Libellé préféré : hypofonctionnement corticosurrénalien;
Synonyme CISMeF : insuffisance corticosurrénale;
Synonyme SNOMED : hypocorticisme; insuffisance surrénale; insuffisance corticosurrénalienne; hypo-adrénocorticisme;
Identifiant d'origine : DB-70600;
CUI UMLS : C0405580;
Alignement(s) exact CIM-10
Alignements automatiques CISMeF supervisés
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Alignements automatiques supervisés en NTBT
Correspondances UMLS (même concept)
Médicament(s) indiqué(s)
Métaterme(s)
Spécialité(s) pharmaceutique(s) indiquée(s)
Type(s) sémantique(s)
N3-AUTOINDEXEE
Insuffisance surrénale
https://www.pedia-univ.fr/deuxieme-cycle/referentiel/endocrinologie-metabolisme/insuffisance-surrenale
L’insuffisance surrénale est une pathologie rare de l’enfant, liée à une carence aiguë
ou chronique en glucocorticoïdes minéralocorticoïdes. L’insuffisance surrénale primaire
correspond à une atteinte primitive de la glande surrénale ; l’insuffisance corticotrope
(ou insuffisance surrénale secondaire) correspond aux déficits hypophysaire en ACTH
ou hypothalamique en CRH. Ce chapitre aborde plus précisément les spécificités pédiatriques.
Chez le nouveau-né et le petit enfant, les insuffisances surrénales sont le plus souvent
primaires et d’origine génétique. Chez le grand enfant, la cause la plus fréquente
est l’insuffisance corticotrope acquise après le sevrage brutal d’une corticothérapie
prolongée. L’insuffisance surrénale aiguë est une urgence thérapeutique à connaître.
Ce diagnostic doit toujours être évoqué devant une hypoglycémie et une hyponatrémie
de dilution té-moignant du déficit en cortisol ; une déshydratation aiguë avec hyponatrémie
de déplétion et natriurèse inappropriée et hyperkaliémie seront présentes en cas d’insuffisance
surrénale aiguë primaire.
2024
CNPU
France
cours
insuffisance surrénale
insuffisance surrénale
hypofonctionnement corticosurrénalien
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N3-AUTOINDEXEE
ETP Insuffisance hypophysaire et surrénale de l'enfant et de l'adolescent
https://www.chu-lyon.fr/etp-insuffisance-hypophysaire-et-surrenale-enfant-adolescent
Le programme ETP Insuffisance hypophysaire et surrénale de l'enfant et de l'adolescent
est destiné aux patients de moins de 18 ans présentant une insuffisance hypophysaire
isolée, une insuffisance hypophysaire multiple ou une insuffisance surrénalienne.
2024
HCL - Hospices Civils de Lyon
France
information patient et grand public
hypopituitarisme
éducation du patient comme sujet
adolescent
insuffisance surrénale
enfant
adolescence
hypofonctionnement corticosurrénalien
hypopituitarisme
enfant
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N2-AUTOINDEXEE
Endocrinologie - Insuffisance surrénale chez l'adulte et l'enfant
UE 08 - Item 243
https://sides.uness.fr/corpus/Endocrinologie:Insuffisance_surr%C3%A9nale_chez_l%27adulte_et_l%27enfant
Objectif(s) Diagnostiquer une insuffisance surrénale aiguë et une insuffisance surrénale
chronique. Identifier les situations d'urgence et planifier leur prise en charge.
2021
UNESS - Université Numérique en Santé et Sport
France
cours
Endocrinologie
Enfant
hypofonctionnement corticosurrénalien
enfant
insuffisance surrénale
Enfant
Enfant
Enfant
Enfant
adulte
enfants majeurs
Adulte
endocrinologie
Adulte
Adulte
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N3-AUTOINDEXEE
Insuffisance surrénale aiguë
https://www.medg.fr/insuffisance-surrenale-aigue
2019
MedG - petite Encyclopédie Médicale pour professionnels de santé
France
matériel enseignement
information scientifique et technique
hypofonctionnement corticosurrénalien
insuffisance surrénale
insuffisance aiguë
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N3-AUTOINDEXEE
Insuffisance surrénale chronique
https://www.medg.fr/insuffisance-surrenale-chronique
2019
MedG - petite Encyclopédie Médicale pour professionnels de santé
France
matériel enseignement
information scientifique et technique
insuffisance surrénale
hypofonctionnement corticosurrénalien
insuffisance chronique
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N2-AUTOINDEXEE
Modalités et rythme de surveillance au long cours chez le patient avec insuffisance
surrénale. éducation thérapeutique du patient
http://www.sfendocrino.org/_images/mediatheque/articles/pdf/recommandations/Insuffisances%20surrenales/groupe6_suivietp_is.pdf
Les patients insuffisants surrénaliens doivent bénéficier d’un suivi spécialisé régulier,
afin d’optimiser le traitement substitutif, en recherchant des signes de sous dosage
et de surdosage, et pour rechercher d’éventuelles maladies associées (maladies auto-immunes
en cas d’insuffisance surrénale primaire auto-immune isolée ou s’intégrant dans une
polyendocrinopathie auto-immune de type 1 ; maladies associées dans certaines causes
monogéniques). La période de transition de l’adolescence à l’âge adulte comporte un
risque de rupture de suivi qui mérite une attention particulière du corps médical
et une coordination des équipes médicales pédiatrique et adulte. Il paraît essentiel
de favoriser l’autonomie des patients dans la gestion de leur maladie, notamment en
leur proposant de participer à des programmes d’éducation thérapeutique, en particulier
des programmes visant à éviter ou traiter précocement l’insuffisance surrénale aiguë.
Les principaux objectifs éducatifs sont les suivants : 1) Avoir sur soi les outils
de sécurité ; 2) Savoir identifier les situations à risque et les symptômes d’insuffisance
surrénale aiguë débutante 3) Savoir adapter le traitement oral par glucocorticoïde
; 4) Savoir administrer l’hydrocortisone par voie sous-cutané ; 5) Savoir par anticipation
adapter le traitement aux situations particulières (chaleur, exercice physique, voyages,
…) ; 6) Utiliser de façon pertinente les ressources du système de soins. D’autres
programmes pourraient être développés pour répondre aux besoins et attentes des patients,
notamment concernant l’ajustement de la dose d’hydrocortisone, afin d'éviter le surdosage
dans un contexte de fatigue chronique non spécifique.
2018
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SFE - Société Française d’Endocrinologie
France
français
recommandation professionnelle
Patients
hypofonctionnement corticosurrénalien
a comme patient
Thérapeutique
Conférence
insuffisance surrénale
long
Éducation
éducation du patient comme sujet
patients
thérapeutique
Conférence
éducation
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N2-AUTOINDEXEE
Traitement substitutif de l'insuffisance surrénale
http://www.sfendocrino.org/_images/mediatheque/articles/pdf/recommandations/Insuffisances%20surrenales/groupe4_traitement_is.pdf
L’objectif de cette section du consensus est de résumer les principales données concernant
les traitements substitutifs de l’insuffisance surrénale chez l’adulte et l’enfant.
La plupart de ces recommandations sont d’un niveau de preuve faible ou basées sur
des avis d’experts. Concernant la substitution glucocorticoïde, elle est basée quasi
exclusivement en France sur la prise d’hydrocortisone idéalement a la dose la plus
faible possible, repartie en 2 a 3 prises par jour, adaptée sur les signes cliniques
de surdosage ou sous-dosage : l’utilisation de marqueurs biologiques n’est pas recommandée
en pratique courante chez l’adulte. Concernant la substitution mineralocorticoide,
elle est basée sur la prise de fludrocortisone a une dose moyenne de 100 μg/jour chez
l’adulte, 50-100 μg/j chez l’enfant, et d’une prise libérale de sodium alimentaire
(supplémentation sodée systématique jusqu‘à l’âge de 1 à 2 ans). La substitution minéral
corticoïde ne se justifie qu’en cas d’insuffisance surrénale primaire, elle n’a pas
2 sa place dans la prise en charge du déficit corticotrope. L’adaptation se fait sur
les signes cliniques de sous-dosage et surdosage et sur la valeur de rénine. Enfin,
la substitution androgénique par DHEA peut être envisagée chez les patientes adultes
présentant une altération de la qualité de vie malgré une substitution glucocorticoïde
et mineralocorticoide optimale, sous surveillance du dosage de DHEA et des bénéfices
éventuels du traitement.
2018
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SFE - Société Française d’Endocrinologie
France
français
recommandation professionnelle
hypofonctionnement corticosurrénalien
thérapeutique
insuffisance surrénale
Traités
coopération internationale
---
N2-AUTOINDEXEE
Quelle stratégie faut-il adopter pour identifier la cause d'une insuffisance surrénale
lente : algorithmes diagnostiques
http://www.sfendocrino.org/_images/mediatheque/articles/pdf/recommandations/Insuffisances%20surrenales/groupe3_algorithme_diag_is.pdf
- L’insuffisance surrénale primaire de l’adulte s’avère dans la grande majorité des
cas d’origine auto-immune. De ce fait, il est recommandé en première intention de
doser les anticorps anti-21-hydroxylase. Si l’origine auto-immune est affirmée, en
cas de signes cliniques évocateurs, il est recommandé de rechercher une polyendocrinopathie
auto-immune de type 1 (syndrome APECED). Un scanner surrénalien sera réalisé en cas
de négativité de ces anticorps, ou d’emblée si des arguments cliniques orientent vers
une autre étiologie plus rare, mais nécessitant une prise en charge spécifique rapide
(tuberculose, autres infections, tumeurs, hémorragies,…). - Le dosage des acides gras
à très longue chaîne est recommandé chez le sujet de sexe masculin, notamment chez
le jeune, en cas de négativité de ces deux premiers examens. - Chez l’adulte et l’enfant,
devant une insuffisance corticotrope isolée, il est recommandé d’éliminer en premier
lieu une origine iatrogène (postcorticothérapie, ou après traitement d’un syndrome
de Cushing). Dans tous les autres cas, l’exploration des autres axes hypophysaires
et la réalisation d’une IRM hypothalamo-hypophysaire s’imposent. - Chez l’enfant en
période néonatale, l’insuffisance surrénale primaire ou corticotrope est le plus souvent
d’origine génétique, l’hyperplasie congénitale des surrénales étant la principale
étiologie. Chez l’enfant plus grand, il faut rechercher une origine auto-immune. En
cas de négativité des anticorps, on recherchera les autres causes génétiques en fonction
des signes associés et chez le garçon une adrénoleucodystrophie. En cas d’insuffisance
corticotrope congénitale, il faut rechercher d’autres atteintes hypophysaires, afin
d’orienter l’analyse en biologie moléculaire des gènes impliqués dans le développement
de l’hypophyse.
2018
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SFE - Société Française d’Endocrinologie
France
français
recommandation professionnelle
maladie d'Addison
Insuffisance surrénale
diagnostic
lente
adoption
adoption
identifié
algorithmes
Relation de cause à effet
hypofonctionnement corticosurrénalien
insuffisance surrénale
causalité
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N2-AUTOINDEXEE
Comment dépister et confirmer le diagnostic d’Insuffisance Surrénale ?
http://www.sfendocrino.org/_images/mediatheque/articles/pdf/recommandations/Insuffisances%20surrenales/groupe2_diagnostic_is.pdf
Le diagnostic d’insuffisance surrénale doit être évoqué devant des symptômes non spécifiques
(fatigue, anorexie, amaigrissement, hypotension, hyponatrémie, hyperkaliémie dans
les causes surrénaliennes…). Il faut la rechercher devant une maladie hypophysaire.
Il faut y penser aussi devant un état de choc. Le traitement doit être débuté sans
attendre la confirmation biologique qui repose sur le dosage du cortisol à 8 heures
(que l’on attend abaissé) et de l’ACTH (que l’on attend élevée dans les causes surrénaliennes).
Ces dosages sont complétés dans les situations limites par un test au Synacthène.
Des seuils sont donnés à titre indicatif. Devant un cortisol abaissé, l’ACTH normale
ou basse indique l’origine hypophysaire du déficit. Dans cette situation, le test
au Synacthène peut être faussement normal et si la suspicion est forte, il faut réaliser
une hypoglycémie insulinique ou un test à la Metopirone. Chez le jeune enfant, l’hypoglycémie,
la deshydratation, les convulsions sont fréquentes, une virilisation est évocatrice
chez la fille. Le ryhme circadien du cortisol ne prend place qu’après l’âge de 4 mois.
Le test au Synacthène est le seul réalisable. Chez l’enfant après 2 ans, les signes
d’appel et les méthodes diagnostiques sont les mêmes que chez l’adulte. Le sevrage
d’une corticothérapie est une circonstance fréquente pour laquelle les données de
la littérature manquent. 2 Apres arrêt d’une corticothérapie courte, seule l’éducation
du patient est nécessaire. Pour les traitements longs, le consensus laisse le choix
au prescripteur entre éducation du patient et prescription d’hydrocortisone en cas
de stress ou prescription d’une petite dose d’hydrocortisone quotidienne et évaluation
itérative de l’axe corticotrope jusqu’à récupération de l’axe.
2018
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SFE - Société Française d’Endocrinologie
France
français
recommandation professionnelle
diagnostic
diagnostic confirmé
insuffisance surrénale
hypofonctionnement corticosurrénalien
---
N2-AUTOINDEXEE
Prévalence et incidence de l’insuffisance surrénale primaire, secondaire et postcorticothérapie.Conséquences
: Insuffisance surrénale aigue, morbi-mortalité
http://www.sfendocrino.org/_images/mediatheque/articles/pdf/recommandations/Insuffisances%20surrenales/groupe1_epidemiologie_is.pdf
La prévalence de l’insuffisance surrénale primaire est estimée entre 82-144/million,
avec une nette prédominance de l’insuffisance surrénale auto-immune chez l’adulte
et des causes génétiques, en particulier déficit enzymatique surrénalien, chez l’enfant.
La prévalence de l’insuffisance surrénale secondaire est estimée entre 150-280/million.
Le déficit post-corticothérapie en serait la première cause, même si l’incidence de
déficit cliniquement significatif au sevrage du traitement par corticoïde est très
diversement appréciée. Les données sur la mortalité de l’insuffisance surrénale sont
contradictoires, certaines études notamment suédoises, suggérant une surmortalité
d’un facteur 2 par rapport à la population générale. Ce qui semble cependant concordant
est l’existence d’une surmortalité chez les sujets jeunes liée aux infections et/ou
dans un contexte d’insuffisance surrénalienne aigüe. L’insuffisance surrénale aiguë
est une situation touchant aussi bien les patients en insuffisance surrénale primaire
que secondaire. L’incidence de l’insuffisance surrénale aigue, évaluée le plus souvent
sur la base d’études rétrospectives européennes, est entre 6 et 8 épisodes pour 100
patients-année. Une étude prospective rapporte 0,5 décès pour 100 patients-années
dans un contexte d’insuffisance surrénale aiguë. La morbidité à long terme liée à
l’insuffisance surrénale varie suivant les études. Elle est cependant difficile à
dissocier dans les études rétrospectives disponibles d’une substitution glucocorticoïde
supra-physiologique qui augmenterait le risque vasculaire ou la déminéralisation osseuse
parfois rapportées. Plusieurs études concordent pour démontrer une altération de la
qualité de vie, aussi bien dans les dimensions physiques que mentales, dans l’insuffisance
surrénale primaire comme secondaire.
2018
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SFE - Société Française d’Endocrinologie
France
français
recommandation professionnelle
mortalité
insuffisance aiguë
hypofonctionnement corticosurrénalien
Maladie aigüe
incidence
Insuffisance surrénale
secondaire
maladie d'Addison
principal
prévalence
insuffisance surrénale
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N2-AUTOINDEXEE
Insuffisance surrénale aiguë de l'adulte et de l'enfant
http://www.sfendocrino.org/_images/mediatheque/articles/pdf/recommandations/Insuffisances%20surrenales/groupe5_insuf_sur_aigue.pdf
L’insuffisance surrénale aigue est une affection grave dont la fréquence est estimée
entre 6 et 8,3 épisodes/100 patients/an. Les infections en particulier gastro-intestinales
sont les facteurs déclenchants les plus fréquemment rapportes chez l’adulte et chez
l’enfant mais les étiologies sont multiples. Le diagnostic est clinique, supporte
par les examens biologiques standards lorsque l’insuffisance surrénale est connue..
Le diagnostic peut être difficile si le déficit est partiel ou en cas d’insuffisance
surrénale aigue inaugurale. Devant toute suspicion d’insuffisance surrénale aigue,
un prélèvement pour dosage du cortisol et ACTH doit alors être réalisé immédiatement
et le traitement initie sans attendre les résultats. Il comprend l’apport parentéral
d’hemisuccinate d’hydrocortisone : chez l’adulte 100 mg IM ou IV puis perfusion IV
continue 100 mg/24h (à défaut bolus IV ou IM toutes les 6 heures) ; chez l’enfant
: 2 mg/kg/6 à 8 h en IM ou SC, ou /6 h en IVD selon l’état clinique, la correction
de l’hypovolémie, de l’hypoglycémie en particulier chez l’enfant (G5% ou G10%) et
des pertes hydro électrolytiques et le traitement de la cause de la décompensation.
L’évolution favorable après l’administration d’hydrocortisone est le meilleur critère
diagnostique. Le traitement par hydrocortisone est ensuite repris par voie orale en
triplant la dose habituelle (au minimum 60 mg/24 h) repartie en 3 prises au cours
de la journée avec diminution progressive en quelques jours jusqu’aux doses habituelles.
Chez les patients adultes avec insuffisance surrénale primaire, le traitement par
fludrocortisone est repris lorsque les doses d’hydrocortisone sont inferieures à 50
mg/jour. Chez l’enfant, la fludrocortisone pourra être réintroduite dès la reprise
de l’hydrocortisone per os. La prévention de la décompensation surrénale aigue repose
également sur l’éducation des patients et/ou parents en pédiatrie et de leur médecin
: régime normo sodé, augmentation des doses per os en cas de maladie intercurrente,
stress, activité intense, usage de l’hemisuccinate d’hydrocortisone injectable par
l’entourage ou le patient lui-même en cas d’urgence, port de la carte d’insuffisant
surrénalien.
2018
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SFE - Société Française d’Endocrinologie
France
français
recommandation professionnelle
Maladie aigüe
hypofonctionnement corticosurrénalien
insuffisance aiguë
enfant
syndrome de Propping-Zerres
adulte
adulte
insuffisance surrénale
enfant
anodontie
région mammaire
dysplasie ectodermique
obstruction du canal lacrymal
ongles malformés
troubles de la pigmentation
anomalies morphologiques congénitales des membres
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N3-AUTOINDEXEE
Insuffisances surrénales
http://archives.uness.fr/sites/umvf/media/ressWikinu/p2d1/chabre_olivier_2a_p07/index.htm
Insuffisances surrénales périphériques: physiopathologie: Insuffisances surrénales
centrales: physiopathologie; Insuffisances surrénales: séméiologie 1; Insuffisances
surrénales: séméiologie 2; Insuffisances surrénales: formes cliniques
2011
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1er cycle / licence
Université Grenoble Alpes
France
français
cours
Maladies des glandes surrénales
surnutrition
glandes endocrines
malnutrition
clinique
hypofonctionnement corticosurrénalien
nutrition
insuffisance surrénale
---