Libellé préféré : papillomaviridae;
Définition du MeSH : Famille de petits virus à ADN infectant les MAMMIFÈRES. Il y a un seul genre : les
PAPILLOMAVIRUS. [Traduction effectuée avant 2008];
Acronyme CISMeF : HPV; VPH;
Hyponyme MeSH : Virus du papillome humain; HPV (Human Papilloma Virus); Human papilloma virus; Papillomavirus humain; VPH (Virus du Papillome Humain); Virus des papillomes humains;
Lien Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Papillomaviridae;
UNII : txid151340;
Identifiant d'origine : D027383;
CUI UMLS : C0949793;
Alignements automatiques CISMeF supervisés
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Concept(s) lié(s) au record
Correspondances UMLS (même concept)
Liste des qualificatifs affiliables
Type(s) sémantique(s)
- virus [Type sémantique UMLS]
Voir aussi (proposés par CISMeF)
Voir aussi inter- (CISMeF)
Famille de petits virus à ADN infectant les MAMMIFÈRES. Il y a un seul genre : les
PAPILLOMAVIRUS. [Traduction effectuée avant 2008]
N2-AUTOINDEXEE
Conduite à tenir devant une femme ayant une cytologie cervico-utérine anormale : actualisation
des recommandations INCa après la mise en place du dépistage par le test HPV
https://cngof.fr/app/pdf/RPC//RPC%20DU%20CNGOF/Gyn%C3%A9cologie/Oncologie/Reco%20depistage%20col%20GOFS%202025.pdf?x60010
Objectif Actualiser les recommandations émises par l’Institut national du cancer (INCa)
sur la conduite à tenir devant une femme ayant une cytologie cervico-utérine anormale.
Méthodes Les recommandations de l’INCa sur la conduite à tenir devant une femme ayant
une cytologie cervico-utérine anormale ont été publiées en 2016. En 2019, la Haute
Autorité de santé (HAS) recommande le test HPV pour dépister le cancer du col chez
les femmes de plus de 30 ans. Il était donc nécessaire de revoir la prise en charge
initiale et le suivi des femmes ayant une anomalie de la cytologie réflexe après un
test HPV positif. Nous avons utilisé la méthode de Delphi modifiée. Chaque arbre décisionnel
était modifié par les 3 membres du comité d’organisation, puis présenté à 35 experts
à deux reprises, afin d’obtenir leur agrément en termes de validité et de clarté.
Résultats Ce consensus formalisé d’experts a permis la création de 17 arbres décisionnels
au lieu de 15 précédemment : 13 sur la conduite diagnostique face aux différentes
anomalies cytologiques, stratifiée selon l’âge, et 4 sur les indications thérapeutiques
face aux anomalies histologiques. Les scores médians d’agrément étaient de 89 % (81–97).
Conclusion Ces 17 arbres décisionnels répondent aux différentes situations que peuvent
rencontrer les professionnels de santé de façon à leur permettre d’agir, de surveiller
ou de déléguer selon leurs spécialités.
2025
CNGOF - Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français
France
recommandation par consensus
UTERINE
dermatomyosite
Dépistage
directives de santé publique
prise en charge de la maladie
femmes
utérus, sai
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomaviridae
biologie cellulaire
cytologie
Femelle
comportement anormal
Dépistage de masse
---
N2-AUTOINDEXEE
Dépistage du cancer du col de l’utérus au Québec : recommandations pour l’implantation
du test de détection des virus du papillome humain (test VPH) comme test de dépistage
primaire
https://www.inesss.qc.ca/publications/repertoire-des-publications/publication/depistage-cancer-uterus-recommandations.html
Au Canada, il est estimé qu’une femme sur 168 développera un cancer du col de l’utérus
au cours de sa vie. Le dépistage du cancer du col se fait actuellement par cytologie
(test de Papanicolaou ou test Pap). Il existe cependant une alternative soit le test
de détection des virus du papillome humain (VPH), un test moléculaire permettant la
détection des acides nucléiques du virus à partir d’un prélèvement génital. En 2017,
l’INESSS publiait un état de connaissances comparant la cytologie au test VPH, constatant
que le test VPH se compare favorablement à la cytologie. À la suite de cette publication,
le MSSS a signifié son intention d’aller de l’avant avec l’implantation du test VPH
comme test primaire pour le dépistage du cancer du col de l’utérus. C’est dans ce
contexte que le MSSS a mandaté l’INESSS afin d’émettre des recommandations en lien
avec les stratégies et modalités de mise en œuvre de ce test, et ce, notamment concernant
l’optimisation de la participation au dépistage, la trajectoire de dépistage à retenir,
la pertinence d’offrir l’autoprélèvement et la manière d’assurer une prise en charge
optimale des personnes avec résultats anormaux aux tests de dépistage.
2024
INESSS - Institut national d'excellence en santé et en services sociaux
Canada
recommandation de santé publique
Dépistage précoce du cancer
carcinome du col utérin
implantation dans l'utérus
détection
test
papillomaviridae
Virus du papillome humain
cancer du col utérin pT1a1 trouvé dans TNM v8
primaire
dépistage du cancer
tumeurs du col de l'utérus
prothèses et implants
dermatomyosite
cancer du col de l'utérus
dépistage du cancer
administration via un implant
papillomavirus humain
dépistage du cancer cervical
Québec
Altrétamine/étoposide/Procarbazine
papillomavirus humain
cancer
Cancer du col de l'utérus
principal
cause primaire du décès
enquêteur
directives de santé publique
Implantation
---
N3-AUTOINDEXEE
Efficacité potentielle, efficacité réelle et immunogénicité des calendriers réduits
de vaccination contre le VPH : examen des données probantes disponibles
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/rapports-publications/releve-maladies-transmissibles-canada-rmtc/numero-mensuel/2024-50/numero-6-juin-2024/efficacite-potentielle-reelle-immunogenicite-calendriers-reduits-vaccination-contre-vph.html
Contexte : Les directives actuelles du Comité consultatif national de l'immunisation
(CCNI) recommandent que les vaccins contre le virus du papillome humain (VPH) soient
administrés selon un calendrier de deux ou trois doses. Récemment, plusieurs essais
cliniques importants ont fait état des avantages cliniques d'une dose unique de vaccin
contre le VPH. En conséquence, l'Organisation mondiale de la Santé a publié en 2022
des directives actualisées sur les vaccins contre le VPH, recommandant un calendrier
à deux doses pour les personnes de 9 à 20 ans, et reconnaissant l'utilisation d'un
calendrier alternatif à dose unique non officiellement approuvé. Objectif : Cet aperçu
vise à fournir un compte rendu détaillé des données probantes disponibles comparant
les calendriers de vaccination contre le VPH, qui ont été prises en compte par le
CCNI lors de la mise à jour des recommandations sur les vaccins contre le VPH. Méthodes
: Afin de déterminer les données probantes pertinentes, les examens systématiques
existants ont été exploités dans la mesure du possible. Les études individuelles ont
fait l'objet d'une évaluation critique et la méthodologie GRADE (Grading of Recommendations
Assessment, Development and Evaluation) a été utilisée pour évaluer la certitude des
données probantes.
2024
Gouvernement du Canada
Canada
article de périodique
ensemble de données
Examen
Altrétamine/étoposide/Procarbazine
pas d'information disponible
disponibilité de
Vaccination
papillomaviridae
vaccination
études d'évaluation comme sujet
étude d'efficacité
vaccination
calendrier
vaccination
Calendrier
réviser
vaccination; médication préventive
médecine factuelle
Efficacité réelle
calendrier vaccinal
---
N3-AUTOINDEXEE
Stratégies de campagne vaccinale contre les HPV : éclairages internationaux
https://www.assurance-maladie.ameli.fr/etudes-et-donnees/2024-comparaisons-internationales-campagne-vaccinale-hpv
En France, la vaccination contre les infections par les papillomavirus humains (HPV
est l’abréviation anglaise pour Human Papilloma Virus) a été introduite en tant que
recommandation très rapidement après la disponibilité du vaccin sur le marché en 2006.
Mais, paradoxalement, la couverture vaccinale contre les HPV reste très modérée puisque
celle-ci ne dépassait pas 44,7 % pour les filles et 15,8 % pour les garçons en 2023,
alors que les infections HPV représentent un risque important pour la santé (Données
Santé publique France de 2024). Le vaccin a été prioritairement recommandé aux jeunes
filles dans la mesure où les infections HPV ont d’abord été identifiées comme la cause
principale des cancers du col de l’utérus. La recherche médicale a toutefois montré
ultérieurement que les infections HPV sont également responsables d’autres cancers
dont un tiers touchent les hommes, c’est pourquoi la vaccination a été élargie aux
garçons, entre 2013 et 2022, dans la majorité des pays occidentaux.
2024
AMELI - Assurance Maladie En Ligne
France
rapport
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
campagne vaccinale
papillomaviridae
éclairage
---
N3-AUTOINDEXEE
Proposition d’une extension de la Vaccination contre le Papillomavirus (HPV) pour
les hommes et les femmes jusqu’à 26 ans : Un moyen d’accélérer l’élimination des cancers
HPV induits
https://www.academie-medecine.fr/1000053001/
L’Académie nationale de médecine (ANM) s’est mobilisée à plusieurs reprises pour la
promotion de la vaccination contre le papillomavirus (HPV) dans l’espoir d’éliminer
les cancers HPV induits du col utérin, de l’oropharynx, de la cavité buccale et de
l’anus (1-4). Depuis leurs premières publications en 2007, les recommandations vaccinales
des instances gouvernementales ont largement évolué. Actuellement, la vaccination
contre les infections à HPV est recommandée en France pour l’ensemble des filles et
des garçons âgés de 11 à 14 ans avec un schéma à 2 doses. Par ailleurs, dans le cadre
du rattrapage vaccinal, la vaccination HPV par Gardasil9 est recommandée pour les
deux sexes entre 15 et 19 ans révolus et pour les hommes ayant des relations sexuelles
avec des hommes ou les patients immunodéprimés, jusqu’à l’âge de 26 ans selon un schéma
à 3 doses. En septembre 2023, une campagne de vaccination gratuite en classe de cinquième
pour tous les élèves de 11 à 14 ans a été mise en place. L’ANM se félicite de toutes
ces mesures mais s’inquiète, étant donné le retard vaccinal pris depuis 2007, du nombre
de sujets n’ayant pas bénéficié d’une vaccination depuis sa création. Il est estimé
ainsi un retard cumulé de 2 millions de femmes de 20 à 26 ans non vaccinées (5) et
ce retard double, en incluant la vaccination masculine maintenant admise. De plus,
la période COVID-19 a eu un impact supplémentaire négatif sur la vaccination (6).
2024
Académie Nationale de Médecine
France
information scientifique et technique
Vaccins antipapillomavirus humain
Induire
vaccination
Papillomavirus humain positif
néoplasie endocrinienne multiple
proposita
milieux de culture
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus
système nerveux autonome
accélération
papillomavirus humain type 26
femmes
traction
Vaccins contre les papillomavirus
infection à virus du papillome humain
expansif
allèle sauvage ELL
jusqu'à
retiré
moyens communication et information
langue mendé
hommes
vaccination; médication préventive
test ADN papillomavirus humain
Femmes
ménogaril
vaccination
hommes
milieu
lobe moyen de la prostate
vaccination
papillomaviridae
---
N2-AUTOINDEXEE
Verrues anogénitales (causées par les virus du papillome humain)
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies-infectieuses/sante-sexuelle-infections-transmissibles-sexuellement/lignes-directrices-canadiennes/verrues-anogenitales.html
Ce guide porte sur l'évaluation et la prise en charge des verrues anogénitales (VAG)
externes causées par les virus du papillome humain (VPH). Les recommandations relatives
à la vaccination contre le VPH et au dépistage du cancer lié au VPH dépassent la portée
de ce guide. Les verrues anogénitales (VAG) sont fréquentes et entraînent des coûts
importants en termes de recours aux soins de santé ainsi que des effets psychosociaux
néfastes. Les VAG sont causées par le virus du papillome humain (VPH), principalement
les types 6 et 11 du VPH. Au cours des dernières années, l'incidence des VAG a nettement
diminué dans les pays où des programmes de vaccination contre le VPH ont été mis en
place. Les types 6 et 11 du VPH se transmettent principalement par contact épithélial,
par des personnes asymptomatiques ou symptomatiques. La transmission peut survenir
lors de rapports sexuels oraux, vaginaux et anaux, ainsi que lors d'autres contacts
intimes cutanés. La transmission périnatale est rare mais peut entraîner une papillomatose
respiratoire récurrente chez les nourrissons et les enfants.
2024
Gouvernement du Canada
Canada
recommandation professionnelle
Allèle sauvage LATS1
verrue
papillomaviridae
Verrues
condylomes acuminés
Virus du papillome humain
Allèle sauvage MLL
papillomavirus humain
condylome acuminé
papillomavirus humain
---
N2-AUTOINDEXEE
Bande dessinée en Facile à lire et à comprendre (FALC) sur la vaccination contre les
HPV ou papillomavirus humains - 9 pages A4
https://www.cancer.fr/catalogue-des-publications/bande-dessinee-en-facile-a-lire-et-a-comprendre-falc-sur-la-vaccination-contre-les-hpv-ou-papillomavirus-humains-9-pages-a4
Bande dessinée basée sur la méthode FALC sur la vaccination contre les HPV et ses
modalités pratiques, réalisé en partenariat avec l’association CoActis Santé, qui
produit la collection SantéBD. Cette BD vise à favoriser la bonne compréhension des
enjeux de cette vaccination. Il a pour vocation d’aider les accompagnants et les professionnels
de santé à communiquer auprès de personnes en situation de handicap ou ayant des difficultés
de compréhension.
2024
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INCa - Institut National du Cancer
France
brochure pédagogique pour les patients
vaccination; médication préventive
Vaccins contre les papillomavirus humains
papillomavirus humain
vaccination
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomaviridae
Dessin
vaccination
Vaccins contre les papillomavirus
---
N3-AUTOINDEXEE
Calendrier de vaccination contre les virus du papillome humain pour les personnes
âgées de 20 ans et moins au Québec
https://www.inspq.qc.ca/publications/3495
En 2020, le Comité sur l’immunisation du Québec (CIQ) avait recommandé l’utilisation
d’un calendrier allongé de vaccination contre les virus du papillome humain (VPH)
avec une dose du vaccin nonavalent administrée en 4e année du primaire et une dose
du vaccin bivalent administrée en 3e secondaire. Le CIQ avait précisé que cette 2e
dose serait offerte seulement si elle était jugée nécessaire. La première cohorte
de jeunes n’ayant reçu qu’une seule dose de vaccin en 4e année du primaire arrivera
en 3e secondaire en septembre 2024. L’objectif du présent avis est de formuler des
recommandations sur la pertinence de l’administration de la 2e dose prévue en 3e secondaire.
Il existe des études observationnelles et cliniques (incluant un essai clinique randomisé
KEN SHE) indiquant que l’efficacité vaccinale d’une seule dose de vaccin contre les
VPH est très élevée. Même si les niveaux d’anticorps induits par une dose unique sont
significativement inférieurs à ceux observés après l’administration de deux ou de
trois doses, l’avidité (qualité) des anticorps ainsi que leur efficacité à prévenir
les infections persistantes associées aux types vaccinaux sont comparables, durant
11 ans au moins après la vaccination.
2024
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
recommandation de santé publique
virus de la vaccine
sujet âgé
Québec
vaccination
vaccination; médication préventive
âgé de moins de 20 ans
vaccins antiviraux
personne âgée
Calendrier
papillomavirus humain
calendrier vaccinal
Virus du papillome humain
sujet âgé de 80 ans ou plus
système nerveux autonome
emploi du temps
papillomaviridae
papillomavirus humain
PERSONNE AGEE
virus de la vaccine
personne âgée
statut de performance Lansky 20
Personne humaine
Andorre
virus de la vaccine
---
N3-AUTOINDEXEE
Résumé de la déclaration du Comité consultatif national de l'immunisation (CCNI) :
directives mises à jour sur les vaccins contre le virus du papillome humain (VPH)
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/rapports-publications/releve-maladies-transmissibles-canada-rmtc/numero-mensuel/2024-50/numero-12-decembre-2024/resume-declaration-ccni-mise-jour-lignes-directrices-vaccins-contre-vph.html
Contexte : En l'absence de vaccination, on estime que 75 % des personnes au Canada
contracteront une infection par le virus du papillome humain (VPH) au cours de leur
vie. Les taux de couverture vaccinale contre le VPH restent inférieurs à l'objectif
national de 90 % pour deux doses ou plus à l'âge de 17 ans. De récentes données probantes
et les directives de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) plaident désormais
en faveur d'un calendrier à une ou deux doses pour les groupes d'âge plus jeune, ce
qui peut simplifier les efforts de vaccination et améliorer les taux de couverture
par rapport à un programme de vaccination à plusieurs doses. Méthodes : Le Comité
consultatif national de l'immunisation (CCNI) a examiné les données probantes disponibles
sur les avantages et les risques cliniques d'un calendrier de vaccination contre le
VPH à une dose, ainsi que d'autres facteurs, notamment l'éthique, l'équité, la faisabilité
et l'acceptabilité. Les données probantes et les considérations programmatiques ont
été organisées selon un processus inspiré du cadre GRADE (Grading of Recommendations
Assessment, Development and Evaluation) et tous les renseignements ont été utilisés
pour faciliter l'élaboration des directives du CCNI.
2024
Gouvernement du Canada
Canada
article de périodique
Virus du papillome humain
enregistrements
vaccination
papillomavirus humain
papillomaviridae
leadership
Directives
virus de la vaccine
immunisation
vaccination; médication préventive
vaccins antiviraux
comités consultatifs
virus de la vaccine
vaccination
---
N3-AUTOINDEXEE
Virus du papillome humain (HPV) et cancer lié à une infection à HPV
https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/human-papilloma-virus-and-cancer
Principaux faits Le groupe des virus du papillome humain (HPV) comprend 200 virus
connus. Chez la majorité des personnes, une infection à HPV n’est pas préoccupante,
mais certains types de HPV à risque élevé sont courants et peuvent entraîner des verrues
génitales ou un cancer. Dans 90 % des cas, le système immunitaire élimine tout seul
l’infection. Une infection à HPV à risque élevé persistante est une cause de cancer
du col de l’utérus et est associée aux cancers de la vulve, du vagin, de la bouche/gorge,
du pénis et de l’anus (1). L’infection à HPV est à l’origine d’environ 5 % de tous
les cancers dans le monde, et on estime que, chaque année, 625 600 femmes et 69 400
hommes développent un cancer lié à une infection à HPV. Les femmes vivant avec le
virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ont six fois plus de risques de développer
un cancer du col de l’utérus que les autres. La vaccination prophylactique contre
le HPV peut prévenir ces cancers. De plus, le dépistage des infections à HPV et le
traitement des lésions précancéreuses sont des méthodes efficaces pour prévenir le
cancer du col de l’utérus.
2023
OMS - Organisation Mondiale de la Santé
Suisse
information scientifique et technique
information patient et grand public
Cancer
tumeurs
cancer
Virus du papillome humain
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
tumeur maligne, sai
papillomavirus humain
infection à virus du papillome humain
papillomaviridae
maladie infectieuse
infections à papillomavirus
---
N3-AUTOINDEXEE
Vaccins gratuits contre les virus du papillome humain (VPH) et les hépatites A et
B pour les garçons et les filles en 4e année du primaire - Août 2023
https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/document-000111/
Le dépliant Vaccins gratuits contre les virus du papillome humain (VPH) et les hépatites
A et B pour les enfants en 4e année du primaire fournit de l'information aux parents
en vue d'un consentement éclairé à la vaccination contre le VPH et les hépatites A
et B.
2023
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MSSS - Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec
Canada
brochure pédagogique pour les patients
Vaccins
vaccins antiviraux
Garçons
virus de la vaccine
hépatite virale b
Papillome
vaccination
papillomavirus humain
Hépatite
virus de la vaccine
Vaccine
Filles
Virus
hépatite B
famille nucléaire
Virus du papillome humain
vaccination; médication préventive
papillomaviridae
Virus
hepatite
principal
hommes
---
N3-AUTOINDEXEE
HPV Prévention et dépistage_Dr Jorda
https://www.oncobretagne.fr/wp-content/uploads/2023/11/PPT_HPV_Prevention-et-depistage_Dr-Jorda.pdf
2023
OncoBretagne
France
information scientifique et technique
papillomaviridae
papillomavirus humain
infection à virus du papillome humain
Vaccins antipapillomavirus humain
intervention préventive
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
test ADN papillomavirus humain
Papillomavirus humain positif
étude de prévention
---
N2-AUTOINDEXEE
Dépistage du cancer du col de l’utérus au Québec : recommandations pour l’implantation
du test de détection des virus du papillome humain (test VPH) comme test de dépistage
primaire
https://www.inesss.qc.ca/publications/repertoire-des-publications/publication/depistage-du-cancer-du-col-de-luterus-au-quebec-recommandations-pour-limplantation-du-test-de-detection-des-virus-du-papillome-humain-test-vph-comme-test-de-depistage-primaire.html
Au Canada, il est estimé qu’une femme sur 168 développera un cancer du col de l’utérus
au cours de sa vie. Le dépistage du cancer du col se fait actuellement par cytologie
(test de Papanicolaou ou test Pap). Il existe cependant une alternative soit le test
de détection des virus du papillome humain (VPH), un test moléculaire permettant la
détection des acides nucléiques du virus à partir d’un prélèvement génital. En 2017,
l’INESSS publiait un état de connaissances comparant la cytologie au test VPH, constatant
que le test VPH se compare favorablement à la cytologie. À la suite de cette publication,
le MSSS a signifié son intention d’aller de l’avant avec l’implantation du test VPH
comme test primaire pour le dépistage du cancer du col de l’utérus. C’est dans ce
contexte que le MSSS a mandaté l’INESSS afin d’émettre des recommandations en lien
avec les stratégies et modalités de mise en œuvre de ce test, et ce, notamment concernant
l’optimisation de la participation au dépistage, la trajectoire de dépistage à retenir,
la pertinence d’offrir l’autoprélèvement et la manière d’assurer une prise en charge
optimale des personnes avec résultats anormaux aux tests de dépistage. Après avoir
procédé à l’analyse des données scientifiques, contextuelles et expérientielles recueillies,
l’INESSS émet une série de recommandations entre autres concernant la trajectoire
de dépistage et l’autoprélèvement.
2022
INESSS - Institut national d'excellence en santé et en services sociaux
Canada
recommandation pour la pratique clinique
Virus du papillome humain
Québec
papillomaviridae
dermatomyosite
dépistage du cancer
Dépistage précoce du cancer
cancer du col de l'utérus
tumeurs du col de l'utérus
papillomavirus humain
prothèses et implants
dépistage du cancer
Virus
Papillome
Cancer du col de l'utérus
enquêteur
directives de santé publique
Cancer du col de l'utérus
Virus
implantation dans l'utérus
cancer
principal
---
N2-AUTOINDEXEE
Véhicules pour personnes en situation de handicap - VPH (modification des modalités
de prise en charge)
Phase contradictoire suite à un avis de projet au JO du 24 septembre 2021
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3332743/fr/vehicules-pour-personnes-en-situation-de-handicap-vph-modification-des-modalites-de-prise-en-charge-phase-contradictoire-suite-a-un-avis-de-projet-au-jo-du-24-septembre-2021
Nature de la demande Phase contradictoire suite à la parution d'un avis de projet
(LPP) Avis de projet de modification des modalités de prise en charge de dispositifs
médicaux et prestations associées pour la prise en charge des véhicules pour personnes
en situation de handicap (VPH) au titre IV de la liste prévue à l’article L. 165-1
(LPP) du code de la sécurité sociale publié au Journal Officiel du 24 septembre 2021.
Phase contradictoire prévue à l’article R.165-9 du code de la sécurité sociale (CSS).
2022
HAS - Haute Autorité de Santé
France
évaluation technologique
Handicap
limitation de la fonction non classée ailleurs; incapacité non classée ailleurs
papillomaviridae
Handicap
Personna +
jugement
personnes handicapées
Handicap
gestion des soins aux patients
dû à
handicap
---
N2-AUTOINDEXEE
La vaccination contre les infections liées aux papillomavirus humains (HPV) pour prévenir
les cancers
https://www.cancer.fr/professionnels-de-sante/prevention-et-depistages/prevention/agents-infectieux/prevenir-les-cancers-lies-aux-hpv
Chaque année, en France, 6 400 nouveaux cas de cancers sont attribuables aux infections
liées aux papillomavirus humains (HPV) alors qu’il existe une vaccination sûre et
efficace. L’augmentation de la couverture vaccinale dans l’hexagone comme dans les
DROM est donc un enjeu de santé publique : l’extension de la vaccination aux garçons
(mise en œuvre depuis le 1er janvier 2021) est un nouveau levier même si vacciner
les filles demeure la priorité.
2022
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INCa - Institut National du Cancer
France
information patient et grand public
maladie infectieuse
prévenance
vaccination; médication préventive
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins
vaccination
papillomavirus humain
Vaccins contre les papillomavirus humains
infections à papillomavirus
Vaccine
papillomaviridae
vaccination
Vaccins contre les papillomavirus
---
N2-AUTOINDEXEE
Étude sur les leviers et les 2 freins à la vaccination contre les papillomavirus humains
(HPV)
http://www.ors-auvergne-rhone-alpes.org/pdf/Rapport_HPV_Region.pdf
La connaissance du rôle des papillomavirus humains (HPV) dans l’apparition de certains
cancers (notamment du col de l’utérus) est aujourd’hui bien établie. La vaccination
est officiellement recommandée en France pour les filles et les garçons âgés de 11
à 14 ans et jusqu’à 26 ans pour les hommes qui ont des relations sexuelles avec des
hommes. La couverture vaccinale contre les HPV en France a tendance à progresser ces
dernières années mais elle demeure toutefois insuffisante, en particulier en Auvergne-Rhône-Alpes.
Dans ce contexte, l’Observatoire régional de la santé Auvergne-Rhône-Alpes a réalisé
une étude sur les freins et les leviers à la vaccination contre les HPV avec le soutien
financier de la Région Auvergne-Rhône-Alpes. L’étude repose sur trois volets : - une
synthèse bibliographique sur la couverture vaccinale contre les HPV en France et en
région, sur les freins et leviers déjà repérés ainsi que sur les grandes actions déployées
pour promouvoir ce vaccin ; - une analyse quantitative sur les données régionales
concernant la couverture vaccinale contre les HPV et la prévalence des cancers impliquant
les papillomavirus ; - une enquête qualitative sur les freins et leviers des professionnels
et des habitants à la vaccination contre les HPV. L’étude permet ainsi de : - disposer
d’un état des lieux quantitatif sur les principaux indicateurs relatifs aux HPV (couverture
vaccinale contre les HPV, prévalence du cancer du col de l’utérus et des autres cancers
associés aux HPV) dans la région Auvergne-Rhône-Alpes et aux niveaux géographiques
infrarégionaux disponibles ; - mieux connaître et comprendre, à l’échelle de son territoire,
la diversité de ces espaces et de ses populations, les freins qui existent à la vaccination
contre les papillomavirus chez les professionnels et chez les habitants ; - repérer
les leviers qu’il serait possible de mobiliser, en complément de ce qui existe déjà,
pour améliorer significativement la couverture vaccinale contre les papillomavirus.
2022
ORS Auvergne-Rhône-Alpes
France
rapport
frein
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
vaccination
Vaccins contre les papillomavirus humains
collecte de données
vaccination
Vaccins
Vaccine
vaccination; médication préventive
papillomaviridae
papillomavirus humain
Vaccins contre les papillomavirus
---
N2-AUTOINDEXEE
Vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) : la France est très en retard
https://www.academie-medecine.fr/vaccination-contre-le-papillomavirus-humain-hpv-la-france-est-tres-en-retard/
L’infection par les papillomavirus humains (HPV) est une infection sexuellement transmissible
très répandue, qui affecte plus de 80 % des personnes (hommes et femmes) au début
de leur vie sexuelle. En France, ces virus sont responsables, chaque année, de plus
de 100 000 verrues génitales bénignes, plus de 30 000 lésions pré-cancéreuses et plus
de 8000 cancers des régions génitales, anales et oropharyngées [1]. Après la démonstration
du rôle de certains papillomavirus humains (HPV) dans le développement du cancer du
col utérin (en 1985), ainsi que des cancers ano-génitaux et oropharyngés (en 2009),
les cibles des premiers vaccins anti-HPV mis sur le marché en 2007 ont été progressivement
élargies pour inclure, depuis 2018, les 9 types d’HPV à l’origine des tumeurs bénignes,
pré-cancers et cancers, HPV-dépendants.
2022
Académie Nationale de Médecine
France
information scientifique et technique
Vaccins
vaccination
vaccination
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
vaccination; médication préventive
France
France
Vaccine
français
Vaccins contre les papillomavirus
papillomavirus humain
France
Vaccins contre les papillomavirus humains
France
papillomaviridae
France
---
N2-AUTOINDEXEE
Calendrier de vaccination contre les virus du papillome humain pour les personnes
âgées de 18 ans et plus au Québec
https://www.inspq.qc.ca/publications/3242
Des études montrent que la vaccination à une, deux ou trois doses contre les virus
du papillome humain (VPH) de type 16 et 18 offre une protection similaire, ce qui
remet en question la nécessité de maintenir la recommandation actuelle de trois doses
de vaccin pour les personnes de 18 ans et plus. Les calendriers à une ou deux doses
de vaccin contre les VPH ont été évalués et recommandés pour les jeunes âgés de 9
à 15 ans. La vaccination contre les VPH peut toutefois débuter après cet âge et comprendre
les trois doses généralement recommandées. La protection contre le VPH 18 conférée
par le vaccin quadrivalent reste très élevée contre les infections persistantes et
les lésions précancéreuses jusqu’à 14 ans après la vaccination, malgré des niveaux
d’anticorps bas ou même non détectables.
2022
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
Calendrier
virus de la vaccine
papillomaviridae
vaccination
sujet âgé de 80 ans ou plus
Vaccins
vaccination; médication préventive
Virus
personne âgée
vaccins antiviraux
sujet âgé
Québec
PERSONNE AGEE
virus de la vaccine
papillomavirus humain
Personne humaine
Virus du papillome humain
calendrier vaccinal
Virus
Papillome
Vaccine
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N2-AUTOINDEXEE
Couverture vaccinale contre les infections à papillomavirus humain des filles âgées
de 15 à 18 ans et déterminants de vaccination, France, 2021
http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2022/24-25/2022_24-25_3.html
Introduction – Notre étude vise à estimer la couverture vaccinale contre les infections
à papillomavirus (HPV) chez les filles de 15 à 18 ans en France, à explorer les déterminants
associés à cette vaccination et à décrire les raisons de non-vaccination en France
métropolitaine. Méthode – L’étude s’appuie sur les données recueillies lors de l’enquête
Baromètre santé 2021. Les participants ont été sélectionnés par une génération aléatoire
de numéros de téléphone fixe et mobile, et interrogés entre février et décembre 2021.
Les parents de filles de 15 à 18 ans ont été interrogés sur la vaccination HPV de
leur(s) fille(s). Les déterminants de la vaccination HPV ont été étudiés par régression
univariée et multivariée de Poisson. Les analyses ont été réalisées sous Stata SE.64
15.1 (StataCorp, États-Unis). Résultats – La couverture vaccinale contre les infections
à HPV est estimée à 43,6% [40,1-47,1] en France métropolitaine, à 13,8% [7,8-23,0]
en Guadeloupe, à 17,2% [9,5-29,2] en Martinique, à 22,6% [14,4-33,5] en Guyane, et
à 24,0% [16,3-33,2] sur l’île de La Réunion. En France métropolitaine, les couvertures
vaccinales sont plus élevées chez les filles âgées de 18 ans (48,7% [40,6-56,9], ratio
de prévalence ajusté (RPa) 1,30 [1,04‑1,62], p 0,022) versus celles de 15 ans (39,0%
[32,4-46,0]), chez les filles aînées (46,8% [42,9‑50,8], RPa 1,34 [1,08‑1,67], p 0,008)
vs celles ne l’étant pas (31,8% [25,2-39,2]), lorsque les parents ont les plus hauts
revenus (2e et 3e terciles de revenus par unité de consommation : 53,8% [47,2-60,2]
et 56,4% [50,1-62,6]) vs 1er tercile : 32,9% [28,0‑38,2], respectivement RPa 1,35
[1,10-1,66], p 0,004 et RPa 1,24 [0,99-1,55], p 0,063), se considèrent à l’aise financièrement
en comparaison avec ceux ayant une situation financière plus défavorable : « à l’aise
» : 58,8% [50,9‑66,2] vs « y arrive difficilement » : 25,6% [15,5-39,3], RPa 0,56
[0,35-0,88], p 0,013 et « n’y arrive pas sans dettes » : 14,5% [5,7-32,2], RPa 0,35
[0,14-0,85], p 0,02) , ont au moins 5 années d’études après le bac (59,2% [52,1-66,1],
RPa 1,32 [1,06-1,65], p 0,012) vs ceux sans diplôme ou avec un diplôme inférieur au
bac (36,7% [30,5-43,4]), et ceux de nationalité française de naissance (46,3% [42,5-50,0])
vs ceux qui ont acquis la nationalité française (24,1% [14,9-36,4], RPa 0,59 [0,38-0,91],
p 0,017). Conclusion – Malgré une amélioration des couvertures vaccinales contre les
infections à HPV chez les filles en France, elles restent modérées notamment dans
les populations les moins favorisées économiquement. Ces résultats invitent à renforcer
les actions de promotion de vaccination notamment auprès de ces populations en vue
de réduire les inégalités de santé.
2022
SPF - Santé publique France
France
article de périodique
France
français
maladie infectieuse
famille nucléaire
France
dû à
papillomaviridae
vaccination
papillomavirus humain
France
vaccination
vaccination; médication préventive
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Filles
Humains
Vaccine
Vaccins
infections à papillomavirus
France
Couverture vaccinale
France
Vaccination
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N3-AUTOINDEXEE
Attitude du médecin généraliste en Martinique envers la vaccination contre les papillomavirus
humains chez le garçon
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03903345
Introduction : IST la plus fréquente au monde, HPV est responsable, chez les hommes,
de lésions bénignes et malignes. Le vaccin contre les HPV recommandé et remboursé
chez la jeune fille depuis 2007, l’est chez les jeunes garçons depuis le 1er janvier
2021. Objectif : ce vaccin est sûr et efficace, pourtant peu prescrit en France et
encore moins en Martinique. Nous voulions évaluer l’attitude du médecin généraliste
en Martinique envers la vaccination anti HPV chez les garçons et ainsi connaitre les
motifs de prescription ou de non-prescription. Méthodes : nous avons réalisé une étude
qualitative exploratoire à visée descriptive. Des entretiens individuels semi-dirigés
via un questionnaire de 16 questions ont été effectués sur un échantillon aléatoire
de 12 médecins généralistes installés en Martinique. Résultats : contrairement aux
propositions de vaccination chez les jeunes filles, les propositions des médecins
interrogés à destination des jeunes garçons sont peu nombreuses. Leur démarche vaccinale
est aussi confrontée à de nombreux obstacles. Notamment, le manque de connaissances
des médecins généralistes sur les lésions liées à HPV chez l’homme ainsi que sur les
bénéfices de la vaccination, l’abord de la sexualité chez l’adolescent et le refus
des patients lié à une crainte du vaccin. Selon eux, les voies à suivre pour améliorer
l’efficience du médecin traitant dans cette prise en charge pourraient être la mise
à jour régulière des connaissances médicales, des campagnes d’information grand public,
la restauration du lien patient-médecin mais aussi le recours à l’obligation vaccinale.
Conclusion : notre étude a permis de mettre en lumière les principaux freins rencontrés
par le médecin généraliste en Martinique dans le projet thérapeutique qu’est la vaccination
anti HPV chez le garçon. Elle a permis également de connaitre des pistes de travail
pour favoriser l’amélioration de la couverture vaccinale.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Vaccins contre les papillomavirus
attitude
posture
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccine
médecins généralistes
médecine générale
Martinique
vaccination
vaccination
papillomaviridae
vaccination; médication préventive
Vaccins
Garçons
papillomavirus humain
Médecins
Vaccins contre les papillomavirus humains
---
N3-AUTOINDEXEE
Comprendre les déterminants de l'hésitation à l'égard du vaccin contre les papillomavirus
humains en France
https://www.theses.fr/2022SORUS317
Cette thèse consiste en trois articles scientifiques s’intéressant aux facteurs influençant
la couverture vaccinale par le vaccin anti-HPV. Plus spécifiquement, elle analyse
les facteurs liés à cette vaccination chez les mères de filles âgées de 11 à 14 ans
en France métropolitaine, sous l’angle de l’hésitation vaccinale. Le premier article
restitue l’élaboration d’un instrument visant à interroger les facteurs influençant
la couverture vaccinale par le vaccin anti-HPV, selon le modèle conceptuel des déterminants
de l’hésitation vaccinale de l’OMS. Nous nous sommes appuyés sur une revue de la littérature
scientifique de questionnaires validés, et sur un panel multidisciplinaire d’une quinzaine
d’experts sollicités selon la méthodologie de Delphi. Cette consultation réalisée
sur Internet en deux tours a permis d’identifier 57 questions. Le deuxième article
présente les résultats d’une enquête téléphonique menée sur un échantillon représentatif
de 1102 mères de filles âgées de 11 à 14 ans sélectionné par la méthode des quotas,
faisant suite à une phase pilote testant l’instrument du premier article sur un échantillon
représentatif d’une trentaine de mères. Les entretiens comprenaient des questions
additionnelles, et avaient été conduits selon la méthode d’entretien téléphonique
assisté par ordinateur. Le facteur le plus fortement négativement associé à la vaccination
anti-HPV était l'âge de l'adolescente : la croyance de la mère selon laquelle sa fille
était trop jeune pour être vaccinée (OR 0,16 ; IC95% 0,09-0,29), et l'âge plus jeune
de l'adolescente (OR 0,17 ; IC95%, 0,10-0,28 pour les filles âgées de 11 ans par rapport
à celles âgées de 14 ans). Deux facteurs étaient positivement associés à la couverture
vaccinale : être en accord avec l'affirmation selon laquelle les médecins croient
que vacciner les filles contre les HPV est une bonne idée, et avoir posé des questions
au médecin traitant sur les vaccins HPV (OR 4,99 ; IC95%, 2,09-11,89 ; et OR 3,44
; IC95 %, 2,40-4,92, respectivement). Le troisième article présente une analyse secondaire
des données de l’enquête Vaccinoscopie visant à évaluer le rôle du recours à Internet
comme source d’information sur la vaccination chez les mères hésitantes vis-à-vis
de cette vaccination, sur la vaccination anti-HPV de leurs filles. Nous avons réalisé
une analyse poolée des données de 2015 à 2018 portant sur les mères de filles âgées
de 14 et 15 ans, d’abord à travers un modèle de régression logistique multivarié,
puis par des modèles d’équations structurelles. La régression logistique ajustée sur
la recommandation de la vaccination anti-HPV par le médecin, les attitudes à l'égard
des vaccins en général, la perception de l'utilité du vaccin anti-HPV, le niveau d'éducation
de la mère, la région de résidence et l'année de l'enquête montrait que l’utilisation
d'Internet par les mères était significativement associée à une moindre vaccination
anti-HPV chez leurs filles (OR 0,66 ; IC95%, 0,47-0,91). Les modèles d’équations structurelles
ont confirmé l'effet négatif de l'utilisation d'Internet, en révélant les liens mécanistiques
sous-jacents à la moindre couverture vaccinale du vaccin anti-HPV. Les résultats de
cette thèse ont des implications en matière de politiques publiques de vaccination
anti-HPV. Ils interrogent notamment sur l’opportunité d’abaisser le seuil d’éligibilité
de la vaccination anti-HPV en population générale de 11 à 9 ans et soulignent, entre
autres, la nécessité de renforcer la formation et l’implication des médecins généralistes
quant à la recommandation de vacciner contre les HPV.
2022
theses.fr
France
thèse ou mémoire
Vaccine
France
papillomaviridae
France
Vaccins contre les papillomavirus
France
France
français
France
vaccination
Vaccins contre les papillomavirus humains
vaccination; médication préventive
papillomavirus humain
vaccin
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins
---
N2-AUTOINDEXEE
Pour éradiquer les cancers HPV-induits, il y a une solution : la vaccination.
https://www.cancer.fr/catalogue-des-publications/arguments-cles-vaccination-hpv-pour-les-ps-a4
Outil destiné aux PS afin de les aider à répondre aux questions que peuvent se poser
les parents sur la vaccination contre les cancers HPV (Papillomavirus Humains).
2022
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INCa - Institut National du Cancer
France
information scientifique et technique
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Vaccins
vaccination
Solutions
Vaccine
solution
vaccination
Solutions
vaccination; médication préventive
vaccination
dû à
papillomaviridae
---
N3-AUTOINDEXEE
Évaluation du rapport coût-utilité de la généralisation de la vaccination contre les
papillomavirus humains aux garçons: méta-revue systématique de la littérature
http://thesesante.ups-tlse.fr/3156/
Introduction : les papillomavirus humains sont impliqués dans la survenue d'autres
pathologies que le cancer cervical touchant également les hommes. Depuis les années
2010, de plus en plus de pays font le choix d'étendre cette vaccination aux garçons
malgré un rapport coût-utilité mal établi. Objectif : réaliser une analyse du rapport
coût-utilité (ICER) d'une vaccination neutre quant au genre, prenant en compte toutes
les pathologies attribuées aux HPV. Méthode : une méta-revue systématique de la littérature
a été réalisée par deux chercheurs sur les bases de données de PubMed, Cochrane et
Web of Science ainsi que sur la littérature grise afin d'inclure des revues systématiques
publiées entre 2006 et 2019. Résultats : les ICER retrouvés sont répartis de part
et d'autre du seuil de rentabilité avec un intervalle compris entre 13 700 et 290
290 USD/QALYg. Cette variabilité est liée à de nombreux facteurs modulateurs : la
couverture vaccinale féminine, la prise en compte de toutes les pathologies HPV-induites,
le prix et le nombre de doses, la durée et l'efficacité de la protection vaccinale
et le taux d'actualisation. Conclusion : les ICER estimés sont trop hétérogènes pour
permettre de conclure sur l'intérêt médico-économique d'étendre la vaccination anti-HPV
aux garçons. De meilleurs rapports coût-utilité sont obtenus lorsque l'ensemble des
pathologies HPV-induites sont incluses, notamment les cancers oropharyngés et lorsque
la couverture vaccinale féminine est basse ( 40%). La diminution du prix des doses
ainsi que la généralisation d'un schéma vaccinal à 2 doses devraient améliorer les
rapports coût-utilité.
2021
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
vaccination
Rapport d'évaluation
Systématique
littérature de revue comme sujet
études d'évaluation comme sujet
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Coût
Littérature
papillomaviridae
classification
Revue systématique
métastase tumorale
Systématique
Systématique
papillomavirus humain
Vaccins contre les papillomavirus humains
Systématique
Vaccins contre les papillomavirus
rapport albumine/globuline
Vaccine
vaccine généralisée
Vaccins
vaccination; médication préventive
coûts et analyse des coûts
---
N3-AUTOINDEXEE
Modélisation dynamique des infections et co-infections génitales à papillomavirus
humain (HPV) et de l’impact à long terme de la vaccination anti-HPV
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-03231970
L’infection génitale au papillomavirus humain (HPV) concerne près d’un tiers des moins
de 25 ans dès le début de leur activité sexuelle. Généralement asymptomatique, elle
peut conduire au développement de lésions cancéreuses. Parmi la quarantaine de génotypes
HPV transmis par les voies génitales, une quinzaine a été évaluée comme oncogène et
agent causal du cancer du col de l’utérus. Deux vaccins proposés en France depuis
2007 aux jeunes filles ciblent deux génotypes HPV les plus à risque de cancer du col
de l’utérus. Ces vaccins n’incluant qu’une fraction des HPV, l’évolution des prévalences
d’infection et de co-infection reste incertaine. L’objectif de ce travail de thèse
est de mieux comprendre l’impact des interactions entre génotypes HPV lors de co-infections
intra-hôte sur l’évolution des prévalences des génotypes vaccinaux (V) et non vaccinaux
(NV). Pour y répondre, ce travail s’appuie sur le développement d’un modèle individu-centré
permettant de reproduire à la fois l’hétérogénéité des comportements sexuels et les
dynamiques de transmission de génotypes V et NV en fonction de l’âge. Une première
partie présente une description détaillée de ce modèle stochastique et de sa validation
sur des données d’enquêtes. Ce modèle suppose que l’interaction entre génotypes se
traduit par la réduction (compétition) ou la prolongation (synergie) de la durée d’infection
par un génotype NV en cas d’infection préalable par un génotype V. La calibration
des paramètres de transmission pour différentes forces d’interaction montre que plusieurs
d’entre elles sont compatibles avec les données épidémiologiques pré-vaccinales d’infection
et de co-infection. Dans les simulations, après introduction de la vaccination dans
la population, nous observons que la prévalence des génotypes NV augmente en cas de
compétition et diminue en cas de synergie et ce d’autant plus que l’interaction est
forte. En cas de compétition, l’augmentation de la prévalence des NV pourrait entraîner
une faible diminution voire une augmentation de la prévalence globale de tous les
génotypes malgré la vaccination. La deuxième partie vise à explorer, par une étude
de simulations, comment l’introduction de la vaccination modifie la diffusion de l’infection
dans le réseau de contacts. Les simulations mettent en évidence des variations de
prévalence des génotypes NV avant et après vaccination plus marquées chez les individus
moins actifs. Dans la troisième partie, le modèle est utilisé pour émuler les schémas
d’études épidémiologiques afin de déterminer les conditions (nombre de sujets, délai
après l’introduction du vaccin) nécessaires à la détection d’une diminution ou augmentation
des prévalences de HPV suite à l’introduction de la vaccination dans la population.
Une revue systématique de la littérature fait ressortir deux schémas d’études observationnelles
comparant les prévalences d’infection soit dans deux populations en périodes pré-
et post-vaccinales, soit chez les vaccinés et les non vaccinés en période post-vaccinale.
Les résultats obtenus suggèrent que les études publiées à ce jour quel qu’en soit
le schéma manquent de puissance statistique pour détecter une variation de prévalence
des génotypes NV. S’appuyant sur le développement d’un modèle validé pour reproduire
des comportements sexuels et des prévalences d’infection à HPV réalistes, l’ensemble
de ce travail de thèse participe donc à l’amélioration des connaissances épidémiologiques
sur les infections et co-infections à HPV et permet d’anticiper l’impact des mesures
de prévention vaccinale sur la prévalence de l’infection à HPV.
2021
TEL - Thèses en ligne
France
thèse ou mémoire
vaccination
papillomaviridae
vaccination; médication préventive
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
maladie infectieuse
vaccination
Vaccine
Humains
Vaccins
appareil génital, sai
papillomavirus humain
Vaccins contre les papillomavirus
co-infection
infections à papillomavirus
infections de l'appareil reproducteur
Vaccination
humains
vaccination
---
N2-AUTOINDEXEE
Détection de l’ARN des papillomavirus humain (HPV) à haut risque dans le cadre du
dépistage primaire du cancer du col utérin
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3305614/fr/detection-de-l-arn-des-papillomavirus-humain-hpv-a-haut-risque-dans-le-cadre-du-depistage-primaire-du-cancer-du-col-uterin
Objectifs La Direction générale de la santé a saisi la HAS pour savoir si la détection
de l’ARN de HPV peut être réalisé au même titre que la détection de l’ADN de HPV dans
le cadre du dépistage primaire des lésions précancéreuses du col utérin, chez les
femmes de 30 à 65 ans. Pour répondre à cette saisine, trois questions d’évaluation
ont été retenues : Question n 1 : Est-ce que la validité diagnostique du test HPV
à ARN est différente de la validité diagnostique du test HPV à ADN validé pour la
détection des lésions précancéreuses du col utérin dans un contexte de dépistage primaire
? Question n 2 : Quelle est la performance longitudinale du test HPV à ARN comparée
à celle du test HPV à ADN ? Question n 3 : Est-ce que la validité diagnostique d’un
test HPV à ARN sur un auto-prélèvement (APV) est égale au test HPV à ARN sur un échantillon
cervical collecté par un professionnel (i.e. prélèvement clinicien) ?
2021
HAS - Haute Autorité de Santé
France
290. Épidémiologie, facteurs de risque, prévention et dépistage des cancers
évaluation technologique
ARN
cancer
Risque
tumeurs du col de l'utérus
Humains
enquêteur
UTERINE
principal
utérus, sai
Appréciation des risques
dépistage du cancer
Cancer
Dépistage précoce du cancer
acide ribonucléique
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
papillomavirus humain
papillomaviridae
dépistage du cancer
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N3-AUTOINDEXEE
Acceptabilité de la vaccination masculine contre le papillomavirus humain : revue
systématique de la littérature
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03110696
Introduction : la vaccination HPV est considérée comme l’une des plus grandes réussites
de la médecine moderne. Elle a récemment été recommandée chez l’homme dans divers
pays du monde dont la France. Même si le vaccin papillomavirus est considéré comme
efficace dans la prévention du cancer du col de l’utérus, son utilité chez l’homme
reste en majorité mal connue. Pourtant l’incidence des maladies HPV induites chez
l’homme n’est pas négligeable. Matériel et méthode : nous avons réalisé une revue
systématique de la littérature interrogeant les bases de données, MEDLINE, COCHRANE,
la Banque de données de Santé Publique (BDSP) et PASCAL. Les recherches ont été effectuées
entre le 4 Janvier et le 29 Février 2020. Une veille bibliographique a ensuite été
menée jusqu’en Avril 2020. Des articles traitant de l’acceptabilité de la vaccination
HPV chez l’homme, publiés entre 2010 et 2020, ont été sélectionnés. L’objectif de
ce travail était d’évaluer l’acceptabilité et la perception par les hommes de la vaccination
masculine contre le papillomavirus humain. Résultats : 27 articles ont été retenus
et analysés. La synthèse des données recueillies a permis de distinguer les facteurs
augmentant l’acceptabilité vaccinale HPV, des réticences à la vaccination. La perception
du bénéfice de la vaccination, le regret anticipé, la perception de la gravité et
de la susceptibilité à l’infection à HPV sont des facteurs influençant positivement
l’acceptabilité du vaccin. A l’inverse, le manque de connaissance sur les IST et le
papillomavirus, la peur des effets indésirables du vaccin et le prix du vaccin sont
cités comme facteurs de réticence à la vaccination. Malgré une réelle méconnaissance
sur le papillomavirus, les hommes interrogés, et notamment les hommes androgames,
expriment une bonne acceptabilité vis-à-vis du vaccin HPV. Conclusion : Des campagnes
visant à promouvoir la recommandation vaccinale chez l’homme par les acteurs de santé,
à informer le grand public mais surtout les collégiens et leurs parents et à réduire
les freins dus au coût et à la désinformation peuvent favoriser l’acceptabilité de
la vaccination masculine anti-papillomavirus. Des études futures, plus particulièrement
en France, sont nécessaires pour promouvoir efficacement le vaccin anti-papillomavirus
chez les hommes.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Revue systématique
papillomaviridae
Vaccine
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Systématique
Vaccins contre les papillomavirus
littérature de revue comme sujet
vaccination
Systématique
vaccination; médication préventive
Vaccins contre les papillomavirus humains
Systématique
sexe masculin, sai
Vaccins
papillomavirus humain
Littérature
Systématique
vaccination
---
N2-AUTOINDEXEE
Virus du papillome humain et santé buccodentaire
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/rapports-publications/releve-maladies-transmissibles-canada-rmtc/numero-mensuel/2020-46/numero-11-12-5-novembre-2020/virus-papillome-humain-sante-buccodentaire.html
Le Canada fait partie des chefs de file mondiaux en santé buccodentaire. Malgré cela,
les préoccupations sont de plus en plus vives au sujet des taux croissants de cancers
de la bouche et de la gorge liés au virus du papillome humain (VPH). Le lien entre
le VPH et le cancer du col de l’utérus est bien établi; heureusement, grâce à la détection
et à la vaccination, le Canada a l’un des taux d’incidence les plus faibles du cancer
du col de l’utérus au monde. Les cancers de la bouche et de la gorge liés au VPH,
cependant, présentent un tableau différent. Au Canada, entre 25 % et 35 % des cancers
de la bouche et de la gorge sont liés à l’infection par le VPH par voie orale; et
en 2012, le taux d’incidence du cancer de l’oropharynx associé au VPH était plus de
4,5 fois plus élevé chez les hommes que chez les femmes. De plus, la couverture vaccinale
contre le VPH au Canada est plus élevée chez les femmes que chez les hommes. Les médecins
et les infirmières en santé publique et en milieu clinique ont un rôle à jouer dans
la lutte contre la transmission du VPH, tout comme les professionnels de la santé
buccodentaire. Les professionnels de la santé buccodentaire peuvent jouer un rôle
clé dans la prévention de l’infection par le VPH et des cancers oropharynx liés au
VPH en sensibilisant, en éduquant et en offrant des conseils à leurs clients et en
encourageant des interventions préventives et diagnostiques fondées sur des données
probantes.
2020
RMTC
Canada
article de périodique
papillomaviridae
santé buccodentaire
Virus
Virus
Papillome
Virus du papillome humain
papillomavirus humain
---
N3-AUTOINDEXEE
Impact populationnel de l'adoption d'un calendrier mixte de vaccination contre les
virus du papillome humain au Québec : une étude de modélisation
http://hdl.handle.net/20.500.11794/38216
En 2018, la province de Québec a modifié son calendrier de vaccination contre les
virus du papillome humain (VPH), remplaçant le calendrier comportant 2 doses de vaccin
nonavalent par un calendrier de vaccination mixte, comportant une dose de vaccin nonavalent
suivie d’une dose de vaccin bivalent. Toutefois, l’efficacité clinique et la durée
de protection conférées par ce calendrier mixte ne sont pas connues avec précision,
impliquant une incertitude quant à son impact populationnel sur l’incidence des maladies
associées aux VPH. L’impact populationnel du calendrier mixte au Québec a été évalué
à l’aide d’une étude de modélisation mathématique. Le modèle utilisé (HPV-ADVISE)
est basé sur les individus et simule la dynamique de transmission des VPH à l’échelle
populationnelle. Les mesures d’impact considérées incluent la réduction prédite par
le modèle du taux d’incidence et du nombre total de cas des maladies attribuables
aux VPH. L’effet de l’incertitude quant à l’efficacité vaccinale et la durée de protection
sur l’impact du calendrier mixte a été exploré à l’aide d’analyses de sensibilité
univariées. Pour les lésions cancéreuses et précancéreuses, les simulations ont globalement
prédit une faible différence d’impact entre les scénarios les plus plausibles du calendrier
mixte et le calendrier comportant 2 doses de vaccin nonavalent, conséquence de l’importance
inférieure du fardeau attribuable aux génotypes 31/33/45/52/58 comparativement aux
génotypes 16/18. L’impact sur l’incidence des condylomes s’est avéré beaucoup plus
sensible à la durée de protection qu’à l’efficacité vaccinale. Pour les scénarios
jugés plausibles, la réduction à long terme du taux d’incidence des condylomes a été
prédite entre 50 % (durée de protection de 20 ans) et 90 % (protection à vie, efficacité
de 75 à 100 %). Cette grande variabilité dans les prédictions du modèle suggère qu’une
surveillance populationnelle des infections à VPH et des condylomes suite à l’implantation
du calendrier mixte pourrait être indiquée.
2020
CorpusUL - Dépôt institutionnel de l'Université Laval
Canada
thèse ou mémoire
Virus
papillomaviridae
calendrier vaccinal
papillomavirus humain
Virus
Québec
virus de la vaccine
Calendrier
vaccins antiviraux
vaccination
collecte de données
virus de la vaccine
Vaccins
Papillome
vaccination; médication préventive
Vaccine
adoption
adoption
Virus du papillome humain
virus de la vaccine
---
N3-AUTOINDEXEE
Couvertures vaccinales contre l’hépatite B et les virus du papillome humain en 4e
année du primaire : état d’implantation des mesures recommandées
https://www.inspq.qc.ca/publications/2662
Afin de favoriser l’atteinte des objectifs de couvertures vaccinales (CV) des programmes
de vaccination en milieu scolaire, des orientations ont été émises par le Directeur
national de santé publique recommandant aux régions l’implantation des cinq mesures
suivantes : La rétroaction des résultats de CV auprès des établissements de santé
et des écoles; L’utilisation et la personnalisation des lettres types destinées aux
enseignants et aux parents, en incluant les coordonnées de l’infirmière scolaire dans
les communications aux parents; L’introduction d’une communication destinée aux parents
à la fin de la 3e année du primaire (outil transmis en avril 2018); L’instauration
de processus minimaux attendus de rappels et de relances pour le retour des formulaires
de consentement à la vaccination en 4e année du primaire; Enfin, l’offre d’une formation
spécifique sur le programme du virus du papillome humain (VPH) pour les infirmières
scolaires annuellement. Cette formation est d’ailleurs offerte depuis septembre 2016.
2020
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
rapport
Virus de l'hépatite ni A ni B
poids et mesures
virus de l'hépatite B
Virus
Couverture vaccinale
directives de santé publique
virus de l'hépatite b
Papillome
hepatite
Mesures
virus de l'hépatite A humaine
implant
papillomavirus humain
Virus du papillome humain
Virus de l'hépatite B
principal
papillomaviridae
prothèses et implants
hépatite virale
---
N2-AUTOINDEXEE
Portrait de l’incidence et de la mortalité des cancers associés aux virus du papillome
humain (VPH) : mise à jour de l’incidence 2008-2010 et de la mortalité 2008-2012
https://www.inspq.qc.ca/publications/2492
Au Québec, le programme public de vaccination contre les VPH a été introduit en 2008.
Ce programme, qui s’adressait aux jeunes filles de la 4e année du primaire, a été
élargi en 2016 pour inclure les garçons du même âge. En 2013, l’Institut national
de santé publique du Québec (INSPQ) publiait un premier portrait des cancers associés
aux VPH au Québec, pour la période prévaccination de 1984 à 2007. Le présent rapport
fait une mise à jour de l’incidence des cancers associés aux VPH ainsi que de la mortalité
attribuable à ces cancers, pour évaluer le fardeau de la maladie et celui potentiellement
évitable par la vaccination. Bien que l’effet de la vaccination sur les cancers ne
sera visible que dans les années futures, l’évolution temporelle de l’incidence et
de la mortalité des cancers associés aux VPH a également été révisée, afin d’inclure
les dernières années disponibles dans l’analyse des tendances.
2019
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
rapport
Virus
Fracture avulsion
Papillome
Virus
Virus du papillome humain
mortalité
virus satellites
incidence
portraits comme sujet
Gangrène de Fournier
papillomavirus humain
Portrait
papillomaviridae
---
N3-AUTOINDEXEE
Groupes supplémentaires qui pourraient être visés par une vaccination gratuite contre
les virus du papillome humain (VPH)
https://www.inspq.qc.ca/publications/2490
À la suite de différentes demandes reçues et pour répondre à la question du MSSS du
24 janvier 2018 qui en découle, à savoir si d’autres groupes devraient être visés
par une vaccination gratuite contre les virus du papillome humain (VPH), les données
disponibles ont été revues et le présent document a fait l’objet d’une révision par
les membres du CIQ à l’automne 2018. Le Programme québécois gratuit de vaccination
contre les VPH est parmi les plus étendus répertoriés.
2019
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
rapport
vaccins antiviraux
papillomavirus humain
Vaccins
vaccination; médication préventive
vaccination
papillomaviridae
virus de la vaccine
Papillome
Virus
Vaccine
vaccination
Virus du papillome humain
virus de la vaccine
Virus
---
N3-AUTOINDEXEE
Etude des facteurs de la vaccination contre le Papillomavirus humain chez une sélection
de jeunes filles de terminale en Seine-Maritime
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02269100
L’objectif de cette étude est d’évaluer auprès des jeunes filles de terminale de Seine-Maritime
leurs connaissances au sujet de l’infection à Papillomavirus Humain et sa prévention.
br Secondairement, l’intérêt serait de trouver des pistes de compréhension de l’insuffisance
de couverture vaccinale et des axes à améliorer afin d’informer plus et mieux les
étudiantes pour augmenter le taux de couverture vaccinale. br Matériel et méthode
br Cette étude est descriptive et rétrospective. Elle a été réalisée auprès de 232
jeunes filles de terminale de Seine-Maritime à l’aide d’un questionnaire anonyme distribué
dans 4 lycées du département. br Résultats br La majorité des étudiantes ont peu de
connaissances sur le Papillomavirus humain, son moyen de dépistage et sur sa vaccination.
56% des sujets de notre étude ont été vaccinés. Ce taux est raisonnable au vu du faible
taux de la couverture vaccinale anti-HPV en France. Cependant, de nombreux freins
à la vaccination ont été mis en lumière, il faut les comprendre afin de pouvoir les
combattre. br Conclusion br Une information claire et adaptée doit être délivrée au
plus grand nombre de jeunes filles, de garçons et de parents afin d’obtenir une couverture
vaccinale plus large.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Filles
phase terminale
Vaccins contre les papillomavirus humains
vaccination
Vaccine
famille nucléaire
collecte de données
papillomavirus humain
facteur
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination; médication préventive
papillomaviridae
vaccination
adolescent
Vaccins
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
Sélection
---
N3-AUTOINDEXEE
Évaluation du webinaire sur la vaccination contre les virus du papillome humain (VPH)
pour les infirmières scolaires - 2018
https://www.inspq.qc.ca/publications/2549
Depuis plusieurs années, la vaccination contre les VPH fait l’objet d’une importante
attention médiatique. Afin de soutenir le travail des infirmières vaccinatrices, une
formation (de type webinaire avec une session de questions-réponses) leur est offerte
annuellement en début de l’année scolaire. Le webinaire offert en septembre 2018 portait
entre autres sur les changements annoncés pour le programme de vaccination contre
les VPH. Selon les estimations fournies par le Campus virtuel de l’INSPQ, il y avait
304 inscriptions pour cette activité de formation pour une estimation d’approximativement
764 participantes.
2019
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
rapport
vaccination
Virus
papillomaviridae
virus de la vaccine
Virus
vaccination; médication préventive
vaccins antiviraux
Vaccine
Papillome
Virus du papillome humain
virus de la vaccine
Fracture induite
études d'évaluation comme sujet
vaccination
Vaccins
papillomavirus humain
---
N2-AUTOINDEXEE
Evaluation de la recherche des papillomavirus humains (HPV) en dépistage primaire
des lésions précancéreuses et cancéreuses du col de l’utérus et place du double marquage
immuno-histochimique (p16/Ki67)
https://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2806160/fr/evaluation-de-la-recherche-des-papillomavirus-humains-hpv-en-depistage-primaire-des-lesions-precancereuses-et-cancereuses-du-col-de-l-uterus-et-place-du-double-marquage-immuno-histochimique-p16/ki67
Conformément à son programme de travail, et après cadrage, la Haute Autorité de santé
(HAS) va procéder, à la demande de la Direction Générale de la Santé (DGS), à l'évaluation
de la recherche des papillomavirus humains (HPV) en dépistage primaire des lésions
précancéreuses et cancéreuses du col de l'utérus et place du double marquage immuno-histochimique
(p16/Ki67).
2019
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HAS - Haute Autorité de Santé
France
290. Épidémiologie, facteurs de risque, prévention et dépistage des cancers
français
information scientifique et technique
facteurs socioéconomiques
papillomaviridae
Recherche évaluative
papillomavirus humain
lésion
feuilles de plante
histocytochimie
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
études d'évaluation comme sujet
Dépistage
blessures
principal
col de l'utérus
états précancéreux
Humains
feuilles
double
Dépistage de masse
plaies et blessures
humains
---
N3-AUTOINDEXEE
Papillomavirus humains (HPV) et cancer du col de l’utérus
https://sante.gouv.fr//soins-et-maladies/maladies/article/papillomavirus-humains-hpv-et-cancer-du-col-de-l-uterus
Il existe deux moyens pour prévenir le cancer du col de l’utérus : la vaccination
des jeunes filles pour prévenir l’infection par certains papillomavirus humains (HPV)
et la détection précoce des lésions précancéreuses par frottis du col utérin. Ces
deux moyens sont complémentaires.
2017
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Ministère de la Santé et de la Prévention
Paris
information patient et grand public
papillomaviridae
humains
---
N2-AUTOINDEXEE
Comparaison des stratégies de dépistage du cancer du col de l'utérus avec le test
de détection des virus du papillome humain (test VPH) ou la cytologie gynécologique
(test Pap)
https://www.inesss.qc.ca/publications/repertoire-des-publications/publication/comparaison-des-strategies-de-depistage-du-cancer-du-col-de-luterus-avec-le-test-de-detection-des-virus-du-papillome-humain-test-vph-ou-la-cytologie-gynecologique-test-pap.html
Devant l’implantation du programme de vaccination contre le VPH et en raison des changements
dans la pratique du dépistage du cancer du col utérin davantage orientée vers l’utilisation
du test VPH, la Direction générale de cancérologie a confié à l’INESSS, en collaboration
avec des experts du milieu, le mandat de comparer la validité, l’efficacité et la
sécurité du test VPH à celle de la cytologie.
2017
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INESSS - Institut national d'excellence en santé et en services sociaux
Canada
français
évaluation technologique
gynécologique
Cancer du col de l'utérus
enquêteur
dépistage du cancer
cancer
biologie cellulaire
cancer du col de l'utérus
cytologique
papillomaviridae
cancer
col de l'utérus
Frottis vaginaux
dépistage du cancer
papillomavirus humain
gynécologie
Virus du papillome humain
tumeurs du col de l'utérus
Dépistage précoce du cancer
---
N3-AUTOINDEXEE
Le dépistage du papillomavirus humain (HPV) par rapport au test de Papanicolaou (frottis
cervico-utérin) pour le dépistage du cancer du col de l'utérus
http://www.cochrane.org/fr/CD008587/le-depistage-du-papillomavirus-humain-hpv-par-rapport-au-test-de-papanicolaou-frottis-cervico-uterin
Objectifs : Déterminer la précision diagnostique du test du HPV pour la détection
de néoplasies intraépithéliales cervicales (CIN) de grade 2 ou supérieur (CIN 2 )
confirmées par analyse histologique, notamment l'adénocarcinome in situ, chez les
femmes participant au dépistage primaire du cancer du col de l'utérus ; et comparer
cette précision à la précision du test cytologique (en milieu liquide et conventionnel)
à différents seuils.
2017
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Cochrane
France
Royaume-Uni
français
résumé ou synthèse en français
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
test de papanicolaou
test de papanicolaou
cancer du col de l'utérus
papillomaviridae
papillomavirus humain
dépistage du cancer
rapport albumine/globuline
rapport (information)
Frottis vaginaux
utérus, sai
Humains
col de l'utérus
Cancer du col de l'utérus
cancer
tumeurs du col de l'utérus
dépistage du cancer
cancer
Dépistage précoce du cancer
rapport de recherche
humains
---
N2-AUTOINDEXEE
Vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) des femmes vues en colposcopie
https://www.inspq.qc.ca/publications/2292
À long terme, les individus ayant déjà eu des lésions ou subi un traitement pour une
maladie reliée aux VPH sont à risque accru de faire une autre maladie reliée à ces
virus. La vaccination contre les VPH pourrait réduire ce risque. Cependant, les études
effectuées à ce sujet sont généralement d’une faible qualité méthodologique et leurs
résultats sont contradictoires. Les études randomisées qui ont servi à l’homologation
des vaccins contre les VPH et plusieurs analyses des données de suivi ont conclu qu’il
n’y a pas d’évidence que le vaccin ait un effet sur l’issue d‘infections prévalentes
ou de lésions (progression/élimination) déjà présentes au moment de la vaccination.
Les données sur la vaccination contre les VPH des individus âgés de plus de 45 ans
sont limitées. À notre connaissance, il n’y a pas de données sur l’efficacité des
vaccins contre les VPH lorsqu'ils sont administrés aux individus âgés de 46 ans et
plus ayant déjà eu des lésions ou subi un traitement chirurgical pour une maladie
reliée aux VPH. Après discussion, le CIQ considère donc que les données présentement
disponibles sont insuffisantes pour recommander des changements aux indications de
vaccination contre les VPH présentes au PIQ. Le CIQ réitère que les bénéfices attendus
de la vaccination sont maximaux lorsque la vaccination est administrée avant le début
des activités sexuelles et qu’ils diminuent avec l’âge. Le CIQ considère que les données
disponibles ne supportent pas de repousser les limites supérieures d’âge à la vaccination
au-delà de celles homologuées et actuellement au PIQ. Le CIQ profite de l’occasion
pour redire que les vaccins contre les VPH n’ont pas d’effet thérapeutique. Les données
indiquent que la vaccination contre les VPH n'est pas efficace pour traiter une infection
ou une lésion associée aux VPH déjà présente au moment de la vaccination.
2017
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INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
français
rapport
Femelle
Femmes
vaccination
Virus du papillome humain
vaccins antiviraux
endoscopie du vagin
papillomavirus humain
vaccination; médication préventive
virus de la vaccine
papillomaviridae
virus de la vaccine
colposcopie
Femelle
femmes
virus de la vaccine
---
N3-AUTOINDEXEE
Facteurs associés à l'acceptation d'une ordonnance de vaccin contre les papillomavirus
humains dans quatre cabinets de médecine générale des Hauts-de-France
http://www.sudoc.fr/225720620
Contexte : En 2017, la couverture vaccinale (CV) anti papillomavirus humain (HPV)
est très faible en France avec seulement 17% de jeunes filles vaccinées. L'objectif
de cette étude était d'étudier les facteurs associés à l'acceptation d'une ordonnance
de vaccin anti-HPV, chez les jeunes filles âgées de 11 à 19 ans, consultant dans 4
cabinets de médecine générale des Hauts de France
2017
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
généralisé
France
vaccin
ordonnances
quatre
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
vaccination; médication préventive
vaccination
France
Acceptation des soins par les patients
papillomavirus humain
France
Vaccins contre les papillomavirus humains
France
Vaccins contre les papillomavirus
France
vaccination
papillomaviridae
Vaccins
français
Médecins
Vaccine
médecine générale
facteur
---
N3-AUTOINDEXEE
Impact de la brochure de l'INPES sur le taux de couverture vaccinale anti-papillomavirus
humains dans quatre cabinets de médecine générale des Hauts-de-France
http://www.sudoc.fr/225725673
Contexte : Le taux de couverture vaccinale contre les papillomavirus humains (HPV),
responsables du cancer du col de l'utérus est très faible en France avec seulement
17% de jeunes filles vaccinées. L'objectif de cette étude était d'évaluer l'impact
d'une brochure médicale sur le taux de couverture vaccinale anti-HPV des jeunes filles
consultant dans quatre centres de médecine générale
2017
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
Couverture vaccinale
France
papillomavirus humain
France
Humains
médecine générale
brochures
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
généralisé
France
France
papillomaviridae
vaccination; médication préventive
quatre
Médecins
français
France
couverture d'assurance
---
N3-AUTOINDEXEE
Vaccination contre les virus du papillome humain (VPH) des hommes ayant des relations
sexuelles avec des hommes - Questions et réponses à l'intention des intervenants
http://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/document-001583/
2016
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MSSS - Ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec
Canada
français
information patient et grand public
LGBT
humains
papillome
vaccination
homosexualité masculine
papillomaviridae
virus de la vaccine
virus de la vaccine
Question-réponse
papillomavirus humain
intention
Hommes
relatif
vaccins antiviraux
hommes
virus de la vaccine
Question-réponse
---
N3-AUTOINDEXEE
Prévalence des infections au virus du papillome humain (VPH) : résultats de l’étude
PIXEL - Portrait de la santé sexuelle des jeunes adultes au Québec, 2013-2014
https://www.inspq.qc.ca/publications/2084
Le principal objectif du volet VPH (virus du papillome humain) de l’étude PIXEL était
d’estimer la prévalence globale et spécifique par génotype des infections génitales
au VPH chez les jeunes femmes vaccinées et non vaccinées dans le but d’évaluer l’impact
à court terme du programme de vaccination contre le VPH offert au Québec depuis 2008.
De façon complémentaire, l’étude visait également une première appréciation de l’impact
indirect de la vaccination des femmes chez les hommes, en mettant en parallèle la
prévalence d’infection orale au VPH chez les femmes à celle des hommes, par groupe
d’âge. L’étude PIXEL, réalisée au Québec en 2013-2014, a porté sur plus de 3 500 jeunes
de 17 à 29 ans. L’étude comprenait à la fois des données recueillies par questionnaire
avec des prélèvements biologiques pour la détection de certaines infections transmissibles
sexuellement, dont le VPH.
2016
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INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
français
rapport
Santé sexuelle
Portrait
santé reproductive
prévalence
infections
infection à virus du papillome humain
portraits comme sujet
enfants majeurs
santé sexuelle
adulte
Québec
études de résultat
Virus du papillome humain
papillomaviridae
Jeune adulte
évaluation de résultat des soins
ayant comme résultat
Portrait
jeune adulte
---
N3-AUTOINDEXEE
Évaluation de l'implantation du programme de vaccination contre les papillomavirus
humains organisé en milieu scolaire en Nouvelle-Calédonie
http://www.sudoc.fr/199225206
Un programme de vaccination anti-HPV en milieu scolaire a été mis en place en Nouvelle-Calédonie
en 2015. L'objectif du travail était d'évaluer la première campagne (schéma vaccinal
complet de deux doses) afin d'en identifier les freins et les leviers potentiels et
d'apporter des recommandations d'amélioration.
2016
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
vaccination
papillomaviridae
papillomavirus humain
Vaccins contre les papillomavirus
établissements scolaires
évaluation de programme
vaccination
prothèses et implants
organisation
Vaccins contre les papillomavirus humains
vaccination
organisateurs embryonnaires
implant
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
médial
vaccination; médication préventive
programmes de vaccination
Nouvelle-Calédonie
---
N3-AUTOINDEXEE
Impact du diagnostic de lésions associées au Papillomavirus Humain (HPV) sur la sexualité
féminine : étude qualitative
https://www.iumsp.ch/fr/rds/264
Cette étude s’inscrit dans un projet plus large visant à évaluer l’impact sur la sexualité
féminine d’un diagnostic de lésions associées au HPV. Pour ce faire, un volet quantitatif
comparant la fonction sexuelle d’une population de femmes présentant une lésion liée
au HPV, à celle d’une population sans lésion a été conçu. Lors de la récolte des données,
les instigatrices principales ont décidé d’ajouter un complément qualitatif visant
à approfondir la compréhension des données quantitatives. Elles ont ainsi mandaté
la plateforme de soutien méthodologique en recherche qualitative, sous l’égide du
CepiC, pour réaliser ce complément. Ce rapport expose le complément de recherche qualitatif.
2016
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IUMSP - Institut universitaire de médecine sociale et préventive
France
français
rapport
qualitatif
plaies et blessures
lésion
papillomaviridae
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
état sexuel
recherche qualitative
sexualité
sexe féminin, sai
aucun diagnostic
Humains
papillomavirus humain
diagnostic
blessures
humains
---
N3-AUTOINDEXEE
Données et outils pour l'optimisation de l’impact de la vaccination prophylactique
contre les papillomavirus humains en France
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01325228
Introduction : Depuis 2007, la vaccination contre les infections à papillomavirus
humains (HPV) est recommandée en complément du dépistage du cancer du col utérin (CCU).
Cependant, au vu de la faible couverture vaccinale en France, l’impact épidémiologique
de la vaccination est discuté, ainsi que le choix de la population cible et les moyens
déployés pour son adhésion à la recommandation. Cette thèse propose des données et
des outils originaux pour l’évaluation et l’optimisation de l’impact de la vaccination
HPV en France
2015
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TEL - Thèses en ligne
France
français
thèse ou mémoire
Vaccination
vaccination
français
Humains
papillomaviridae
outil
papillomavirus humain
Vaccins contre les papillomavirus
vaccination; médication préventive
autre maladie virale; maladie virale non classée ailleurs
France
vaccination
vaccination
humains
ensemble de données
---
N1-VALIDE
Autoprélèvement pour la détection de l’infection du col de l’utérus à HPV
Une alternative crédible?
https://minerva-ebp.be/fr/article/2005
En Belgique, seul 59% du groupe cible des femmes entre 25 à 64 ans participent au
moins tous les 3 ans au dépistage du cancer du col de l’utérus par frottis du col
de l’utérus (test de Papanicolaou). La détection de l’infection à papillomavirus humain
(HPV) est plus sensible mais moins spécifique que la cytologie pour le dépistage des
lésions précoces de cancer du col de l’utérus. Un autoprélèvement pour la détection
de l’HPV pourrait donc être une alternative performante pour augmenter la participation
au dépistage du cancer du col de l’utérus.
2015
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minerva-ebm.be
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
français
lecture critique d'article
infections à papillomavirus
tumeurs du col de l'utérus
Participation des patients
papillomaviridae
Dépistage précoce du cancer
autosoins
Incidence et mesures publiques de prévention des infections à virus à ADN
---
N3-AUTOINDEXEE
HPV Akanthoma
http://www.dermis.net/dermisroot/fr/14260/diagnose.htm
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DermIS.net
Allemagne
information scientifique et technique
papillomaviridae
---
N1-SUPERVISEE
Test du virus du papillome humain versus cytologie à répétition pour le triage des
lésions cytologiques cervicales mineures
http://www.cochrane.org/fr/CD008054
Objectif principal Comparer la précision du test hrHPV au moyen de l'Hybrid Capture
2 (HC2) avec celle de la cytologie à répétition pour la détection de la néoplasie
intraépithéliale cervicale sous-jacente de grade 2 ou pire (CIN2 ) ou de grade 3
ou pire (CIN3 ), chez les femmes avec ASCUS ou LSIL...
2013
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N
Cochrane
Royaume-Uni
France
français
méta-analyse
résumé ou synthèse en français
papillomaviridae
dysplasie du col utérin
néoplasie endocrinienne multiple
tumeurs du col de l'utérus
tumeurs du col de l'utérus
infections à papillomavirus
---
N1-SUPERVISEE
Dépistage du cancer du col
Recherche du HPV plus efficace que la cytologie conventionnelle?
https://minerva-ebp.be/fr/article/253
Question clinique: versus cytologie conventionnelle, quelle est l'efficacité de la
recherche du HPV dans le dépistage des lésions précancéreuses et du cancer du col
chez des femmes participant à un programme organisé de dépistage de ce cancer?
2011
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minerva-ebm.be
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
français
Incidence et mesures publiques de prévention des cancers
tumeurs du col de l'utérus
tumeurs du col de l'utérus
résultat thérapeutique
Dépistage de masse
papillomaviridae
lecture critique d'article
---
N1-VALIDE
Item 149 : Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques : tumeurs à papillomavirus
humain (HPV)
http://campus.cerimes.fr/dermatologie/enseignement/dermato_25/site/html/
épidémiologie, physiopathologie, aspects cliniques (verrues cutanées, épidermodysplasie
verruciforme, condylomes et infections anogénitales à HPV, néoplasies intraépithéliales),
diagnostic des infections HPV, traitement (cryothérapie, laser CO2, traitement médicamenteux),
points essentiels ; 6 pages
2011
true
N
true
2eme cycle / master
UMVF - Campus de Dermatologie
France
299. Tumeurs cutanées, épithéliales et mélaniques
302. Tumeurs cutanées, épithéliales et mélaniques
français
épreuves classantes nationales
biopsie de la peau
dermatologie
infections à papillomavirus
épidermodysplasie verruciforme
adulte
enfant
condylomes acuminés
cryothérapie
verrues
infections à papillomavirus
infections à papillomavirus
verrues
virologie
signes et symptômes
diagnostic différentiel
pronostic
lasers
colposcopie
biopsie
épithélioma in situ
épithélioma in situ
Dépistage de masse
épithélioma in situ
infections à papillomavirus
Frottis vaginaux
infections à papillomavirus
papillomaviridae
cours
---
N1-SUPERVISEE
Papillomavirus : les virus et la physiopathologie de l'infection
Médecine thérapeutique / Pédiatrie. Volume 13, Numéro 1, 5-19, janvier-février 2010,
Dossier
https://www.jle.com/fr/revues/medecine/mtp/e-docs/00/04/57/22/resume.phtml
Les papillomavirus constituent une vaste famille de plus de 200 petits virus à ADN
non enveloppés, capables d'infecter l'Homme et de nombreux mammifères, avec une spécificité
d'espèce étroite. Leur tropisme est strictement épithélial et on distingue, comme
appartenant à des genres différents, papillomavirus muqueux et papillomavirus cutanés.
Ils sont responsables de tumeurs bénignes et malignes chez l'homme et chez l'animal,
et ont été à l'origine du premier modèle de tumeur liée à un virus à ADN, découvert
en 1920 par Shope chez le lapin. Chez l'Homme, les HPV (Human papillomavirus) sont
responsables de 100 % des cas de cancer du col utérin et sont impliqués dans de nombreux
cancers cutanés et muqueux
2010
false
N
John Libbey Eurotext
Montrouge
France
français
papillomaviridae
infections à papillomavirus
article de périodique
---
N1-SUPERVISEE
La vaccination anti-papillomavirus
Module 02 Vaccinologie systématique
http://archives.uness.fr/sites/umvf/media/ressMereEnfant/VAC/2011/11_coursaget/index.htm
Projet mère-enfant; rôle des agents infectieux dans l'étiologie des cancers, arbre
phylogénique des papillomavirus, importance relative des infections sexuellement transmissibles
(USA), histoire naturelle des infections par les HPV génitaux, infection d'un épithélium
stratifié par les papillomavirus etc...
2010
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true
Mère-enfant
Paris
France
français
cours
Infections à virus à ADN
programmes de vaccination
papillomaviridae
Vaccins contre les papillomavirus
Vaccins contre les papillomavirus
enfant
matériel d'enseignement audio-visuel
---
N1-SUPERVISEE
Implication des papillomavirus humains dans les cancers des voies aérodigestives supérieures
https://www.jle.com/fr/revues/medecine/bdc/e-docs/00/04/4F/CB/resume.phtml?type=text.html
L'infection à papillomavirus humains ou human papillomavirus (HPV) représente la maladie
sexuellement transmissible la plus fréquente au monde. En Belgique et en France, les
cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS) ont une incidence particulièrement
élevée et en augmentation. Chez l'homme, il s'agit du quatrième cancer le plus fréquent
après le cancer de la prostate, du poumon et du côlon. Bien qu'un lien causal soit
actuellement bien établi entre les HPVs oncogènes et les cancers du col de l'utérus,
le rôle de ces virus dans la survenue des cancers des VADS reste discuté. Cet article
de synthèse permet de faire une mise à jour de nos connaissances concernant la relation
entre les infections à HPV et les cancers des VADS. Selon notre revue de la littérature,
20 à 25 % de ces cancers seraient induits par les HPVs oncogènes et plus spécifiquement
le type 16. C'est l'oropharynx et plus précisément la tonsille palatine, qui est le
site tumoral le plus fréquemment concerné par l'infection à HPV. Une augmentation
évidente de la proportion des cancers tonsillaires a par ailleurs été observée. Les
modalités de transmission ainsi que les voies de signalisations, p53 et pRb, impliquées
dans les cancers des VADS semblent similaires à celles décrites dans le cancer du
col de l'utérus. Plusieurs études ont montré que le sous-groupe de patients infectés
par les HPVs oncogènes présentait un pronostic beaucoup plus favorable, notamment
lorsque ceux-ci surexpriment la protéine p16. Il semble donc nécessaire de poursuivre
les recherches concernant les infections à HPVs et les cancers des VADS, et cela,
afin peut-être de valider la vaccination à grande échelle des jeunes garçons.
2009
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N
John Libbey Eurotext
Montrouge
France
français
article de périodique
carcinome épidermoïde
tumeurs de la tête et du cou
papillomaviridae
infections à papillomavirus
infections à papillomavirus
---
N1-VALIDE
Étude méthodique et analyse coût-efficacité de la cytologie en phase liquide dans
le dépistage du cancer du col de l'utérus
https://www.cadth.ca/fr/etude-methodique-et-analyse-cout-efficacite-de-la-cytologie-en-phase-liquide-dans-le-depistage-du
https://www.cadth.ca/sites/default/files/pdf/O0007_Screening-Cervical-Cancer-Using-Liquid-Based-Technology_to_f.pdf
Le rapport d'évaluation des technologies de la santé de l'ACMTS sur la cytologie en
phase liquide dans le dépistage du cancer du col de l'utérus analyse l'efficacité
diagnostique et le rapport coût-efficacité des ces techniques par rapport à la cytologie
classique telle que le test de Pap.
2008
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ACMTS - Agence canadienne des médicaments et des technologies de la santé
Canada
français
anglais
Frottis vaginaux
infections à papillomavirus
papillomaviridae
tumeurs du col de l'utérus
Dépistage de masse
techniques cytologiques
cytodiagnostic
évaluation technologique
---
N1-VALIDE
Dépistage du cancer du col de l'utérus et recherche du Papillomavirus humain (HPV)
http://kce.fgov.be/fr/publication/report/d%C3%A9pistage-du-cancer-du-col-de-l%E2%80%99ut%C3%A9rus-et-recherche-du-papillomavirus-humain-hpv
Les tests de dépistage étudiés comprennent le frottis conventionnel et la cytologie
basée sur une collecte des cellules en milieu liquide qui permet aussi la recherche
d'HPV. Nous documentons l'état du dépistage en Belgique et dans d'autres pays mais
sans comparer explicitement les résultats de ces dépistages. Nous décrivons également
les attentes et les attitudes des femmes lors des tests d'HPV. Nous estimons le budget
nécessaire pour l'exécution des tests HPV lorsque ce test est cliniquement indiqué
et formulons des recommandations à l'intention des décideurs. Nous ne présentons pas
d'étude coût-efficacité ni de revue de la littérature. ; 104 pages
2006
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N
Centre Fédéral d'Expertise des Soins de Santé
Bruxelles
Belgique
français
anglais
tumeurs du col de l'utérus
tumeurs du col de l'utérus
Dépistage de masse
Frottis vaginaux
Belgique
tumeurs du col de l'utérus
infections à papillomavirus
techniques de diagnostic moléculaire
papillomaviridae
recommandation pour la politique de santé
---
N1-VALIDE
Dépistage du cancer du col: étalement fin, test HPV ou PAP ?
https://minerva-ebp.be/fr/article/857
Question clinique: La cytologie sur étalement fin et la détection de l'Human Papillomavirus
(HPV) sont-elles supérieures au frottis classique pour le dépistage du cancer du col?
2004
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minerva-ebm.be
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
français
Incidence et mesures publiques de prévention des cancers
tumeurs du col de l'utérus
résultat thérapeutique
Dépistage de masse
tumeurs du col de l'utérus
Frottis vaginaux
tumeurs du col de l'utérus
infections à papillomavirus
cytodiagnostic
sensibilité et spécificité
papillomaviridae
lecture critique d'article
étude comparative
---
N1-VALIDE
Tests fondés sur la cytologie liquide et sur la détection du papillomavirus dans le
dépistage du cancer du col
https://www.cadth.ca/sites/default/files/pdf/197_cervical_cancer_tr_f.pdf
dépistage du cancer du col au Canada, test de Papanicolaou, nouvelles technologies,
cytologie liquide, test de détection du papillomavirus, mise à l'essai des tests,
examen clinique, exactitude diagnostique, examen des études économiques, discussion,
conclusion, références ; 106 pages
2003
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ACMTS - Agence canadienne des médicaments et des technologies de la santé
Canada
français
test de papanicolaou
tumeurs du col de l'utérus
tumeurs du col de l'utérus
tumeurs du col de l'utérus
Frottis vaginaux
Dépistage de masse
essais cliniques comme sujet
cytodiagnostic
cytodiagnostic
Dépistage de masse
Frottis vaginaux
médecine factuelle
coûts et analyse des coûts
Canada
incidence
sensibilité et spécificité
bibliographie médicale
papillomaviridae
papillomaviridae
rapport
étude comparative
évaluation technologique
questionnaire
résultat thérapeutique
---
N1-VALIDE
Papillomavirus humain
fiches techniques santé/sécurité - matières infectieuses
http://www.phac-aspc.gc.ca/lab-bio/res/psds-ftss/papillome-fra.php
description, danger pour la santé (pathogénicité, épidémiologie, gamme d'hôtes, dose
infectieuse, mode de transmission, période d'incubation, transmissibilité), dissémination
(réservoir, zoonose, vecteurs), viabilité (sensibilité aux médicaments, sensibilité
aux désinfectants, inactivation par des moyens physiques, survie à l'extérieur de
l'hôte), aspects médicaux (surveillance, premiers soins et traitements, immunisation,
prophylaxie), dangers pour le personnel de laboratoire (infections liées ou acquises
au laboratoire, sources et échantillons, dangers primaires et particuliers), précautions
recommandés (exigences de confinement, vêtements protecteurs, autres protections),
renseignements relatifs à la manipulation (déversements, élimination, entreposage),
renseignements divers
2001
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N
ASPC - Agence de santé publique du Canada
Canada
français
infections à papillomavirus
infections à papillomavirus
Réservoirs de maladies
désinfectants
Personnel de laboratoire d'analyses médicales
exposition professionnelle
vêtements de protection
infections à papillomavirus
transmission de maladie infectieuse
infections à papillomavirus
gestion des déchets
papillomavirus humain de type 11
papillomavirus humain de type 16
papillomavirus humain de type 18
papillomavirus humain de type 6
papillomaviridae
papillomaviridae
Période d'incubation de la maladie infectieuse
recommandation
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