Libellé préféré : Taux de mortalité;

Détails


Consulter ci-dessous une sélection des principales ressources :

Vous pouvez consulter :


N3-AUTOINDEXEE
Choc septique : incidence, mortalité et taux de ré hospitalisation dans les réanimations Françaises, une étude de cohorte nationale
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03199417
Introduction : le choc septique est à l’origine d’une importante morbi-mortalité et son incidence est en hausse dans le monde entier. Son évolution au cours des dernières années et les actions pour améliorer ces résultats restent peu clairs. L’objectif de cette étude était de déterminer l’incidence et la mortalité du choc septique et les facteurs de risques de mortalité associés chez les patients en réanimation. Nous avons également déterminé le taux de réadmission après la sortie de l’hôpital. Matériel et méthodes: étude de cohorte rétrospective de tous les patients adultes présentant un choc septique en réanimation en France du 1e janvier 2014 au 31 décembre 2018, en utilisant la base de données nationale des hospitalisations françaises. Les séjours en réanimation et le choc septique ont été définis par 2 méthodes de codage : soit directement avec un code de choc septique soit indirectement avec une combinaison de codes correspondant à une infection sévère (sepsis ou bactériémie) associé à l’utilisation de vasopresseurs. Les principaux résultats étaient l’incidence du choc septique et la mortalité à 30, 90 et 365 jours. Le résultat secondaire secondaire était les réadmissions à l’hôpital toutes causes confondues à 30, 90 et 365 jours après la sortie de l’hôpital. Résultats : 187 587 épisodes de choc septique ont été identifiés. L’incidence du choc septique ajustée selon l’âge et le sexe pour 100 admissions en réanimation a augmenté de 6,5% à 6,8% (p 0,001), tandis que le taux de mortalité ajusté selon l’âge et le sexe a diminué de 47,3% à 44,5% (p 0,001). Le taux de réhospitalisation a atteint 65% à 365 jours après l’admission en réanimation. L’augmentation de l’âge, le score de Charlson, une défaillance d’organe et une hospitalisation antérieure étaient associés à la mortalité à 90jours. En revanche, un germe identifié et un délai d’admission rapide en réanimation étaient des facteurs protecteurs. Conclusion : notre étude a révélé une augmentation faible mais significative de l’incidence et une diminution de la mortalité du choc septique. L’identification du pathogène et l’admission rapide en réanimation étaient associés à de meilleurs résultats. Le taux de réadmission à l’hôpital a augmenté suggérant que le processus de réhabilitation peut encore être amélioré.
2021
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
réanimation
incidence
Choc
ré-hospitalisation
Hospitalisation
choc septique
études de cohortes
mortalité
Taux de mortalité
choc septique
réadmission du patient
hospitalisation

---
N2-AUTOINDEXEE
Modèle SIR mécanistico-statistique pour l'estimation du nombre d'infectés et du taux de mortalité par COVID-19
https://hal-lara.archives-ouvertes.fr/hal-02514569
Les premiers cas de COVID-19 ontété détectés en France le 24 janvier 2020. Le nombre de tests de dépistage effectués et la méthodologie employée pour cibler les patients testés ne permettent pas de connaître avec certitude le nombre réel d'infectés et le taux de mortalité liés a l'épidémie. Nous développons dans cette note une approche dite 'mécanistico-statistique' couplant un modèle d'équations différentielles de type SIR décrivant la dynamique épidémiologique non observée, un modèle probabiliste décrivant le processus de recensement des infectés et une méthode statistique d'inférence. L'objectif de ce modèle n'est pas de faire de la prédiction mais d'estimer le nombre réel de personnes infectées par le COVID-19 en France durant la période d'observation et d'en déduire le taux de mortalité associé à l'épidémie. Principaux résultats. Nous trouvons que le nombre réel d'infectés en France est bien supérieur aux observations, avec un facteur 15 (IC 95% 4-33), et que le taux de mortalité au 17 mars est de 5.2/1000 (IC 95% 1.5/1000 11.7/1000). Nous trouvons un R0 de 4.8, valeur élevée liée en partie à la période d'excrétion virale que nous supposons de 20 jours.
2020
HAL-LARA
France
COVID-19
rapport
Taux de mortalité
Infection
Statistique
infections
estimateur
ESTIMA
systèmes d'information de radiologie
modèles statistiques
maladie infectieuse
mortalité
Respect
pneumopathie virale
infections à coronavirus
COVID-19

---
N3-AUTOINDEXEE
L'espérance de vie comme mesure synthétique de taux de mortalité — Un indicateur à éviter pour les sous-populations avec une condition médicale chronique
https://www.inspq.qc.ca/publications/2605
L’espérance de vie, calculée à partir de la table de mortalité actuarielle, de populations générales s’interprètent comme la durée moyenne de vie restante du groupe d’individus qui partage les caractéristiques de temps, lieu et personne de la cohorte fictive implicite à la table de mortalité – sous le postulat que les risques de décès actuels perduraient jusqu’à leur extinction. Généralement les EV-TMA de sous-populations « malades » ne sont que des chiffres abstraits sans correspondance valide avec la durée moyenne de survie d’aucun groupe réel, et ce, même sous le postulat que les risques de décès actuels perdureraient dans le futur. Les EV-TMA de sous-populations « malades » ne peuvent être interprétées comme des EV-TMA de populations générales que dans de rares circonstances. Il est ainsi préférable de s’en tenir à des mesures de fréquence standard pour décrire l’état de santé de sous-populations « malades ». Bien que moins intuitives, ces mesures risquent beaucoup moins d’induire en erreur.
2019
INSPQ - Institut National de Santé Publique - Québec
Canada
rapport
mortalité
Indicateurs
indicateurs et réactifs
densité de population
laisse entrevoir
poids et mesures
Taux de mortalité
espérance de vie
indication de
Mesures
Population
population

---
N3-AUTOINDEXEE
Comparaison des taux d’attaque, d’incidence et de mortalité de l’accident vasculaire cérébral entre les hommes et les femmes de 35 ans et plus : registre des AVC de Lille
https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-cardiovasculaires-et-accident-vasculaire-cerebral/accident-vasculaire-cerebral/documents/article/comparaison-des-taux-d-attaque-d-incidence-et-de-mortalite-de-l-accident-vasculaire-cerebral-entre-les-hommes-et-les-femmes-de-35-ans-et-plus-re
ntroduction – L’objectif de ce travail était de mesurer les effets de l’âge et du sexe sur les taux d’attaque, d’incidence et de mortalité à 28 jours des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dans la population de Lille âgée de 35 ans et plus. Méthodologie – Les données recueillies entre 2008 et 2015 proviennent du registre des AVC de Lille (infarctus cérébraux et hémorragies intracérébrales spontanées). Résultats – Au total, 2 426 AVC (dont 1 917 incidents) ont été recensés (81,5% ischémiques, 15,6% hémorragiques et 2,9% indéterminés). Après ajustement sur l’âge, les taux d’attaque et d’incidence étaient environ 30% plus bas chez les femmes que chez les hommes, quelle que soit l’étiologie ; les taux de mortalité par infarctus cérébral ne différaient pas entre hommes et femmes. Les taux de mortalité par hémorragies intracérébrales spontanées étaient environ 35% plus faibles chez les femmes. Le nombre d’AVC total, incident et fatal était plus élevé chez les femmes que chez les hommes. Ces chiffres variaient en fonction de l’âge : ils étaient plus élevés chez les hommes de moins de 75 ans et chez les femmes de plus de 75 ans. Les femmes étaient en moyenne de 7 ans plus âgées que les hommes. Les antécédents de migraine et de fibrillation auriculaire étaient plus élevés chez les femmes. À l’inverse, les antécédents de tabagisme, de traumatismes crâniens, de maladie coronaire et d’artérite des membres inférieurs étaient plus élevés chez les hommes. Conclusion – Le risque d’AVC était plus élevé chez les hommes que chez les femmes avant 75 ans, et similaire après 75 ans. Cependant, compte tenu de l’élévation du risque avec l’âge et de la distribution de la pyramide des âges de la population, le nombre absolu d’AVC dans la population était globalement plus élevé chez les femmes.
2019
false
false
false
InVS - Institut de Veille Sanitaire
France
article de périodique
Femmes
Taux de mortalité
hommes
mortalité
Achondrogénèse
incidence
accident vasculaire cérébral
Femelle
enregistrements
accident vasculaire cerebral
registres
début de la maladie
accident vasculaire cerebral
accident vasculaire cérébral
cathétérisme veineux central
accident cérébrovasculaire

---
N2-AUTOINDEXEE
Modèle de régression du taux de mortalité en excès par cancer corrigeant une mortalité attendue potentiellement inexacte : estimation avec points de rupture.
Séminaire interne du SESSTIM
https://youtu.be/2WdFiJ9iZIc
https://sesstim.univ-amu.fr/video-box/seminaire-interne-du-sesstim-darlin-robert-mba
Darlin Robert MBA
2019
SESSTIM
France
matériel d'enseignement audio-visuel
Potentiels de pointe
estimateur
tumeur maligne, sai
lacération
rupture
ESTIMA
tumeurs
Taux de mortalité
mortalité
Cancer
Respect
rupture
Cancer
cancer
médecin (médecine interne)
potentiels d'action

---
Nous contacter.
01/05/2024


[Accueil] [Haut de page]

© CHU de Rouen. Toute utilisation partielle ou totale de ce document doit mentionner la source.