Libellé préféré : hémorragie sous-arachnoïdienne;
Identifiant d'origine : D3-89110;
CUI UMLS : C0038525;
- Alignement(s) exact CIM-10
- Alignements automatiques CISMeF supervisés
- Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
- Alignements automatiques supervisés en BTNT
- Correspondance SNOMED CT
- Correspondances UMLS (même concept)
- Métaterme(s)
- Référence SNOMED
- Type(s) sémantique(s)
N3-AUTOINDEXEE
Suspicion d'hémorragie sous arachnoïdienne non traumatique
https://neuro-dev.unilim.fr/spip.php?article1592
Les anévrismes artériels intracrâniens sont des lésions acquises qui se développent
en réponse à une dégénérescence de la lame élastique interne induite par un stress
hémodynamique6, avec un amincissement et une perte secondaire de la tunique moyenne.
La taille moyenne d’un anévrisme rompu est de 6-7 mm. L’hémorragie sous-arachnoïdienne
anévrismale est très fréquemment associée à un saignement intra-ventriculaire (50%)
mais aussi aux hématomes intra parenchymateux (30%). Le risque de saignement sous
dural aigu est très limité ( 5%).
2022
Campus numérique de Neurochirurgie
France
cours
hémorragie traumatique
traumatisme
Hémorragie
hémorragie sous-arachnoïdienne
hémorragie meningée traumatique
Hémorragie
Traumatisme
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N2-AUTOINDEXEE
Médicaments empêchant la dissolution des caillots sanguins (thérapie anti-fibrinolytique)
pour améliorer la récupération après une hémorragie sous-arachnoïdienne suite à une
rupture d'anévrisme
https://www.cochrane.org/fr/CD001245/STROKE_medicaments-empechant-la-dissolution-des-caillots-sanguins-therapie-anti-fibrinolytique-pour
Problématique de la revue Quels sont les effets du traitement anti-fibrinolytique
chez les personnes souffrant d'une hémorragie sous-arachnoïdienne anévrismale ? Contexte
Une hémorragie sous-arachnoïdienne est un saignement dans le petit espace entre le
cerveau et le crâne qui contient les vaisseaux sanguins qui alimentent le cerveau
(l'espace sous-arachnoïdien). Ce type d'hémorragie est le plus souvent causé par la
rupture d'un point faible (anévrisme) dans l'un des vaisseaux du cerveau. L'hémorragie
sous-arachnoïdienne est un type d'accident vasculaire cérébral relativement rare,
mais qui survient souvent à un jeune âge (la moitié des personnes concernées ont moins
de 50 ans) et qui a donc un impact socio-économique significatif. Les suites d’une
hémorragie sous-arachnoïdienne sont souvent médiocres ; un tiers des personnes décèdent
après l'hémorragie, et parmi celles qui survivent, un personne sur cinq aura besoin
d'aide pour les activités quotidiennes. Une cause importante de mauvais rétablissement
après une hémorragie sous-arachnoïdienne est le saignement répété (récurrent) de l'anévrisme
(re-saignement). On pense que cela est dû à l'activité naturelle de dissolution des
caillots sanguins (fibrinolytique). Les médicaments qui réduisent la vitesse de dissolution
du caillot sanguin, appelés anti-fibrinolytiques, ont été introduits comme traitement
pour réduire le risque d'hémorragie récurrente et améliorer la récupération après
une hémorragie sous-arachnoïdienne.
2022
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
anévrisme
traitement médicamenteux
rupture
antifibrinolytiques
médicament
caillot sanguin
Médicaments
Hémorragie
fibrinolyse
hémorragie meningée
Libération de médicament
thérapie
lacération
dû à
Rupture
Fibrinolytiques
Hémorragie
hémorragie sous-arachnoïdienne
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N3-AUTOINDEXEE
Hémorragie sous-arachnoïdienne
https://www.medg.fr/hemorragie-sous-arachnoidienne
2020
MedG - petite Encyclopédie Médicale pour professionnels de santé
France
matériel enseignement
information scientifique et technique
Hémorragie
Hémorragie
hémorragie sous-arachnoïdienne
hémorragie meningée
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N3-AUTOINDEXEE
Analyse d'un algorithme décisionnel de prise en charge des hémorragies sous arachnoidiennes
aux urgences
http://www.sudoc.fr/249469375
Introduction : les céphalées aigues sont des motifs fréquents de consultation aux
urgences. Parmi elles, l’hémorragie sous arachnoïdienne (HSA) est rare mais grave.
Une méta-analyse récente a établi un algorithme décisionnel de prise en charge d’une
céphalée aiguë non traumatique basée sur la règle d’Ottawa et sur les performances
diagnostiques des examens complémentaires. Son but est de rationaliser les investigations,
tout en évitant de passer à côté du diagnostic d’HSA avec un risque résiduel faible.
L’objectif de notre étude est de déterminer la sécurité de cet algorithme à diagnostiquer
une HSA si celui-ci avait été appliqué. Méthodes et matériels : il s’agit d’une étude
quantitative, rétrospective, multicentrique, réalisée aux urgences d’Angers, de Laval
et du Mans sur une période de deux ans et demi. Après une première sélection de 3741
patients présentant des céphalées aigue, 450 patients présentant des céphalées suspectes
d’HSA ont été inclus. Ils étaient répartis en 4 bras d’analyse en fonction de la règle
d’Ottawa et de la durée d’évolution des céphalées. Le critère de jugement principal
était la valeur prédictive négative de l’algorithme visant à diagnostiquer une HSA.
Les performances de la règle d’Ottawa ainsi qu’une estimation économique des examens
évitables ont été calculés. Résultats : parmi les 450 patients inclus, 21 HSA ont
été identifiées (4,7%). La VPN de l'algorithme est de 99.8% (IC à 95% [98.5-100])
avec seulement une HSA diagnostiquée avec une angioTDM et non seulement par TDM native.
Les performances statistiques de la règle d'Ottawa sont excellentes avec une Se et
VPN de 100%. Notre analyse économique a permis d'estimer un coût total d'environ 12
540 d'examens évitables grâce à l'algorithme (dont 94 TDM natives, 410 AngioTDM,
71 ponctions lombaires). Conclusion : grâce à l’application de cet algorithme ainsi
que les pratiques actuelles des radiologues presque aucun diagnostic d'HSA n'aurait
été manqué s'il avait été appliqué. En plus de sécuriser la prise en charge des patients,
nous avons pu montrer un impact économique important. Dans un contexte de tension
dans les services d’urgence, la désescalade dans les investigations est un levier
majeur d’amélioration.
2020
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
hémorragie sous-arachnoïdienne
hémorragie meningée
algorithmes
techniques d'aide à la décision
Analyse décisionnelle
Hémorragie
gestion des soins aux patients
urgences
Hémorragie
hémorragie
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N3-AUTOINDEXEE
Revue de la littérature : intérêts des marqueurs biologiques dans le pronostic des
hémorragies sous-arachnoïdiennes non traumatiques
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03130017
L’hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA), appelée plus communément hémorragie méningée
est une pathologie grave avec une mortalité importante (45% à 30 jours). Cette pathologie
est associée à de nombreuses complications telles que des accidents ischémiques cérébraux
ou des troubles cognitifs qui peuvent émailler son évolution et entraîner de lourdes
séquelles neurologiques affectant la qualité de vie des patients. C’est pourquoi,
la prise en charge optimale de l’hémorragie sous-arachnoïdienne représente un véritable
enjeu de santé publique. Pour répondre à cet enjeu, il est nécessaire d’utiliser des
facteurs pronostiques d’évolution et de mortalité, tout en optimisant les stratégies
thérapeutiques afin d’améliorer la survie des patients. En pratique, des scores basés
sur l’évaluation clinique sont actuellement recommandés pour évaluer l’état de gravité
des patients. Cependant une mesure précoce et combinée de marqueurs biologiques pourrait
permettre une estimation plus précise de la gravité de la maladie, ainsi qu’une identification
rapide des patients à haut risque de complications (vasospasme, ischémie cérébrale…)
avant toute détérioration neurologique. Après analyse de la littérature scientifique,
les marqueurs biologiques les plus prometteurs dans le cadre de l’HSA semblent être
la protéine S100B, la CRP, les marqueurs d'adhésion, les marqueurs cardiaques (cTnI)
et la copeptine. En effet, il existe pour chacun de ces marqueurs des corrélations
avec l’évolution défavorables des patients. Cependant, d’autres études restent nécessaires
pour confirmer la pertinence de ces biomarqueurs sur de plus grande cohorte avant
la mise en application dans un laboratoire de routine.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
pronostic
traumatisme
hémorragie meningée traumatique
Littérature
Biologie
Traumatisme
hémorragie traumatique
marqueurs biologiques
hémorragie sous-arachnoïdienne
Hémorragie
pronostic
Hémorragie
biologie
littérature de revue comme sujet
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N1-SUPERVISEE
Intérêt du monitoring EEG continu dans la prise en charge de l’hémorragie sous-arachnoïdienne
http://www.revmed.ch/RMS/2014/RMS-N-454/Interet-du-monitoring-EEG-continu-dans-la-prise-en-charge-de-l-hemorragie-sous-arachnoidienne
L’hémorragie sous-arachnoïdienne (HSA) est associée à une haute morbidité et mortalité,
malgré l’amélioration de la prise en charge médicale et chirurgicale. Les crises d’épilepsie
ainsi que l’ischémie retardée (DCI) secondaire au vasospasme ou à la dépolarisation
corticale sont fréquentes suite à une HSA. Le monitoring EEG permet de détecter précocement
aussi bien les crises d’épilepsie infracliniques que l’ischémie retardée et constitue
un outil prometteur dans la prise en charge des patients avec HSA. Son utilisation
est encore limitée en raison de l’importance des ressources nécessaires à son enregistrement
et interprétation en continu. A ce jour, aucune étude ne permet de dire si une prise
en charge agressive des crises non convulsives ou un traitement précoce de l’ischémie
secondaire guidé par l’EEG modifie le pronostic des patients avec HSA.
2014
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true
false
RMS - Revue Médicale Suisse
France
français
article de périodique
hémorragie sous-arachnoïdienne
électroencéphalographie
hémorragie meningée
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