Libellé préféré : dysménorrhée, CTCAE; 
Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Trouble caractérisé par des crampes abdominales anormalement douloureuses pendant
               les règles.; 
Traductions automatiques par l'ANS : Dysménorrhée, CTCAE; dysménorrhée; 
CUI Metathesaurus NCI : CL541735; 
         
         
            Identifiant d'origine : C143423; 
CUI UMLS : C4553904; 
 Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF) Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
 Concept CTCAE-5 parent de Concept CTCAE-5 parent de
 Concept appartenant au(x) sous-ensemble(s) Concept appartenant au(x) sous-ensemble(s)
 Type(s) sémantique(s) Type(s) sémantique(s)- 
                     - Fait [Type sémantique UMLS]
 
 Voir aussi inter- (CISMeF) Voir aussi inter- (CISMeF)
 
         
         
         
         
N3-AUTOINDEXEE
Pilule contraceptive orale combinée pour traiter la dysménorrhée primaire ?
https://minerva-ebp.be/FR/Article/2378
Analyse de Schroll JB, Black AY, Farquhar C, Chen I. Combined oral contraceptive pill
            for primary dysmenorrhoea. Cochrane Database Syst Rev 2023, Issue 7. DOI: 10.1002/14651858.CD002120.pub4
            Question clinique Quelles sont l’efficacité et la sécurité, chez les femmes en âge
            de se reproduire souffrant de dysménorrhée primaire modérée à sévère, des pilules
            contraceptives orales versus AINS, placebo ou autres pilules contraceptives, en termes
            d’évaluation de la douleur, amélioration de la douleur, effets indésirables, nécessité
            d’ajouter une antalgie et jours d’incapacité (école/travail) ? Conclusion Cette revue
            systématique montre que les pilules contraceptives orales (CO) sont efficaces pour
            traiter les dysménorrhées primaires en termes de diminution de score de la douleur
            et d’amélioration de la douleur. Elles augmentent les effets indésirables (spotting,
            maux de têtes, nausées). Les effets des CO au long cours n’ont pas été évalués. Cette
            étude, de bonne qualité méthodologique, est cependant basée sur des études présentant
            de nombreuses limites méthodologiques et dont certaines sont très anciennes. Il est
            nécessaire que des RCTs de bonne qualité méthodologique viennent confirmer ces résultats,
            comparer les CO aux antalgiques classiques, et évaluer les effets indésirables au
            long cours d’un traitement des dysménorrhées primaires par CO.
2024
Minerva - Revue d'Evidence-Based Medicine
France
lecture critique d'article
pilule (unité de dose)
contraceptifs oraux combinés
contraception orale
Anethum graveolens
dysménorrhée
dysménorrhée primaire
association thérapeutique
contraception orale
traitement de première ligne
quel mois est-ce maintenant ?
douleur menstruelle
association thérapeutique
préparation de contraceptif oral
Contraceptif oral
dysménorrhée, CTCAE
dysménorrhée
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N3-AUTOINDEXEE
Prise en charge de la dysménorrhée par les soignants de premier recours, en téléconsultation
            : exemples de la dysménorrhée primaire et de l'endométriose
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-04398144
Objectifs : Premièrement, étudier la prise en charge de la dysménorrhée par les soignants
            de premier recours en téléconsultation. Secondairement, étudier les prescriptions,
            après la mise en place d'une intervention pédagogique rappelant les recommandations
            de prise en charge diagnostique et thérapeutique dans les dysménorrhées. Matériels
            et méthodes : Un questionnaire a été proposé aux soignants par diffusion sur la plateforme
            Qare et les réseaux sociaux pour recueillir leurs pratiques dans la prise en charge
            de la dysménorrhée. Ensuite, une étude descriptive rétrospective des données anonymisées
            des caractéristiques des téléconsultations et des prescriptions a été réalisée sur
            l'ensemble des téléconsultations pour dysménorrhée sur la plateforme nationale Qare
            du 15 mars 2018 au 31 juillet 2023. Inclusion des patientes de 11 à 50 ans avec un
            diagnostic de dysménorrhée, prise en charge par les sages-femmes, les médecins généralistes,
            les pédiatres et les gynécologues. Les spécificités de la dysménorrhée primaire et
            de l'endométriose ont également été décrites. Secondairement une intervention pédagogique
            orale et écrite visant à rappeler les recommandations a été réalisée en octobre 2022,
            avec comparaison des prescriptions avant intervention à celles après intervention.
            Résultats : Il y a eu 41 réponses au questionnaire déclaratif, avec une majorité de
            femmes, de moins de 40 ans, et du genre féminin. Les répondants sont 62,71% a faire
            plus de 5% de téléconsultation par semaine. Le repérage de la dysménorrhée se fait
            surtout dans les consultations gynécologiques, moins dans les consultations de suivi
            général (26% des réponses). Si les antécédents familiaux sont des facteurs de risque
            bien connus (65,85%), d'autres facteurs (ménarches précoces, parité, IMC inférieur
            à 20) sont recherchés par moins du quart des répondants. Les signes d'endométriose
            à rechercher à l'examen clinique sont connus par moins de 50% des praticiens. La prise
            en charge en ALD n'est pas connue de 65,85% des praticiens. 37936 téléconsultations
            ont été analysées, 1765 pour la dysménorrhée primaire et 882 pour l'endométriose.
            Les médecins généralistes réalisaient 80,81% des téléconsultations. Les AINS sont
            prescrits dans 47,78% des téléconsultations, les antispasmodiques dans 22,9% des téléconsultations.
            Les contraceptifs oestroprogestatifs sont les premiers traitements hormonaux prescrits
            dans la dysménorrhée primaire (63,41%). Le diénogest est le premier traitement prescrit
            dans l'endométriose (46,56%). L'échographie endopelvienne et pelvienne représente
            le premier examen complémentaire abdomino-pelvien prescrit (79% des examens). L'IRM
            pelvienne est la première prescription dans l'endométriose (55,96% des prescriptions).
            Dans la comparaison après l'intervention, il y a une prescription plus importante
            d'AINS, de paracétamol, et d'antispasmodiques. Il n'y a pas de modification de prescription
            des traitements hormonaux. Il y a eu une diminution de la prescription d'IRM pelvien.
            La prescription d'arrêts de travail est plus importante après intervention. Conclusion
            : La dysménorrhée est une pathologie fréquente, facilement prise en charge en téléconsultation.
            La dysménorrhée s'y prête particulièrement, de part l'absence d'examen clinique nécessaire.
            Il est essentiel de rechercher les signes évoquant une dysménorrhée secondaire.
2023
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
cause primaire du décès
douleur menstruelle
consultation à distance
endométriose
endométriose
primaire
dysménorrhée, CTCAE
dysménorrhée
aidants
dysménorrhée primaire
dysménorrhée
a comme soignant
endométriose
téléconsultation
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