Libellé préféré : Fumeurs;

Ressource obsolète : false;

Synonyme CISMeF : Fumeuses;

Traduction automatique Wikipédia : Tabagisme;

Hyponyme MeSH : Fumeuses de produits autres que ceux du tabac; Fumeuses de tabac;

Terme MeSH Related : Vapoteuses;

Lien Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tabagisme;

Détails


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Vous pouvez consulter :


N3-AUTOINDEXEE
Indice des prix à la consommation des produits du tabac et articles pour fumeurs
https://www.inspq.qc.ca/tabac-et-cigarette-electronique/donnees/ipc
L'Indice des prix à la consommation (IPC) représente les variations de prix telles qu'expérimentées par les consommateurs du Canada. Il mesure la variation de prix en comparant, au fil du temps, le coût d'un panier fixe de biens et services (Aliments; logement; dépenses courantes, ameublement et équipement du ménage; vêtements et chaussures; transports; soins de santé et soins personnels; loisirs, formation et lecture; boissons alcoolisées, tabac et cannabis récréatif). Les données de l'IPC sont diffusées à plusieurs échelles, soit fédérale, provinciale, et municipale dans certains cas. Selon l'Organisation mondiale de la Santé (2021), la taxation des produits du tabac constitue un des plus puissants leviers d'intervention pour réduire le tabagisme. Une hausse des taxes sur les produits du tabac entraîne une augmentation de leur prix et les rend moins accessibles aux consommateurs, particulièrement aux jeunes et aux personnes socioéconomiquement défavorisées. Cette mesure contribue ainsi à prévenir l'initiation au tabagisme et à favoriser la réduction ou la cessation de l’usage du tabac.
2024
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
information scientifique et technique
consommation de tabac
produits du tabac
consommation de biens
nicotiana tabacum
Fumeurs de tabac
Usage de tabac
Fumer du tabac
Indice des prix à la consommation
fumeur
Fumeurs
économie

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N2-AUTOINDEXEE
Facteurs associés à l’envie d’arrêter de fumer et aux tentatives d’arrêt chez les fumeurs. Résultats du Baromètre de Santé publique France 2021
http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2023/9-10/2023_9-10_2.html
Introduction – La prévalence tabagique a globalement baissé en France depuis 2016, mais un rebond des inégalités sociales semble s’opérer depuis 2020. L’objectif de cet article est de présenter certains facteurs associés à l’envie d’arrêter de fumer, au projet d’arrêt dans les 6 mois et à la réalisation d’une tentative d’arrêt l’année passée. Méthodes – Cette étude repose sur les données du Baromètre de Santé publique France 2021, enquête menée sur un échantillon aléatoire de la population résidant en France. L’analyse porte sur les 4 733 fumeurs quotidiens âgés de 18 à 75 ans interrogés en métropole. Des régressions logistiques multivariées ont été réalisées incluant des covariables socio-économiques, la consommation d’alcool et la survenue d’un épisode dépressif caractérisé dans l’année précédente. Résultats – Parmi les fumeurs quotidiens, 59,3% déclaraient avoir envie d’arrêter de fumer, 26,4% déclaraient avoir le projet d’arrêter dans les six prochains mois et 30,3% avaient fait une tentative d’arrêt d’au moins une semaine dans les 12 derniers mois. L’envie d’arrêter de fumer était associée au sexe masculin, à un âge supérieur à 35 ans, au fait de ne pas se déclarer à l’aise financièrement et à la survenue d’un épisode dépressif caractérisé dans l’année. Le projet d’arrêt dans les six mois était associé à un niveau de diplôme supérieur au baccalauréat, à une situation financière perçue comme difficile et à la survenue d’un épisode dépressif caractérisé. Les tentatives d’arrêt dans l’année étaient associées au sexe masculin, à un âge inférieur à 35 ans et à un niveau de diplôme supérieur ou égal au bac. La consommation d’alcool (usage quotidien ou alcoolisations ponctuelles importantes mensuelles) était négativement associée aux trois variables d’intérêt. Conclusion – Il est important de continuer à adapter les dispositifs de prévention pour non seulement inciter les fumeurs plus vulnérables sur le plan socio-économique à faire des tentatives d’arrêt du tabac, mais aussi mieux les aider à transformer ces tentatives en sevrage réussi.
2023
SPF - Santé publique France
France
article de périodique
Fumeurs
santé publique
facteur
France
tache lie de vin
français
ayant comme résultat
France
Santé publique
France
France
France
Arrêter de fumer
fumeur

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N2-AUTOINDEXEE
Les représentations et l'usage de la cigarette électronique chez la femme enceinte fumant, ayant fumé ou vapoté durant sa grossesse
https://n2t.net/ark:/47881/m6wh2ptr
Concernant le tabagisme durant la grossesse, les recherches sont multiples et très fournies à ce sujet, et un consensus à l'international existe concernant son utilisation et ses risques chez la FECT et le fœtus. Néanmoins, concernant la CE, peu de recherches ont été effectuées, et les données sont contradictoires. Dans certains pays d'Europe, son utilisation est officiellement recommandée pour le sevrage tabagique en cours de grossesse, alors qu'en France, le CNGOF recommande de déconseiller une initiation ou une poursuite de ce dispositif chez les FECT. Il est donc difficile pour les femmes enceintes consommatrices de se positionner et de savoir quel comportement adapter. Comprendre leur motivation à vapoter pour celles qui utilisent la CE ou bien au contraire, leur réticence à l'utilisation du dispositif électronique durant la grossesse chez les fumeuses. Comprendre les représentations qu'ont les FECT qui fument et/ ou qui vapotent, ou ayant fumé et/ou vapoté durant leur grossesse, concernant le tabagisme et vapotage durant la grossesse. Déterminer une cinétique de leur consommation pendant leur grossesse. Des entretiens qualitatifs semi-directifs ont été menés auprès de 10 femmes enceintes fumant, ayant fumé, ou vapotant durant leur grossesse, ayant dépassé leur 28ème semaine d'aménorrhée. La motivation principale identifiée à l'utilisation de la CE durant la grossesse était afin de diminuer la consommation tabagique, et la réticence principale était que les patientes avaient l'impression de consommer beaucoup plus de nicotine avec une CE plutôt qu'avec un tabagisme classique. Les FECT avaient une vision plus sécuritaire de l'utilisation de la CE plutôt que du tabac durant la grossesse. La plupart n'identifiait pas la cigarette électronique comme aide au sevrage tabagique définitif mais plutôt comme une alternative le temps de la grossesse. De nombreuses études sont encore à effectuer sur un échantillon plus conséquent afin de préciser les données concernant le vapotage pendant la grossesse et plus précisément son utilisation et représentation dans la population des femmes enceintes
2022
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
électron
Fumeurs
fumée de cigarette
grossesse
Cigarettes électroniques
grossesse
Vapotage
grossesse
femmes enceintes
Electronique
Fumer des cigarettes
Dispositifs électroniques d'administration de nicotine

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N3-AUTOINDEXEE
Impact de l'évaluation systématique du souffle sur la consommation de tabac chez les fumeurs en visite médicale périodique à 6 et 12 mois
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03788830
Introduction : première cause de mortalité évitable en France, le tabac concerne près d’un militaire sur deux. Actuellement, la pratique du conseil minimal est recommandée par la HAS à chaque consultation avec un patient fumeur. Plusieurs études mettent en évidence un effet bénéfique de l’évaluation du souffle sur le sevrage tabagique, et ce quel que soit le résultat du test réalisé. Notre étude cherchait à mesurer l’impact de l’évaluation systématique du souffle en médecine générale associé au conseil minimal en visite médicale périodique, par rapport au conseil minimal seul chez des militaires. Matériel et méthode : notre étude prospective, longitudinale, ouverte, multicentrique, contrôlée et randomisée a été réalisée auprès de fumeurs quotidiens militaires se présentant en visite médicale périodique. Chaque participant renseignait ses habitudes tabagiques puis recevait selon son groupe (intervention ou contrôle) : soit un conseil minimal associé à une évaluation du VEMS/VEM6 par mini-spiromètre, soit un conseil minimal seul. Des visites de suivi étaient réalisées à 6 et 12 mois avec de nouveaux questionnaires. Le critère de jugement principal était de déclarer ne plus consommer de tabac à 6 mois. Résultats : 182 participants ont été inclus par 10 centres entre juin 2019 et juin 2020 avec un suivi de 12 mois. 97 participants étaient dans le groupe contrôle et 85 étaient dans le groupe intervention. Les taux de réponse étaient de 78,0% et 48,4% à 6 et 12 mois. Les taux de sevrage déclaré à 6 mois étaient de 23,1% dans le groupe contrôle, et de 18,7% dans le groupe intervention sans différence significative (p 0,5). Les taux de sevrage déclaré à 12 mois et les comportements tabagiques ne différaient pas entre les deux groupes. Les taux de sevrage globaux étaient de 21,1% à 6 mois et de 16,5% à 12 mois. Discussion : d’autres études ayant mis en évidence un effet bénéfique sur le sevrage tabagique de l’évaluation du souffle communiquaient aux participants leur âge pulmonaire, ce qui ne fut pas le cas dans notre étude. Notre effectif était également inférieur à celui de ces travaux. Le taux de sevrage déclaré global recueilli était nettement supérieur aux 3% à 6% attendus par la pratique du conseil minimal. Son effet probablement sous-estimé en pratique et la mise en place d’un suivi auraient pu permettre d’obtenir plus de sevrage. Néanmoins, l’absence de confirmation biologique pourrait conduire à une sur-déclaration. Conclusion : la mesure du VEMS/VEM6 par mini-spiromètre associé au conseil minimal n’a pas montré d’effet supérieur au conseil minimal seul sur le sevrage tabagique à 6 mois. La délivrance systématique du conseil minimal a permis d’obtenir des taux de sevrage globaux importants, devant encourager sa pratique en médecine générale.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
dû à
souffle
Systématique
fumeur
nicotiana tabacum
études d'évaluation comme sujet
Fumeurs de tabac
Usage de tabac
Systématique
Fumer du tabac
Systématique
Systématique
Périodique
classification
Fumeurs

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N2-AUTOINDEXEE
Attitudes des fumeurs en période de crise sanitaire liée à la Covid-19 : synthèse d'études qualitatives et quantitatives
https://www.santepubliquefrance.fr/view/content/440211/full/1/517922
Points clés Évolution de l'envie d'arrêter de fumer et des comportements tabagiques des fumeurs en temps de crise sanitaire La proportion de fumeurs quotidiens souhaitant arrêter de fumer était évaluée à près de 60 % au premier semestre 2020, au cours duquel le premier confinement de la population liée à la Covid-19 a été mis en place. Cette proportion était similaire à celles des années précédentes. La majorité des fumeurs résidant en France métropolitaine (entre la moitié et les deux tiers selon les enquêtes prises en compte dans le cadre de cette étude) ont déclaré que la crise sanitaire n'avait pas influencé leur consommation, ni leur motivation à arrêter de fumer. Au sein de la minorité restante, l'évolution de la consommation de tabac pendant la pandémie était très dépendante de la situation professionnelle (télétravail, perte d'emploi) et du niveau de stress ressenti pendant la crise sanitaire. Si les personnes habituées à fumer lors de moments de convivialité ont réduit leur consommation du fait de l'amenuisement des occasions sociales, les fumeurs qui identifiaient la cigarette comme un moyen de soulager le stress ont eu tendance à davantage fumer en temps de crise.
2022
SPF - Santé publique France
France
COVID-19
rapport
ostéosynthèse
COVID-19
attitude
recherche qualitative
fumeur
Fumeurs
posture
Périodique
crise

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N3-AUTOINDEXEE
Facteurs prédictifs du Sevrage TABAgique chez les fumeurs atteints de maladies Cardio-Vasculaires et de leurs facteurs de risque dans la base nationale des consultations de tabacologie CDTnet (STABA-CV)
https://www.theses.fr/2022UBFCK069
Contexte : Le tabagisme représente un facteur de risque majeur et modifiable de maladies cardiovasculaires (MCV), en particulier chez les femmes. En France, la prévalence du tabac est parmi les plus élevées d’Europe. Cependant, l’identification des facteurs associés au sevrage tabagique dans les populations à haut risque CV reste peu étudiée. L’objectif de ce travail de thèse est tout d’abord de dresser l’état des connaissances actuelles sur l’association entre la consommation de tabac et le risque de MCV chez les femmes à travers une revue de littérature. Puis, à l’aide de la base nationale des consultations de tabacologie CDTnet, de décrire le profil sociodémographique, médical et tabacologique des consultants et de rechercher les facteurs prédictifs de sevrage tabagique et leurs disparités en fonction du sexe.Méthodes : Pour la revue, nous avons étudié les travaux menés entre 2000 et 2020 sur le thème retenu dans la base bibliographique internationale Medline et le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire pour les données françaises. Dans la seconde partie de la thèse, les fumeurs 18 ans avec au moins un risque CV (facteur de risque CV ou MCV) inclus dans la base CDTnet entre 2001 et 2018 ont été analysés. L'abstinence était définie par un arrêt de tabac auto-déclaré d’au moins 28 jours consécutifs et confirmé par un monoxyde de carbone expiré 10 ppm.Résultats : Notre revue de la littérature montre que par rapport aux hommes, les femmes fumeuses, dont la prévalence continue d’augmenter en France dans certaines tranches d’âge, ont un risque CV accru et spécifique, lié notamment à l’utilisation de contraceptifs oestro-progestatifs. Chez les femmes, les stratégies pharmacologiques et non pharmacologiques d'arrêt du tabac se sont révélées particulièrement efficaces pour réduire le risque CV, quel que soit le nombre d'années d'exposition, en prévention primaire et secondaire. Parmi les 36 864 fumeurs adultes avec des facteurs de risque CV ou des MCV inclus dans la base CDTnet, 42% étaient des femmes. Comparées aux hommes, les femmes avaient 3 ans de moins (48 vs 51 ans, p 0,001), un plus haut niveau d’éducation et moins de facteurs de risque et d’antécédents de MCV. A contrario, elles souffraient plus souvent d'obésité, de maladies respiratoires et de symptômes anxiodépressifs. Bien que les femmes soient moins dépendantes à la nicotine, leur taux d'abstinence était paradoxalement inférieur à celui des hommes (52,6% vs 55,2%, p 0,001). Nous avons identifié des disparités significatives entre les sexes pour les facteurs associés à l’abstinence. Les facteurs associés négativement chez les fumeuses (mais pas chez les fumeurs) étaient l'obésité et le trouble de l'usage de l'alcool. Chez les fumeurs, mais pas chez les fumeuses, les facteurs négativement associés étaient la consommation de cannabis, et certains antécédents (artériopathie oblitérante des membres inférieurs et cancer lié au tabac). Nos données issues d’une étude prospective sur une large base nationale renforcent la définition de l’arrêt du tabac comme un objectif prioritaire chez les sujets avec des facteurs ou antécédents CV et suggèrent l’intérêt, dans cette population à haut risque, d’une prise en charge du tabac spécifique selon le sexe.
2022
theses.fr
France
facteur de risque
risque cardiovasculaire
maladie
Arrêter de fumer
Maladie
tabagisme
Fumeurs
tabacologie
Tabagisme
Tabagisme
fumeur
consultants
maladies cardiovasculaires
Arrêt de la consommation de tabac
sevrage
appareil circulatoire, sai
base
facteurs de risque
maladie vasculaire
Maladies vasculaires
orientation vers un spécialiste
Maladies

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N3-AUTOINDEXEE
Améliorer l’aide à l’arrêt du tabagisme offerte aux fumeurs québécois : évaluation de la ligne téléphonique d’aide du Québec
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/rapports-publications/promotion-sante-prevention-maladies-chroniques-canada-recherche-politiques-pratiques/vol-41-no-7-8-2021/renoncement-tabac-fumeurs-quebecois-ligne-telephonique-quebec.html
Introduction. Les lignes téléphoniques d’aide à l’arrêt du tabagisme constituent une intervention importante et largement répandue en matière de soutien aux fumeurs dans leur démarche d’arrêt du tabagisme et d’encouragement à obtenir des services de traitement. Au Québec, la ligne téléphonique d’aide à l’arrêt du tabagisme, la ligne J’ARRÊTE, est en service depuis 2002. Cette étude vise à évaluer la portée du traitement, à décrire les caractéristiques des appelants et à présenter les données issues des mesures des résultats.
2021
Gouvernement du Canada
France
article de périodique
Québec
tabagisme
Tabagisme
Arrêt de la consommation de tabac
études d'évaluation comme sujet
fumeur
Tabagisme
Fumeurs
téléphone
Fumer
Fumer

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N3-AUTOINDEXEE
Identification des habitudes, des motivations et des représentations du tabagisme chez les fumeurs
http://www.sfmg.org/publications/les_theses/identification_des_habitudes_des_motivations_et_des_representations_du_tabagisme_chez_les_fumeurs.html
Contexte - Les patients ont leurs propres motivations à fumer et représentations du tabagisme, qui peuvent différer de celles des médecins généralistes, constituant ainsi des difficultés dans leur prise en charge. Méthode - L’objectif de l’étude était d’identifier par une analyse observationnelle descriptive quantitative les habitudes de consommation, les motivations à fumer et les représentations du tabagisme chez les fumeurs majeurs français par un questionnaire distribué par les médecins généralistes français recrutés dans l’étude. Résultats - 269 patients ont été inclus par les 122 généralistes recrutés. Les patients avaient commencé à fumer par effet de mode à 65 % mais ils continuaient par habitude à 58 %, par dépendance à 57 %, pour faire face au stress à 43 % et par plaisir à 39 %. Les patients qui fumaient moins de 5 cigarettes par jour fumaient plus par plaisir (p 0,05) au contraire des autres qui fumaient plus par dépendance (p 0,05). Parmi les patients, 61 % attendaient de leur médecin traitant la compréhension de la difficulté de l’arrêt, 34 % souhaitaient une absence de jugement et 32 % une information sur les différents moyens de sevrage disponible. Pour 79 % des patients, le tabagisme avait des effets négatifs sur leur entourage et 62 % des fumeurs interrogés connaissait l’absence d’un seuil de dangerosité du tabac. Les patients interrogés se sentaient bien informés sur les risques du tabac pendant la grossesse à 69 % mais 48 % ne savaient pas si l’utilisation des TNS était possible pendant la grossesse. Conclusion - Une meilleure connaissance des motivations à fumer et des représentations du tabagisme permet d’ouvrir des pistes d’amélioration dans la prise en charge du tabagisme en médecine générale. En particulier, l’information devrait se poursuivre sur les effets du tabagisme passif, l’absence de seuil de dangerosité du tabac et l’innocuité des substituts nicotiniques même utilisés durant la grossesse. Mots clés : Tabac, Arrêter de fumer, Médecine générale, Connaissances, attitudes et pratiques en santé, Perception
2021
SFMG - Société Française de Médecine Générale
France
établissements de soins ambulatoires
motivation
Fumer
Tabagisme
dé-identification
Fumeurs
habitudes
identification psychologique
Fumer du tabac
habitude
motivation diminuée
Motivation
motivation
tabagisme
Motivation
Tabagisme
fumeur

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N2-AUTOINDEXEE
Le dépistage du cancer du poumon par scanner thoracique faible dose (STFD) reste non justifié, mais peut être utile pour un bilan de santé des fumeurs
https://www.academie-medecine.fr/le-depistage-du-cancer-du-poumon-par-scanner-thoracique-faible-dose-stfd-reste-non-justifie-mais-peut-etre-utile-pour-un-bilan-de-sante-des-fumeurs/
La pratique d’exploration par scanner thoracique « faible dose » (STFD) chez les fumeurs pourrait permettre un diagnostic plus précoce de cancer broncho-pulmonaire (CBP), une quantification de l’emphysème et l’identification de calcifications coronaires. Etant données les doses réduites d’irradiation qu’elle délivre, l’idée d’en faire un instrument de dépistage des CBP a mené à la réalisation d’essais randomisés avec groupe témoin. Avec un recul de 10 et 12 ans il ressort, des deux plus importants d’entre eux, une réduction de la mortalité liée au CBP chez les hommes, de 25% en moyenne, significative dans l’essai Nelson et de 8%, non significative, dans l’essai NLST, mais pas de réduction de la mortalité globale. Chez les femmes les résultats sont variables et plus difficilement interprétable. Dans l’essai NLST, une réduction significative de 20% en moyenne à 10 ans est observée chez les femmes alors que dans l’essai Nelson une réduction de 33% n’est pas significative en raison du faible nombre de femmes incluses et suivies 10 ans.
2021
Académie Nationale de Médecine
France
rapport
Cancer du poumon
tomodensitométrie
fumeur
cancer
santé
Bilan
Fumeurs
dépistage du cancer
dépistage du cancer
tumeurs du poumon
Dépistage précoce du cancer
Cancer du poumon
asthénie
États financiers

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N3-AUTOINDEXEE
Les interventions de renoncement au tabac chez les fumeurs présentant des troubles mentaux ou des troubles liés à l’utilisation de substances
https://www.inspq.qc.ca/publications/2689
Le Québec a connu un important recul du tabagisme au cours des 25 dernières années, mais près de 1,3 million de Québécois âgés de 18 ans et plus affirmaient faire usage de la cigarette en 2015-16, ce qui représente 19 % de la population adulte du Québec. On observe de grandes disparités au sein de groupes particuliers. C’est le cas des personnes affectées par un trouble mental ou un trouble lié à l’utilisation de substances. Ainsi, chez les Québécois affectés par un trouble mental, la prévalence du tabagisme atteint presque le double de celle de la population générale.
2020
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
rapport
Troubles mentaux
trouble lié au tabagisme
trouble mental
Fumeurs de tabac
Fumeurs
fumeur
nicotiana tabacum
Troubles liés à l'utilisation de substances
Arrêt de la consommation de tabac
troubles mentaux
troubles liés à une substance

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N2-AUTOINDEXEE
Les fumeurs français : qui sont-ils ? Résultats du Baromètre de Santé publique France 2017
http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2020/14/2020_14_3.html
Chaque année, la prévalence du tabagisme en France est estimée à partir des résultats de l’enquête Baromètre de Santé publique France. Ainsi en 2017, parmi les personnes âgées de 18 à 75 ans interrogées, 26,9% déclaraient fumer quotidiennement 1. En 2019, elles étaient 24,0% à déclarer fumer quotidiennement (voir l’article d’Anne Pasquereau et coll. dans ce numéro du BEH). Ces analyses permettent d’étudier l’évolution temporelle du tabagisme (en baisse depuis 2017, après une relative stabilité observée depuis 2010) et d’analyser les facteurs associés au tabagisme et leur évolution. Des inégalités sociales de santé sont ainsi mises en évidence puisque, en 2017, le fait d’être un homme, d’être jeune, d’avoir un niveau de diplôme inférieur ou égal au baccalauréat, d’avoir des revenus faibles ou encore d’être au chômage était associé au tabagisme quotidien 1.
2020
SPF - Santé publique France
France
article de périodique
France
ayant comme résultat
fumeur
France
France
Fumeurs
Santé publique
Fracture de fatigue
France
France
français
santé publique

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N2-AUTOINDEXEE
Professionnels de santé, fumeurs, ex-fumeurs et leur entourage : réponses aux questions que vous pouvez vous poser en période de pandémie Covid-19
https://splf.fr/wp-content/uploads/2020/06/Tabac-Covid19-QuestionsReponses-ExpertsFrancophones_20200521.pdf
Fumer a des conséquences néfastes sur la santé respiratoire et cardiovasculaire, ce qui peut augmenter le risque de complications lors d’une infection au SARS-CoV-2, le virus qui est la cause de la maladie Covid-19. L’arrêt du tabac est donc recommandé en cette période d’épidémie afin de protéger les fumeurs et leur entourage des effets néfastes du tabac et de la fumée passive. La Société Francophone de Tabacologie (SFT), le Centre universitaire de médecine générale et de santé publique Unisante, Lausanne, Suisse, le Fonds des Affections Respiratoires (FARES), Belgique, la Société Luxembourgeoise de Pneumologie, Luxembourg et la Société de Pneumologie de Langue Française (SPLF), France, soutiennent l’aide au sevrage des fumeurs ou des fumeuses et de toute personne concernée par le tabagisme.
2020
SPLF - Société de Pneumologie de Langue Française
France
pneumopathie virale
infections à coronavirus
COVID-19
recommandation professionnelle
pandémies
Anciens fumeurs
Périodique
Fumeurs
Santé
personnel de santé
Question-réponse
ancien fumeur
Fumeurs
santé
COVID-19

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N3-AUTOINDEXEE
Grossesse et tabac : l’accompagnement au sevrage des femmes enceintes fumeuses
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02180052
Le tabagisme actif et passif durant la grossesse, par ses nombreuses conséquences sur la santé de la mère et de l’enfant, constitue un véritable enjeu de santé publique. Depuis 2010, la situation de consommation tabagique pendant la grossesse n’a pas évolué : bien que la majorité des femmes parvienne à arrêter de fumer en début de grossesse, 17 % des femmes enceintes déclarent fumer quotidiennement au troisième trimestre de leur grossesse. Une étude qualitative menée à la maternité de Port-Royal du groupe hospitalier Cochin à Paris s’est intéressée aux raisons concourant à un non-arrêt du tabac pendant la grossesse. Au cours de cette étude, 15 femmes, ayant fumé au moins jusqu’au troisième trimestre de leur grossesse ou ayant réalisé un sevrage tabagique pendant leur grossesse, ont été interrogées au cours d’entretiens individuels semi-directifs, pendant leur hospitalisation en unité de suites de couche. Les résultats obtenus ont contribué à mettre en évidence différentes raisons expliquant les difficultés de prise en charge de ces patientes. Les femmes enceintes tabagiques souhaitant réaliser un sevrage pendant leur grossesse ne sont pas toujours informées des possibilités qui s’offrent à elles et souhaitent être davantage accompagnées et conseillées. De plus, les professionnels de santé les prenant en charge pendant leur grossesse et dans le post-partum n’utilisent pas systématiquement les outils disponibles pour dépister et évaluer la dépendance ainsi que les thérapeutiques existantes pour accompagner le sevrage de leurs patientes fumeuses. Une prise de conscience générale est nécessaire afin d’assurer une prise en charge rigoureuse et adaptée des femmes enceintes tabagiques pendant leur grossesse et la période postnatale.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
grossesse
grossesse
Fumeurs
femmes enceintes
sevrage
sevrage
nicotiana tabacum
Tabac
grossesse
tabac

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N2-AUTOINDEXEE
Utilisation du dosage de monoxyde de carbone: quelle pratique pour le suivi des femmes enceintes fumeuses par les sages-femmes ?
http://www.sudoc.fr/236854720
La consommation de tabac touche toutes les catégories socio-professionnels et tous les âges. On se retrouve donc avec un nombre important de femmes enceintes qui fument. Cette consommation n’est pas anodine pour le bien-être de la grossesse et du foetus. Il est donc important de s’en préoccuper le plus tôt possible. Le dosage de monoxyde de carbone permet d’avoir une évaluation de la consommation sans se baser uniquement sur les dires des patientes. Pouvant être une motivation pour la patiente, il pourrait être intéressant de l’inclure lors du suivi tabacologique. Cette étude descriptive menée auprès de 827 sages-femmes libérales de la France métropolitaine et d’outre-mer a permis de mieux appréhender la prise en charge et d’évaluer l’utilisation du dosage de monoxyde de carbone. Les résultats ont démontré une prise en charge importante des patientes fumeuses mais que le CO testeur n’y trouvait que peu sa place par défaut d’interprétation. On retrouve une très faible utilisation du CO testeur de la part des sages-femmes libérales mais elles sont très impliquées dans la prévention, la détection et le suivi
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
Fumeurs
Sages-femmes
profession de sage-femme
Pratique
grossesse
femmes enceintes

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N2-AUTOINDEXEE
Les concours aident-ils les fumeurs à cesser de fumer à moyen et à long terme ?
https://www.cochrane.org/fr/CD013272/les-concours-aident-ils-les-fumeurs-cesser-de-fumer-moyen-et-long-terme
Dans les concours conçus pour aider les gens à cesser de fumer, les participants sont encouragés à cesser de fumer tout en ayant la chance de gagner une récompense s'ils y parviennent. Certains concours permettent à des groupes de fumeurs de s'affronter directement, le groupe dans lequel le plus grand nombre de fumeurs ont cessé de fumer remportant un prix. Une personne qui cesse de fumer peut aussi participer à une loterie pour gagner un prix, comme des paiements en espèces, des bons, des primes salariales, des articles promotionnels (t-shirts, stylos ou sacs), des vacances ou des articles de luxe (voitures ou bateaux). Jusqu'en 2006, un type particulier de concours pour arrêter de fumer, le concours Arrêter de fumer et gagner , a été organisé à l'échelle internationale.
2019
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true
false
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Cochrane
France
Royaume-Uni
études d'évaluation comme sujet
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
Arrêter de fumer
Fumeurs

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N2-AUTOINDEXEE
Comment optimiser l’aide au sevrage tabagique: Étude qualitative des bénéfices du tabac rapportés par des patients fumeurs
http://www.sudoc.fr/234020180
INTRODUCTION : le tabac cause 73 000 décès prématurés tous les ans en France. Ses méfaits sont connus. Malgré cela un français sur trois fume. Cette question est souvent abordée par ses aspects néfastes ; considérer les bénéfices peut paraître une incitation au tabagisme. Notre étude envisage la question différemment. L’objectif est d’analyser les bénéfices rapportés pour améliorer notre compréhension et prise en charge. METHODE Étude qualitative de 18 entretiens semi dirigés de patients fumeurs adultes, volontaires, de médecine générale. Analyse avec le logiciel RQDA. Traitement des données par « théorisation ancrée ». RÉSULTATS A l’adolescence, la cigarette assouvit une curiosité, un besoin d’expérimentation. Elle intervient dans la construction d’une identité sociale (outil d’intégration, construction d’une image sociale, représentation d’une norme) et personnelle (autonomisation, construction d’un soi idéal). Elle facilite les échanges sociaux et véhicule certaines valeurs. Puis, elle structure le quotidien du fumeur, l’imprègne d’habitudes, de rituels. Elle est considérée comme indispensable au fonctionnement basal du corps, via la dépendance nicotinique, un atout pour le poids, un régulateur émotionnel, une automédication. Elle représente un plaisir, une récompense. Elle peut refléter une souffrance ou une volonté d’autodestruction. Elle est un moyen de s’octroyer une immunité face aux conséquences du tabac. Cependant, comparés aux méfaits, ces bénéfices sont insuffisants générant une culpabilité. CONCLUSION Les bénéfices rapportés sont nombreux, réels et symboliques. Notre étude nous apprend que le sevrage signifie faire le deuil d’une relation forte et d’une identité de fumeur en adoptant une nouvelle identité de nonfumeur et une nouvelle manière de vivre. En avoir conscience est une grande valorisation pour le patient lorsqu’il se lance dans cette voie. A nous de créer une ouverture et une alliance thérapeutique en étant patients, bienveillants, à l’écoute en écartant tout jugement pour avancer à son rythme vers le sevrage.
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
recherche qualitative
sevrage
nicotiana tabacum
Fumeurs
tabac
sevrage
fumeur
patients
rapport albumine/globuline
a comme patient

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N3-AUTOINDEXEE
De la cigarette manufacturée à la cigarette électronique: ressenti des patients sur un usage exclusif en soins primaires : étude qualitative sur une population de patients fumeurs, vapo-fumeurs et vapoteurs exclusifs du Nord-Pas-de-Calais
http://www.sudoc.fr/237414260
Contexte : le tabac décime la population mondiale. Nous suivons les recommandations et avons des outils pour lutter contre ce fléau. Malgré tout, le sevrage tabagique stagne depuis une dizaine d’années en France. Depuis, la cigarette électronique a fait son apparition. Plusieurs études ont montré sa moindre nocivité par rapport à la cigarette, mais un bénéfice sur la santé découle d’une exclusion totale du tabac. Il existe plus de 22,5 millions de fumeurs en France et seulement 1,3 % ont un usage exclusif de la cigarette électronique. L’objectif de ce travail était d’adapter notre discours en fonction du ressenti des patients sur l‘usage exclusif de la cigarette électronique. Méthode : étude qualitative par théorisation ancrée à l’aide de 14 entretiens compréhensifs et semi-dirigés chez des fumeurs, vapo-fumeurs et vapoteurs exclusifs. Résultats : six concepts se démarquent. Aborder la cigarette électronique dans le sevrage tabagique avec le choix de personnaliser son système pour mimer au mieux la cigarette. Favoriser la communication en informant le plus fidèlement possible nos patients sur les données scientifiques concernant le système et ses répercussions comparés à la cigarette. Parler des conséquences sanitaires : de la diminution des risques à la création de nouvelles dépendances. Mettre en place un encadrement médico-légal avec un suivi en individualisant le passage exclusif. Permettre un apprentissage de l’utilisation et expliquer le fonctionnement de l’objet. Parler des enjeux économiques : des commerces à réglementer ou éviter, aux économies que la consommation engendre. Préférer un sevrage total ou à défaut un usage exclusif chez les fumeurs sans demande de sevrage. Conclusion : la majorité des fumeurs et utilisateurs mixtes sans demande de sevrage total sont intéressés par cette méthode et ont un ressenti positif. Il est possible de favoriser leur passage exclusif dans une recherche de diminution des risques.
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
Fumeurs
principal
Soins
patients
qualité des soins de santé
produits du tabac
a comme patient
cigarettes
recherche qualitative
population
soins de santé primaires
soins de santé primaires
Vapoteurs
Nord-Pas-de-Calais
Pression systolique
fumeur
soins
pression sanguine

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N2-AUTOINDEXEE
Étude de l'évolution du tabagisme après un conseil d'arrêt : Retour d'expérience dans un cabinet de médecine générale sur 156 fumeurs
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01900727/document
Le tabac est considéré comme la 1ère cause de décès évitables selon l’OMS. En France, on estime à 73200 le nombre de décès attribuables au tabac en 2016, sans compter les comorbidités associées. La prévalence du tabagisme en France est une des plus fortes d’Europe. Les réponses à ce problème ont tardé à apparaître, mais commencent à porter leurs fruits. Pour lutter contre le tabagisme, le médecin généraliste a un rôle primordial. C’est pourquoi, en 2014, la Haute Autorité de Santé (HAS) a mis à jour ses recommandations dans l’aide au sevrage tabagique. Nous nous sommes appropriés ces recommandations pour réaliser une étude interventionnelle avec pour objectif principal d’évaluer le taux de progression de l’étape motivationnelle selon le modèle transthéorique après un conseil d’arrêt du tabac. Les objectifs secondaires sont d’étudier le taux d’arrêt et de réduction de la consommation, d’analyser la motivation des personnes qui n’ont pas arrêté de fumer et d’évaluer un impact global. br Méthode : br Il s’agit d’une étude de type interventionnelle, prospective et uni-centrique. Nous avons interrogé les patients fumeurs réguliers, volontaires, âgés de 18 à 75 ans, adressés par leur médecin traitant à la fin de leur consultation. L’étude s’est déroulée dans un cabinet médical semi-rural situé à Bourg-Achard, commune de l’Eure (27). Les fumeurs ont été évalués entre T0 et T1 (8 semaines après) sur leur tabagisme, l’étape motivationnelle du modèle transthéorique, la motivation selon le test Q-MAT et une échelle analogique. br Résultats : br 156 fumeurs ont été inclus dans notre étude, 54 fumeurs ont changé de statut dans le modèle transthéorique dont 81% dans le sens d’une progression, IC95% [69% ; 90%]. A T1, 21 personnes (13,4%) ont arrêté de fumer et 32 personnes (20,5%) ont réduit leur consommation d’au moins la moitié. Nos résultats ont montré que le test Q-MAT était plus significatif pour présager d’un arrêt du tabac, que le modèle transthéorique. La consommation du tabac a diminué globalement de 28,4%. Nous constatons également une progression chez les personnes qui n’ont pas arrêté de fumer, que ce soit de leur dépendance ou de leur motivation. Notre intervention a permis un effet positif pour 4 patients sur 10 environ, et un patient sur 10 a estimé qu’elle l’a aidé à arrêter de fumer. br Conclusion : br Le conseil à l’arrêt du tabac est et reste une des missions importantes du médecin généraliste. Ce travail devrait inciter les médecins à s’inquiéter du statut tabagique de leurs patients et à les conseiller d’arrêter de fumer.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
collecte de données
Arrêt de la consommation de tabac
Tabagisme
tabagisme
Fumeurs
Médecins
Agnosie spatiale
tabagisme
fumeur
médecine générale
Tabagisme
Assistance

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29/03/2024


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