Libellé préféré : réponse immunitaire;
Identifiant d'origine : F-C0010;
CUI UMLS : C0301872;
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- immunité [Concept du thésaurus Nutrition artificielle]
Correspondance SNOMED CT
Correspondances UMLS (même concept)
Type(s) sémantique(s)
N3-AUTOINDEXEE
Quels sont les bénéfices et les risques de l'azathioprine (un type de médicament qui
affecte la réponse immunitaire de l'organisme) pour les personnes atteintes de sclérose
en plaques ?
https://www.cochrane.org/fr/CD015005/CENTRALED_quels-sont-les-benefices-et-les-risques-de-lazathioprine-un-type-de-medicament-qui-affecte-la
Principaux messages - On ne sait pas si l'azathioprine (médicament qui affecte la
réponse immunitaire de l'organisme) apporte globalement plus de bénéfices que d'autres
médicaments pour la sclérose en plaques, comme l'interféron (protéines naturelles
fabriquées par l'organisme pour traiter l'infection). L'azathioprine pourrait réduire
le nombre de personnes souffrant de rechutes par rapport à l'interféron. - Les personnes
prenant de l'azathioprine pendant deux ans pourraient être plus susceptibles de présenter
des effets indésirables graves que les personnes prenant de l'interféron. - Les futures
études devraient durer plus de deux ans, prendre en compte les critères de jugement
pertinents pour les personnes atteintes de sclérose en plaques (qualité de vie, état
cognitif) et inclure davantage de personnes atteintes de sclérose en plaques progressive
(dont les symptômes s'aggravent progressivement).
2025
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
partie d'un organe
Organismes
azathioprine
maladie
AZATHIOPRINE
Médicaments
Risques et bénéfices
Organismes
maladie
médicament
affect
Personna +
sclérose en plaque
Appréciation des risques
Affect
préparations pharmaceutiques
réponse immunitaire
personnes
azathioprine
azathioprine
sclérose en plaques
sclérose en plaques
---
N2-AUTOINDEXEE
Les médicaments qui bloquent l'interleukine-6 (une protéine impliquée dans la réaction
excessive du système immunitaire de l'organisme) sont-ils des traitements efficaces
pour la COVID-19 et provoquent-ils des effets indésirables?
https://www.cochrane.org/fr/CD013881/EMERG_les-medicaments-qui-bloquent-linterleukine-6-une-proteine-impliquee-dans-la-reaction-excessive-du
Principaux messages Nous sommes très confiants dans le fait que le tocilizumab (un
médicament qui bloque l'interleukine-6 (IL-6)) réduit le nombre de personnes hospitalisées
qui meurent de la COVID-19 dans les 28 jours suivant le traitement. Cependant, il
entraîne probablement peu ou pas de différence en termes d'amélioration clinique (définie
comme la sortie de l'hôpital ou l'amélioration des symptômes COVID-19). Le sarilumab
entraîne probablement peu ou pas de différence en termes d'amélioration clinique.
Nous avons trouvé peu d'études évaluant les autres médicaments bloquant l'IL-6. Nous
sommes donc incertains de leurs effets. Un petit nombre d'études n'ont pas publié
de résultats. Ces études ont porté sur un nombre relativement faible de personnes
et leurs résultats ne modifieraient pas nos conclusions actuelles.
2023
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Cochrane
France
Royaume-Uni
COVID-19
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
Protéines
interleukine-6
Interleukine-6
protéines humaines
protéine
préparations pharmaceutiques
médicament
réponse immunitaire
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N2-AUTOINDEXEE
Mieux comprendre le rôle de certains globules blancs dans la réponse immunitaire au
SARS-CoV‑2
https://presse.inserm.fr/mieux-comprendre-le-role-de-certains-globules-blancs-dans-la-reponse-immunitaire-au-sars-cov-2/44855/
Bien que la réponse immunitaire de diverses cellules de l’immunité à une infection
par le SARS-CoV-2 ait été relativement bien étudiée, la réponse des basophiles, une
catégorie de globules blancs, n’avait pas encore été caractérisée, du fait notamment
de leur faible représentation dans l’organisme (environ 0,5% des globules blancs).
Dans une nouvelle étude, des chercheurs et chercheuses de l’Inserm, de Sorbonne Université
et d’Université de Paris, du CNRS, de l’Institut Pasteur et de l’Efrei, décrivent
la manière dont les basophiles répondent à une infection par le SARS-CoV-2. Ils montrent
que le fait d’être exposé au virus les activerait, entraînant la production de certaines
cytokines et contribuant à réduire l’inflammation et à promouvoir la sécrétion d’anticorps.
Les résultats de cette étude font l’objet d’une publication dans la revue Frontiers
in Immunology le 24 février 2022.
2022
INSERM - Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale
France
COVID-19
information patient et grand public
coloration blanche
syndrome respiratoire aigu sévère
rôle
Blancs
leucocytes
réponse immunitaire
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N3-AUTOINDEXEE
Prédiction de la réponse aux inhibiteurs de points de contrôle immunitaire dans le
traitement des tumeurs solides : une revue systématique de cinq biomarqueurs sanguins
émergeants
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03559978
CONTEXTE : Les cancers restent la deuxième cause de mortalité, malgré des progrès
diagnostiques et thérapeutiques majeurs ces dernières années. Les traitements d’immunothérapie
par inhibiteurs de points de contrôle immunitaire (ICI, Immune Checkpoint Inhibitors)
ont ainsi révolutionné le pronostic d’un certain nombre de tumeurs solides. Cependant,
une proportion non négligeable de patients ne répondra pas à ce type de traitement,
rendant indispensable l’identification de facteurs prédictifs de cette réponse afin
d’adapter au mieux la thérapeutique choisie. Or à ce jour, aucun biomarqueur prédictif
fiable et reproductible n’a été clairement mis en évidence. OBJECTIF : rédiger une
revue de la littérature concernant cinq biomarqueurs intéressants du fait de leur
rôle clé dans la réponse immunitaire antitumorale, et pouvant ainsi potentiellement
prédire la réponse aux ICI. Ces cinq biomarqueurs sont le PDL1 soluble, la charge
mutationnelle tumorale sanguine, la bêta 2 microglobuline, le système HLA et le génotypage
KIR. La rédaction de cette revue avait pour objectif d’établir un rationnel bibliographique
pertinent dans le but de développer secondairement un protocole de recherche clinique
dans ce domaine. RÉSULTATS : les données récentes de la littérature sur ces cinq biomarqueurs
concernent essentiellement leur impact pronostique et dans une moindre mesure leur
capacité à prédire le bénéfice des traitements d’immunothérapie. Les biomarqueurs
les plus étudiés sont le taux de PD-L1 soluble, la charge mutationnelle tumorale sanguine
et le système HLA. Même si les résultats sont parfois discordants, il semblerait qu’une
meilleure réponse aux ICI soit observée en cas de taux de PD-L1 soluble bas au diagnostic,
de charge mutationnelle tumorale sanguine élevée au diagnostic, de typage HLA avec
une hétérozygotie maximale en classe I, ainsi qu’en cas d’absence de perte d’hétérozygotie
en classe I par les cellules tumorales. Les données concernant le génotypage KIR et
la bêta-2-microglobuline sont moins étayées mais semblent tout de même présenter un
lien avec la réponse à l’immunothérapie. CONCLUSION : les données de cette revue nous
semblent pertinentes mais insuffisantes à ce jour pour une intégration de ces biomarqueurs
en routine. Nous proposons donc de développer un protocole de recherche multicentrique
visant à les évaluer de manière prospective et concomitante, afin de pouvoir établir
un « score » composite sanguin, pronostique et prédictif de la réponse aux ICI, qui
pourrait être facilement appliqué en clinique.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
tumeurs
Tumeurs
classification
Tumeurs
réponse immunitaire
Tumeurs
Tumeurs
Systématique
Tumeur solide
Tumeurs
Revue systématique
Tumeurs
Tumeurs
Tumeurs
marqueurs biologiques
Systématique
Systématique
Tumeurs
Tumeurs
Tumeurs
Tumeurs
Systématique
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N2-AUTOINDEXEE
AVIS de l'Anses relatif à l'évaluation des risques liés à la consommation de compléments
alimentaires contenant des plantes pouvant interférer avec la réponse immunitaire
et inflammatoire associée à l'infection par le SARS-Cov-2
https://www.anses.fr/fr/content/l%E2%80%99anses-met-en-garde-contre-la-consommation-de-compl%C3%A9ments-alimentaires-pouvant-perturber-la
Certaines plantes contenues dans les compléments alimentaires peuvent perturber les
défenses naturelles de l’organisme en interférant notamment avec les mécanismes de
défense inflammatoires utiles pour lutter contre les infections et, en particulier,
contre le COVID-19. Les plantes visées par l’avis de l’Anses sont : le saule, la reine
des prés, l’harpagophytum, le curcuma, les échinacées, le bouleau, le peuplier, la
réglisse…
2020
ANSES
France
COVID-19
infections à coronavirus
pneumopathie virale
information patient et grand public
virus du SRAS
Infection
Risque relatif
Plante
maladie infectieuse
Contenants alimentaires
réponse immunitaire
consommation alimentaire
baies (géographie)
Plantes
plante
compléments alimentaires
infections
plantes comestibles
Appréciation des risques
Anses
Complément
risque
Emballage alimentaire
plantes
pandémies
COVID-19
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