l’ovulation restent peu explorées du fait de l’absence de sources
de données pour les étudier. L’objectif est d’étudier les traitements de l’infertilité
en considérant à la fois les traitements d’induction de l’ovulation et les traitements
d’AMP. Pour cela, nous avons utilisé les données de l’assurance maladie française
qui sont aujourd’hui accessibles à la recherche, notamment via l’échantillon généraliste
des bénéficiaires (EGB) et le Datamart de Consommation Inter-Régime (DCIR). Notre
objectif se décline en trois axes. Axe 1 : En France un couple 1 sur 4 ne parvient
pas à obtenir une grossesse après 12 mois d’essai. Mais quelle est la proportion de
femmes traitées pour infertilité ? Le recours global aux traitements de l’infertilité
est méconnu en France et dans le monde. Nous avons mesuré le recours annuel aux traitements
de l’infertilité. Chaque année, entre 2008 et 2017, 1,25% des femmes de 20-49 ans
ont été traitées pour infertilité en France.Derrière un taux très stable sur la décennie,
se cache une augmentation de 24% du recours chez les femmes de 34 ans et plus. Axe
2 : Les coûts des traitements de l’infertilité sont pris en charge à 100 % par l’assurance
maladie en France. Cependant, la littérature internationale suggère l’existence possible
d’un non-accès à l’AMP, même en cas de couverture des coûts. Dans notre étude, nous
avons mis en évidence que 70% des femmes en échec d’induction de l’ovulation n’accédaient
pas à la FIV. Le désavantage social, la défavorisation de la zone de résidence, les
âges jeunes et les âges avancés augmentent le risque de non-accès à la FIV. Axe 3
: Le dernier axe aborde l’abandon précoce des traitements d’infertilité (durant le
premier trimestre suivant l’initiation de l’induction de l’ovulation). Le taux d’abandon
précoce de l’induction de l’ovulation a été estimé à 30%. Une analyse stratifiée sur
le type d’inducteur et de prescripteur a mis en évidence qu’une bonne prise en charge
ou suivi diminuent les risques d’abandon tandis que l’âge avancé augmente ce risque.
Par ailleurs, il existe une forte interaction entre le type d’inducteur et de prescripteur
et la prise charge. La question des inégalités sociales est souvent un angle mort
de la prise en charge de l’infertilité qu’il apparaît essentiel d’investiguer dans
de nouvelles recherches.
2020
theses.fr
France
thèse ou mémoire
Systèmes de données
infertilité
Étudiants qui abandonnent leurs études
Santé
Abandon des soins par les patients
infertilité
---
N2-AUTOINDEXEE
Maladies thyroïdiennes et infertilité chez la femme: revue de la littérature
http://www.sudoc.fr/236793888
Introduction : l'infertilité est définie comme une incapacité à concevoir malgré 12
mois de rapports sexuels réguliers selon l'OMS. Ces dernières années, plusieurs études
ont suggéré un lien de causalité entre la présence de maladies thyroïdiennes et l'infertilité
féminine. L'impact de l'hypothyroïdie subclinique (TSH comprise entre 4.5 et 10 mUI/L
et T4L normale, ou une TSH comprise entre 2.5 et 10 mUI/L et une T4L normale, selon
les auteurs) et l'impact de l'auto-immunité antithyroïdienne sur l'infertilité féminine
sont particulièrement controversés. L'objectif de notre recherche était : d'une part,
d'évaluer l'intérêt d'un dépistage des maladies thyroïdiennes chez la femme en cas
d'infertilité ; et d'autre part, d'évaluer la balance bénéfices-risques d'un traitement
des maladies thyroïdiennes chez la femme en cas d'infertilité. Méthodes : revue systématique
de la littérature de Janvier 2000 à décembre 2017. Établissement d'équations de recherche.
Sélection et évaluation méthodologique des articles. Résultats : 47 articles ont été
retenus et analysés. Les maladies thyroïdiennes sont des pathologies fréquentes en
cas d'infertilité féminine. Les liens de causalité entre l'hypothyroïdie subclinique
quelle que soit sa définition (TSH comprise entre 4.5 et 10 mUI/L ou comprise entre
2.5 et 10 mUI/L, et T4L normale), ou entre l'auto-immunité antithyroïdienne, et l'infertilité
féminine n'ont pas été mis en évidence de façon robuste. Nos résultats nous permettent
d'affirmer qu'il n'y a pas d'intérêt à mettre en place un traitement par L-Thyroxine
avant un cycle de FIV chez les femmes ayant un dosage de TSH normal (entre 0.5 et
4.5 mUI/L) et en présence d'anticorps anti-thyroïdiens (anti TPO et/ou anti Tg). Un
traitement par L-thyroxine en cas d'hypothyroïdie subclinique (TSH supérieure à 4.5
mUI/L et T4L normale), avec pour objectif un dosage de TSH inférieure à 4.5 mUI/L.
Conclusion : en l'état actuel des connaissances, un dépistage des maladies thyroïdiennes
par le dosage de la TSH chez la femme en cas d'infertilité se justifie pour rechercher
une hypothyroïdie vraie ou une hyperthyroïdie. Mais il n'y a pas d'intérêt actuellement
démontré à doser les anticorps anti thyroïdiens (anti TPO et anti Tg). Un traitement
par L-Thyroxine pourrait être bénéfique, uniquement en cas d'hypothyroïdie subclinique
(TSH supérieure à 4.5 mUI/L et T4L normale).
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
littérature de revue comme sujet
infertilité
Maladie
infertilité
Maladie
maladies de la thyroïde
Littérature
Maladies
maladie
---
N2-AUTOINDEXEE
Infertilité
https://www.inserm.fr/information-en-sante/dossiers-information/infertilite
En France, environ un couple sur huit consulte en raison de difficultés à concevoir
un enfant. Dans trois quarts des cas, l’infertilité est d’origine masculine, féminine,
ou elle associe les deux sexes. Dans 10 à 25% elle n'est pas attribuable à un défaut
spécifique d’un des deux partenaires. Une prise en charge médicale peut résoudre un
certain nombre de cas d’infertilité et la procréation médicalement assistée permet
de contourner la plupart des difficultés. Les chercheurs tentent néanmoins de mieux
comprendre les facteurs génétiques et environnementaux sous-jacents.
2019
INSERM - Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale
France
information patient et grand public
infertilité
infertilité
---
N3-AUTOINDEXEE
Endométriose et infertilité : la stimulation hormonale en cours de Fécondation In
Vitro a t-elle un impact sur l'évolution de la maladie ?
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02572528
Introduction : L’imagerie par fusion, aussi connue sous le nom de sonographie virtuelle
en temps réel, est une nouvelle technique présentant des résultats préliminaires encourageants
dans l’évaluation de l’endométriose profonde. L’objectif principal de notre étude
est d’évaluer l’évolution des lésions d’endométriose chez les patientes bénéficiant
d’une FIV grâce à l’apport de l’échographie de fusion. Matériel & Méthodes : Entre
novembre 2017 et novembre 2018 nous avons mené une étude observationnelle, prospective,
monocentrique, au sein de notre service de Médecine de la Reproduction du CHU de Grenoble.
Le critère de jugement principal était la taille des lésions d’endométriose en échographie
de fusion avant et après FIV, obtenue par moyenne des mesures des 3 diamètres lorsque
qu’elles étaient mesurables, ou bien la mesure du plus grand axe de la lésion. En
l’absence de grossesse, une 2ème évaluation, le cycle suivant la FIV, était réalisée.
Résultats : Entre novembre 2017 et octobre 2018, 564 patientes ont bénéficié d’une
FIV au CHU de Grenoble. Parmi elles, 47 étaient atteintes d’endométriose, 20 ont accepté
de participer à l’étude et ont bénéficié d’une première imagerie. Parmi ces 20 patientes,
10 ont bénéficié de la 2ème évaluation le cycle suivant la FIV et ont été incluses.
Aucune nouvelle lésion n’a été décelée après le protocole de stimulation hormonale.
La taille moyenne des lésions profondes avant FIV était de 16, 5 7,8 mm contre 20,62
11,1 mm après FIV avec une différence non significative (p 0,54). Il n’y a pas eu
de différence significative concernant la taille des endométriomes avant et après
FIV (21,3 8 mm / 19 10,1 mm, p 0,95). Conclusion : La stimulation hormonale
en cours de FIV ne semble pas avoir d’impact sur la taille des lésions d’endométrioses.
L’imagerie par fusion pour le diagnostic d’endométriose est une nouvelle technique
réalisable et reproductible mais semblant présenter certaines limites.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
fécondation
hormone
infertilité
Maladies
motivation
maladie
stimulants du système nerveux central
stimulateur
hormones
Endométriose
fécondation in vitro
évolution de la maladie
infertilité
endométriose
endométriose
---
N3-AUTOINDEXEE
Vécu et niveau de littératie en santé chez les femmes infertiles ayant un syndrome
des ovaires polykystiques
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02272883
Objectifs : faire ressortir le vécu et le niveau de littératie en santé des femmes
infertiles atteintes de syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) consultant les forums
internet. Méthodes : étude qualitative par méthode inductive à partir de forums internet
auxquels participent les femmes atteintes de syndrome des ovaires polykystiques et
infertiles. Résultats : 785 commentaires ont été analysés, provenant de 211 femmes
sur 7 forums de discussion. Un retard diagnostique et une carence d’informations concernant
la pathologie du syndrome des ovaires polykystiques ont été observés. Le SOPK et l’infertilité
étaient associés à un syndrome anxio-dépressif, majoré par un faible niveau de littératie
en santé. Ce dernier semblait être amélioré par les échanges de connaissances et le
partage de savoir expérientiel permis par les forums internet. Conclusion : les femmes
infertiles atteintes de SOPK souffrent de syndrome anxio-dépressif et d’un faible
niveau de littératie en santé. Ces éléments semblent être améliorés par l’information
collectée sur les forums internet suggérant le rôle fondamental de l’implication active
de ces femmes dans leur prise en charge.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Ovaire polykystique
infertilité
syndrome des ovaires polykystiques
ovaires polykystiques
compétence informationnelle en santé
santé des femmes
---
N3-AUTOINDEXEE
Infertilité du couple
https://www.medg.fr/infertilite-couple
2019
MedG - petite Encyclopédie Médicale pour professionnels de santé
France
matériel enseignement
information scientifique et technique
infertilité
infertilité
caractéristiques familiales
Couples
---
N2-AUTOINDEXEE
Infertilité
http://www.rfi.fr/emission/20180510-infertilite
Les causes de l'infertilité peuvent être féminines, masculines ou mixtes. Quelle prise
en charge envisager quand l’enfant désiré tarde à venir ? Quelles sont les causes
de l’infertilité et quels sont les traitements disponibles ?
2018
false
false
false
RFI - Radio France International - Priorité santé
France
français
émission radiophonique
infertilité
infertilité
---
N2-AUTOINDEXEE
La prise en charge de l'infertilité en médecine générale dans les Hautes-Pyrénées
http://thesesante.ups-tlse.fr/2180/
Introduction : La question de l'infertilité est complexe par la multitude des paramètres
l'influençant. Le médecin généraliste adoptant une pratique transversale y trouve
sa place. Matériel et Méthodes : Cette étude a sollicité les médecins généralistes
des Hautes-Pyrénées entre septembre et décembre 2017. 204 praticiens ont été interrogés
2018
false
false
false
Thèses d'exercice de Santé - Université Paul Sabatier
France
français
thèse ou mémoire
pyrène
médecine générale
infertilité
Médecins
infertilité
pyrènes
gestion des soins aux patients
---
N2-AUTOINDEXEE
La prise en charge du couple infertile en soins primaires : enquête auprès de médecins
généralistes de Seine-Maritime et de l’Eure
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01901645/document
En France, l’infertilité touche un couple sur six. Le retard à la parentalité ne cesse
d’augmenter et par conséquent retarde le diagnostic. Le médecin généraliste est le
professionnel de premier recours. Objectif : analyser les pratiques déclarées des
médecins généralistes concernant la consultation du couple infertile. Objectif secondaire
: recenser les difficultés des médecins sur le sujet et apporter des solutions. br
Méthode : br Enquête de pratique pendant 4 mois via un questionnaire informatisé
envoyé via une mailing list. Au total, 300 mails envoyés aux médecins généralistes
libéraux installés. Questionnaire comportant 23 questions courtes destinées à évaluer
les pratiques concernant l’infertilité. br Résultats : br 33 réponses analysables
ont été obtenues : 22 femmes et 11 hommes. 40% exerçaient en milieu urbain, 27 % en
semi rural et 33 % en zone rurale. 76 % des praticiens réalisent les suivis gynécologiques.
73 % considèrent peu connaître l’infertilité. Les examens sont prescrits en moyenne
12 mois après le début du désir de grossesse. 15 % adressent directement aux spécialistes.
Chez la femme, l’échographie pelvienne est prescrite par 89 % des médecins. Chez l’homme,
le spermogramme est prescrit par 90 % des médecins de l’étude. 97 % des médecins avouent
avoir un rôle de conseil majoritairement sur l’accompagnement psychologique et la
réassurance. 44 % constataient un manque de lien avec les centres d’AMP. 91 % aimeraient
la mise en place d’une fiche de synthèse d’aide à la prescription du bilan initial
et 56 % une fiche de liaison avec les centres de PMA. br Conclusion : br Dans la
prise en charge de l’infertilité, les généralistes ont un rôle majeur de soutien,
de conseil et d’accompagnement des couples grâce à la prévention primaire. Cependant
le lien avec les centres d’AMP doit être renforcé car les généralistes sont les «
pivots » d’une prise en charge indispensable dès que le sujet de la fertilité est
abordé.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
médecins généralistes
principal
enquêteur
Soins
Couples
infertilité
Médecins
soins de santé primaires
soins de santé primaires
collecte de données
---
N2-AUTOINDEXEE
Inhibiteurs d'aromatase dans le traitement de l'infertilité chez les femmes atteintes
du syndrome des ovaires polykystiques
https://www.cochrane.org/fr/CD010287/MENSTR_inhibiteurs-daromatase-dans-le-traitement-de-linfertilite-chez-les-femmes-atteintes-du-syndrome-des
Problématique de la revue : Les auteurs de Cochrane ont examiné les données probantes
sur les inhibiteurs de l'aromatase (IA) chez les femmes hypofertiles atteintes du
syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). Contexte : Le SOPK est la cause la plus
fréquente de menstruations irrégulières ou absentes et touche environ 4 % à 8 % des
femmes dans le monde. Elle provoque souvent une hypofertilité anovulatoire (hypofertilité
liée à l’absence d'ovulation). Les IA sont utilisés pour déclencher l'ovulation. Depuis
2001 environ, les essais cliniques ont abouti à des conclusions divergentes quant
à l'efficacité de l’IA létrozole dans le traitement de l’hypofertilité par rapport
au citrate de clomifène (CC) qui est le plus communément utilisé.
2018
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
Infertilité
ovaires polykystiques
Femmes
inhibiteurs de l'aromatase
infertilité féminine
infertilité
Ovaire polykystique
maladie
syndrome des ovaires polykystiques
---
N2-AUTOINDEXEE
L'infertilité
http://www.rfi.fr/emission/20170210-infertilite
Le 6ème congrès du GIERAF (Groupe Interafricain d’Etude de Recherche et d’Application
sur la Fertilité) se tient du 7 au 10 février 2017 à Abidjan, en Côte d’Ivoire autour
du thème « Ethique et Infertilité ». Que faire quand l’enfant désiré tarde à venir
? Quelles sont les causes de l’infertilité féminine ou masculine ? Quels sont les
traitements disponibles ?
2017
false
false
false
RFI - Radio France International - Priorité santé
France
français
émission radiophonique
infertilité
infertilité
---
N3-AUTOINDEXEE
Représentation de l'infertilité et de la prise en charge médicale pour les personnes
qui en souffrent, en fonction du mode de prise en charge, AMP ou médecine restauratrice
de la fertilité
http://www.sudoc.fr/191002127
Introduction: La médecine de restauration de la fertilité est une aide à l'infertilité
visant à restaurer ou améliorer une fonction reproductive efficiente, en vue d'optimiser
les chances de conception d'un couple au cours d'une union. L'exemple le mieux développé
à ce jour est la Naprotechnologie, qui se développe en France depuis 2009. L'objectif
de cette étude était de savoir si la médecine restauratrice de la fertilité répondait
à une attente des couples infertiles en France.
2016
false
true
false
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
Restaurants
infertilité
Services alimentaires
fertilité
Personna +
Médecins
médecine
infertilité
gestion des soins aux patients
médical
AMP
fécondité
personnes
---
N3-AUTOINDEXEE
L'infécondité en France : et si on écoutait les hommes ?
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01251617
L’objectif de ce travail est de comparer les déclarations des hommes et des femmes,
sur le recours médical en cas d’infécondité, à partir de l’enquête Fecond, menée en
population générale
2015
false
false
false
false
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
France
infertilité
français
hommes
---