Libellé préféré : Nutriments;

Synonyme CISMeF : Substances nutritives; Éléments nutritifs;

Lien Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nutriments;

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N2-AUTOINDEXEE
Enrichissement du lait maternel en nutriments pour les nourrissons prématurés
https://www.cochrane.org/fr/CD000343/NEONATAL_enrichissement-du-lait-maternel-en-nutriments-pour-les-nourrissons-prematures
Problématique de la revue Les nourrissons prématurés (bébés nés avant terme) grandissent-ils et se développent-ils mieux lorsqu'ils sont nourris avec du lait maternel enrichi de protéines et de calories supplémentaires (« fortifié ») ? Contexte : Le lait maternel seul ne suffit peut-être pas à aider les nourrissons prématurés à grandir et à se développer de manière optimale. Des nutriments supplémentaires, tels que des protéines et de l'énergie (calories) provenant de glucides ou de matières grasses, peuvent être ajoutés au lait maternel pour le rendre 10 à 20 % plus nutritif. Ces nutriments supplémentaires sont appelés « fortifiants ». L'alimentation des nourrissons prématurés, en particulier des grands prématurés (nés avant 32 semaines), avec du lait maternel enrichi pourrait potentiellement leur permettre d’absorber plus de nutriments, et donc de grandir plus vite et de mieux se développer.
2020
Cochrane
France
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
préparation pour nourrissons
Nutriments
prématuré
immature
Lait
Nourrisson
lait humain
lait maternel
lait
nourrisson

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N3-AUTOINDEXEE
Alimentation et maladies auto-immunes: existe-t-il des nutriments dont les effets sur la modulation de l'inflammation ou l'immunité auraient été démontrés sur plusieurs maladies auto-immunes différentes ?: travail de Bachelor
http://doc.rero.ch/record/327615?ln=fr
Introduction : L’altération de la capacité du système immunitaire à reconnaître le soi du non soi entraîne une réaction auto immune. Les maladies auto immunes sont des pathologies inflammatoires chroniques. Elles détériorent profondément la qualité de vie des personnes qui en sont atteintes. Il n’existe actuellement aucun traitement curatif pour ces pathologies. Les effets secondaires des traitements actuels comportent des risques non négligeables pour la santé des malades. Les effets bénéfiques d’une thérapie nutritionnelle ont déjà été prouvés sur différentes maladies chroniques inflammatoires. Les nutriments jouent un rôle dans le maintien du système immunitaire, la modulation de la réponse inflammatoire ou encore dans la lutte contre le stress oxydatif. Ce travail recherche différents nutriments communs à plusieurs maladie auto immunes différentes, pouvant impacter la réponse inflammatoire et/ou immunitaire. Méthodes : Pour répondre à notre question de recherche, nous avons procédé à une revue des revues systématiques. Les bases de données PubMed, Cochrane et Cinahl ainsi que différents mots clés spécifiques ont été utilisés. La sélection des articles a été réalisée conjointement par les deux chercheurs en fonction des critères prédéfinis. Nous avons focalisé notre attention sur les nutriments pour les variables indépendantes et les marqueurs inflammatoires et immunitaires pour les variables dépendantes. La qualité des articles retenus a ensuite été analysée à l’aide du « Manuel d'analyse des preuves de l’Académie de Nutrition et Diététique ». Résultats : Nos équations de recherches ont mis en évidence 1427 articles. Parmi eux, 4 revues systématiques ont répondu à nos critères. Les nutriments étudiés dans ces revues sont la vitamine D et les acides gras polyinsaturés. Leurs effets sur les marqueurs immunitaires et inflammatoires ont été observés chez des patients atteints de sclérose en plaques, thyroïdite auto immune, lupus systémique érythémateux et de polyarthrite rhumatoïde. Seule une revue conclue à une possible diminution des auto-anticorps chez les patients atteints de thyroïdite après une supplémentation de vitamine D. Les 3 autres concluent en l’absence de lien clairement démontré entre une supplémentations en vitamine D ou en acides gras polyinsaturés, sur les marqueurs inflammatoires et/ou immunitaires. La qualité de 3 des revues a été évaluée comme « neutre » tandis que la dernière a été évaluée positivement. Conclusion : Les résultats de notre recherche ne nous permettent pas de conclure à l'efficacité d'une supplémentation en vitamine D ou en acides gras polyinsaturés, dans l'objectif de diminuer les marqueurs inflammatoires et/ou immunitaires. Malgré une prévalence plus importante du déficit en vitamine D chez les patients atteints de MAI, ce lien causal reste à démontrer. Lors d'une prochaine revue, il serait préférable de traiter d'un régime plutôt que de nutriments isolés. De plus, les pathologies devraient être étudiées individuellement. Ainsi, nous pourrions nous concentrer sur d'autres symptômes comme la douleur, la progression et les lésions de la maladie, la fréquence et intensité des poussées ou encore le niveau de handicap
2019
RERO DOC - Réseau des bibliothèques de Suisse occidentale
Suisse
thèse ou mémoire
alimentation
régime alimentaire
Alimentation
maladies auto-immunes
Travail
inflammation
Inflammation
inflammation
Maladies
Inflammation
état immunitaire
métier
Aliments
Nutriments
immunité
maladie auto-immune
travail

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25/04/2024


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