Libellé préféré : réponse immunitaire;

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N2-AUTOINDEXEE
Les médicaments qui bloquent l'interleukine-6 (une protéine impliquée dans la réaction excessive du système immunitaire de l'organisme) sont-ils des traitements efficaces pour la COVID-19 et provoquent-ils des effets indésirables?
https://www.cochrane.org/fr/CD013881/EMERG_les-medicaments-qui-bloquent-linterleukine-6-une-proteine-impliquee-dans-la-reaction-excessive-du
Principaux messages Nous sommes très confiants dans le fait que le tocilizumab (un médicament qui bloque l'interleukine-6 (IL-6)) réduit le nombre de personnes hospitalisées qui meurent de la COVID-19 dans les 28 jours suivant le traitement. Cependant, il entraîne probablement peu ou pas de différence en termes d'amélioration clinique (définie comme la sortie de l'hôpital ou l'amélioration des symptômes COVID-19). Le sarilumab entraîne probablement peu ou pas de différence en termes d'amélioration clinique. Nous avons trouvé peu d'études évaluant les autres médicaments bloquant l'IL-6. Nous sommes donc incertains de leurs effets. Un petit nombre d'études n'ont pas publié de résultats. Ces études ont porté sur un nombre relativement faible de personnes et leurs résultats ne modifieraient pas nos conclusions actuelles.
2023
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Cochrane
France
Royaume-Uni
COVID-19
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
Protéines
interleukine-6
Interleukine-6
protéines humaines
protéine
préparations pharmaceutiques
médicament
réponse immunitaire

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N2-AUTOINDEXEE
Mieux comprendre le rôle de certains globules blancs dans la réponse immunitaire au SARS-CoV‑2
https://presse.inserm.fr/mieux-comprendre-le-role-de-certains-globules-blancs-dans-la-reponse-immunitaire-au-sars-cov-2/44855/
Bien que la réponse immunitaire de diverses cellules de l’immunité à une infection par le SARS-CoV-2 ait été relativement bien étudiée, la réponse des basophiles, une catégorie de globules blancs, n’avait pas encore été caractérisée, du fait notamment de leur faible représentation dans l’organisme (environ 0,5% des globules blancs). Dans une nouvelle étude, des chercheurs et chercheuses de l’Inserm, de Sorbonne Université et d’Université de Paris, du CNRS, de l’Institut Pasteur et de l’Efrei, décrivent la manière dont les basophiles répondent à une infection par le SARS-CoV-2. Ils montrent que le fait d’être exposé au virus les activerait, entraînant la production de certaines cytokines et contribuant à réduire l’inflammation et à promouvoir la sécrétion d’anticorps. Les résultats de cette étude font l’objet d’une publication dans la revue Frontiers in Immunology le 24 février 2022.
2022
INSERM - Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale
France
COVID-19
information patient et grand public
coloration blanche
syndrome respiratoire aigu sévère
rôle
Blancs
leucocytes
réponse immunitaire

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N3-AUTOINDEXEE
Prédiction de la réponse aux inhibiteurs de points de contrôle immunitaire dans le traitement des tumeurs solides : une revue systématique de cinq biomarqueurs sanguins émergeants
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03559978
CONTEXTE : Les cancers restent la deuxième cause de mortalité, malgré des progrès diagnostiques et thérapeutiques majeurs ces dernières années. Les traitements d’immunothérapie par inhibiteurs de points de contrôle immunitaire (ICI, Immune Checkpoint Inhibitors) ont ainsi révolutionné le pronostic d’un certain nombre de tumeurs solides. Cependant, une proportion non négligeable de patients ne répondra pas à ce type de traitement, rendant indispensable l’identification de facteurs prédictifs de cette réponse afin d’adapter au mieux la thérapeutique choisie. Or à ce jour, aucun biomarqueur prédictif fiable et reproductible n’a été clairement mis en évidence. OBJECTIF : rédiger une revue de la littérature concernant cinq biomarqueurs intéressants du fait de leur rôle clé dans la réponse immunitaire antitumorale, et pouvant ainsi potentiellement prédire la réponse aux ICI. Ces cinq biomarqueurs sont le PDL1 soluble, la charge mutationnelle tumorale sanguine, la bêta 2 microglobuline, le système HLA et le génotypage KIR. La rédaction de cette revue avait pour objectif d’établir un rationnel bibliographique pertinent dans le but de développer secondairement un protocole de recherche clinique dans ce domaine. RÉSULTATS : les données récentes de la littérature sur ces cinq biomarqueurs concernent essentiellement leur impact pronostique et dans une moindre mesure leur capacité à prédire le bénéfice des traitements d’immunothérapie. Les biomarqueurs les plus étudiés sont le taux de PD-L1 soluble, la charge mutationnelle tumorale sanguine et le système HLA. Même si les résultats sont parfois discordants, il semblerait qu’une meilleure réponse aux ICI soit observée en cas de taux de PD-L1 soluble bas au diagnostic, de charge mutationnelle tumorale sanguine élevée au diagnostic, de typage HLA avec une hétérozygotie maximale en classe I, ainsi qu’en cas d’absence de perte d’hétérozygotie en classe I par les cellules tumorales. Les données concernant le génotypage KIR et la bêta-2-microglobuline sont moins étayées mais semblent tout de même présenter un lien avec la réponse à l’immunothérapie. CONCLUSION : les données de cette revue nous semblent pertinentes mais insuffisantes à ce jour pour une intégration de ces biomarqueurs en routine. Nous proposons donc de développer un protocole de recherche multicentrique visant à les évaluer de manière prospective et concomitante, afin de pouvoir établir un « score » composite sanguin, pronostique et prédictif de la réponse aux ICI, qui pourrait être facilement appliqué en clinique.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
tumeurs
Tumeurs
classification
Tumeurs
réponse immunitaire
Tumeurs
Tumeurs
Systématique
Tumeur solide
Tumeurs
Revue systématique
Tumeurs
Tumeurs
Tumeurs
marqueurs biologiques
Systématique
Systématique
Tumeurs
Tumeurs
Tumeurs
Tumeurs
Systématique

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N2-AUTOINDEXEE
AVIS de l'Anses relatif à l'évaluation des risques liés à la consommation de compléments alimentaires contenant des plantes pouvant interférer avec la réponse immunitaire et inflammatoire associée à l'infection par le SARS-Cov-2
https://www.anses.fr/fr/content/l%E2%80%99anses-met-en-garde-contre-la-consommation-de-compl%C3%A9ments-alimentaires-pouvant-perturber-la
Certaines plantes contenues dans les compléments alimentaires peuvent perturber les défenses naturelles de l’organisme en interférant notamment avec les mécanismes de défense inflammatoires utiles pour lutter contre les infections et, en particulier, contre le COVID-19. Les plantes visées par l’avis de l’Anses sont : le saule, la reine des prés, l’harpagophytum, le curcuma, les échinacées, le bouleau, le peuplier, la réglisse…
2020
ANSES
France
COVID-19
infections à coronavirus
pneumopathie virale
information patient et grand public
virus du SRAS
Infection
Risque relatif
Plante
maladie infectieuse
Contenants alimentaires
réponse immunitaire
consommation alimentaire
baies (géographie)
Plantes
plante
compléments alimentaires
infections
plantes comestibles
Appréciation des risques
Anses
Complément
risque
Emballage alimentaire
plantes
pandémies
COVID-19

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28/03/2024


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