Libellé préféré : tumeurs prostatiques résistantes à la castration;
Synonyme CISMeF : néoplasmes prostatiques résistants à la castration; tumeurs de la prostate résistantes à la castration; tumeurs de prostate résistantes à la castration; tumeurs prostatiques hormono-résistantes; tumeurs prostatiques indépendantes des androgènes; tumeurs prostatiques insensibles aux androgènes; tumeurs prostatiques résistantes aux androgènes;
Acronyme CISMeF : CPRC;
Hyponyme MeSH : cancer prostatique résistant à la castration; Cancer de la prostate résistant à la castration; Cancer de prostate résistant à la castration; Cancer prostatique hormono-résistant; Cancer prostatique indépendant des androgènes; Cancer prostatique insensible aux androgènes; Cancer prostatique résistant aux androgènes;
Identifiant d'origine : D064129;
CUI UMLS : C3658267;
Alignements automatiques CISMeF supervisés
Alignements manuels BTNT - CISMeF
Concept(s) lié(s) au record
Liste des qualificatifs affiliables
- urine [Qualificatif MeSH]
Médicament(s) indiqué(s)
- AKEEGA [Racine Pharmacologique]
- NUBEQA [Racine Pharmacologique]
- XOFIGO [Racine Pharmacologique]
- ZYTIGA [Racine Pharmacologique]
Spécialité(s) pharmaceutique(s) indiquée(s)
Type(s) sémantique(s)
Voir aussi
Voir aussi (proposés par CISMeF)
N1-SUPERVISEE
LYNPARZA - Cancer de la prostate métastatique résistant à la castration
Prise en charge temporaire.
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3241358/fr/lynparza-cancer-de-la-prostate-metastatique-resistant-a-la-castration
La spécialité LYNPARZA (olaparib) est destinée à traiter une maladie grave et rare.
Il existe des comparateurs pertinents, au regard des connaissances médicales avérées,
à LYNPARZA (olaparib), dans l’indication considérée, à savoir après progression suite
à un traitement antérieur incluant une hormonothérapie de nouvelle génération (HTNG).
Dans la mesure où la maladie est grave, et qu’il existe des alternatives disponibles
à ce stade de la maladie, il n’existe pas de risque grave et immédiat pour la santé
du patient de différer le traitement. LYNPARZA (olaparib), dans l’indication considérée,
est susceptible d’être innovant. LYNPARZA (olaparib), dans l’indication considérée,
est susceptible de présenter, au vu des résultats des essais cliniques, une efficacité
cliniquement pertinente et un effet important, au regard desquels ses effets indésirables
sont acceptables...
2021
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HAS - Haute Autorité de Santé
France
résultat thérapeutique
remboursement par l'assurance maladie
Inhibiteurs de poly(ADP-ribose) polymérases
olaparib
administration par voie orale
tumeurs prostatiques résistantes à la castration
métastase tumorale
LYNPARZA 100 mg, comprimé pelliculé
LYNPARZA 150 mg, comprimé pelliculé
adulte
mutation du gène BRCA1
mutation du gène BRCA2
avis de la commission de transparence
LYNPARZA
olaparib
phtalazines
pipérazines
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N1-VALIDE
Traitement médicamenteux du cancer de la prostate métastatique
https://smf.swisshealthweb.ch/fr/article/doi/fms.2016.02607/
Au cours des dernières années, de nouvelles options thérapeutiques pour les hommes
atteints d’un cancer de la prostate de stade avancé ont été autorisées. Avec ces modalités
thérapeutiques supplémentaires, les médecins traitants se retrouvent face au défi
de devoir faire un choix parmi de nombreux traitements. Sur la base des preuves disponibles,
des organisations nationales et internationales ont formulé des directives et recommandations.
Il n’est cependant pas rare, dans le quotidien clinique, d’être confronté à des problématiques
pour lesquelles les preuves sont soit contradictoires, soit inexistantes. Afin de
mettre en lumière ces situations, la première Advanced Prostate Cancer Consensus Conference
(APCCC) internationale s’est tenue à Saint-Gall en mars 2015.
2016
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Forum Médical Suisse
Suisse
français
article de périodique
médecine générale
tumeurs de la prostate
tumeurs prostatiques résistantes à la castration
antinéoplasiques
métastase tumorale
tumeurs osseuses
recommandation pour la pratique clinique
observation (surveillance clinique)
médecins généralistes
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N1-VALIDE
Guide de pratique AUC-CUOG 2015 pour la prise en charge du cancer de la prostate résistant
à la castration (CPRC)
http://www.cua.org/themes/web/assets/files/guidelines/fr/2526reprintfrenchforweb.pdf
Les agents qui ont prolongé la survie des patients atteints de CPRC incluent maintenant
l’abiratérone, l’enzalutamide, le docetaxel, le cabazitaxel et le radium 223. Les
agents qui ciblent les os et la radiothérapie palliative continuent de jouer un rôle
important dans la prise en charge générale du CPRCm. Étant donné la com plexité des
traitements, la variété d’agents sur le marché et l’importance d’optimiser l’utilisation
de ces agents, une approche multidisciplinaire est fortement recommandée
2015
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AUC - Association des urologues du Canada
Canada
français
recommandation pour la pratique clinique
article de périodique
tumeurs prostatiques résistantes à la castration
métastase tumorale
tumeurs osseuses
tumeurs prostatiques résistantes à la castration
tumeurs prostatiques résistantes à la castration
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N1-VALIDE
Comment j’explore ... Actualités thérapeutiques dans le traitement médical du cancer
de la prostate résistant à la castration
https://rmlg.uliege.be/article/2382
Le traitement du cancer prostatique résistant à la castration fait appel à la chimiothérapie
par docétaxel pour les personnes dont la maladie est symptomatique et dont l’état
général le permet. La progression tumorale survient inévita - blement après cette
première ligne de chimiothérapie et il peut être approprié d’envisager une seconde
ligne de traitement. Aucune alternative crédible n’était approuvée jusqu’il y a peu
et la mitoxantrone était souvent employée. Trois nouveaux traitements ont vu leur
efficacité démontrée dans des études cliniques multicentriques randomisées publiées
depuis 2010. Le cabazitaxel, l’abiratérone et l’enzalutamide permettent de prolonger
la survie globale des patients porteurs d’un cancer prostatique, métastatique, résistant
à la castration et en pro - gression après une chimiothérapie par docétaxel. Ces résultats
encore modestes mais cliniquement significatifs ont conduit au remboursement par la
Belgique en 2012 du Jevtana (caba - zitaxel) et du Zytiga (abiratérone)
2013
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Revue Médicale de Liège
Belgique
français
article de périodique
tumeurs prostatiques résistantes à la castration
cabazitaxel
taxoïdes
androstadiènes
enzalutamide
3-Phényl-2-thiohydantoïne
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