Libellé préféré : incertain;
Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Non établi au-delà du doute ; toujours indéterminé ou inconnu.;
Traductions automatiques par l'ANS : Incertitude;
Identifiant d'origine : C47944;
CUI UMLS : C0087130;
Alignements automatiques CISMeF supervisés
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Correspondances UMLS (même concept)
Type(s) sémantique(s)
- Fait [Type sémantique UMLS]
Voir aussi inter- (CISMeF)
N3-AUTOINDEXEE
Discussion sur l’utilisation des incertitudes lors du mesurage du bruit au travail
https://www.irsst.qc.ca/publications-et-outils/publication-irsst/i/101213/n/discussion-utilisation-incertitudes-mesurage-bruit-travail
Le Décret 781-2021, entré en vigueur le 16 juin 2023, modifie le Règlement sur la
santé et la sécurité du travail (RSST) et le Code de sécurité pour les travaux de
construction (CSTC) afin de mieux prévenir l'exposition au bruit en milieu de travail.
Il vise à harmoniser les normes québécoises avec les normes nationales et internationales
sur le bruit au travail.
2024
IRSST - Institut de Recherche Robert-Sauvé en Santé et en Sécurité du Travail
France
rapport
emploi en informatique
Lieu de travail
travail
ecchymoses
bruit
métier
incertain
utilisation
bruit au travail
professions
incertitude
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N3-AUTOINDEXEE
Gestion de l'incertitude pendant la crise de la COVID-19 : étude qualitative auprès
de médecins généralistes au coeur d'une controverse scientifique à Marseille
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04119218
Introduction : la pandémie due au SARS COV 2 a profondément impacté le système de
santé français et notamment les soins primaires. Elle a engendré de nombreuses incertitudes
et de nombreux débats sur l’attitude à adopter vis-à-vis de celle-ci. C’est notamment
le cas à Marseille, qui par sa proximité avec l’IHU, a cristallisé la polémique au
sein de cette controverse scientifique mondiale. L’objectif de notre étude était de
mettre en lumière les difficultés rencontrées par les médecins généralistes Marseillais
face à cette pandémie et d’explorer la manière dont ils ont résolu leurs dilemmes
dans ce contexte particulier de proximité avec l’IHU. Méthode : une étude qualitative
longitudinale a été menée par cinq chercheurs par des entretiens semi-dirigés auprès
de cinquante médecins généralistes des Bouches-du-Rhône, seize d’entre eux ont été
réinterrogés à distance. Résultats : la pandémie de la COVID-19 a mis les médecins
généralistes en difficulté par la grande incertitude qu’elle représentait, que ce
soit sur le plan diagnostique ou thérapeutique. Cette période d’incertitude était
également marquée par une certaine défiance vis-à-vis des autorités sanitaires avec
des médecins généralistes pointant du doigt les recommandations parfois éloignées
de la réalité du terrain. La polémique sur l’hydroxychloroquine a quant à elle engendré
un clivage chez les médecins interrogés. Sur ce point la plupart des médecins généralistes
ont suivi les recommandations nationales avec une majorité de médecins n’ayant pas
prescrit l’hydroxychloroquine. Ils n’ont cependant pas hésité à avoir recours à l’IHU
qu’ils ont considéré comme le véritable centre de référence de cette pandémie. Conclusion
: la crise sanitaire de la COVID-19 a profondément impacté l’exercice du médecin généraliste
et plus particulièrement à Marseille. Dans ce contexte de controverse et d’incertitude
l’approche centrée-patient s’est vu renforcée avec, pour le médecin généraliste, un
véritable rôle d’accompagnement à la prise de décision par le patient. Cette crise
a mis en évidence des conflits potentiels entre deux grands principes que sont l’approche
centrée patient et la médecine fondée sur les preuves.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Litiges
Désaccords et litiges
scientifique (profession)
médecins généralistes
science
recherche qualitative
étude DICOM
incertitude
postes de direction
étude clinique
coeur
coeur
incertain
crise
Crise
COVID-19
COVID-19
à l'étude
COVID-19
Supervision
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N3-AUTOINDEXEE
Gestion de l’incertitude diagnostique par le médecin généraliste en téléconsultation
de médecine générale
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04291031
Introduction : l’incertitude diagnostique est omniprésente en médecine générale. Avant
2020, les médecins craignaient que la téléconsultation majore l’incertitude diagnostique.
Depuis, cette pratique s’est répandue et cette crainte semble se confirmer. Objectif
: explorer la gestion de l’incertitude diagnostique par le médecin généraliste en
téléconsultation de médecine générale dans la région d’Ile-de-France. br Méthode :
étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés menés avec un guide d‘entretien.
L’échantillonnage était initié en réseau, puis raisonné au fil des entretiens jusqu’à
la suffisance des données. Deux investigateurs ont réalisé une analyse de contenu
thématique. br Résultats : de février 2022 à août 2022, 15 entretiens ont été réalisés
d’une durée moyenne de 44 minutes. L’incertitude diagnostique était augmentée en téléconsultation
et générait un vécu émotionnel négatif chez les médecins. Les conditions inadéquates
à une téléconsultation, la difficulté à identifier, à récolter et à interpréter les
symptômes par visio, devoir déléguer l'examen clinique à un non clinicien et la perte
de l'intuition médicale engendraient des sur-prescriptions et non prescription, une
dégradation de la relation médecin-patient et des consultations en présentiel. Pour
faire face à ces situations, les médecins utilisaient des démarches diagnostiques
analytiques. La présence d’un soignant avec des outils médicaux connectés réduisait
efficacement l’incertitude diagnostique, plus que de déléguer l'examen clinique au
patient ou à un tiers non clinicien. La communication avec le patient prenait une
place importante pour gérer l'incertitude diagnostique et améliorer la relation médecin-patient.
Les médecins impliquaient souvent le patient dans la prise en charge en leur exprimant
leur incertitude diagnostique et en leur dictant les symptômes à surveiller et la
conduite à tenir en fonction de l’évolution des symptômes. br Discussion : des sources
de l’incertitude diagnostique en téléconsultation ont été identifiées et rappellent
l’importance de respecter le cadre et les recommandations de bonnes pratiques. La
communication reste essentielle dans la relation de soin et pour maintenir une médecine
centrée patient en situation d’incertitude diagnostique. Le vécu émotionnel négatif
de l’incertitude diagnostique et la démarche diagnostique complexifiée par la téléconsultation
nécessite d’innover dans la manière de téléconsulter. L’incertitude diagnostique en
téléconsultation est un sujet encore à explorer.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
incertitude
médecins généralistes
téléconsultation
diagnostic (procédure)
Supervision
médecine de famille
postes de direction
médecin de soins primaires
consultation à distance
médecin (médecine générale)
diagnostic
médecine générale
biomédecine
incertain
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N3-AUTOINDEXEE
Les méthodes de gestion de l'incertitude en soins premiers, une revue systématique
de la littérature
http://thesesante.ups-tlse.fr/4367/
Contexte : l'incertitude est omniprésente en médecine. Elle l'est encore davantage
en médecine générale, du fait de l'étendue de son champ d'action et de sa position
première dans la prise en charge des patients. L'incertitude peut avoir pour conséquences
une majoration du stress et de l'insatisfaction professionnelle pour les médecins.
Il est donc nécessaire de mieux savoir la gérer. Méthode : l'objectif de notre travail
était de réaliser une revue systématique de la littérature de toutes les stratégies
de gestion de l'incertitude pouvant être mises en œuvre par les médecins de soins
premiers. Cette revue a été réalisée selon les recommandations PRISMA, sur les articles
publiés entre janvier 2000 et mars 2022. Les bases de données utilisées étaient Pubmed,
Web of Science, Embase, Cochrane Library, ainsi que la littérature grise au sein de
SUDOC et de Google Scholar. Les étapes de sélection des articles ont été réalisées
indépendamment par 2 chercheurs, puis les articles sélectionnés ont été évalués par
des grilles validées. Sur 4308 références, 7 articles ont ainsi été inclus. Résultats
: nous avons dégagé 4 axes principaux parmi les stratégies décrites. D'abord, les
stratégies cognitives regroupaient tous les moyens intellectuels mis en œuvre par
le médecin, de la démarche analytique classique à la démarche intuitive, en passant
par la recherche documentaire, les demandes d'avis, le suivi et les considérations
bio-psycho-sociale. Ensuite, les stratégies relationnelles et éthiques concernaient
l'intégration du patient dans sa propre prise en charge et le rôle central de la relation
médecin-patient dans ce but. Les stratégies collectives portaient sur l'association
de différents professionnels dans la gestion de l'incertitude, des collègues aux spécialistes,
et à l'utilité des groupes de pairs. Enfin, les stratégies émotionnelles permettaient
au médecin de mieux gérer les conséquences personnelles de l'incertitude. Conclusion
: la gestion de l'incertitude est essentielle en médecine de soins premiers. Les études
montrent que les médecins généralistes utilisent de nombreuses stratégies en situation
d'incertitude. La relation médecin-patient est le pivot central d'une bonne gestion.
Il semblerait nécessaire d'inclure une formation à l'incertitude au plus tôt dans
le cursus des études médicales.
2023
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
classification
soins
postes de direction
Revue systématique
Soins
protestantisme
technique
incertitude
incertain
premiers secours
programmes de gestion intégrée des soins de santé
revue de la littérature
activités de soins
littérature de revue comme sujet
Supervision
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N3-AUTOINDEXEE
Vivre l’incertitude en oncologie: repères éthiques et pratiques
http://memoires.scd.univ-tours.fr/index.php?fichier=Medecine/Theses/2023_Medecine_ButonLeandre.pdf
La médecine se construit selon une démarche scientifique menant à une production de
savoir de plus en plus importante. L’« Evidence Based Medicine » et sa large utilisation
en pratique, renforcent cette trajectoire et créent une vision subjective et rassurante
de la médecine. Cependant, l’incertitude en clinique et dans la décision médicale
vient mettre à mal ce système de référence. Notre travail vise à comprendre dans quel
contexte et comment cette incertitude prend forme en pratique. Nous constatons que
l’incertitude est positivement investie par les philosophes, mais reste le plus souvent
perçue comme négative en médecine, et ce malgré son caractère ontologique à l’exercice
médical. Si l’apport de la science dans notre pratique est indéniable et peut mener
à se positionner comme ayant valeur de connaissance universelle, nous montrons dans
ce travail qu’elle reste à nuancer dans ses possibilités, ses limites et sa capacité
à apporter des certitudes. Nous explorons la position particulière du clinicien, entre
connaissances, limites, doutes et action, notamment vis-à-vis du bien à viser par
son action sur le patient. Cela nous mène à réfléchir aux concepts de santé et de
norme, pour y trouver des repères réflexifs, afin de guider notre pratique clinique.
Nous abordons les complexités du suivi en oncologie, à la recherche d’une éthique
de la communication, dans des temporalités multiples, selon un fonctionnement en colloque
singulier et en interaction avec les autres intervenants en santé. Enfin, à la lueur
de nos réflexions, nous dégageons des pistes réflexives et pratiques dans l’exercice
de l’oncologie au quotidien, dans une perspective d’éthique de l’incertitude. Medicine
is constructed through a scientific approach leading to an increasingly significant
production of knowledge. Evidence-Based Medicine and its widespread use in practice
reinforce this trajectory and create a subjective and reassuring vision of medicine.
However, uncertainty in clinical practice and medical decision-making undermines this
reference system. Our work aims to understand in what context and how this uncertainty
takes shape in practice. We observe that uncertainty is positively embraced by philosophers,
but it is often perceived as negative in medicine, despite its ontological nature
within medical practice. While the contribution of science to medical practice is
undeniable and can be positioned as having the value of universal knowledge, we demonstrate
in this work that its potential, limitations, and ability to provide certainties need
to be nuanced. We delve into the distinctive position of the clinician, navigating
between knowledge, limitations, doubts, and actions, particularly concerning the objectives
of their interventions for the patient's well-being. This leads us to contemplate
the concepts of health and norms, seeking reflective anchors to guide our clinical
practice. We approach the intricacies of oncology follow-up, striving for an ethics
of communication within varying timeframes, operating through unique dialogues, and
engaging with other healthcare stakeholders. Finally, drawing from our reflections,
we derive reflective and practical pathways in the everyday practice of oncology,
within a framework of an ethics of uncertainty.
2023
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
signaux
éthique
incertitude
résider
incertain
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