Libellé préféré : Études de cohortes;

Synonyme CISMeF : Études de cohorte;

Détails


Consulter ci-dessous une sélection des principales ressources :

Vous pouvez consulter :


N3-AUTOINDEXEE
Protocole générique : étude de cohorte prospective sur les issues maternelles, néonatales et de la grossesse pour les femmes et les nouveau-nés infectés par le SARS-CoV-2, 1er novembre 2022
https://apps.who.int/iris/handle/10665/365904
Lorsqu’un nouveau virus émerge, notre capacité à comprendre l’infection – ses modes de transmission, sa gravité, ses caractéristiques cliniques et les facteurs de risque qui y sont associés – est limitée au début de l’épidémie. Pour faire face à ces inconnues, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a publié des protocoles pour la réalisation d’enquêtes spéciales dans différents contextes. Dans le cadre de la maladie à coronavirus récente (COVID-19), les données recueillies à l’aide de ces protocoles d’enquête sont essentielles pour affiner les recommandations relatives aux définitions et à la surveillance des cas, pour déterminer les principales caractéristiques épidémiologiques de la COVID-19, pour mieux comprendre la propagation, la gravité et le spectre de la maladie ainsi que ses répercussions sur la communauté, et pour formuler des orientations pour la mise en œuvre de contre-mesures, telles que l’isolement des cas et la recherche des contacts. Ces protocoles sont conçus pour permettre la collecte rapide et systématique des données dans un format qui facilite la comparaison entre différents contextes à l’échelle mondiale. Tous les protocoles de l’OMS relatifs à la COVID-19, ainsi que les documents d’orientation technique, sont disponibles (en anglais) sur le site Web de l’OMS. Ce protocole peut faire l’objet de révisions, dans l’attente de processus de gouvernance de la recherche.
2023
OMS - Organisation Mondiale de la Santé
Suisse
information scientifique et technique
SARS-CoV-2
études prospectives
nouveau-né
Prospectives
nouveau-né
Issue de la grossesse
Études de cohortes
grossesse
mère
maladie infectieuse
grossesse
Générations
Infection
Femmes
caractéristiques familiales

---
N3-AUTOINDEXEE
Troubles cognitifs à distance d'une infection sévère à SARS-CoV2: étude d'une cohorte prospective
https://athena.u-pec.fr/primo-explore/search?query=any,exact,998111364804611&vid=upec
De nombreux patients ont une plainte cognitive persistante après une infection à SARS-Cov2. Afin d’évaluer cette plainte cognitive et les mécanismes sous-jacents, nous avons distribué un questionnaire de dépistage 6 mois après l’infection à SARS-Cov2 à des patients ayant été hospitalisés pour une forme sévère de la maladie. Un bilan a été réalisé chez les patients dont le questionnaire était positif. Sur 87 patients, 23 (26,4%) avaient une plainte à 6 mois de l’infection. Par rapport aux autres patients, ils avaient plus souvent : un antécédent de syndrome dépressif, nécessité une hospitalisation en réanimation et de la ventilation mécanique à la phase aiguë, des troubles émotionnels et du sommeil. Le bilan neuropsychologique réalisé chez 21 patients montrait une altération diffuse touchant les fonctions exécutives, la vitesse de traitement de l'information, la mémoire de travail, la mémoire épisodique. Les scores de dépression, anxiété, stress post-traumatiques et fatigue étaient pathologiques respectivement chez 38, 57, 50 et 90% des patients. Les analyses statistiques ont montré une corrélation positive entre la sévérité des symptômes anxieux et dépressifs et l’altération de certains tests neuropsychologiques, mais pas de corrélation évidente entre la gravité de l’infection et les troubles cognitifs. L’IRM cérébrale était sans particularité. La plainte des patients est donc en partie liée aux troubles psycho-émotionnels. De plus, 90% des patients présentaient une fatigue chronique, qui, associée à la plainte cognitive et à d'autres symptômes rapportés dans le Covid long, peut correspondre au syndrome de fatigue chronique. Many patients have a persistent cognitive complaint after SARS-Cov2 infection. In order to assess this complaint and the underlying mechanisms, we distributed a screening questionnaire 6 months after SARS-Cov2 infection to patients who were hospitalized for a severe form of the disease. A neuropsychological assessment was carried out in patients whose questionnaire was positive. Of 87 patients, 23 (26.4%) had a cognitive complaint 6 months after the infection. Compared to the other patients, they more often had a history of depressive syndrome and they complained more often of emotional and sleep disturbance. In the acute phase, they required intensive care and mechanical ventilation more often. The neuropsychological assessment carried out in 21 patients showed diffuse impairment in executive functions, information processing speed, working memory and episodic memory. Depression, anxiety, post-traumatic stress and fatigue scores were pathological in 38, 57, 50 and 90% of patients respectively. The search for correlations showed that the more the psychological scales were pathological, the more certain neuropsychological tests were altered. We found no significant correlation between infection severity and psychological and neuropsychological outcomes. Brain MRI was unremarkable. The patient's cognitive complaint is therefore partly linked to psycho-emotional disorders. In addition, 90% of patients presented with chronic fatigue, which, combined with cognitive complaint and other symptoms reported in long Covid, may correspond to chronic fatigue syndrome.
2022
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
COVID-19
thèse ou mémoire
maladie infectieuse
Prospectives
trouble de la cognition
Troubles de la cognition
études prospectives
syndrome respiratoire aigu sévère
Infection
accessibilité des services de santé
sévère
Trouble cognitif
Dysfonctionnement cognitif
Études de cohortes

---
N3-AUTOINDEXEE
Modèle prédictif de l'infection au COVID-19 à l'aide de l'échographie pulmonaire aux urgences : étude de cohorte prospective
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03934391
Introduction : l'échographie pulmonaire pourrait permettre le triage des patients suspectés d'être infectés par le COVID-19 et admis aux urgences. Nous avons cherché à développer un modèle prédictif pour le diagnostic de COVID-19 basé sur l'échographie pulmonaire et les caractéristiques cliniques dans les services d'urgence. Matériel et méthode : il s'agissait d'une étude observationnelle et prospective. Les zones d'analyse de l'échographie pulmonaire ont été dérivées de la méthodologie du “BLUE” protocole : points pulmonaires supérieurs, inférieurs et Syndrome alvéolaire et/ou pleural postérieur et/ou latéral (points PLAPS). Un modèle multivarié a été construit en utilisant un modèle logistique et l'aire sous la courbe ROC (AUC) a été calculée pour évaluer la capacité discriminante du modèle. Cent patients ont été inclus, dont 31 avaient une RT-PCR positive pour le SARS-CoV-2. La pneumopathie bactérienne était le diagnostic différentiel le plus fréquent (44 % en cas de RT-PCR négative au SARS-CoV-2). Résultats : le modèle multivarié prédictif pour une RT-PCR positive a retenu cinq caractéristiques indépendantes : qSOFA 1, nombre de lignes B aux points “BLUE” supérieurs 3, consolidation et ligne pleurale épaissie aux points “BLUE” inférieurs, et une ligne pleurale épaissie au PLAPS. Le modèle a donné une AUC de 0,82 (IC à 95 % [0,75 - 0,90])]. Le meilleur seuil pour le modèle basé sur l'équation a donné une sensibilité de 96,8 % (IC 95 % [83,3 %-99,9 %]), une spécificité de 62,3 % (IC 95 % [49,8 % - 73,7 %]), une valeur prédictive positive de 53,6 % (IC 95 % [40,9 % - 97,9 %]) et une valeur prédictive négative de 97,7 % (IC 95 % [87,7 % ; 98,6 %]). Conclusion : l'association des signes échographiques pulmonaires et du qSOFA pourrait permettre le triage des patients suspects d'infection à COVID-19 admis aux urgences, avec une sensibilité élevée.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Pulmonaria
échographie
COVID-19
maladie infectieuse
Prospectives
Études de cohortes
urgences
COVID-19
poumon, sai
Infection pulmonaire
études prospectives
échographie

---
N3-AUTOINDEXEE
Symptômes persistants entre 1 et 3 mois après une infection COVID-19 : étude descriptive de suivi de cohorte en soins primaires
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03824470
Contexte : Rapidement après les débuts de la pandémie à SARS-CoV-2, des symptômes persistants après la phase aiguë de la maladie ont été constatés. Ces manifestations multiples et fluctuantes regroupées sous le terme de “COVID long” sont encore source de nombreuses interrogations. La majorité des patients atteints de COVID-19 sont pris en charge en soins primaires, alors que la plupart des études décrivant les symptômes prolongés ont été menées en milieu hospitalier. Objectifs : L’objectif principal de cette étude était de décrire la prévalence et les présentations cliniques persistantes à 1 et 3 mois après une infection supposée ou confirmée à COVID-19 chez des patients recrutés en soins primaires. L’objectif secondaire était d’identifier les facteurs de risque associés à la persistance de symptômes à 3 mois. Méthodes : Une étude descriptive de suivi de cohorte (PROCOSECO) a été réalisée en soins primaires auprès de patients présentant une infection supposée ou confirmée à COVID-19. Les données étaient recueillies en phase aiguë, à 1 mois et à 3 mois du début de l’infection. Un double recueil de données était réalisé par un auto-questionnaire patient et un questionnaire complété par le médecin. Les données concernant les symptômes présents ou les symptômes antérieurs (si le patient était inclus a posteriori dans l’étude), ainsi que les parcours de soins, étaient recueillies. Les caractéristiques du patient dont ses antécédents médico-chirurgicaux étaient également détaillées. L’analyse a été descriptive puis multivariée par modèle logistique. Résultats : 368 patients ont été inclus entre le mois d’août 2020 et le mois de juillet 2021. 118 patients (32.1 %) présentaient au moins 2 symptômes persistants à 1 mois. 89 patients (24.2 %) présentaient au moins 2 symptômes persistants à 3 mois. Les symptômes persistants les plus fréquemment observés étaient l’asthénie (23.6 % à 1 mois, 19 % à 3 mois), la dyspnée d’effort (17.7 % à 1 mois, 13 % à 3 mois), l’anosmie (16 % à 1 mois et 11.1 % à 3 mois) et la dysgueusie (14.4 % à 1 mois et 9.8 % à 3 mois). Les facteurs associés à la persistance de symptômes à 3 mois étaient la présence de dyspnée à la phase initiale de l’infection, le sexe féminin, l’âge élevé, la présence d’un grand nombre de symptômes en phase aigüe et une infection par le variant natif. Conclusion : Cette étude montre une prévalence importante de symptômes persistants à 1 et 3 mois d’une infection à COVID-19, dans une cohorte dont la force est son recrutement en soins primaires. Les données de la littérature montrent une hétérogénéité de la prévalence des symptômes persistants après une infection à SARS-CoV-2. Des études complémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre les déterminants de la persistance de symptômes et ouvrir des pistes thérapeutiques.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
principal
Symptôme
symptôme
COVID-19
Infection
maladie infectieuse
soins de santé primaires
post-cure
syndrome
études de suivi
Études de cohortes
Soins
COVID-19

---
N3-AUTOINDEXEE
Exposition au plomb au cours du développement et comportement criminel des adultes : une étude prospective de cohorte de naissance sur 30 ans
https://www.yearbook-ers.jle.com/e-docs/exposition_au_plomb_au_cours_du_developpement_et_comportement_criminel_des_adultes_une_etude_prospective_de_cohorte_de_naissance_sur_30_ans_332418/yb_breve.phtml
Cette étude est présentée par un groupe de chercheurs de différentes institutions de la ville de Cincinnati (États-Unis), spécialisés dans des domaines complementaires dont la justice criminelle, la santé environnementale et les sciences sociales. Le sujet est excessivement délicat car il aborde les liens prédictifs possibles entre une intoxication au plomb et un comportement jugé « criminel » dans le sens anglo-saxon ou répréhensible. L’étude analyse les imprégnations au plomb de 254 enfants de la ville dans une cohorte initiée entre 1979 et 1984 avec un suivi des arrestations intervenues lorsque ces enfants ont atteint l’âge adulte jusqu’à 33 ans. Les auteurs précisent que le recrutement des futures mères était réalisé dans des quartiers à fort niveau de pauvreté. La cohorte est composée de 90 % de noirs américains dont la situation est clairement défavorisée, avec 84 % de femmes non mariées, et de QI moyen des mères de 75, considéré comme relativement faible par les auteurs. Le critère principal est le nombre d’arrestations par la police lorsque les enfants ont atteint les périodes d’âge entre 18-24 ans et 27-33 ans. Les auteurs précisent que ce critère est connu pour sous-estimer le nombre réel d’actions répréhensibles et indiquent avoir limité les facteurs confondants. Parmi les répondants, 22 % n’ont jamais été arrêtés. Pour les 254 sujets suivis, 1 429 arrestations ont été constatées ce qui conduit à 8,15 arrestations en moyenne pour les hommes et 3,3 pour les femmes. La majorité des échantillons prélevés durant l’enfance présentent des plombémies supérieures à 10 μg/dL avec une moyenne à 14,4 μg/dL.
2022
John Libbey Eurotext
France
article de périodique
adulte
Exposition
adulte
effets de l'exposition à un agent externe
études prospectives
Adulte
cohorte de naissance
plomb
Comportement criminel
plomb
Études de cohortes
naissance
Prospectives
Adulte
comportement criminel

---
N3-AUTOINDEXEE
Exposition aux espaces verts et mortalité due aux maladies neurodégénératives chez les personnes âgées : étude de cohorte de suivi sur 13 ans
https://www.yearbook-ers.jle.com/e-docs/exposition_aux_espaces_verts_et_mortalite_due_aux_maladies_neurodegeneratives_chez_les_personnes_agees_etude_de_cohorte_de_suivi_sur_13_ans_332425/yb_breve.phtml
La population vieillit au niveau mondial, ce qui entraîne une augmentation spectaculaire du fardeau des maladies neurodégénératives. En Europe, les troubles neurologiques représentent la troisième cause de décès et d’incapacité, après les maladies cardiovasculaires et le cancer. Pourtant, jusqu’à 40 % des cas de démence peuvent être potentiellement évités. L’exposition aux espaces verts pourrait être bénéfique pour les habitants des aires urbaines – ce qui correspond à la grande majorité de la population susceptible d’être touchée par ces maladies – en favorisant un vieillissement en bonne santé et en réduisant la mortalité prématurée. Les hypothèses sousjacentes pour expliquer cet effet bénéfique se réfèrent à des mécanismes relatifs à l’induction de la restauration du stress, l’offre d’opportunités d’activité physique et de cohésion sociale, et l’atténuation des risques environnementaux. Cependant, les preuves disponibles sur l’association entre les espaces verts et les maladies neurodégénératives parmi la population âgée sont peu concluantes et les études se sont jusqu’à présent principalement concentrées sur la démence ou son précurseur, le déclin cognitif. Par ailleurs, parmi les mécanismes suggérés sous-jacents aux effets bénéfiques des espaces verts, l’atténuation de la pollution de l’air ambiant peut être importante pour les maladies neurodégénératives (on estime qu’elle représente 4 % du risque total de démence pour les personnes âgées, mais son effet sur d’autres maladies neurodégénératives reste incertain). Enfin, ces effets bénéfiques pourraient être différentiels selon les couches sociales, et cette dimension a été à peine abordée en ce qui concerne les maladies neurodégénératives.
2022
John Libbey Eurotext
France
article de périodique
mortalité
effets de l'exposition à un agent externe
Maladie
maladie
personne âgée
études de suivi
Études de cohortes
PERSONNE AGEE
sujet âgé de 80 ans ou plus
sujet âgé
Maladies
maladies neurodégénératives
Exposition

---
N3-AUTOINDEXEE
L' état nutritionnel est-il lié à la survenue de l'excentration de hanche chez l'enfant avec polyhandicap par paralysie cérébrale sévère ?: étude prospective de cohorte
http://www.sudoc.fr/242805167
Les enfants porteurs de polyhandicap par paralysie cérébrale sévère (PCS) sont à haut risque de dénutrition. L'excentration sévère de hanche (ESH) est une complication aggravant leur handicap. La dénutrition pourrait favoriser les complications orthopédiques. Cette étude prospective multicentrique évaluait si l'évolution du poids d'une cohorte française de 315 enfants avec PCS était corrélée à la survenue d'une ESH. Les principaux résultats montraient que la dénutrition était fréquente à l'inclusion (26% des patients), et avait tendance à s'aggraver au cours du temps chez ceux ayant le handicap le plus sévère (grade GMFCS V) avec une diminution du Z-score du poids de 0.07 par an. Contrairement à notre hypothèse, nous n'avons pas retrouvé de corrélation significative entre la diminution du Z-score du poids au cours du temps et l'augmentation de la survenue de l'ESH ; cependant un biais de recrutement pourrait exister puisqu'un pourcentage important de patients (46%) avait été exclu de l'analyse car présentant une ESH avant même l'inclusion. En conclusion, la dénutrition est particulièrement fréquente chez les enfants avec polyhandicap sévère, un plus grand nombre de sujets est nécessaire pour évaluer le lien entre dénutrition et complications orthopédiques
2020
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
état nutritionnel
état nutritionnel
Enfant
enfant
paralysie
Paralysie
enfant
paralysie cérébrale
Enfant
sévère
cerveau, sai
Études de cohortes
Prospectives
Enfant
études prospectives
hanche
Enfant
études de cohortes

---
N3-AUTOINDEXEE
Effets du climat et des interventions de santé publique sur la pandémie de COVID-19 : une étude de cohorte prospective
http://www.cmaj.ca/cgi/pmidlookup?view=long&pmid=33139430
On connaît bien la saisonnalité de la grippe et sa corrélation avec certains facteurs météorologiques. Les mécanismes avancés pour expliquer le ralentissement des épidémies de grippe durant les mois d’été sous les climats tempérés sont les augmentations de température, d’humidité et d’ensoleillement1. Ces 3 facteurs sont liés à la latitude géographique, un élément qu’il est facile de déterminer avec précision. Une autre explication possible du ralentissement des épidémies de grippe durant les mois d’été est la fermeture des établissements scolaires pour les vacances estivales.
2020
false
false
false
JAMC - Journal de l'Association médicale canadienne
Canada
infections à coronavirus
pneumopathie virale
COVID-19
article de périodique
climat
études prospectives
Santé publique
Prospectives
Santé publique
Études de cohortes
pandémies
santé publique
études de cohortes
COVID-19

---
N3-AUTOINDEXEE
Déterminants des difficultés d’allaitement maternel à six mois : analyse post-hoc d’une étude de cohorte prospective multicentrique
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02281540
Objectif : Il a été montré que les difficultés d’allaitement maternel sont associées à un risque de sevrage significativement plus élevé. Cependant, aucune étude ne s’est intéressé aux facteurs pronostiques de l’apparition de ces difficultés. L’objectif de cette étude était de déterminer d’éventuels facteurs associés à l’apparition de difficultés d’allaitement maternel durant les six premiers mois de vie de l’enfant, et de décrire la répartition des difficultés d’allaitement maternel avant un mois et entre un et six mois. Méthodes : Nous avons effectué une analyse post-hoc des données d’une étude de cohorte prospective multicentrique, réalisée en 2005 et 2006, de 993 mères allaitantes le jour de la sortie, recrutées dans huit maternités françaises, et suivies par entretiens téléphoniques. Résultats : Au total 509 femmes (51.3%) avaient présenté des difficultés d’allaitement pendant les six premiers mois de vie de l’enfant. Deux facteurs étaient associés de manière statistiquement significative à la survenue de ces difficultés. Le fait d’avoir déjà allaité un enfant était un facteur protecteur (OR 0.61 ; IC à 95% [0.45-0.82]). La présence de difficultés d’allaitement maternel en maternité était au contraire un facteur de risque (OR 3.18 ; IC à 95% [2.34-4.31]). La principale difficulté d’allaitement retrouvée avant un mois et entre un et six mois était la crevasse. Les douleurs du mamelon ainsi que les engorgements étaient plus fréquents avant un mois. Les abcès et mastites ainsi que le manque de lait étaient plus fréquents entre un et six mois. Conclusion : Bien que la nature causale de la relation reste à établir, cette étude supporte l’importance de l’accompagnement par les professionnels de santé pour réduire la survenue de difficultés d’allaitement dans les six mois après la naissance de l’enfant. Plusieurs sensibilisations des femmes aux difficultés d’allaitement pourraient avoir lieu en pré, péri, et post-natal.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Prospectives
études multicentriques comme sujet
allaitement maternel anormal
Études de cohortes
Allaitement naturel
allaitement maternel
Analyse de cohorte
étude multicentrique
études prospectives
études de cohortes

---
N3-AUTOINDEXEE
Relations entre consommation de cannabis et troubles psychiques post traumatiques : étude descriptive d’une cohorte de patients militaires suivis dans un Hôpital d’Instruction des Armées
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01970421/document
Introduction : le cannabis est la drogue illicite la plus consommée en France. Son usage a déjà fait l’objet de plusieurs études dans l’armée française, mais jamais spécifiquement chez les patients atteints d’un trouble de stress post-traumatique (TSPT). Les problèmes d’addiction dans cette population sont bien connus, notamment chez les vétérans américains. L’objectif principal de cette étude est de décrire la consommation de cannabis chez un groupe de militaire souffrant d’un TSPT, suivis en psychiatrie dans les Hopitaux d’Instruction des Armées Percy, Bégin et Robert Picqué. Matériel et Méthode : la consommation de cannabis, de tabac et d’alcool étaient évaluées par questionnaires standardisés (CAST, Fagerström, AUDIT). La sévérité du TSPT était évaluée par l’échelle PCLS. Une recherche d’autres addictions était réalisée à titre exploratoire. Résultats : 95 patients ont été inclus dans l’étude de mai 2017 à mai 2018. 14,74% des patients consommaient du cannabis. Un usage problématique était retrouvé chez 78,57% d’entre-eux. Une augmentation de la consommation après l’événement traumatique était mise en évidence dans plus de 85% des cas. 71,43% des patients décrivaient un soulagement de leurs symptômes. La sévérité de la clinique post-traumatique était associée de façon significative avec le niveau de dépendance à l’alcool. Discussion : une augmentation de la prévalence de la consommation de cannabis, de tabac et d’alcool est mise en évidence dans notre échantillon. Il paraît important d’insister sur le dépistage et la prévention des conduites addictives dans cette population. Il convient d’étudier le lien entre TSPT et troubles de l’usage dans une étude de plus grande ampleur, notamment en unité.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
troubles de stress post-traumatique
psychique (trouble)
cannabis
Traumatisme
cannabis
psyché, sai
blessure
hôpitaux militaires
a comme patient
instruction
Études de cohortes
hôpital
études de suivi
continuité des soins
traumatisme
études de cohortes

---
N2-AUTOINDEXEE
SLA et demande d'euthanasie : étude rétrospective de cohorte en Hôpital A Domicile de Nantes entre janvier 2011 et décembre 2016
http://www.sudoc.fr/227806743
Introduction : La sclérose latérale amyotrophique (SLA) est une atteinte du motoneurone, qui entraine une paralysie progressive jusqu'au décès du patient. Cette maladie est incurable et est souvent au centre des débats sur la fin de vie. En effet contrairement à certains pays limitrophes qui légifèrent sur l'euthanasie, la France continue à débattre sur ce sujet. Certaines études à l'étranger portent sur ces patients SLA souhaitant mourir mais aucune étude en France n'a étudié cette population particulière de soins palliatifs
2018
false
false
false
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
Domicile
sclérose latérale amyotrophique
Fracture de Jones
Fracture de Pouteau-Colles
études rétrospectives
euthanasie
hospitalisation à domicile
euthanasie
Hôpitaux
Études de cohortes
hôpital
caractéristiques de l'habitat
hôpitaux
études de cohortes

---
N3-AUTOINDEXEE
Facteurs cliniques prédictifs de l’observance de la ventilation à domicile : étude rétrospective d’une cohorte suivie au CHU de Rouen
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01449150
La ventilation non invasive s’est développée au cours des vingt dernières années notamment pour l’assistance à domicile des patients atteints d’insuffisance respiratoire chronique (IRC). De l’observance au traitement dépend son efficacité immédiate et à long-terme. Il existe peu de données sur l’observance de la VNI à domicile et sur les facteurs pouvant la prédire.Objectif : identifier les paramètres cliniques corrélés à l’observance de la VNI au domicile trois mois après l’appareillage au sein d’une cohorte de patients atteints d’IRC.
2016
false
false
false
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
Observance par le patient
étude d'observation
études rétrospectives
Études de cohortes
facteur
ventilation
Étude clinique
ventilation
Domicile
études de suivi
clinique
hôpitaux universitaires
étude d'observation
études de cohortes
Étude clinique
caractéristiques de l'habitat

---
Nous contacter.
25/04/2024


[Accueil] [Haut de page]

© CHU de Rouen. Toute utilisation partielle ou totale de ce document doit mentionner la source.