Libellé préféré : Humour;

Synonyme CISMeF : Oeuvre humoristique; Oeuvres humoristiques;

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N3-AUTOINDEXEE
Humour et TDAH chez les adolescents : impact cognitif de l'humour
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04087774
L’humour représente un héritage du plaisir social dans l’évolution neurobiologique de l’Homme, jouant un rôle central dans le développement des fonctions cérébrales socio-affectives. Le trouble déficit de l’attention/hyperactivité (TDAH) est de plus en plus souvent associé à des déficits socio-émotionnels, pourtant les études sur le traitement de l’humour dans ce trouble sont pratiquement inexistantes. Dans cette étude, nous avons étudié la compréhension et l’appréciation de l’humour chez des adolescents et jeunes adultes avec et sans TDAH. Pour ce faire, nous avons proposé une tâche de rappel d’images neutres ou humoristiques à deux groupes. L’un était constitué de 37 participants masculins âgés de 10 à 19 ans avec un TDAH, l’autre de 23 participants masculins âgés de 11 à 18 ans au développement typique. Les résultats ont révélé que de manière explicite, les participants avec un TDAH comprennent et apprécient le contenu humoristique de la même manière que les participants au développement typique. En revanche, de manière implicite, le groupe TDAH s’est montré moins sensible à l’humour contenu dans les images, ce qui souligne une altération dans la capacité à distinguer des stimuli apparentés à des récompenses. Cette dissociation renforce la nécessité d’une approche intégrative afin de mieux comprendre l’étiologie du TDAH.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
cognition
Adolescent
Humour
cognition
adolescent
Trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité
Adolescent
adolescence

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N2-AUTOINDEXEE
Interventions basées sur l'humour chez les personnes atteintes de schizophrénie
https://www.cochrane.org/fr/CD013367/SCHIZ_interventions-basees-sur-lhumour-chez-les-personnes-atteintes-de-schizophrenie
Problématique de la revue Les interventions basées sur l'humour sont-elles efficaces dans le traitement des personnes atteintes de schizophrénie ? Contexte La schizophrénie est une maladie mentale grave. Il s'agit d'un trouble de la pensée, à savoir des croyances fausses et fixes malgré les preuves du contraire, la perte des liens avec la réalité et l'altération de la perception. Ces symptômes sont ensuite classés en (i) symptômes positifs, tels que des paroles sans ordre, des illusions ou des idées erronées et persistantes ; et (ii) symptômes négatifs, un manque d'émotion ou une quantité restreinte de paroles ; et un déclin des fonctions cognitives, y compris l'attention, la mémoire et le contrôle du comportement. Le traitement standard de la schizophrénie est la prise de médicaments antipsychotiques. Le traitement par des interventions basées sur l'humour, comme le visionnage de films humoristiques, de vidéos drôles ou de comédies, a été proposé comme un traitement complémentaire qui favorise la santé et le bien-être en stimulant la découverte, l'expression ou l'appréciation ludique de l'irrationalité ou de l'incohérence des situations de la vie.
2021
Cochrane
Royaume-Uni
revue de la littérature
résumé ou synthèse en français
schizophrénie
schizophrénie
schizophrenie
maladie
personnes
Humour
Schizophrénie
Personna +
Schizophrénie
Esprit et humour
schizophrénie
Schizophrénie

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N3-AUTOINDEXEE
L’humour et ses multiples facettes
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03103623
Auprès du grand public, les USP sont perçus comme des secteurs d’activités dans lesquels les soignants ne servent qu’à tenir la main des mourants et ne peuvent regarder le monde que de manière négative. br Rajoutons à cela les nombreux récits imaginaires, de fausses représentations comme la croyance que les USP accélèrent la mort ou encore que l’administration de la morphine annonce la fin de vie. br Ces circonstances font que certaines personnes de notre société ont du mal à concevoir que l’humour puisse avoir sa place dans les unités de soins palliatifs. Essayer de concilier l’humour et unité de soins palliatifs peut sembler étrange. br Ces deux mots nous renvoient dans des domaines si différents. L’un est le symbole du rire de la joie et de la bonne humeur et l’autre un lieu accueillant des personnes porteuses d’une maladie grave, incurable et inéluctable associé à la tristesse, la colère, la peur de l’inconnu voire de la mort. br Comme la stipule Danielle Beck et Michelle Fontana «Pour le grand public, travailler en soins palliatifs c’est sérieux… Et pourtant ! Quand on travaille dans une unité de soins palliatifs, on s’occupe de la vie avant de s’occuper de la mort ! Et dans la vie il y a de l’humour, alors on peut s’en servir dans un service de soins palliatifs».
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Humour
Esprit et humour

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N3-AUTOINDEXEE
Quelle place pour l'humour dans la consultation de médecine générale: une étude qualitative menée auprès de 12 médecins généralistes
http://www.sudoc.fr/241432472
Pour répondre aux compétences actuelles du médecin généraliste, il ne suffit pas d’être efficient dans le champ biomédical, il faut aussi être un communicant qui maîtrise la relation entre individus. L'humour peut représenter un atout pour faire face aux difficultés liées à la pratique. Les médecins s'autorisent-ils à l'utiliser avec leurs patients ? Dans quelles conditions et dans quel(s) but(s) ? Quel est l'impact de l'humour sur la relation médecin-patient et sur la prise en charge des patients ? L’objectif principal de ce travail a été d’explorer, à travers l’expérience de médecins généralistes, l’utilisation de l’humour dans la relation médecin-patient lors de la consultation. Étude qualitative par entretiens semi-dirigés auprès de 12 médecins généralistes. L'humour en consultation semblait être un phénomène peu conscientisé. Les médecins ont estimé que l’humour était une affaire personnelle et qu'il occupait, à leur image, une place variable en consultation. Ils ont d’abord considéré qu'ils avaient recours à l'humour de manière spontanée, sans objectif conscient. Cependant ils ont précisé qu’il devait régner en consultation un climat propice à son utilisation. Différents facteurs dépendants du médecin (expérience, humeur), de la relation médecin-patient (patient connu ou non), de la situation et du profil du patient rendaient possible l'humour. Au-delà de ces conditions, les médecins ont souligné que l’empathie et la bienveillance étaient des pré-requis pour utiliser ce registre. L’humour était perçu comme un outil bénéfique sur les couples patient-médecin (renforcement et création de liens symétriques propices à l'échange) et patient-maladie (dédramatisation, prise de distance, moyen de protection ou bien facteur de résilience). D’autres, étaient plus nuancés, estimant que l'humour était inadapté à la situation de soin. Quelques-uns ont mis en garde sur les risques de l’humour (décrédibilisation du discours médical, perte de la juste distance, source de problèmes de communication ou d'interprétation) pouvant nuire à la relation thérapeutique ou compromettre l'objectivité des médecins. Les avis divergeaient quant à qui devait être à l'initiative de l'humour. Selon les médecins, l’humour pouvait être utilisé par le patient de différentes manières. Certaines étaient qualifiées d'adaptées, témoignant d'une prise de recul du patient vis-à-vis de sa maladie ou de la situation. D’autres, au contraire, portaient la marque du déni ou de l'évitement. Le médecin, selon la situation, devait être en mesure de décoder ses différents mécanismes afin d'optimiser la prise en charge des patients
2019
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
Médecine
Humour
Esprit et humour
médecins généralistes
Aboulie
consultants
recherche qualitative
rôle médical
Médecins

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N3-AUTOINDEXEE
« Et vous trouvez ça drôle ? » La perméabilité à l'humour du patient atteint de la maladie d'Alzheimer au stade modéré à modérément sévère
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01497078
La maladie d’Alzheimer, ainsi que l’humour, ont, séparément, fait l’objet de nombreux travaux. Toutefois, peu de recherches existent quant à la croisée de ces deux domaines. Pour cette raison et dans un souci de réhabilitation des sujets atteints de la maladie d’Alzheimer, nous avons voulu évaluer la perméabilité à l’humour de ces patients au stade modéré à modérément sévère via l’élaboration d’un protocole, d’un atelier sur l’humour et d’un questionnaire à destination des soignants de l’accueil de jour de France Alzheimer 06
2015
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France
français
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Humour
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Ça
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perméabilité
modéré
ouvert
modération
atteint

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N3-AUTOINDEXEE
Résilience et humour chez des étudiants déficients visuels
https://www.cairn.info/revue-psychotherapies-2013-3-page-167.htm
Cette étude s'intéresse à l'humour en tant qu'indice de la résilience chez les étudiants déficients visuels. Une chute conséquente de la vue peut être vécue comme un événement traumatique, qui peut être la cause d'un frein à la communication, que ce soit avec les enseignants ou les pairs. Cette difficulté à communiquer restreint alors le soutien social dont pourraient bénéficier les étudiants. Nous avons alors effectué une recherche des indices de l'humour produit par les étudiants déficients visuels lors d'activités universitaires enregistrées in situ ainsi qu'au cours d'entretiens semi-directifs. Cette analyse a permis de montrer que l'humour agit de différentes façons, comme mécanisme de défense mais aussi comme agent constructif de la résilience.
10.3917/psys.133.0167
2013
Cairn.info
France
matériel enseignement
article de périodique
étudiant
étudiants
Humour
personnes malvoyantes
vision
Déficience visuelle
résilience psychologique
infirmité
Esprit et humour
troubles de la vision

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26/04/2024


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