Libellé préféré : syndrome chronique des loges musculaires à l'effort;
Définition CISMeF : Le syndrome des loges est dû à une augmentation anormale de la pression dans les tissus
contenus dans à l'intérieur d'un compartiment musculaire appelé loge. Dans sa forme
chronique, il survient à l'effort, provoquant une souffrance musculaire et nerveuse
de sévérité variable. Cette entité pathologique fréquente est totalement sousestimée
et présente, d’un point de vue physiopathologique, un dénominateur commun, qui est
l’augmentation de la pression intratissulaire. Cette hyperpression intratissulaire
va résulter d’une inadéquation entre la rigidité des aponévroses de recouvrement et
l’augmentation du volume musculaire à l’effort réalisant ainsi un véritable garrot
interne.;
Synonyme CISMeF : syndrome de loge chronique; syndrome de loge d'effort; syndrome de loge d'effort chronique;
Traductions automatiques des définitions par l'ANS : Le syndrome des loges caractérisé par une douleur dans des groupes musculaires présentant
des pressions de compartiment élevées dues le plus souvent à l'entraînement à l'effort
chez les athlètes. La plupart du temps, le syndrome de loge chronique à l'effort se
trouve dans les compartiments antérieurs et profonds de la jambe inférieure chez des
athlètes en entraînement, semblables à une ENTRAPMENT SYNNOME POPLITÉALE.;
Identifiant d'origine : D000083182;
CUI UMLS : C5392235;
Alignements automatiques exacts (par équipe CISMeF)
Concept(s) lié(s) au record
Correspondances UMLS (même concept)
Liste des qualificatifs affiliables
- urine [Qualificatif MeSH]
Type(s) sémantique(s)
Le syndrome des loges est dû à une augmentation anormale de la pression dans les tissus
contenus dans à l'intérieur d'un compartiment musculaire appelé loge. Dans sa forme
chronique, il survient à l'effort, provoquant une souffrance musculaire et nerveuse
de sévérité variable. Cette entité pathologique fréquente est totalement sousestimée
et présente, d’un point de vue physiopathologique, un dénominateur commun, qui est
l’augmentation de la pression intratissulaire. Cette hyperpression intratissulaire
va résulter d’une inadéquation entre la rigidité des aponévroses de recouvrement et
l’augmentation du volume musculaire à l’effort réalisant ainsi un véritable garrot
interne.