Libellé préféré : buprénorphine;
Identifiant d'origine : C-60A10;
CUI UMLS : C0006405;
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N2-AUTOINDEXEE
Microdosage de buprénorphine-naloxone
Outils pour l’induction du traitement par agoniste des récepteurs opioïdes
https://www.cfp.ca/content/66/12/e302
Objectif Sensibiliser les médecins de famille aux autres techniques pouvant faciliter
le traitement par buprénorphine-naloxone dans les cas de trouble lié à l’utilisation
d’opioïdes. Sources d’information Une recherche d’articles a été effectuée dans PubMed
à l’aide des mots-clés anglais buprenorphine, buprenorphine/naloxone, microdosing,
opioid agonist therapy et induction. D’autres lignes directrices, présentations et
ressources ont également été consultées.
2020
Le Médecin de Famille Canadien
Canada
article de périodique
BUPRENORPHINE
buprénorphine
naloxone
NALOXONE
outil
récepteur mu
naloxone
agoniste des opiacés
buprénorphine
Récepteurs aux opioïdes
récepteurs aux opioïdes
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N3-AUTOINDEXEE
Place de la buprénorphine dans la prise en charge de la douleur en soins palliatifs
: revue systématique de la littérature
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-03100380
Introduction : le phénomène d’hyperalgésie induite par les opioïdes (HIO), bien documenté
depuis quelques années, impose une limite à l’utilisation des morphiniques. La buprénorphine
(Temgésic ) est un opioïde agoniste partiel des récepteurs μ et ORL-1 et antagoniste
des récepteurs ĸ et . Ses propriétés pharmacologiques laissent penser qu’elle pourrait
diminuer les effets hyperalgésiants des opiacés. Longtemps mise de côté, cette molécule
suscite un regain d’intérêt en Europe dans la prise en charge des douleurs chroniques
d’origine cancéreuse. Objectif : évaluer les risques à l’utilisation de la buprénorphine
dans la prise en charge de la douleur chez des patients relevant de soins palliatifs.
Matériel et méthode : une revue systématique de la littérature fut réalisée jusqu’au
15 septembre 2020 dans les bases Medline, Lissa, Central et SciencesDirect. Les études
concernaient des adultes présentant une douleur modérée à sévère et relevant d’une
prise en charge palliative. Résultats : 22 références furent identifiées pour un total
de 5504 participants. Les études étaient hétérogènes et de qualités variables. Elles
établissent un profil de tolérance comparable de la buprénorphine par rapport aux
autres opioïdes forts. Aucune donnée concernant son rôle dans l’hyperalgésie ne fut
identifiée. Conclusion : la buprénorphine est un traitement sécuritaire de la douleur
cancéreuse, à l’instar des autres opioïdes forts, avec un potentiel abusif plus faible.
Elle ne présente pas de plafond analgésique aux doses utilisées en pratique clinique.
L’association avec d’autres opioïdes n’induit pas de perte d’efficacité et montreraient
même un effet additif. L’existence d’une forme sublinguale et l’utilisation possible
chez l’insuffisant rénal sont autant d’avantages en fin de vie. Cependant, il apparait
nécessaire de poursuivre la recherche dans ce domaine, notamment pour évaluer son
intérêt dans la prise en charge de l’HIO.
2020
DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
thèse ou mémoire
Systématique
douleur
Systématique
buprénorphine
gestion de la douleur
Systématique
Littérature
Soins palliatifs
Systématique
littérature de revue comme sujet
soins palliatifs
BUPRENORPHINE
Revue systématique
buprénorphine
Douleur
soins palliatifs
Revue systématique
douleur
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N3-AUTOINDEXEE
Évaluation de la douleur et du mésusage de la buprénorphine et de la méthadone chez
les patients dépendants aux opioïdes substitués
http://www.theses.fr/2019CLFAS023
La dépendance aux opioïdes est un problème majeur de santé publique dont la prévalence
et l’incidence ne cessent d’augmenter. Sa prise en charge pharmacologique repose sur
une approche substitutive basée sur la prescription des médicaments de substitution
aux opioïdes (MSO), buprénorphine (BHD) et méthadone (MTD), commercialisés depuis
1995-1996 en France. Leur efficacité clinique a largement été démontrée en réduisant
la consommation d’héroïne, la mortalité par overdose et en améliorant la qualité de
vie des patients. Néanmoins, en parallèle, des problématiques en lien avec le mésusage
des MSO ont émergé, pouvant conduire à des conséquences péjoratives pour les patients.
La première partie de cette thèse a donc consisté à étudier le mésusage des MSO chez
des patients dépendants aux opioïdes en France à travers l’identification d’un comportement
de nomadisme médical, en exploitant les données nationales de l’EGB selon deux approches
: 1/ une étude transversale répétée estimant la prévalence annuelle du mésusage des
MSO entre 2004 et 2014 : la prévalence du nomadisme médical de la BHD a significativement
diminué entre 2004 et 2014 (12,6 % vs 3,9 %, alors que celle de la MTD est restée
faible sans évolution significative sur la période d’étude (0,2 % en 2004 à 0,5 %
en 2014) ; 2/une étude de cohorte visant à estimer l’incidence du mésusage des MSO
chez les patients dépendants aux opioïdes et identifier les facteurs de risque associés
à ce mésusage : l'incidence à un an était de 8,4 % [IC 95 % : 7,0–10,1] dans le groupe
BHD et de 0 % dans le groupe MTD, comparativement à 0,2 % [0,1-0,2] pour le groupe
des diurétiques (contrôle négatif). Les facteurs associés au nomadisme médical étaient
le sexe féminin (HR : 1,74 [1,20–2,54]), la précarité socio-économique (HR : 2,95
[2,07-4,44]), les comorbidités psychiatriques (HR : 1,43 [1,06–1,94]), les coprescriptions
d’hypnotiques (HR : 1,90 [1,39–2,61]), d’antalgiques opioïdes faibles (HR : 1,48 [1,09–1,99])
et de morphine (HR : 1,69 [1,02–2,80]). Parmi les nombreuses motivations justifiant
ce mésusage des MSO, l’existence d’une douleur mal soulagée est fréquemment retrouvée.
En effet, la douleur constitue une problématique importante chez les patients dépendants
aux opioïdes car elle reste encore trop souvent sous-diagnostiquée et sous-estimée,
alors que sa prévalence est plus élevée qu’en population générale. Sa prise en charge
adéquate est d’autant plus importante qu’elle va contribuer à une amélioration et
un meilleur équilibre de la pathologie addictive. Aucune donnée française n’est disponible
concernant la prévalence des phénomènes douloureux chez les patients MSO ainsi que
la description des profils pharmaco-thérapeutiques antalgiques dans la vraie vie.Ces
problématiques autour de la douleur ont fait l’objet des deuxièmes et troisièmes chapitres
de cette thèse. La deuxième partie de ce manuscrit s’est effectivement attachée à
estimer la prévalence de la douleur chez les patients dépendants aux opioïdes en France
à travers une double approche : 1/ une étude de prévalence classique de terrain, incluant
un échantillon représentatif de 509 patients dépendants aux opioïdes recrutés dans
12 centres de soins en addictologie : la prévalence de la douleur aiguë a été estimée
à 42,0 % [37,7–46,3] et celle de la douleur chronique à 33,2 % [29,1–37,3] sans différence
significative entre BHD et MTD ; 2/ une approche alternative originale, basée sur
l’application de la méthode de capture-recapture aux données exhaustives du SNIIRAM :
en 2015-2016, la prévalence de la douleur chronique était estimée à 31,1 % [28,0–34,9]
chez les patients dépendants aux opioïdes traités par MSO vs 8,6 % [7,08–10,7] dans
la population contrôle de patients non dépendants. (...)
2019
theses.fr
France
thèse ou mémoire
patients
agoniste des opiacés
Douleur
mesure de la douleur
dépendance
Opioïdes
douleur
analgésiques morphiniques
méthadone
BUPRENORPHINE
méthadone
dépendance psychologique
buprénorphine
buprénorphine
a comme patient
Comportement toxicomaniaque
douleur
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N2-AUTOINDEXEE
BUPRENORPHINE SANDOZ
http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2055736/fr/buprenorphine-sandoz
2015
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HAS - Haute Autorité de Santé
France
français
avis de la commission de transparence
buprénorphine
buprénorphine
BUPRENORPHINE
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N3-AUTOINDEXEE
Quelles sont les différentes perceptions constatées par les usagers entre le générique
et le princeps de la Buprénorphine ?
https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01370968
Contexte : Dans le cadre d’une politique de réduction des dépenses de santé, l’arrivée
des génériques sur le marché prend une place importante. En ce qui concerne les génériques
de la Buprénorphine Haut Dosage, ils ne représentent que 31,7% de la part du marché
contre 82% pour les génériques de tous médicaments confondus délivrés. Objectif :
Comprendre les raisons objectives et subjectives à l’origine de la défiance des usagers
face aux génériques de la Buprénorphine Haut Dosage
2015
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DUMAS - Dépôt Universitaire de Mémoires Après Soutenance
France
français
thèse ou mémoire
buprénorphine
buprénorphine
Générations
BUPRENORPHINE
perception
perception
caractéristiques familiales
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