Libellé préféré : dysménorrhée primaire;

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N3-AUTOINDEXEE
Pilule contraceptive orale combinée pour traiter la dysménorrhée primaire ?
https://minerva-ebp.be/FR/Article/2378
Analyse de Schroll JB, Black AY, Farquhar C, Chen I. Combined oral contraceptive pill for primary dysmenorrhoea. Cochrane Database Syst Rev 2023, Issue 7. DOI: 10.1002/14651858.CD002120.pub4 Question clinique Quelles sont l’efficacité et la sécurité, chez les femmes en âge de se reproduire souffrant de dysménorrhée primaire modérée à sévère, des pilules contraceptives orales versus AINS, placebo ou autres pilules contraceptives, en termes d’évaluation de la douleur, amélioration de la douleur, effets indésirables, nécessité d’ajouter une antalgie et jours d’incapacité (école/travail) ? Conclusion Cette revue systématique montre que les pilules contraceptives orales (CO) sont efficaces pour traiter les dysménorrhées primaires en termes de diminution de score de la douleur et d’amélioration de la douleur. Elles augmentent les effets indésirables (spotting, maux de têtes, nausées). Les effets des CO au long cours n’ont pas été évalués. Cette étude, de bonne qualité méthodologique, est cependant basée sur des études présentant de nombreuses limites méthodologiques et dont certaines sont très anciennes. Il est nécessaire que des RCTs de bonne qualité méthodologique viennent confirmer ces résultats, comparer les CO aux antalgiques classiques, et évaluer les effets indésirables au long cours d’un traitement des dysménorrhées primaires par CO.
2024
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
France
lecture critique d'article
pilule (unité de dose)
contraceptifs oraux combinés
contraception orale
Anethum graveolens
dysménorrhée
dysménorrhée primaire
association thérapeutique
contraception orale
traitement de première ligne
quel mois est-ce maintenant ?
douleur menstruelle
association thérapeutique
préparation de contraceptif oral
Contraceptif oral
dysménorrhée, CTCAE
dysménorrhée

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N3-AUTOINDEXEE
Prise en charge de la dysménorrhée par les soignants de premier recours, en téléconsultation : exemples de la dysménorrhée primaire et de l'endométriose
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04398144
Objectifs : Premièrement, étudier la prise en charge de la dysménorrhée par les soignants de premier recours en téléconsultation. Secondairement, étudier les prescriptions, après la mise en place d'une intervention pédagogique rappelant les recommandations de prise en charge diagnostique et thérapeutique dans les dysménorrhées. Matériels et méthodes : Un questionnaire a été proposé aux soignants par diffusion sur la plateforme Qare et les réseaux sociaux pour recueillir leurs pratiques dans la prise en charge de la dysménorrhée. Ensuite, une étude descriptive rétrospective des données anonymisées des caractéristiques des téléconsultations et des prescriptions a été réalisée sur l'ensemble des téléconsultations pour dysménorrhée sur la plateforme nationale Qare du 15 mars 2018 au 31 juillet 2023. Inclusion des patientes de 11 à 50 ans avec un diagnostic de dysménorrhée, prise en charge par les sages-femmes, les médecins généralistes, les pédiatres et les gynécologues. Les spécificités de la dysménorrhée primaire et de l'endométriose ont également été décrites. Secondairement une intervention pédagogique orale et écrite visant à rappeler les recommandations a été réalisée en octobre 2022, avec comparaison des prescriptions avant intervention à celles après intervention. Résultats : Il y a eu 41 réponses au questionnaire déclaratif, avec une majorité de femmes, de moins de 40 ans, et du genre féminin. Les répondants sont 62,71% a faire plus de 5% de téléconsultation par semaine. Le repérage de la dysménorrhée se fait surtout dans les consultations gynécologiques, moins dans les consultations de suivi général (26% des réponses). Si les antécédents familiaux sont des facteurs de risque bien connus (65,85%), d'autres facteurs (ménarches précoces, parité, IMC inférieur à 20) sont recherchés par moins du quart des répondants. Les signes d'endométriose à rechercher à l'examen clinique sont connus par moins de 50% des praticiens. La prise en charge en ALD n'est pas connue de 65,85% des praticiens. 37936 téléconsultations ont été analysées, 1765 pour la dysménorrhée primaire et 882 pour l'endométriose. Les médecins généralistes réalisaient 80,81% des téléconsultations. Les AINS sont prescrits dans 47,78% des téléconsultations, les antispasmodiques dans 22,9% des téléconsultations. Les contraceptifs oestroprogestatifs sont les premiers traitements hormonaux prescrits dans la dysménorrhée primaire (63,41%). Le diénogest est le premier traitement prescrit dans l'endométriose (46,56%). L'échographie endopelvienne et pelvienne représente le premier examen complémentaire abdomino-pelvien prescrit (79% des examens). L'IRM pelvienne est la première prescription dans l'endométriose (55,96% des prescriptions). Dans la comparaison après l'intervention, il y a une prescription plus importante d'AINS, de paracétamol, et d'antispasmodiques. Il n'y a pas de modification de prescription des traitements hormonaux. Il y a eu une diminution de la prescription d'IRM pelvien. La prescription d'arrêts de travail est plus importante après intervention. Conclusion : La dysménorrhée est une pathologie fréquente, facilement prise en charge en téléconsultation. La dysménorrhée s'y prête particulièrement, de part l'absence d'examen clinique nécessaire. Il est essentiel de rechercher les signes évoquant une dysménorrhée secondaire.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
cause primaire du décès
douleur menstruelle
consultation à distance
endométriose
endométriose
primaire
dysménorrhée, CTCAE
dysménorrhée
aidants
dysménorrhée primaire
dysménorrhée
a comme soignant
endométriose
téléconsultation

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N3-AUTOINDEXEE
Etat des lieux des traitements des dysménorrhées en soins primaires - revue de littérature
https://dune.univ-angers.fr/fichiers/19012369/2023MCEM17305/fichier/17305F.pdf
Contexte : les dysménorrhées primaires et secondaires sont fréquentes et ont un impact sur la qualité de vie des patientes et des répercussions sociales et économiques. Objectif : réaliser un état des lieux des traitements médicaux des dysménorrhées en soins primaires. Les objectifs secondaires sont : synthétiser les prises en charges non médicamenteuses des dysménorrhées et identifier les représentations sur les dysménorrhées en comparaison à d’autres douleurs chroniques. Méthode : revue de la littérature entre le 1er janvier 2017 et le 31 décembre 2022 sur les bases de données Pubmed, Cochrane, Lissa et Cismef. Etaient inclus les articles en Français ou en Anglais concernant le traitement des dysménorrhées et incluant en partie des populations d’Europe et d’Amérique du Nord. Etaient exclus les traitements non utilisables en soins primaires ou non utilisés couramment en France. Un score de qualité était établi selon les grilles d’évaluation correspondantes (COREQ, STROBE, CONSORT, PRISMA, AGREE II). Le risque de biais des essais randomisés inclus était évalué à l’aide de l’outil de la Cochrane collaboration ROB2. Résultats : les études sont de qualité hétérogène et les niveaux de preuves sont majoritairement faibles. Les AINS et le SIU au LEVONORGESTREL 52mg sont efficaces dans le traitement des dysménorrhées primaires, mais d’autres études sont nécessaires pour comparer les différents AINS et traitements hormonaux entre eux. Les données sont insuffisantes concernant le NIFEDIPINE et il n’y a pas de preuve de différence significative entre la MELATONINE et le placebo. Concernant les dysménorrhées secondaires liées à l’endométriose, les traitements hormonaux sont efficaces et la balance bénéfice/risque est en faveur de la contraception orale combinée et du SIU LNG 52mg en première intention. Les preuves concernant l’efficacité des médecines alternatives et complémentaires sont de faible qualité mais ces thérapeutiques présentent un faible risque d’effets indésirables voire des effets bénéfiques sur la santé et peuvent donc être proposés en complément des traitements médicamenteux. Conclusion : le choix du traitement doit être guidé par la prise en compte des contre-indications, des effets indésirables, des traitements antérieurs et en accord avec la patiente. D’autres études de meilleure qualité sont nécessaires pour compléter ces résultats.
2023
SUDOC - Catalogue du Système Universitaire de Documentation
France
thèse ou mémoire
littérature de revue comme sujet
soins de santé primaires
dysménorrhée
revue de la littérature
soins primaires
Soins
traitement de première ligne
dysménorrhée
va bien
dysménorrhée primaire
douleur menstruelle
soins de santé primaires

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N3-AUTOINDEXEE
Quel est l’effet d’une activité physique structurée en cas de dysménorrhée primaire ?
https://minerva-ebp.be/FR/Article/2206
Analyse de Armour M, Ee CC, Naidoo D, et al. Exercise for dysmenorrhoea. Cochrane Database Syst Rev 2019, Issue 9. DOI: 10.1002/14651858.CD004142.pub4 Question clinique Chez les femmes souffrant de dysménorrhée primaire, quelle est la tolérance de l’activité physique structurée et quel est son effet sur l’intensité des douleurs menstruelles, par comparaison avec l’absence de traitement ou avec le contrôle attentionnel, les anti-inflammatoires ou la contraception orale ?
2020
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
Belgique
lecture critique d'article
dysménorrhée primaire
exercice physique
Physique
Dysménorrhée
dysménorrhée
Structure
douleur menstruelle
Physique
physique

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10/05/2025


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