Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Une indication indiquant si quelque chose est survenu, comme un événement ou une intervention.;
Traductions automatiques par l'ANS : APPARITION; Indicateur d'événement;
CUI Metathesaurus NCI : CL509521;
Identifiant d'origine : C127786;
CUI UMLS : C4284875;
- Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
- Type(s) sémantique(s)
N2-AUTOINDEXEE
La méditation contribue-t-elle à prévenir l'apparition ou l'aggravation des maladies
cardiovasculaires ?
https://www.cochrane.org/fr/CD013358/VASC_la-meditation-contribue-t-elle-prevenir-lapparition-ou-laggravation-des-maladies-cardiovasculaires
Principaux messages - Nous avons examiné principalement deux types de méditation,
les interventions basées sur la pleine conscience (IBPC) et la méditation transcendantale
(MT), par rapport au fait de recevoir quelque chose d'autre ou rien d'autre (appelés
respectivement groupes comparatifs actif et inactif). Nous avons trouvé des résultats
incohérents pour de nombreux critères de jugement d'intérêt. - Par rapport à des comparateurs
inactifs, les IBPC réduisent probablement le stress et pourraient également réduire
l'anxiété et la dépression ainsi que la pression artérielle. La MT pourrait réduire
la tension artérielle par rapport à des comparateurs actifs ou inactifs, mais peu
d'études rapportent les critères de jugement psychologiques. Les résultats seront
plus sûrs avec l'ajout d'autres études bien menées.
2024
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
apparence
entrée
Méditation
engagement
évolution de la maladie
Trouble cardiovasculaire
prévenance
quel mois est-ce maintenant ?
méditation
aggravation d'une maladie
contribution
maladie de l'appareil circulatoire
maladies cardiovasculaires
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N2-AUTOINDEXEE
La thérapie cognitivo-comportementale plus les soins standards pour le premier épisode
psychotique et la psychose d’apparition récente
https://www.cochrane.org/fr/CD015331/SCHIZ_la-therapie-cognitivo-comportementale-plus-les-soins-standards-pour-le-premier-episode-psychotique
Principaux messages La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) est efficace pour
réduire les symptômes de la schizophrénie et améliorer le fonctionnement des personnes
au début de la maladie. Très peu d'informations étaient disponibles sur les effets
indésirables potentiels liés à cette intervention. Introduction La schizophrénie est
un trouble mental sévère en raison de l'impact important des symptômes sur la vie
quotidienne des personnes touchées. Les personnes atteintes de cette maladie ont du
mal à faire la différence entre leurs propres pensées, croyances et idées par rapport
à la réalité. Par exemple, elles pourraient entendre des voix dans leur tête, mais
elles ont l'impression que quelqu'un leur parle vraiment. Le traitement de la phase
initiale de la maladie est d'une importance cruciale, afin de prévenir ou de réduire
le risque d'une évolution chronique. Cette phase est généralement définie comme le
« premier épisode », et le terme « apparition récente » est également utilisé pour
décrire la période de trois à cinq ans qui suit le premier épisode. Une intervention
psychologique, la thérapie cognitivo-comportementale, peut être efficace pour traiter
les symptômes des personnes atteintes de schizophrénie en général ; on ne sait pas
encore si cette intervention pourrait également être utile pour les personnes dans
les phases initiales de la maladie.
2024
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
Thérapie comportementale
récent
intervention comportementale
standardiste
psychose
thérapie comportementale
norme de soins
soins
épisode de
plus récent
normes
activités de soins
premiers secours
trouble psychotique
épisode de soins
étude de stabilité standard d'un médicament
thérapie cognitive
psychose
épisode
apparence
Normes
troubles psychotiques
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N3-AUTOINDEXEE
Syndrome frontal d’apparition tardive : neurologie ou psychiatrie ? Protocole front-ière
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04404753
Les troubles du comportement frontaux d’apparition tardive posent un problème diagnostique
fréquent entre une origine neurologique ou psychiatrique. La présentation comportementale
de certaines maladies neurodégénératives peut mimer des pathologies psychiatriques
primaires notamment associées à des troubles cognitifs. Le manque de marqueurs cliniques
ou paracliniques fiables pour différencier ces deux catégories diagnostiques rend
ce défi complexe. br Méthode. br Nous avons inclus des patients de plus de 40 ans
pris en charge en neurologie et/ou en psychiatrie, qui présentaient pour plainte principale
des éléments frontaux à savoir l’un des 6 critères de Rascovksy (apathie, désinhibition,
perte d’empathie, comportements stéréotypés, changements alimentaires, syndrome dysexécutif)
et pour lesquels persistaient une incertitude entre une origine neurologique ou psychiatrique.
Chaque patient participait à : (1) une consultation en binôme neurologue/psychiatre,
(2) un bilan neuropsychologique avec exploration extensive des fonctions exécutives
et de la cognition sociale, (3) des tests de créativité et de motivation et (4) un
bilan paraclinique comprenant IRM, PET-FDG et ponction lombaire si une indication
était retenue. br Résultats. br Nous avons inclus 13 patients. Les diagnostics suivants
ont été posés : origine psychiatrique pour 8 d’entre eux, origine neurodégénérative
pour 3 d’entre eux, origine mixte vasculaire et psychiatrique pour 2 d’entre eux.
Les antécédents psychiatriques, la présence d’un déficit cognitif, l’évolutivité et
l’atrophie cérébrale étaient les arguments diagnostiques prédominants. Les éléments
cliniques semblaient moins discriminants avec des résultats paradoxaux (davantage
de symptômes psychiatriques chez les patients neurologiques). Les altérations cognitives
étaient plus marquées chez les patients neurologiques et mixtes, y compris en cognition
sociale. Les tests de créativité et de motivation semblent pertinents, avec des résultats
moins bons chez les patients neurologiques. br Discussion. br Dans l’ensemble, la
réalisation du protocole s’est déroulée avec succès et une bonne acceptation de la
part des patients. Cette étude est limitée à ce stade par la taille modeste de l’échantillon
et le manque de recul temporel pour apprécier l’évolutivité de ces patients. Il est
destiné à être poursuivi afin d’affiner la décision diagnostique de ces patients et
d’obtenir un effectif suffisant pour la conduite d’analyses statistiques. br Conclusion.
br L’identification de marqueurs étiologiques fiables de ces pathologies frontières
entre la neurologie et la psychiatrie est encore complexe. La poursuite de ce protocole
permettra certainement de fournir des éléments de réponse à intégrer dans ce champ
de recherche.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
frontal
dronabinol
os frontal
effet secondaire associé avec syndromes
neurologie
à l'étude
psychiatrie
quel mois est-ce maintenant ?
protocole d'étude clinique
apparence
effet secondaire associé au système nerveux central
coronal
front
psychiatre
front
pédopsychiatrie
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