Libellé préféré : Études de cohortes;
Synonyme CISMeF : Études de cohorte;
Identifiant d'origine : M0023602;
CUI UMLS : C0009247;
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Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Concept(s) MeSH plus fin(s)
Correspondances UMLS (même concept)
Record lié au concept
Type(s) sémantique(s)
N3-AUTOINDEXEE
Protocole générique : étude de cohorte prospective sur les issues maternelles, néonatales
et de la grossesse pour les femmes et les nouveau-nés infectés par le SARS-CoV-2,
1er novembre 2022
https://apps.who.int/iris/handle/10665/365904
Lorsqu’un nouveau virus émerge, notre capacité à comprendre l’infection – ses modes
de transmission, sa gravité, ses caractéristiques cliniques et les facteurs de risque
qui y sont associés – est limitée au début de l’épidémie. Pour faire face à ces inconnues,
l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a publié des protocoles pour la réalisation
d’enquêtes spéciales dans différents contextes. Dans le cadre de la maladie à coronavirus
récente (COVID-19), les données recueillies à l’aide de ces protocoles d’enquête sont
essentielles pour affiner les recommandations relatives aux définitions et à la surveillance
des cas, pour déterminer les principales caractéristiques épidémiologiques de la COVID-19,
pour mieux comprendre la propagation, la gravité et le spectre de la maladie ainsi
que ses répercussions sur la communauté, et pour formuler des orientations pour la
mise en œuvre de contre-mesures, telles que l’isolement des cas et la recherche des
contacts. Ces protocoles sont conçus pour permettre la collecte rapide et systématique
des données dans un format qui facilite la comparaison entre différents contextes
à l’échelle mondiale. Tous les protocoles de l’OMS relatifs à la COVID-19, ainsi que
les documents d’orientation technique, sont disponibles (en anglais) sur le site Web
de l’OMS. Ce protocole peut faire l’objet de révisions, dans l’attente de processus
de gouvernance de la recherche.
2023
OMS - Organisation Mondiale de la Santé
Suisse
information scientifique et technique
SARS-CoV-2
études prospectives
nouveau-né
Prospectives
nouveau-né
Issue de la grossesse
Études de cohortes
grossesse
mère
maladie infectieuse
grossesse
Générations
Infection
Femmes
caractéristiques familiales
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N3-AUTOINDEXEE
Troubles cognitifs à distance d'une infection sévère à SARS-CoV2: étude d'une cohorte
prospective
https://athena.u-pec.fr/primo-explore/search?query=any,exact,998111364804611&vid=upec
De nombreux patients ont une plainte cognitive persistante après une infection à SARS-Cov2.
Afin d’évaluer cette plainte cognitive et les mécanismes sous-jacents, nous avons
distribué un questionnaire de dépistage 6 mois après l’infection à SARS-Cov2 à des
patients ayant été hospitalisés pour une forme sévère de la maladie. Un bilan a été
réalisé chez les patients dont le questionnaire était positif. Sur 87 patients, 23
(26,4%) avaient une plainte à 6 mois de l’infection. Par rapport aux autres patients,
ils avaient plus souvent : un antécédent de syndrome dépressif, nécessité une hospitalisation
en réanimation et de la ventilation mécanique à la phase aiguë, des troubles émotionnels
et du sommeil. Le bilan neuropsychologique réalisé chez 21 patients montrait une altération
diffuse touchant les fonctions exécutives, la vitesse de traitement de l'information,
la mémoire de travail, la mémoire épisodique. Les scores de dépression, anxiété, stress
post-traumatiques et fatigue étaient pathologiques respectivement chez 38, 57, 50
et 90% des patients. Les analyses statistiques ont montré une corrélation positive
entre la sévérité des symptômes anxieux et dépressifs et l’altération de certains
tests neuropsychologiques, mais pas de corrélation évidente entre la gravité de l’infection
et les troubles cognitifs. L’IRM cérébrale était sans particularité. La plainte des
patients est donc en partie liée aux troubles psycho-émotionnels. De plus, 90% des
patients présentaient une fatigue chronique, qui, associée à la plainte cognitive
et à d'autres symptômes rapportés dans le Covid long, peut correspondre au syndrome
de fatigue chronique. Many patients have a persistent cognitive complaint after
SARS-Cov2 infection. In order to assess this complaint and the underlying mechanisms,
we distributed a screening questionnaire 6 months after SARS-Cov2 infection to patients
who were hospitalized for a severe form of the disease. A neuropsychological assessment
was carried out in patients whose questionnaire was positive. Of 87 patients, 23 (26.4%)
had a cognitive complaint 6 months after the infection. Compared to the other patients,
they more often had a history of depressive syndrome and they complained more often
of emotional and sleep disturbance. In the acute phase, they required intensive care
and mechanical ventilation more often. The neuropsychological assessment carried out
in 21 patients showed diffuse impairment in executive functions, information processing
speed, working memory and episodic memory. Depression, anxiety, post-traumatic stress
and fatigue scores were pathological in 38, 57, 50 and 90% of patients respectively.
The search for correlations showed that the more the psychological scales were pathological,
the more certain neuropsychological tests were altered. We found no significant correlation
between infection severity and psychological and neuropsychological outcomes. Brain
MRI was unremarkable. The patient's cognitive complaint is therefore partly linked
to psycho-emotional disorders. In addition, 90% of patients presented with chronic
fatigue, which, combined with cognitive complaint and other symptoms reported in long
Covid, may correspond to chronic fatigue syndrome.
2022
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
COVID-19
thèse ou mémoire
maladie infectieuse
Prospectives
trouble de la cognition
Troubles de la cognition
études prospectives
syndrome respiratoire aigu sévère
Infection
accessibilité des services de santé
sévère
Trouble cognitif
Dysfonctionnement cognitif
Études de cohortes
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N3-AUTOINDEXEE
Modèle prédictif de l'infection au COVID-19 à l'aide de l'échographie pulmonaire aux
urgences : étude de cohorte prospective
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03934391
Introduction : l'échographie pulmonaire pourrait permettre le triage des patients
suspectés d'être infectés par le COVID-19 et admis aux urgences. Nous avons cherché
à développer un modèle prédictif pour le diagnostic de COVID-19 basé sur l'échographie
pulmonaire et les caractéristiques cliniques dans les services d'urgence. Matériel
et méthode : il s'agissait d'une étude observationnelle et prospective. Les zones
d'analyse de l'échographie pulmonaire ont été dérivées de la méthodologie du “BLUE”
protocole : points pulmonaires supérieurs, inférieurs et Syndrome alvéolaire et/ou
pleural postérieur et/ou latéral (points PLAPS). Un modèle multivarié a été construit
en utilisant un modèle logistique et l'aire sous la courbe ROC (AUC) a été calculée
pour évaluer la capacité discriminante du modèle. Cent patients ont été inclus, dont
31 avaient une RT-PCR positive pour le SARS-CoV-2. La pneumopathie bactérienne était
le diagnostic différentiel le plus fréquent (44 % en cas de RT-PCR négative au SARS-CoV-2).
Résultats : le modèle multivarié prédictif pour une RT-PCR positive a retenu cinq
caractéristiques indépendantes : qSOFA 1, nombre de lignes B aux points “BLUE” supérieurs
3, consolidation et ligne pleurale épaissie aux points “BLUE” inférieurs, et une ligne
pleurale épaissie au PLAPS. Le modèle a donné une AUC de 0,82 (IC à 95 % [0,75 - 0,90])].
Le meilleur seuil pour le modèle basé sur l'équation a donné une sensibilité de 96,8
% (IC 95 % [83,3 %-99,9 %]), une spécificité de 62,3 % (IC 95 % [49,8 % - 73,7 %]),
une valeur prédictive positive de 53,6 % (IC 95 % [40,9 % - 97,9 %]) et une valeur
prédictive négative de 97,7 % (IC 95 % [87,7 % ; 98,6 %]). Conclusion : l'association
des signes échographiques pulmonaires et du qSOFA pourrait permettre le triage des
patients suspects d'infection à COVID-19 admis aux urgences, avec une sensibilité
élevée.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Pulmonaria
échographie
COVID-19
maladie infectieuse
Prospectives
Études de cohortes
urgences
COVID-19
poumon, sai
Infection pulmonaire
études prospectives
échographie
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N3-AUTOINDEXEE
Symptômes persistants entre 1 et 3 mois après une infection COVID-19 : étude descriptive
de suivi de cohorte en soins primaires
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03824470
Contexte : Rapidement après les débuts de la pandémie à SARS-CoV-2, des symptômes
persistants après la phase aiguë de la maladie ont été constatés. Ces manifestations
multiples et fluctuantes regroupées sous le terme de “COVID long” sont encore source
de nombreuses interrogations. La majorité des patients atteints de COVID-19 sont pris
en charge en soins primaires, alors que la plupart des études décrivant les symptômes
prolongés ont été menées en milieu hospitalier. Objectifs : L’objectif principal de
cette étude était de décrire la prévalence et les présentations cliniques persistantes
à 1 et 3 mois après une infection supposée ou confirmée à COVID-19 chez des patients
recrutés en soins primaires. L’objectif secondaire était d’identifier les facteurs
de risque associés à la persistance de symptômes à 3 mois. Méthodes : Une étude descriptive
de suivi de cohorte (PROCOSECO) a été réalisée en soins primaires auprès de patients
présentant une infection supposée ou confirmée à COVID-19. Les données étaient recueillies
en phase aiguë, à 1 mois et à 3 mois du début de l’infection. Un double recueil de
données était réalisé par un auto-questionnaire patient et un questionnaire complété
par le médecin. Les données concernant les symptômes présents ou les symptômes antérieurs
(si le patient était inclus a posteriori dans l’étude), ainsi que les parcours de
soins, étaient recueillies. Les caractéristiques du patient dont ses antécédents médico-chirurgicaux
étaient également détaillées. L’analyse a été descriptive puis multivariée par modèle
logistique. Résultats : 368 patients ont été inclus entre le mois d’août 2020 et le
mois de juillet 2021. 118 patients (32.1 %) présentaient au moins 2 symptômes persistants
à 1 mois. 89 patients (24.2 %) présentaient au moins 2 symptômes persistants à 3 mois.
Les symptômes persistants les plus fréquemment observés étaient l’asthénie (23.6 %
à 1 mois, 19 % à 3 mois), la dyspnée d’effort (17.7 % à 1 mois, 13 % à 3 mois), l’anosmie
(16 % à 1 mois et 11.1 % à 3 mois) et la dysgueusie (14.4 % à 1 mois et 9.8 % à 3
mois). Les facteurs associés à la persistance de symptômes à 3 mois étaient la présence
de dyspnée à la phase initiale de l’infection, le sexe féminin, l’âge élevé, la présence
d’un grand nombre de symptômes en phase aigüe et une infection par le variant natif.
Conclusion : Cette étude montre une prévalence importante de symptômes persistants
à 1 et 3 mois d’une infection à COVID-19, dans une cohorte dont la force est son recrutement
en soins primaires. Les données de la littérature montrent une hétérogénéité de la
prévalence des symptômes persistants après une infection à SARS-CoV-2. Des études
complémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre les déterminants de la persistance
de symptômes et ouvrir des pistes thérapeutiques.
2022
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
principal
Symptôme
symptôme
COVID-19
Infection
maladie infectieuse
soins de santé primaires
post-cure
syndrome
études de suivi
Études de cohortes
Soins
COVID-19
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N3-AUTOINDEXEE
Exposition au plomb au cours du développement et comportement criminel des adultes
: une étude prospective de cohorte de naissance sur 30 ans
https://www.yearbook-ers.jle.com/e-docs/exposition_au_plomb_au_cours_du_developpement_et_comportement_criminel_des_adultes_une_etude_prospective_de_cohorte_de_naissance_sur_30_ans_332418/yb_breve.phtml
Cette étude est présentée par un groupe de chercheurs de différentes institutions
de la ville de Cincinnati (États-Unis), spécialisés dans des domaines complementaires
dont la justice criminelle, la santé environnementale et les sciences sociales. Le
sujet est excessivement délicat car il aborde les liens prédictifs possibles entre
une intoxication au plomb et un comportement jugé « criminel » dans le sens anglo-saxon
ou répréhensible. L’étude analyse les imprégnations au plomb de 254 enfants de la
ville dans une cohorte initiée entre 1979 et 1984 avec un suivi des arrestations intervenues
lorsque ces enfants ont atteint l’âge adulte jusqu’à 33 ans. Les auteurs précisent
que le recrutement des futures mères était réalisé dans des quartiers à fort niveau
de pauvreté. La cohorte est composée de 90 % de noirs américains dont la situation
est clairement défavorisée, avec 84 % de femmes non mariées, et de QI moyen des mères
de 75, considéré comme relativement faible par les auteurs. Le critère principal est
le nombre d’arrestations par la police lorsque les enfants ont atteint les périodes
d’âge entre 18-24 ans et 27-33 ans. Les auteurs précisent que ce critère est connu
pour sous-estimer le nombre réel d’actions répréhensibles et indiquent avoir limité
les facteurs confondants. Parmi les répondants, 22 % n’ont jamais été arrêtés. Pour
les 254 sujets suivis, 1 429 arrestations ont été constatées ce qui conduit à 8,15
arrestations en moyenne pour les hommes et 3,3 pour les femmes. La majorité des échantillons
prélevés durant l’enfance présentent des plombémies supérieures à 10 μg/dL avec une
moyenne à 14,4 μg/dL.
2022
John Libbey Eurotext
France
article de périodique
adulte
Exposition
adulte
effets de l'exposition à un agent externe
études prospectives
Adulte
cohorte de naissance
plomb
Comportement criminel
plomb
Études de cohortes
naissance
Prospectives
Adulte
comportement criminel
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N3-AUTOINDEXEE
Exposition aux espaces verts et mortalité due aux maladies neurodégénératives chez
les personnes âgées : étude de cohorte de suivi sur 13 ans
https://www.yearbook-ers.jle.com/e-docs/exposition_aux_espaces_verts_et_mortalite_due_aux_maladies_neurodegeneratives_chez_les_personnes_agees_etude_de_cohorte_de_suivi_sur_13_ans_332425/yb_breve.phtml
La population vieillit au niveau mondial, ce qui entraîne une augmentation spectaculaire
du fardeau des maladies neurodégénératives. En Europe, les troubles neurologiques
représentent la troisième cause de décès et d’incapacité, après les maladies cardiovasculaires
et le cancer. Pourtant, jusqu’à 40 % des cas de démence peuvent être potentiellement
évités. L’exposition aux espaces verts pourrait être bénéfique pour les habitants
des aires urbaines – ce qui correspond à la grande majorité de la population susceptible
d’être touchée par ces maladies – en favorisant un vieillissement en bonne santé et
en réduisant la mortalité prématurée. Les hypothèses sousjacentes pour expliquer cet
effet bénéfique se réfèrent à des mécanismes relatifs à l’induction de la restauration
du stress, l’offre d’opportunités d’activité physique et de cohésion sociale, et l’atténuation
des risques environnementaux. Cependant, les preuves disponibles sur l’association
entre les espaces verts et les maladies neurodégénératives parmi la population âgée
sont peu concluantes et les études se sont jusqu’à présent principalement concentrées
sur la démence ou son précurseur, le déclin cognitif. Par ailleurs, parmi les mécanismes
suggérés sous-jacents aux effets bénéfiques des espaces verts, l’atténuation de la
pollution de l’air ambiant peut être importante pour les maladies neurodégénératives
(on estime qu’elle représente 4 % du risque total de démence pour les personnes âgées,
mais son effet sur d’autres maladies neurodégénératives reste incertain). Enfin, ces
effets bénéfiques pourraient être différentiels selon les couches sociales, et cette
dimension a été à peine abordée en ce qui concerne les maladies neurodégénératives.
2022
John Libbey Eurotext
France
article de périodique
mortalité
effets de l'exposition à un agent externe
Maladie
maladie
personne âgée
études de suivi
Études de cohortes
PERSONNE AGEE
sujet âgé de 80 ans ou plus
sujet âgé
Maladies
maladies neurodégénératives
Exposition
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N3-AUTOINDEXEE
L' état nutritionnel est-il lié à la survenue de l'excentration de hanche chez l'enfant
avec polyhandicap par paralysie cérébrale sévère ?: étude prospective de cohorte
http://www.sudoc.fr/242805167
Les enfants porteurs de polyhandicap par paralysie cérébrale sévère (PCS) sont à haut
risque de dénutrition. L'excentration sévère de hanche (ESH) est une complication
aggravant leur handicap. La dénutrition pourrait favoriser les complications orthopédiques.
Cette étude prospective multicentrique évaluait si l'évolution du poids d'une cohorte
française de 315 enfants avec PCS était corrélée à la survenue d'une ESH. Les principaux
résultats montraient que la dénutrition était fréquente à l'inclusion (26% des patients),
et avait tendance à s'aggraver au cours du temps chez ceux ayant le handicap le plus
sévère (grade GMFCS V) avec une diminution du Z-score du poids de 0.07 par an. Contrairement
à notre hypothèse, nous n'avons pas retrouvé de corrélation significative entre la
diminution du Z-score du poids au cours du temps et l'augmentation de la survenue
de l'ESH ; cependant un biais de recrutement pourrait exister puisqu'un pourcentage
important de patients (46%) avait été exclu de l'analyse car présentant une ESH avant
même l'inclusion. En conclusion, la dénutrition est particulièrement fréquente chez
les enfants avec polyhandicap sévère, un plus grand nombre de sujets est nécessaire
pour évaluer le lien entre dénutrition et complications orthopédiques
2020
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
état nutritionnel
état nutritionnel
Enfant
enfant
paralysie
Paralysie
enfant
paralysie cérébrale
Enfant
sévère
cerveau, sai
Études de cohortes
Prospectives
Enfant
études prospectives
hanche
Enfant
études de cohortes
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N3-AUTOINDEXEE
Effets du climat et des interventions de santé publique sur la pandémie de COVID-19
: une étude de cohorte prospective
http://www.cmaj.ca/cgi/pmidlookup?view=long&pmid=33139430
On connaît bien la saisonnalité de la grippe et sa corrélation avec certains facteurs
météorologiques. Les mécanismes avancés pour expliquer le ralentissement des épidémies
de grippe durant les mois d’été sous les climats tempérés sont les augmentations de
température, d’humidité et d’ensoleillement1. Ces 3 facteurs sont liés à la latitude
géographique, un élément qu’il est facile de déterminer avec précision. Une autre
explication possible du ralentissement des épidémies de grippe durant les mois d’été
est la fermeture des établissements scolaires pour les vacances estivales.
2020
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JAMC - Journal de l'Association médicale canadienne
Canada
infections à coronavirus
pneumopathie virale
COVID-19
article de périodique
climat
études prospectives
Santé publique
Prospectives
Santé publique
Études de cohortes
pandémies
santé publique
études de cohortes
COVID-19
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N3-AUTOINDEXEE
Déterminants des difficultés d’allaitement maternel à six mois : analyse post-hoc
d’une étude de cohorte prospective multicentrique
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02281540
Objectif : Il a été montré que les difficultés d’allaitement maternel sont associées
à un risque de sevrage significativement plus élevé. Cependant, aucune étude ne s’est
intéressé aux facteurs pronostiques de l’apparition de ces difficultés. L’objectif
de cette étude était de déterminer d’éventuels facteurs associés à l’apparition de
difficultés d’allaitement maternel durant les six premiers mois de vie de l’enfant,
et de décrire la répartition des difficultés d’allaitement maternel avant un mois
et entre un et six mois. Méthodes : Nous avons effectué une analyse post-hoc des données
d’une étude de cohorte prospective multicentrique, réalisée en 2005 et 2006, de 993
mères allaitantes le jour de la sortie, recrutées dans huit maternités françaises,
et suivies par entretiens téléphoniques. Résultats : Au total 509 femmes (51.3%) avaient
présenté des difficultés d’allaitement pendant les six premiers mois de vie de l’enfant.
Deux facteurs étaient associés de manière statistiquement significative à la survenue
de ces difficultés. Le fait d’avoir déjà allaité un enfant était un facteur protecteur
(OR 0.61 ; IC à 95% [0.45-0.82]). La présence de difficultés d’allaitement maternel
en maternité était au contraire un facteur de risque (OR 3.18 ; IC à 95% [2.34-4.31]).
La principale difficulté d’allaitement retrouvée avant un mois et entre un et six
mois était la crevasse. Les douleurs du mamelon ainsi que les engorgements étaient
plus fréquents avant un mois. Les abcès et mastites ainsi que le manque de lait étaient
plus fréquents entre un et six mois. Conclusion : Bien que la nature causale de la
relation reste à établir, cette étude supporte l’importance de l’accompagnement par
les professionnels de santé pour réduire la survenue de difficultés d’allaitement
dans les six mois après la naissance de l’enfant. Plusieurs sensibilisations des femmes
aux difficultés d’allaitement pourraient avoir lieu en pré, péri, et post-natal.
2019
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Prospectives
études multicentriques comme sujet
allaitement maternel anormal
Études de cohortes
Allaitement naturel
allaitement maternel
Analyse de cohorte
étude multicentrique
études prospectives
études de cohortes
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N3-AUTOINDEXEE
Relations entre consommation de cannabis et troubles psychiques post traumatiques
: étude descriptive d’une cohorte de patients militaires suivis dans un Hôpital d’Instruction
des Armées
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01970421/document
Introduction : le cannabis est la drogue illicite la plus consommée en France. Son
usage a déjà fait l’objet de plusieurs études dans l’armée française, mais jamais
spécifiquement chez les patients atteints d’un trouble de stress post-traumatique
(TSPT). Les problèmes d’addiction dans cette population sont bien connus, notamment
chez les vétérans américains. L’objectif principal de cette étude est de décrire la
consommation de cannabis chez un groupe de militaire souffrant d’un TSPT, suivis en
psychiatrie dans les Hopitaux d’Instruction des Armées Percy, Bégin et Robert Picqué.
Matériel et Méthode : la consommation de cannabis, de tabac et d’alcool étaient évaluées
par questionnaires standardisés (CAST, Fagerström, AUDIT). La sévérité du TSPT était
évaluée par l’échelle PCLS. Une recherche d’autres addictions était réalisée à titre
exploratoire. Résultats : 95 patients ont été inclus dans l’étude de mai 2017 à mai
2018. 14,74% des patients consommaient du cannabis. Un usage problématique était retrouvé
chez 78,57% d’entre-eux. Une augmentation de la consommation après l’événement traumatique
était mise en évidence dans plus de 85% des cas. 71,43% des patients décrivaient un
soulagement de leurs symptômes. La sévérité de la clinique post-traumatique était
associée de façon significative avec le niveau de dépendance à l’alcool. Discussion
: une augmentation de la prévalence de la consommation de cannabis, de tabac et d’alcool
est mise en évidence dans notre échantillon. Il paraît important d’insister sur le
dépistage et la prévention des conduites addictives dans cette population. Il convient
d’étudier le lien entre TSPT et troubles de l’usage dans une étude de plus grande
ampleur, notamment en unité.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
troubles de stress post-traumatique
psychique (trouble)
cannabis
Traumatisme
cannabis
psyché, sai
blessure
hôpitaux militaires
a comme patient
instruction
Études de cohortes
hôpital
études de suivi
continuité des soins
traumatisme
études de cohortes
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N2-AUTOINDEXEE
SLA et demande d'euthanasie : étude rétrospective de cohorte en Hôpital A Domicile
de Nantes entre janvier 2011 et décembre 2016
http://www.sudoc.fr/227806743
Introduction : La sclérose latérale amyotrophique (SLA) est une atteinte du motoneurone,
qui entraine une paralysie progressive jusqu'au décès du patient. Cette maladie est
incurable et est souvent au centre des débats sur la fin de vie. En effet contrairement
à certains pays limitrophes qui légifèrent sur l'euthanasie, la France continue à
débattre sur ce sujet. Certaines études à l'étranger portent sur ces patients SLA
souhaitant mourir mais aucune étude en France n'a étudié cette population particulière
de soins palliatifs
2018
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SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
français
thèse ou mémoire
Domicile
sclérose latérale amyotrophique
Fracture de Jones
Fracture de Pouteau-Colles
études rétrospectives
euthanasie
hospitalisation à domicile
euthanasie
Hôpitaux
Études de cohortes
hôpital
caractéristiques de l'habitat
hôpitaux
études de cohortes
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N3-AUTOINDEXEE
Facteurs cliniques prédictifs de l’observance de la ventilation à domicile : étude
rétrospective d’une cohorte suivie au CHU de Rouen
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01449150
La ventilation non invasive s’est développée au cours des vingt dernières années notamment
pour l’assistance à domicile des patients atteints d’insuffisance respiratoire chronique
(IRC). De l’observance au traitement dépend son efficacité immédiate et à long-terme.
Il existe peu de données sur l’observance de la VNI à domicile et sur les facteurs
pouvant la prédire.Objectif : identifier les paramètres cliniques corrélés à l’observance
de la VNI au domicile trois mois après l’appareillage au sein d’une cohorte de patients
atteints d’IRC.
2016
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
Observance par le patient
étude d'observation
études rétrospectives
Études de cohortes
facteur
ventilation
Étude clinique
ventilation
Domicile
études de suivi
clinique
hôpitaux universitaires
étude d'observation
études de cohortes
Étude clinique
caractéristiques de l'habitat
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