Libellé préféré : Addiction à la nourriture;
Synonyme CISMeF : Addiction alimentaire;
Identifiant d'origine : D000073932;
CUI UMLS : C4505163;
- Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
- Concept(s) lié(s) au record
- Liste des qualificatifs affiliables
- urine [Qualificatif MeSH]
- Type(s) sémantique(s)
- Voir aussi
N3-AUTOINDEXEE
Etude de l'addiction au sport et des troubles du comportement alimentaire chez les
cyclistes sur route
https://www.sudoc.fr/255276095
Objectif : déterminer la prévalence du risque de dépendance à l’exercice et de troubles
du comportement alimentaire chez les cyclistes amateurs, en étudier les caractéristiques
et un éventuel lien de causalité. Matériels et méthode : nous avons réalisé une étude
épidémiologique observationnelle descriptive et transversale, concernant des cyclistes
amateurs inscrits dans des clubs de la Fédération Française de Cyclisme. Les patients
inclus étaient tous les cyclistes amateurs, quels que soient leur genre, âge, niveau
de performance, licenciés ou non. Les critères d’évaluation principaux étaient le
score de l’échelle francophone spécifique de la dépendance à l’exercice « EDS-R »
et le score de l’échelle spécifique des troubles du comportement alimentaire « EAT26
» incluent dans un questionnaire en ligne. Les critères d’évaluation secondaires étaient
la significativité statistique entre dépendance à l’exercice et troubles du comportement
alimentaire mais également entre chacune de ces variables et les caractéristiques
des coureurs (en termes de données anthropométriques, d’intensité d’entrainement,
de niveau de pratique). Résultats : nous avons obtenu 718 réponses. L’échantillon
était composé de 86.29% d’hommes et 13.71% de femmes ; proportions similaires à celles
retrouvées auprès des effectifs de la FFC. Les résultats sur les critères principaux
montraient un taux de 10.63% de cyclistes dépendants à l’activité physique d’après
les critères de l’EDS-R et un taux de 12.73% de cyclistes présentant un trouble du
comportement alimentaire d’après les critères de l’EAT26. L’étude retrouve par ailleurs
un lien de causalité entre présence d’une dépendance à l’exercice et présence de troubles
du comportement alimentaire. Les résultats sur les critères secondaires montrent un
lien significatif entre dépendance à l’exercice et volume d’entrainement mais aussi
entre présence de troubles du comportement alimentaire et sexe, niveau des cyclistes
et volume d’entrainement. Les liens avec d’autres critères secondaires sont non significatifs.
Conclusion : cette étude montre une forte prévalence du risque de dépendance à l’exercice
mais également de troubles du comportement alimentaire auprès des cyclistes amateurs
comparativement aux valeurs décrites en population générale. La dépendance à l’exercice
physique majorant de façon significative le risque de développer un trouble du comportement
alimentaire et inversement. Ces résultats sont à nuancer du fait de la variété des
outils de dépistage existants et d’une littérature source de conclusions très hétérogènes.
2021
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
troubles liés à une substance
Trouble du comportement alimentaire
Sports
toxicomanie
Addiction
comportement
Comportement toxicomaniaque
cyclisme
Troubles du comportement
Troubles du comportement alimentaire
Comportement alimentaire
Troubles du comportement alimentaire
collecte de données
addictions
Addiction à la nourriture
troubles du comportement
Troubles du comportement alimentaire
Troubles du comportement alimentaire
sports
Comportement toxicomaniaque
troubles mentaux
comportement alimentaire
---
N3-AUTOINDEXEE
Étude de l'addiction au sport et des troubles du comportement alimentaire chez les
cyclistes sur route
https://www.sudoc.fr/255648413
Objectif : déterminer la prévalence du risque de dépendance à l’exercice et de troubles
du comportement alimentaire chez les cyclistes amateurs, en étudier les caractéristiques
et un éventuel lien de causalité. Matériels et méthode : nous avons réalisé une étude
épidémiologique observationnelle descriptive et transversale, concernant des cyclistes
amateurs inscrits dans des clubs de la Fédération Française de Cyclisme. Les patients
inclus étaient tous les cyclistes amateurs, quels que soient leur genre, âge, niveau
de performance, licenciés ou non. Les critères d’évaluation principaux étaient le
score de l’échelle francophone spécifique de la dépendance à l’exercice « EDS-R »
et le score de l’échelle spécifique des troubles du comportement alimentaire « EAT26
» incluent dans un questionnaire en ligne. Les critères d’évaluation secondaires étaient
la significativité statistique entre dépendance à l’exercice et troubles du comportement
alimentaire mais également entre chacune de ces variables et les caractéristiques
des coureurs (en termes de données anthropométriques, d’intensité d’entrainement,
de niveau de pratique). Résultats : nous avons obtenu 718 réponses. L’échantillon
était composé de 86.29% d’hommes et 13.71% de femmes ; proportions similaires à celles
retrouvées auprès des effectifs de la FFC. Les résultats sur les critères principaux
montraient un taux de 10.63% de cyclistes dépendants à l’activité physique d’après
les critères de l’EDS-R et un taux de 12.73% de cyclistes présentant un trouble du
comportement alimentaire d’après les critères de l’EAT26. L’étude retrouve par ailleurs
un lien de causalité entre présence d’une dépendance à l’exercice et présence de troubles
du comportement alimentaire. Les résultats sur les critères secondaires montrent un
lien significatif entre dépendance à l’exercice et volume d’entrainement mais aussi
entre présence de troubles du comportement alimentaire et sexe, niveau des cyclistes
et volume d’entrainement. Les liens avec d’autres critères secondaires sont non significatifs.
Conclusion : cette étude montre une forte prévalence du risque de dépendance à l’exercice
mais également de troubles du comportement alimentaire auprès des cyclistes amateurs
comparativement aux valeurs décrites en population générale. La dépendance à l’exercice
physique majorant de façon significative le risque de développer un trouble du comportement
alimentaire et inversement. Ces résultats sont à nuancer du fait de la variété des
outils de dépistage existants et d’une littérature source de conclusions très hétérogènes.
2021
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
Troubles du comportement alimentaire
Trouble du comportement alimentaire
Addiction à la nourriture
collecte de données
Troubles du comportement
troubles du comportement
Comportement toxicomaniaque
cyclisme
addictions
Addiction
comportement
Troubles du comportement alimentaire
Troubles du comportement alimentaire
troubles liés à une substance
Troubles du comportement alimentaire
Comportement alimentaire
toxicomanie
Sports
comportement alimentaire
sports
troubles mentaux
Comportement toxicomaniaque
---
N3-AUTOINDEXEE
Impact de l'addiction alimentaire chez le sujet obèse et influence du suivi
http://www.sudoc.fr/250998483
Evaluer l'évolution pondérale de patients en situation d'obésité sévère, selon la
présence d'une addiction alimentaire ou non, trois ans après leur hospitalisation
en service d'Endocrinologie pour bilan initial d'obésité. Evaluer le suivi médical
et paramédical réalisé par les patients, selon leur statut « addict alimentaire »
ou non, en référence à une prise en charge minimale attendue et évaluer l'influence
du niveau socio-économique sur la prise en charge réalisée. Cohorte historique monocentrique
chez des patients hospitalisés durant l'année 2017 dans le service d'Endocrinologie
de Lyon sud. Le poids mesuré en hospitalisation et le statut « Addict alimentaire
» ou non, selon la YFAS 2.0 étaient renseignés dans le dossier médical. Trois ans
après l'hospitalisation, le poids déclaré ainsi que le suivi médical et paramédical
réalisé ont été recueillis par un auto-questionnaire adressé aux patients par courrier
puis relance téléphonique. L'évolution pondérale a été comparée entre les 2 groupes
: Addicts Alimentaires (AA) et Non Addicts alimentaires (NA). Le suivi réalisé sur
la période a été évalué en référence à une prise en charge minimale attendue. Le statut
professionnel a été utilisé comme reflet du niveau socio-économique pour l'évaluation
du suivi réalisé. 60 patients ont été inclus dont 25 AA et 35 NA. La perte de poids
moyenne est de 16,5 27,3 kg dans le groupe AA contre 20,6 21,5 kg dans le groupe NA
sans différence significative (p 0,512). En l'absence de chirurgie bariatrique, il
existe une différence de poids significative (p 0,02) entre les deux groupes avec
une perte de poids moyenne de 6,4 11 kg chez les NA et une prise de poids moyenne
de 1,6 5,5 kg chez les AA. Une chirurgie bariatrique a été réalisée chez 40% (n 24)
de la population étudiée. En analyse multivariée, la chirurgie est le seul facteur
significativement associé à la perte de poids (r - 0,839 ; p 0,0001). La proportion
de patients opérés est plus importante dans le groupe NA. La perte de poids après
chirurgie n'est pas significativement différente entre les NA et AA (p 0,24). Au cours
des trois années suivant l'hospitalisation, aucun des patients inclus n'a bénéficié
d'une prise en charge minimale attendue. La prise en charge avec l'endocrinologue
a été réalisée de façon optimale chez 14% (n 6) des patients employés à temps plein,
mi-temps ou étudiants contre 41%(n 7) des patients sans emploi (p 0,035). Le reste
du suivi n'est pas significativement différent selon le statut professionnel. Cette
étude confirme que l'addiction alimentaire est un facteur péjoratif sur l'évolution
pondérale lors de la prise en charge médicale. Elle nécessite d'être diagnostiquée
et une prise en charge spécialisée. Dans cette étude, la chirurgie bariatrique est
le seul déterminant permettant une perte de poids significative avec une efficacité
similaire selon le score YFAS pré-chirurgical. Enfin, le suivi médical n'est pas réalisé
tel que recommandé et suppose l'existence de freins qu'il est nécessaire d'identifier
2020
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
obésité
personnes
addictions
toxicomanie
Comportement toxicomaniaque
Addiction
Addiction à la nourriture
Comportement toxicomaniaque
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N2-AUTOINDEXEE
Repenser la désinhibition alimentaire dans l’obésité, sous l’angle de l’hypothèse
de l’addiction à l’alimentation
http://www.theses.fr/2019LYSE1003
L’addiction à l’alimentation (AA) est un concept ancien, mais encore sujet de controverses
qui toucherait 18 à 24 % des obèses. Dans cette thèse, nous nous sommes intéressés
aux intrications entre régulations du comportement alimentaire, addiction et AA, afin
de mieux comprendre les mécanismes liés à la désinhibition de la prise alimentaire.
Notre travail a conduit à plusieurs résultats : 1) Une revue de la littérature a permis
de montrer l’existence d’interaction étroite entre les niveaux de régulation du comportement
alimentaire et comment AA pourrait en être un exemple de dérégulation. 2) Une étude
de cohorte a permis de démontrer l’existence de caractéristiques cliniques communes
entre addictions et AA et celle d’un probable transfert d’addiction de la nicotine
vers l’alimentation. 3) Sur le plan expérimental, nous avons montré qu’il existe des
perturbations des ondes P300 et N200, dans l’obésité et la désinhibition alimentaire,
proches de celles observées dans les addictions. 4) Enfin, nos résultats suggèrent
le rôle potentiel de la ghréline comme marqueur de risque de trouble du comportement
alimentaire. Ce travail ouvre des perspectives sur le plan expérimental, avec la suggestion
de groupes contrôles plus pertinents ; cliniques, avec la création d’un potentiel
test de dépistage rapide ; thérapeutiques, avec la mise en place d’un essai thérapeutique
par tDCS
2019
theses.fr
France
thèse ou mémoire
Alimentation
Obésité
Addiction
angulaire
altération de la nutrition: excès nutritionnel
obesite
Aliments
obésité
obésité
désinhibition
toxicomanie
addictions
alimentation
régime alimentaire
Obésité
Addiction à la nourriture
obésité
aliments
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