Identifiant d'origine : SR52; 
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
                
               
Voir aussi (proposés par CISMeF)
                
            
          
         
         
         
         
N2-AUTOINDEXEE
L’infirmier en santé au travail, un rôle dans l’accompa-gnement en tabacologie
https://www.inrs.fr/media.html?refINRS=TF%20302
Au sein d'une entreprise de sous-traitance automobile, une campagne d'aide au sevrage
            tabagique est réalisée à l'initiative de l'infirmier en santé au travail (IDEST).
            Elle s'accompagne d'une étude de suivi de cohorte (102 salariés) pour illustrer le
            rôle de l'IDEST et mettre en évidence d'éventuels freins au sevrage. Le suivi s'est
            déroulé sur une période de 13 mois au cours desquels un rendez-vous mensuel est organisé
            au sein du service de prévention et de santé au travail de l'entreprise. Les résultats
            montrent qu'un accompagnement au long terme, réalisé par un IDEST, augmente la proportion
            de personnes sevrées par rapport à un sevrage effectué sans accompagnement. La consommation
            conjointe de tabac et de cannabis semble être un frein important dans le sevrage.
2023
RST - Références en Santé au Travail
France
article de périodique
tabacologie
rôle de l'infirmier
infirmier en santé du travail
Travail
santé au travail
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N3-AUTOINDEXEE
Facteurs prédictifs du Sevrage TABAgique chez les fumeurs atteints de maladies Cardio-Vasculaires
            et de leurs facteurs de risque dans la base nationale des consultations de tabacologie
            CDTnet (STABA-CV)
https://www.theses.fr/2022UBFCK069
Contexte : Le tabagisme représente un facteur de risque majeur et modifiable de maladies
            cardiovasculaires (MCV), en particulier chez les femmes. En France, la prévalence
            du tabac est parmi les plus élevées d’Europe. Cependant, l’identification des facteurs
            associés au sevrage tabagique dans les populations à haut risque CV reste peu étudiée.
            L’objectif de ce travail de thèse est tout d’abord de dresser l’état des connaissances
            actuelles sur l’association entre la consommation de tabac et le risque de MCV chez
            les femmes à travers une revue de littérature. Puis, à l’aide de la base nationale
            des consultations de tabacologie CDTnet, de décrire le profil sociodémographique,
            médical et tabacologique des consultants et de rechercher les facteurs prédictifs
            de sevrage tabagique et leurs disparités en fonction du sexe.Méthodes : Pour la revue,
            nous avons étudié les travaux menés entre 2000 et 2020 sur le thème retenu dans la
            base bibliographique internationale Medline et le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire
            pour les données françaises. Dans la seconde partie de la thèse, les fumeurs  18 ans
            avec au moins un risque CV (facteur de risque CV ou MCV) inclus dans la base CDTnet
            entre 2001 et 2018 ont été analysés. L'abstinence était définie par un arrêt de tabac
            auto-déclaré d’au moins 28 jours consécutifs et confirmé par un monoxyde de carbone
            expiré  10 ppm.Résultats : Notre revue de la littérature montre que par rapport aux
            hommes, les femmes fumeuses, dont la prévalence continue d’augmenter en France dans
            certaines tranches d’âge, ont un risque CV accru et spécifique, lié notamment à l’utilisation
            de contraceptifs oestro-progestatifs. Chez les femmes, les stratégies pharmacologiques
            et non pharmacologiques d'arrêt du tabac se sont révélées particulièrement efficaces
            pour réduire le risque CV, quel que soit le nombre d'années d'exposition, en prévention
            primaire et secondaire. Parmi les 36 864 fumeurs adultes avec des facteurs de risque
            CV ou des MCV inclus dans la base CDTnet, 42% étaient des femmes. Comparées aux hommes,
            les femmes avaient 3 ans de moins (48 vs 51 ans, p 0,001), un plus haut niveau d’éducation
            et moins de facteurs de risque et d’antécédents de MCV. A contrario, elles souffraient
            plus souvent d'obésité, de maladies respiratoires et de symptômes anxiodépressifs.
            Bien que les femmes soient moins dépendantes à la nicotine, leur taux d'abstinence
            était paradoxalement inférieur à celui des hommes (52,6% vs 55,2%, p 0,001). Nous
            avons identifié des disparités significatives entre les sexes pour les facteurs associés
            à l’abstinence. Les facteurs associés négativement chez les fumeuses (mais pas chez
            les fumeurs) étaient l'obésité et le trouble de l'usage de l'alcool. Chez les fumeurs,
            mais pas chez les fumeuses, les facteurs négativement associés étaient la consommation
            de cannabis, et certains antécédents (artériopathie oblitérante des membres inférieurs
            et cancer lié au tabac). Nos données issues d’une étude prospective sur une large
            base nationale renforcent la définition de l’arrêt du tabac comme un objectif prioritaire
            chez les sujets avec des facteurs ou antécédents CV et suggèrent l’intérêt, dans cette
            population à haut risque, d’une prise en charge du tabac spécifique selon le sexe.
2022
theses.fr
France
facteur de risque
risque cardiovasculaire
maladie
Arrêter de fumer
Maladie
tabagisme
Fumeurs
tabacologie
Tabagisme
Tabagisme
fumeur
consultants
maladies cardiovasculaires
Arrêt de la consommation de tabac
sevrage
appareil circulatoire, sai
base
facteurs de risque
maladie vasculaire
Maladies vasculaires
orientation vers un spécialiste
Maladies
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N2-AUTOINDEXEE
Tabac et inégalités sociales de santé : l'approche de Santé publique France
15e congrès de la Société Francophone de Tabacologie, Reims, 25-26 nov. 2021
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/426494/3424681
La lutte contre les inégalités sociales est au coeur des stratégies de lutte contre
            le tabac, en France comme à l'étranger. Comment se traduit elle à un niveau opérationnel
            ? L'approche de Santé publique France comprend plusieurs activités : Produire les
            données d'observation qui permettent de mesurer, suivre et analyser ce phénomène;
            Analyser ces données de cadrage pour identifier des populations cibles des actions
            de prévention, et des leviers d'action; Assurer une veille scientifique pour identifier
            des pistes d'action; Concevoir, mettre en oeuvre et évaluer des actions de prévention
            tenant compte de ces inégalités dans l'objectif de ne pas les accroître, voire de
            contribuer à les limiter; Evaluer ces actions de prévention en tenant compte de ces
            enjeux.
2021
SPF - Santé publique France
France
congrès ou conférence
Socialisme
tabac
congrès comme sujet
Santé publique
France
tabacologie
France
français
santé publique
France
nicotiana tabacum
France
inégalités de santé
France
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N3-AUTOINDEXEE
Le diplôme inter-universitaire de tabacologie et d'aide au sevrage tabagique de Strasbourg
            : bilan pédagogique et impact professionnel
https://www.cairn.info/revue-sante-publique-2005-2-page-241.htm
La formation des professionnels amenés à s’investir dans la lutte
            contre le tabagisme est la mission du diplôme inter-universitaire (DIU) de tabacologie
            et d’aide au sevrage tabagique. Un bilan pédagogique du DIU est proposé
            ainsi que l’étude de son impact sur l’activité professionnelle.
            Un questionnaire a été adressé par voie postale aux 60 étudiants
            inscrits entre 1997 et 2002 (taux de réponse de 71,6 %). Le bilan pédagogique
            précise les points forts et faibles de l’enseignement et la satisfaction
            des étudiants. La comparaison, avant et après l’enseignement, de l’activité
            en tabacologie des étudiants ayant validé le DIU apprécie l’impact
            sur leur pratique professionnelle. L’enseignement pluri-professionnel touche
            surtout des médecins ou internes (74,4 %) et des paramédicaux (16,3 %).
            Les étudiants reconnaissent la qualité de l’enseignement (intervenants
            appréciés, programme complet). Ils regrettent cependant le manque de mise
            en pratique des cours et l’absence d’enseignements sur les prises en charges
            non médicamenteuses (thérapies comportementales, soutien psychologique).
            Les effets secondaires du sevrage (poids, anxiété, sommeil) sont insuffisamment
            traités. La majorité des étudiants sont « très satisfaits
            » de l’enseignement théorique et du stage en consultation de sevrage.
            Aujourd’hui 69,0 % des étudiants formés sont actifs en tabacologie.
            Ceux-ci ont su diversifier leurs activités, passant de la prévention au
            sevrage ou vice versa. Un enseignement concernant les femmes enceintes, les adolescents
            et les thérapies comportementales a été introduit. Sur le plan des
            compétences, le DIU pourrait encore mieux répondre aux besoins des étudiants
            en développant davantage l’enseignement interactif (jeux de rôles,
            ateliers pratiques).
10.3917/spub.052.0241
2005
Cairn.info
France
matériel enseignement
article de périodique
Tabagisme
Tabagisme
tabacologie
prothèse partielle fixe
pédagogie
Arrêter de fumer
sevrage
Bilan
Sevrage
tabagisme
États financiers
Arrêt de la consommation de tabac
enseignement
sevrage
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