Libellé préféré : adiposité;
Traduction automatique Wikipédia : Obésité;
Lien Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Obésité;
Identifiant d'origine : D050154;
CUI UMLS : C1563743;
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
- Adipose [Terme de bas niveau MedDRA]
Concept(s) lié(s) au record
Correspondances UMLS (même concept)
- Adipose [Terme de bas niveau MedDRA]
Liste des qualificatifs affiliables
Type(s) sémantique(s)
Voir aussi
N3-AUTOINDEXEE
Activité physique, exposition à la télévision et alimentation du jeune enfant (2-5
ans) : Impact sur l’adiposité
http://www.theses.fr/2019SACLS559
L’épidémie de surpoids et d’obésité concerne également les jeunes enfants, se caractérise
par d’importantes inégalités sociales et entraîne des conséquences graves pour la
santé à court, moyen et long terme. Les comportements impliqués dans la balance énergétique,
à savoir l’activité physique, l’exposition à la télévision et l’alimentation pourraient
jouer un rôle déterminant vis-à-vis du risque d’obésité du jeune enfant et sont potentiellement
modifiables. Les objectifs de ce travail étaient d’étudier l’association entre ces
comportements, considérés isolément mais aussi de manière intégrée sous forme de clusters
multi-comportementaux à 2 et 5 ans, et le risque d’obésité et ce, séparément chez
les filles et les garçons. Le risque d’obésité a été appréhendé au travers de la masse
grasse à 5 ans et de l’âge au rebond d’adiposité. Le travail s’appuie sur les données
de la cohorte EDEN. A 2 ans, le temps de jeux extérieurs chez les filles et le temps
passé devant la télévision chez les garçons étaient respectivement associés inversement
et positivement au pourcentage de masse grasse à 5 ans. A 2 ans, nous avons identifié
des clusters multi-comportementaux caractérisés principalement par la fréquence de
consommation d’aliments et de boissons à forte densité énergétique. Ces derniers n’étaient
pas liés longitudinalement au pourcentage de masse grasse à 5 ans. Les clusters identifiés
à 5 ans (4 clusters chez les filles et 2 chez les garçons) étaient principalement
différentiés par l’exposition à la télévision ; chez les garçons la surexposition
à la télévision était en outre associée à de moins bonnes habitudes alimentaires,
tandis que chez les filles toutes les combinaisons possibles de niveaux d’exposition
à la télévision et d’activité physique en extérieur (jeux/marche) étaient observées
au sein des clusters. Les filles appartenant au cluster « Exposition très élevée à
la télévision – Activité physique extérieure élevée » à 5 ans avaient un pourcentage
de masse grasse plus élevé que celles du cluster de référence « Exposition modérée
à la télévision – Activité physique extérieure plutôt élevée ». Par ailleurs, une
plus forte adhésion au profil alimentaire «Aliments transformés, ou type fast-food
» (identifié dans des travaux précédents) à 2 ans était associée à un âge plus précoce
du rebond d’adiposité, défini comme intervenant en moyenne avant 3,7 ans dans les
2 sexes.[...]
2019
theses.fr
France
thèse ou mémoire
obésité
adiposité
Abcès cérébral
alimentation
enfant
Enfant
Physique
Enfant
Physique
effets de l'exposition à un agent externe
Exposition
Enfant
exercice physique
Enfant
adolescent
Alimentation
Exposition alimentaire
télévision
enfant
jeûne
Aliments
physique
aliments
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N3-AUTOINDEXEE
Prévalence du surpoids, de l'obésité infantile et du rebond d'adiposité précoce en
écoles maternelles sur le territoire d'Aubagne/La Ciotat. Dépistage et prise en charge
en médecine générale
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02022731/document
Le surpoids et l’obésité sont à l’origine d’une épidémie mondiale, la France n’est
pas épargnée par ce fléau. Objectif : étudier la prévalence du surpoids, de l’obésité
infantile et du rebond d’adiposité précoce en école maternelle entre 3,5 et 4,5 ans
sur le territoire d’Aubagne/La Ciotat. Évaluer les connaissances et les pratiques
des médecins généralistes. Matériel et méthode : étude descriptive transversale de
prévalence sur 1 460 enfants dans le cadre du bilan de santé Eval Mater de la Protection
Maternelle et Infantile en 2017-2018. Etude qualitative descriptive auprès de trente
médecins généralistes. Résultats : 7,3% des enfants étaient en surpoids et 1,2% en
situation d’obésité avec une prédominance féminine. 14,5% des enfants étaient en insuffisance
pondérale avec une majorité de garçons. La prévalence du rebond d’adiposité précoce
s’élevait à 24,8%, les trois quarts des enfants avaient un IMC normal. 60% des médecins
interrogés pratiquaient un dépistage systématique du surpoids chez l’enfant, et seuls
40% connaissaient le rebond d’adiposité précoce et le recherchaient en consultation.
Discussion : la stabilisation de la prévalence de la surcharge pondérale chez l’enfant,
amorcée depuis le début des années 2000 avec la mise en place du Plan National Nutrition
Santé, se confirme. Le territoire d’Aubagne/La Ciotat a une situation privilégiée
au sein du département des Bouches-du-Rhône. Un nouveau problème a émergé ces dernières
années, l’augmentation de l’insuffisance pondérale chez les enfants. Conclusion :
le médecin traitant est le médecin de premier recours dans le dépistage et la prévention
du surpoids pédiatrique. Une meilleure organisation et diffusion des structures et
réseaux de soins spécialisés en obésité pédiatrique est un enjeu de santé publique.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
obésité
adiposité
mère
obésité
obésité pédiatrique
Surpoids
première enfance
Obésité
Médecins
obésité pédiatrique
Obésité
médecine générale
obesite
école maternelle
prévalence
gestion des soins aux patients
Obésité
Dépistage
Dépistage de masse
surpoids
obésité
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N3-AUTOINDEXEE
Prévalence de la surcharge pondérale infantile et du rebond d'adiposité précoce dans
les quartiers Nord de Marseille. Dépistage et prise en charge en médecine générale
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02023835/document
Contexte : la prévalence des problèmes de poids est moins bien documentée dans la
petite enfance, période pourtant critique au développement de l’obésité. L’obésité
et le surpoids sont plus fréquents dans les zones urbaines, précaires et à forte densité
de population. Le rebond d’adiposité précoce (RAP) est un facteur de risque largement
démontré, facilement identifiable et très prédictif du risque d’obésité ultérieure.
Il n’a jamais fait l’objet d’étude dans une large population. Le rôle des médecins
généralistes (MG) est essentiel dans le dépistage, les premières mesures thérapeutiques
et le suivi. Méthode : cette étude évalue la prévalence du surpoids, de l’obésité
et du rebond d’adiposité précoce chez les enfants âgés de 3,5-4,5 ans scolarisés en
petite ou moyenne section de maternelle en 2017-2018 dans les 13ème, 14ème, 15ème
et 16ème arrondissements de Marseille. Les données ont été recueillies lors du bilan
EVALMATER par les équipes de Protection Maternelle Infantile. En parallèle, une étude
descriptive a été conduite auprès des MG du même territoire ayant pour objectif d’analyser
les connaissances et les pratiques concernant le dépistage et la prise en charge de
l'obésité infantile. Les données étaient recueillies à l’aide d’un questionnaire sur
internet. Résultats : 2970 Indice de Masse Corporel (IMC) ont été inclus dans les
analyses (76,8% de la population théorique) et 1702 courbes étaient disponibles (57%
de l’effectif total). Selon l’IOTF, la prévalence du surpoids était de 10.3% IC95[9,3;11,4],
avec significativement plus de filles, et celle de l’obésité de 3,8% IC95[3,2;4,6].
La prévalence du RAP était de 23.8% des courbes disponibles, avec significativement
plus de filles. Parmi les enfants ayant un RAP, 64,7% des enfants avaient un IMC normal.
Seulement 40% des MG interrogés connaissent et recherchent systématiquement le RAP.
Ils sont nombreux à ne pas connaitre de réseaux et de structures spécialisées dans
leur région, en particulier, plus de la moitié ne connaisse pas le Centre Spécialisé
Obésité, structure de référence régionale et départementale. Conclusion : il est essentiel
de cibler les politiques de prévention et d’éducation sur les territoires défavorisés.
Parmi les enfants entre 3,5 et 4,5 ans des quartiers Nord, plus d’un enfant sur sept
a un IMC normal et présente un RAP, ce qui montre l’importance d’un repérage précoce
des problèmes de poids par le MG. Il est important d’augmenter la lisibilité et l’accessibilité
des réseaux de prise en charge de l’obésité.
2018
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Dépistage
première enfance
obésité
gestion des soins aux patients
médecine générale
adiposité
obésité pédiatrique
Médecins
prévalence
Surcharge pondérale
surcharge ponderale
Dépistage de masse
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N1-SUPERVISEE
Comment dépister et prendre en charge le rebond précoce d’adiposité chez les enfants
à Montreuil ?
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01251713
Recherche de consensus par groupe nominal pour le protocole de dépistage du rebond
d’adiposité précoce et élaboration du protocole de prise en charge des enfants dépistés
selon la méthode du groupe RAND/UCLA Appropriateness Method (RAM)
2015
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
enfant
diagnostic précoce
adiposité
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