Libellé préféré : toxine;

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N3-AUTOINDEXEE
Évaluation Médico-Économique de la toxine botulique dans la prise en charge des dysménorrhées
https://sesstim.univ-amu.fr/fr/video-box/seminaire-interne-du-sesstim-koffi-jean-martial-kouame
2023
SESSTIM
France
matériel d'enseignement audio-visuel
botulisme
toxines botuliniques
dysménorrhée
dysménorrhée
dysménorrhée
examen physique
douleur menstruelle
Évaluation
botulisme
évaluation économique
fardeau économique
toxine
coûts et analyse des coûts
gestion des soins aux patients
toxine
évaluation
Botulisme
évaluation

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N3-AUTOINDEXEE
Toxi-infection alimentaire collective (TIAC) à E. coli O157 producteur de Shiga-toxines, associée à la consommation de concombres crus
https://www.santepubliquefrance.fr/regions/hauts-de-france/documents/enquetes-etudes/2022/toxi-infection-alimentaire-collective-tiac-a-e.-coli-o157-producteur-de-shiga-toxines-associee-a-la-consommation-de-concombres-crus
Le 9 Septembre 2021, l'Agence régionale de Santé (ARS) des Hauts-de-France était informée d'une suspicion de toxi-infection alimentaire collective (TIAC) touchant des élèves demi-pensionnaires, scolarisés dans plusieurs écoles d'une commune de la Métropole lilloise. Le 13 septembre 2021, deux cas de syndrome hémolytique et urémique (SHU) étaient diagnostiqués chez deux enfants hospitalisés, scolarisés dans cette commune. Santé publique France Hauts-de-France a été sollicité par l'ARS des Hauts-de-France afin d'apporter un appui aux investigations et à la gestion de cette TIAC. Au total, 35 cas de gastro-entérite, avec diarrhées glairo-sanglantes et fièvre ( 38 C) dans la moitié des cas, ont été identifiés. Dix cas ont été hospitalisés et deux enfants ont développé un SHU. Les cas identifiés étaient des élèves demi-pensionnaires dans quatre groupes scolaires (29 cas), un parent d'élève et des personnes âgées bénéficiant du service de portage de repas à domicile de la commune (5 cas). Les cantines des cas étaient toutes approvisionnées par la cuisine centrale municipale. L'allure de la courbe épidémique était en faveur d'une source commune et ponctuelle de contamination lors des repas des 2 ou 3 septembre 2021.
2022
SPF - Santé publique France
France
rapport
Collection
Infection alimentaire
infections communautaires
toxine
escherichia coli O157
cucumis
maladie infectieuse
cucumis sativus
maladies d'origine alimentaire
shiga-toxines
économie
Concombres

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N2-AUTOINDEXEE
Traitement par la toxine botulique de type A ou par des anticholinergiques chez les personnes souffrant de dystonie cervicale (postures involontaires de la tête)
https://www.cochrane.org/fr/CD004312/MOVEMENT_traitement-par-la-toxine-botulique-de-type-ou-par-des-anticholinergiques-chez-les-personnes
Problématique de la revue Ceci est une mise à jour d'une revue Cochrane. Nous avons évalué si la toxine botulique de type A (TBA) était plus efficace (réduction de la gravité, du handicap et de la douleur) et plus sûre que les médicaments anticholinergiques pour les personnes souffrant de dystonie cervicale (positionnement involontaire de la tête).
2021
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Cochrane
France
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
antagonistes cholinergiques
anticholinergiques
toxine
torticolis spasmodique
toxines botuliniques
torticolis
Botulisme
Dystonie cervicale
posture
botulisme
personnes
tête
posture

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N3-AUTOINDEXEE
Surveillance des expositions en laboratoire aux agents pathogènes humains et aux toxines au Canada, en 2020
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/rapports-publications/releve-maladies-transmissibles-canada-rmtc/numero-mensuel/2021-47/numero-10-octobre-2021/surveillance-expositions-laboratoire-pathogenes-humains-toxines-canada-2020.html
La Loi sur les agents pathogènes humains et les toxines et le Règlement sur les agents pathogènes humains et les toxines exigent que les incidents de laboratoire soient signalés au système de surveillance de déclaration des incidents en laboratoire au Canada de l'Agence de la santé publique du Canada. L'objectif du présent rapport est de décrire les incidents de laboratoire concernant des expositions survenues au Canada en 2020 et les personnes affectées par ces incidents.
2021
Gouvernement du Canada
Canada
article de périodique
laboratoires
organisation et administration
toxines biologiques
Canada
homo sapiens
humains
toxine
Exposition
effets de l'exposition à un agent externe

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N3-AUTOINDEXEE
Intérêt de la toxine botulique dans la prise en charge des strabismes
https://www.sfo-online.fr/sites/www.sfo-online.fr/files/medias/documents/Int%C3%A9r%C3%AAt-toxine-botulique-dans-prise-charge-strabismes%281%29.pdf
La toxine botulique A est utilisée en ophtalmologie depuis les années 1970. Ses indications en strabologie sont encore limitées et souvent discutées (Rowe JF, Noonan CP. Cochrane Databas Syst Rev 2012). La toxine botulique A peut être indiquée dans les paralysies oculomotrices et dans le strabisme précoce. Seuls les médecins formés à l’usage de la toxine botulique peuvent actuellement proposer son utilisation.
SFO - Société Française d'Ophtalmologie
France
recommandation professionnelle
gestion des soins aux patients
strabisme
Strabisme
Botulisme
botulisme
toxines botuliniques
strabisme
strabisme
Botulisme
toxine

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N2-AUTOINDEXEE
Dans quelle mesure la toxine botulique (type A, souvent appelée « Botox ») traite-t-elle les rides du visage ?
https://www.cochrane.org/fr/CD011301/SKIN_dans-quelle-mesure-la-toxine-botulique-type-souvent-appelee-botox-traite-t-elle-les-rides-du-visage
Principaux messages L'injection de toxine botulique de type A (un traitement de type Botox) réduit les rides entre les sourcils, et son utilisation est relativement sûre. Les effets sur les rides ont été constatés lors de mesures effectuées quatre semaines après l'injection. L'injection de toxine botulique de type A augmente probablement le risque de chute des paupières. D'autres études sont nécessaires pour évaluer les bénéfices et les risques à long terme d'un traitement répété par toxine botulique.
2021
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
botulisme
toxines botuliniques
Botulisme
BOTOX
appellation
face
vieillissement de la peau
toxine
Mesures
botulisme
Botulisme
poids et mesures

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N2-AUTOINDEXEE
AVIS et RAPPORT de l'Anses relatif à l’actualisation de l’évaluation des risques liés à la présence de cyanobactéries et leurs toxines dans les eaux destinées à l’alimentation, les eaux de loisirs et les eaux destinées aux activités de pêche professionnel
https://www.anses.fr/fr/system/files/EAUX2016SA0165Ra.pdf
L’Agence a été saisie le 19 juillet 2016 par la Direction générale de la santé (DGS) d’une demande d’actualisation de l’évaluation des risques liés à la présence de cyanobactéries et de leurs toxines dans les eaux destinées à l’alimentation (EDCH), à la baignade et autres activités récréatives. Préalablement, l’Anses avait été saisie le 25 septembre 2015 par la Direction générale de l’alimentation (DGAL) et la DGS d’une demande d’appui scientifique et technique sur l’état des connaissances concernant la contamination des poissons d’eau douce par les cyanotoxines.
2020
ANSES
France
rapport
alimentation en eau
professions
Anses
Rapport d'évaluation
baies (géographie)
études d'évaluation comme sujet
Risque relatif
alimentation
toxine
Alimentation
toxines biologiques
cyanobactéries
Pêche
Appréciation des risques
rapport albumine/globuline
activités de loisirs
Prunus persica
émigration et immigration
risque

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N3-AUTOINDEXEE
Deep Gluteal Syndrome: revue de littérature et évaluation de l'efficacité de l'injection de toxine botulique et de corticoïdes dans sa prise en charge
http://www.sudoc.fr/249804301
Le Deep Gluteal Syndrome, ou syndrome fessier profond, est dé fini comme la compression non discogé nique et extra-pelvienne du nerf sciatique, au sein de toute structure de l'espace fessier profond. La connaissance de ce syndrome est actuellement limitée en raison de symptômes impré cis et de sa faible pré valence pré sumé e du fait de sa mé connaissance. Le syndrome du piriforme est la pathologie la mieux connue du Deep Gluteal Syndrome. L'objectif de cette thè se est donc dans un premier temps d'effectuer une revue de la litté rature (hors syndrome du piriforme). Dans un second temps, il s'agit de revoir ré trospectivement les dossiers des cas susceptibles de rentrer dans le cadre de ce syndrome hors piriforme qui ont été traité s par infiltrations aux Hôpitaux universitaires de Strasbourg. La finalité est d'amé liorer la compré hension des autres causes de ce syndrome et de standardiser la prise en charge diagnostique et thérapeutique du Deep Gluteal Syndrome. Deep Gluteal Syndrome is defined as the non-discogenic, extra-pelvic compression of the sciatic nerve, within any structure of the deep gluteal space. Knowledge of this syndrome is currently limited due to imprecise symptoms and its presumed low prevalence due to its ignorance. Piriformis syndrome is the best known etiology of Deep Gluteal Syndrome. The objective of this thesis is first of all to review the literature (excluding piriformis syndrome). The second step is to retrospectively review the files of patients suspected of this syndrome except piriformis who were treated by infiltrations at the University Hospitals of Strasbourg. The aim is to improve the understanding of the other causes of this syndrome and to standardize the diagnostic and therapeutic management of Deep Gluteal Syndrome.
2020
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
études d'évaluation comme sujet
Botulisme
Injection
botulisme
corticoïdes
gestion des soins aux patients
injections
toxines botuliniques
littérature de revue comme sujet
glucocorticoïdes
toxine
hormone corticosurrénalienne
injection
Littérature
Botulisme
botulisme

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N3-AUTOINDEXEE
Efficacité du traitement par injections de toxine botulique dans la prise en charge des épicondylites chroniques : une revue systématique de la littérature
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03026114
Introduction : l’épicondylite radiale ou latérale ou tennis elbow est une pathologie fréquente dans la population générale (1 à 3% de la population dans une vie) dont les retentissements socio-économiques sont importants. Les traitements de première intention permettent dans 80 à 90% des cas une résolution des symptômes mais dans la part restante, la chronicisation nécessite des thérapeutiques de seconde ligne qui sont diverses. Les injections de toxine botulique A, déjà largement utilisée dans le domaine de la rééducation pour le traitement de la spasticité semblent être un traitement efficace. Objectifs : réaliser une revue de la littérature récente de l’efficacité des injections de toxine botulique sur la douleur ressentie par les patients souffrant d’épicondylite latérale chronique à court/moyen et long terme et définir les modalités d’injection, la dose et le type de produit utilisé. Méthodes : revue systématique menée de Janvier 2020 à Mai 2020, selon les lignes directrices de PRISMA (dans les limites de la réalisation par une seule personne) et sélectionnant les essais cliniques contrôlés randomisés comparant l’efficacité de la toxine botulique aux autres traitements médicaux et portant sur trois bases de données : Pubmed, Web of Science et Cochrane. La qualité méthodologique des essais a été évaluée par l’échelle PEDRo (Physiotherapy Evidence Database Scale cheklist). Résultats : Un total de 7 articles évaluant l’efficacité d’un traitement par injection de toxine botulique de type A a été retenu. Deux articles comparaient l’efficacité de la toxine à une injection de 40 mg de triamcinolone et montrait l’absence de différence significative sur l’évaluation de la douleur à moyen et long terme, en revanche un des articles montrait une différence significative en faveur de la corticothérapie à courte terme. 5 articles évaluaient l’efficacité de la toxine versus placebo et montrent tous une amélioration significative de l’EVA douleur à court, moyen et long terme à l’exception d’un article qui évaluait l’EVA à moyen terme et ne montrait pas de différence significative. Les essais utilisant de faibles doses de toxine semblent induire moins d’effets secondaires (déficit d’extension du poignet et des doigts longs) tout comme l’injection via électrostimulation, et l’injection intra-tendineuse comparée à une injection intramusculaire dans un essai semble être plus efficace à court terme. Discussion/Conclusion : notre étude retient une efficacité globale de la toxine botulique dans la prise en charge des EL chroniques réfractaires à un traitement de 1ère intention bien conduit à moyen et long terme. A court terme, elle semble moins efficace que les corticoïdes, qui restent le gold standard, mais la TBA pourrait trouver sa place entre ceux-ci et la prise en charge chirurgicale. Une faible dose de TBA, une injection sous contrôle électromyographique à distance de l’épicondyle dans le CERC et une poursuite de la kinésithérapie semblent être les conditions permettant une efficacité optimale et minimisant au maximum les effets secondaires à type de déficit musculaire.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Systématique
Littérature
Epicondylite
toxines botuliniques
botulisme
injection
Injection
Botulisme
Systématique
résultat thérapeutique
Systématique
épicondylite
injections
Systématique
toxine
Botulisme
Efficacité du traitement
épicondylite
gestion des soins aux patients
Revue systématique
littérature de revue comme sujet
botulisme
Revue systématique

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N3-AUTOINDEXEE
Surveillance des expositions en laboratoire aux agents pathogènes humains et aux toxines : Canada 2018
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/rapports-publications/releve-maladies-transmissibles-canada-rmtc/numero-mensuel/2019-45/numero-9-5-septembre-2019/article-4-exposition-en-laboratoire-agenda-pathogenes-humains-et-toxins-surviellance.html
Contexte : Le système de surveillance de déclaration des incidents en laboratoire au Canada (DILC) fait le suivi des incidents en laboratoire en vertu de la Loi sur les agents pathogènes humains et les toxines. L’année 2018 représente la troisième année complète de données. Objectif : Décrire les incidents d’exposition en laboratoire et les infections contractées en laboratoire survenus au Canada en 2018 par rapport aux années précédentes puis, selon le secteur, les agents pathogènes humains et les toxines en cause, le nombre de personnes touchées, le type d’incident et les causes fondamentales.
2019
RMTC
Canada
article de périodique
organisation et administration
toxines biologiques
humains
laboratoires
Canada
effets de l'exposition à un agent externe
Exposition
Fracture induite
homo sapiens
toxine

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N3-AUTOINDEXEE
Injections de toxine botulique à visée esthétique
https://www.sofcpre.fr/src/mieux-vous-informer/domaines-intervention/39-injections-de-toxine-botulique-a-visee-esthetique.pdf
2019
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SOFCPRE - Société Française de Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique
France
brochure pédagogique pour les patients
Botulisme
injections
botulisme
toxine
esthétique
toxines botuliniques
Botulisme
Injection
injection
botulisme

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N3-AUTOINDEXEE
Syndromes toxiniques : vue d’ensemble
https://www.medg.fr/syndrome-du-choc-toxique
2019
MedG - petite Encyclopédie Médicale pour professionnels de santé
France
matériel enseignement
information scientifique et technique
toxine
Vision
Ensembles
Vue d'ensemble
toxines biologiques

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N3-AUTOINDEXEE
Surveillance des expositions en laboratoire aux agents pathogènes humains et aux toxines au Canada en 2017
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/rapports-publications/releve-maladies-transmissibles-canada-rmtc/numero-mensuel/2018-44/numero-11-1-novembre-2018/article-5-exposition-laboratoire-pathogenes-humains-toxines-canada-2017.html
Contexte : En vertu de la Loi sur les agents pathogènes humains et les toxines et de son Règlement, l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) est chargée de surveiller les déclarations d’incidents en laboratoire par l’intermédiaire du système de surveillance de déclaration des incidents en laboratoire au Canada (DILC). L’année 2017 représente la deuxième année complète de données. Objectif : Décrire les incidents d’exposition en laboratoire et les infections contractées en laboratoire survenus au Canada en 2017, selon le secteur, les agents pathogènes humains et les toxines en cause, le nombre de personnes touchées, le type d’incident et les causes fondamentales. Méthodologie : Les incidents pris en compte dans la présente analyse sont survenus entre le 1er janvier et le 31 décembre 2017. Ils ont été déclarés à l’ASPC par des laboratoires titulaires de permis en vigueur, par l’intermédiaire du système de surveillance de DILC. Le programme Microsoft Excel 2010 a été utilisé pour les statistiques descriptives de base. Résultats : Au total, 44 incidents liés à des expositions et à des infections contractées en laboratoire ont été signalés au moyen du système de surveillance de DILC en 2017. D’après la comparaison par secteur et proportion respective de permis, le nombre d’incidents était le plus élevé dans les secteurs académique et hospitalier comparativement aux laboratoires gouvernementaux et à l’industrie privée. En tout, 118 personnes ont été exposées, ce qui représente une moyenne de 2,7 personnes par incident (intervalle de 1 à 29). Aucune exposition secondaire n’a été signalée. Six incidents d’exposition (14 %) ont donné lieu à des cas « soupçonnés » (n 5) ou confirmés (n 1) d’infection contractée en laboratoire. Même si, dans l’ensemble, les agents pathogènes humains et les toxines du groupe de risque (GR) 2 étaient impliqués dans la majorité des incidents (n 23; 52 %), Francisella tularensis (n 4; 9 %) et Coccidioides immitis (n 3; 7 %) ont été le plus fréquemment mis en cause dans les incidents d’exposition déclarés. Ces deux agents pathogènes sont à la fois des agents biologiques du GR3 et des agents biologiques à cote de sécurité élevée (ABCSE). Chaque incident a été attribué à 2,3 causes fondamentales en moyenne (n 101). Les problèmes relatifs aux procédures opérationnelles normalisées (PON) et l’erreur humaine ont été les deux causes les plus fréquentes. Conclusion : La fréquence des incidents d’exposition en laboratoire a été relativement faible en 2017. La voie d’exposition la plus courante était l’inhalation, tandis que les causes fondamentales les plus fréquentes étaient les problèmes relatifs aux PON et l’erreur humaine. Par ailleurs, ce système de surveillance étant nouveau, les estimations de base demeurent en cours d’établissement.
2018
RMTC
Canada
article de périodique
effets de l'exposition à un agent externe
Canada
homo sapiens
laboratoires
toxines biologiques
Exposition
toxine
humains
Fracture de fatigue
Exposition

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N3-AUTOINDEXEE
Recommandations du Réseau des laboratoires de santé publique du Canada (RLSPC) pour la détection en laboratoire d’Escherichia coli producteurs de Shiga-toxines (O157 et non-O157)
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/rapports-publications/releve-maladies-transmissibles-canada-rmtc/numero-mensuel/2018-44/numero-11-1-novembre-2018/article-6-detection-ecoli-o157-non-o157.html
Les Escherichia coli producteurs de Shiga‑toxines (STEC) sont d’importants agents pathogènes entériques qui sont à l’origine de cas sporadiques et d’éclosions de gastro-entérite. Les souches E. coli O157:H7/NM (STEC O157) sont les sérotypes de STEC les plus connus, mais il devient de plus en plus évident que les sérotypes de STEC non‑O157 ont été sous-déclarés par le passé, car ils n’étaient pas ciblés par les analyses de dépistages courantes de la plupart des laboratoires de première ligne. Le Réseau des laboratoires de santé publique du Canada (RLSPC) estime que la détection et la surveillance des sérotypes de STEC non‑O157 doivent être améliorées, et a donc élaboré les recommandations suivantes afin de faciliter le processus décisionnel des laboratoires de microbiologie cliniques et de référence. Ces recommandations devraient être suivies par les laboratoires, au mieux de leurs capacités, en fonction de la technologie et des ressources dont ils disposent.
2018
RMTC
Canada
recommandation
réseaux communautaires
escherichia coli
shiga-toxines
laboratoires
Canada
santé publique
Santé publique
toxine
escherichia coli
enquêteur
Réseau
réseau

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N2-AUTOINDEXEE
Avis d'experts No. 53 Toxine botulique de type A dans la vessie hyperactive
https://www.sggg.ch/fileadmin/user_upload/53_Franz_Botulinumtoxin_Typ_A_bei_idiopathischer_OAB_13062018.pdf
Introduction Un petit groupe de patientes souffrant de vessie hyperactive idiopathique (OAB) est réfractaire aux traitements conservateurs. Ces patientes disposent d'un traitement efficace, l'onabotulinumtoxine A (Botox), dont l'effet de dénervation chimique réversible permet de décontracter le détrusor de la vessie. Botox est homologué en Suisse par Swissmedic depuis le 9 décembre 2013 pour le traitement de l'OAB idiopathique réfractaire au traitement et doit être remboursé par les caisses-maladie depuis le 1.1.2015.
2018
SSGO - Société Suisse de Gynécologie et d'Obstétrique
Suisse
recommandation professionnelle
hyperactivité
toxines botuliniques
Botulisme
Vessie hyperactive
Botulisme
vessie hyperactive
Avis d'expert
expertise
toxine
botulisme
botulisme

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N2-TITRE
Prise en charge en médecine générale des infections communautaires osseuses et cutanées à Staphylococcus aureus sécréteur de la toxine de Panton Valentine en Picardie
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/view/index/docid/1293236
Introduction : L’émergence des infections à SARM communautaires (Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline) sécréteurs de la toxine de Panton Valentine (PVL) depuis les années 1980 est à l’origine d’une situation endémique aux Etats-unis avec le clone USA 300. Ces bactéries sont sources d’infections suppuratives cutanées, de pneumopathies nécrosantes et d’infections ostéo-articulaires. En fréquence croissante en Europe, le clone USA300 a été responsable d’infections groupées en France en 2013. Matériel et Méthodes : Nous avons étudié rétrospectivement une série de 19 patients entre 2006 à 2015 au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) d’Amiens ayant présenté une infection cutanée ou ostéo-articulaire par SARM Co PVL
2015
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
médecins généralistes
infection osseuse
peau, sai
généralisé
toxines biologiques
médecine communautaire
staphylococcus aureus
toxine
staphylococcus aureus
gestion des soins aux patients
médecine générale
infections osseuses
infections de la peau
infections communautaires

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N3-AUTOINDEXEE
Prise en charge en médecine générale des infections communautaires osseuses et cutanées à Staphylococcus aureus sécréteur de la toxine de Panton Valentine en Picardie
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01293236
Introduction : L’émergence des infections à SARM communautaires (Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline) sécréteurs de la toxine de Panton Valentine (PVL) depuis les années 1980 est à l’origine d’une situation endémique aux Etats-unis avec le clone USA 300. Ces bactéries sont sources d’infections suppuratives cutanées, de pneumopathies nécrosantes et d’infections ostéo-articulaires. En fréquence croissante en Europe, le clone USA300 a été responsable d’infections groupées en France en 2013. Matériel et Méthodes : Nous avons étudié rétrospectivement une série de 19 patients entre 2006 à 2015 au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) d’Amiens ayant présenté une infection cutanée ou ostéo-articulaire par SARM Co PVL
2015
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
infections osseuses
infections osseuses
toxine
médecine générale
infection osseuse
Médecins
infections de la peau
Infection communautaire
gestion des soins aux patients
staphylococcus aureus
toxines biologiques
staphylococcus aureus
infections communautaires
médecine communautaire
Picardie
peau, sai

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N3-AUTOINDEXEE
Toxine botulinique (pédiatrie)
https://pgtmsite.files.wordpress.com/2024/01/toxinebotulinique_pediatrie_pgtm_20051003.pdf
2005
PGTM
Canada
information sur le médicament
pédiatrique
pédiatre
toxine botulinium
pédiatrique
toxine
toxines botuliniques
pédiatrie

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26/04/2024


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