Libellé préféré : complication respiratoire;
Identifiant d'origine : DD-66940;
CUI UMLS : C0161818;
Alignement(s) exact CIM-10
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Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Correspondance SNOMED CT
Correspondances UMLS (même concept)
Métaterme(s)
Type(s) sémantique(s)
N2-AUTOINDEXEE
Utilisation recommandée du palivizumab pour réduire les complications de l’infection
par le virus respiratoire syncytial chez les nourrissons
https://www.canada.ca/content/dam/phac-aspc/documents/services/publications/vaccines-immunization/palivizumab-respiratory-syncitial-virus-infection-infants/palivizumab-resp-infection-infants-fra.pdf
Le virus respiratoire syncytial (VRS) provoque chaque année au Canada des éclosions
de maladies des voies respiratoires (VR), de la fin de l’automne jusqu’au début du
printemps. C’est la cause la plus fréquente des maladies des VR inférieures chez les
jeunes enfants dans le monde entier. Si de nombreuses infections sont de simples rhumes,
les enfants de moins de 2 ans risquent de contracter une maladie sévère comme la bronchiolite
ou la pneumonie et peuvent être hospitalisés. Les problèmes de santé sous-jacents,
notamment la naissance prématurée, les maladies pulmonaires chroniques et les cardiopathies
congénitales (CPC), prédisposent aux maladies sévères attribuables au VRS. Les réinfections
peuvent se produire tout au long de la vie, car l’infection ne produit qu’une immunité
partielle et temporaire, bien que les réinfections soient généralement moins sévères
que la maladie initiale.
2022
Gouvernement du Canada
Canada
recommandation professionnelle
Infection respiratoire
complication respiratoire
palivizumab
infections de l'appareil respiratoire
virus respiratoires syncytiaux
maladie infectieuse
virus respiratoire syncytial
Virus
Virus
utilisation hors indication
nourrisson
Palivizumab
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N3-AUTOINDEXEE
Sommaire de la mise à jour de la déclaration du Comité consultatif national de l'immunisation
(CCNI) sur l'utilisation recommandée du palivizumab pour réduire les complications
de l'infection par le virus respiratoire syncytial chez les nourrissons
https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/rapports-publications/releve-maladies-transmissibles-canada-rmtc/numero-mensuel/2022-48/numero-7-8-juillet-aout-2022/sommaire-mis-a-jour-declaration-comite-consultatif-national-immunisation-ccni-utilisation-recommandee-palivizumab-reduire-complications-infection-virus-respiratoire-syncytial-nourrisson.html
Contexte : Le virus respiratoire syncytial (VRS) est la cause la plus fréquente d'infections
des voies respiratoires inférieures chez les enfants en bas âge dans le monde. Les
problèmes de santé sous-jacents, notamment la naissance prématurée, une maladie pulmonaire
chronique et une cardiopathie congénitale, prédisposent à une forme grave de maladie
attribuable au VRS. Le seul moyen de prophylaxie contre les infections à VRS est une
protection par immunisation passive avec le palivizumab (PVZ) (SynagisMD), un anticorps
monoclonal. Le Comité consultatif national de l'immunisation (CCNI) a publié une déclaration
sur l'utilisation du PVZ en 2003. Le présent article a pour objet de mettre à jour
les recommandations précédentes du CCNI concernant l'utilisation du PVZ, en tenant
compte des données récentes sur le fardeau de la maladie à VRS, sur l'efficacité réelle
du PVZ chez les nourrissons à risque d'une forme plus grave de la maladie à VRS et
sur les répercussions économiques associées à l'utilisation du PVZ.
2022
Gouvernement du Canada
Canada
article de périodique
nourrisson
infections à virus respiratoire syncytial
palivizumab
Palivizumab
enregistrements
Virus
complication respiratoire
Infection respiratoire
comités consultatifs
utilisation hors indication
immunisation
vaccination
Virus
infection à virus respiratoire syncytial
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N3-AUTOINDEXEE
Modalités de ventilation peropératoire en chirurgie cardiaque avec CEC et complications
respiratoires postopératoires: revue de littérature et analyse de la cohorte lyonnaise
de l'étude VENICE
http://www.sudoc.fr/242864805
Les étiologies des complications respiratoires en postopératoire de chirurgie cardiaque
sont diverses (atélectasies, pneumopathie, épanchement pleural, SDRA...) et très fréquentes
(8 à 20%) avec une mortalité supérieure aux complications cardiaques. La ventilation
mécanique, et a fortiori son interruption lors de la CEC sont incriminées depuis des
années comme étant des éléments essentiels à leur genèse. Ainsi, des stratégies de
ventilation protectrice sont développées, associant un volume courant réduit (6-8ml/kg
de poids idéal théorique), une pression expiratoire positive suffisante, une fraction
inspirée en oxygène adaptée et des manœuvres de recrutement alvéolaires répétées.
Cette stratégie a fait ses preuves et n'est plus à discuter ; en revanche le maintien
de la ventilation mécanique lors de la CEC manque d'argument. En effet, les études
fondamentales et animales sont nombreuses et avec des informations convaincantes,
mais les bénéfices semblent plus faibles chez l'homme. La cohorte lyonnaise de l'étude
Venice est une étude observationnelle visant à évaluer l'incidence des complications
respiratoires en postopératoire de chirurgie cardiaque sous CEC, ainsi que les modalités
ventilatoires peropératoire. Etaient inclus les patients majeurs éligibles à une chirurgie
cardiaque sous CEC sur 2 périodes d'inclusions (6 au 19/11/17 et 4 au 17/12/17). Résultats
: Sur les 56 patients inclus, 26 (46%) ont développé une complication respiratoire.
Seul l'âge était associé de manière indépendante au risque de complication respiratoire.
(OR 1,048 (IC 95% : 1,005-1,093), p 0,028) puisque les liens entre complications respiratoires
et l'IMC du patient ou son niveau de PAPS retrouvés en analyse univariée ne sont pas
retenus en analyse multivariée. Le maintien de la ventilation mécanique n'a pas montré
d'effet sur le développement des complications respiratoires. Concernant les modalités
ventilatoires, le volume courant moyen était de 6,4ml/kg de poids idéal théorique,
la FiO2 de 45% sans aucun patient ventilé en oxygène pur. La pression plateau moyenne
était de 17cmH20 et la PEP moyenne de 5cmH20. L'âge apparait comme un facteur de risque
indépendant de développement de complications respiratoires qui sont très fréquentes.
Les pratiques lyonnaises en terme de ventilation sont en adéquation aux nouvelles
recommandations. Cependant et à l'instar de l'étude PROVECS, l'analyse de la cohorte
lyonnaise de l'étude Venice ne permet pas de conclure à un quelconque intérêt de la
ventilation mécanique per-CEC dans le but de réduire l'incidence des complications
respiratoires en chirurgie cardiaque avec CEC
2020
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
Chirurgie cardiaque
Chirurgie
études de cohortes
carcinome épidermoïde cutané
ventilation
complication cardiaque
Ventilation
chirurgie cardiaque
chirurgie thoracique
ventilation
chirurgie cardiaque
littérature de revue comme sujet
complication respiratoire
Analyse de cohorte
intervention chirurgicale
Littérature
complications peropératoires
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N3-AUTOINDEXEE
Épidémiologie et facteurs de risque de complications respiratoires graves en post
opératoire de chirurgie programmée des anévrismes de l’aorte abdominale au niveau
cœliaque
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03093881
Objectif : Définir l’épidémiologie et les facteurs de risque de complications pulmonaires
graves (CPPG) en post-opératoire de chirurgie programmée d’anévrisme de l’aorte abdominale
au niveau cœliaque. Type d'étude : Étude rétrospective, descriptive et analytique,
monocentrique menée au bloc de chirurgie vasculaire et en USCPO-réanimation chirurgicale
au CHU de Rouen. Matériels et méthode : Ont été inclus les patients opérés de façon
programmée d’un anévrisme de l’aorte abdominale au niveau cœliaque. Les patients opérés
d’un anévrisme aortique abdominal en urgence, opérés d’un anévrisme aortique thoracique,
thoraco-abdominal, sous cœliaque ou opérés par voie endovasculaire ont été exclus.
La CPPG est définie par l’association d’une complication d’origine pulmonaire grave
survenant dans les 8 jours postopératoires et nécessitant un traitement spécifique.
Résultats : 45 patients ont été inclus. Au total 19 patients (42,22%) ont présenté
une CPPG dont 4 (21%) une décompensation de BPCO, 6 (31%) une pneumopathie hypoxémiante
et 8 (42%) une atélectasie avec hypoventilation alvéolaire. 9 patients ont nécessité
de séances de VNI et 6 ont du être ré-intubés. Aucun facteur de risque de CPPG n’a
été retrouvé en analyse uni ou multivariée. Conclusion : L’incidence des CPPG est
importante dans notre étude mais la faible prévalence de la maladie n’a permis de
mettre en évidence aucun facteur de risque.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
facteurs de risque
facteur de risque
intervention chirurgicale
Facteurs épidémiologiques
Chirurgie
anevrisme de l'aorte
anévrysme de l'aorte abdominale
anévrisme aortique
complications postopératoires
Epidémiologie
Epidémiologie
chirurgie générale
aorte abdominale
complication respiratoire
programmes
Epidémiologie
Epidémiologie
Aorte abdominale
complication post-opératoire
Epidémiologie
facteurs épidémiologiques
aorte abdominale
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